Chapitre premier: les premières cho7

- Par l'auteur HDS Absolutlui -
Récit érotique écrit par Absolutlui [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Chapitre premier: les premières cho7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Chapitre premier: les premières cho7
Une matinée d’automne.
Les passagers descendent, le monde afflue dans le hall du bâtiment. Femmes et hommes se bousculent le long des quais, certains prêt à rejoindre la prochaine correspondance en destination de Lyon, d’autres partis s’immergeait en plein centre villes, suivant une direction prédéfini.
La foule est dense, en pleine effervescence mais bientôt il n’en restera plus qu’un faible comité. Parmi lequel, un garçon sorti du train, trainerait à l’affût de notre rencontre sous les grands panneaux publicitaires exposant la dernière trouvaille des laboratoires cosmétique, une nouvelle crème anti âge dernière génération.
La berge est pratiquement déserte, il y a un jeune couple assis sur un banc entrain de se peloter sous les yeux goguenards des dernier voyageurs à bord du wagon, et une femme conduisant une poussette jusqu’au distributeur de friandises. Hormis eux, je n’aperçois personnes d’autres aux abords du quai. Un sifflement retentit et l’engin repart dans un vacarme assourdissant.
Mon rencard m’a fait faux bon. Dommage, j’ai perdu trente minutes à me préparer, gaspiller une bouteille de Chanel et ranger mon appartements aux aurores inutilement.
Il a fini par se rétracter, ou alors, il c’est simplement rendu compte en me voyant depuis son siège qu’il préférait mes photos au réelle. J’ai presque envie de pleurer et jeter mon smartphone sur les rails. C’est incompréhensible, ces précédentes relations sont largement moins engageantes, mais pourtant elles ont abouties. Peut-être est ce à cause de mon style vestimentaire allez savoir.
J’ai pris le soin de mettre un jogging turquoise et un haut noire de marques. Ce n’est pas que ça me plaise, mais de nos jours, le look banlieusard est assez priser chez les gays, donc autant l’adopter.

Depuis ma dernière relation j’ai moi même du mal à me reconnaitre. J’aborde en apparence un style construit à l’image de mon ex petit ami. Cela ne me ressemble pas du tout néanmoins ça m’aide à me réaffirmer et à capter l’attention. N’importe qui me voyant dans cette tenu, aurait du mal à m’identifier. En mon for intérieur, j’ai le sentiment de plaire aux autres quitte à me déplaire à moi même.

Au moment ou je m’apprête a partir, une voix se met à résonner derrière moi. Elle me semble nouvelle mais étrangement familière. Plutôt douce au débit modérer, elle s’exprime avec une légère animosité contre quelqu’un sans répondants. Simple échange téléphonique.
De l’autre coter du chemin ferroviaire, la silhouette athlétique se déplace, cellulaire à l’oreille,l’air agacer par la conversation. Nul doutes, il s’agit bien de lui, l’étudiant du site.
A première vu, on peut dire qu’il me plais. Il ne transpire pas l’homosexualité contrairement à la grande majorité. Son style vestimentaire simple et décontractée loin des extravagances habituelle diffère aux autres et lui confère cet apparence typique masculine.
Mes yeux se laissent emporter par son charisme puis tombent sur les baskets blanche à bandes violettes qu’il revêt aux pieds. Elles ne sont pas du tout à mon gout, me vint alors un ultime espoir, qu’il puisse exhiber meilleure chaussettes, idéalement blanches façon tennis, mais surtout pas de socquettes.
Pour l’instant difficile à dire, elles paraissent bien enfouies dans le cuir des chaussures en dessous d’un jeans recouvrant parfaitement ses chevilles.
Si je voulait en avoir le coeur net, je n’aurai qu’à prétexter qu’il se déchausse avant de s’inviter chez moi. En règle général, certains s’y emploie par politesse sans qu’on ai besoin d’en faire la remarque. C’était peut être aussi son cas, je l’espérais de tout mon coeur.
Son physique avantageux est visuellement agréable à regarder valait réellement le coup d’oeil. D’ordinaire, les photos font qu’elles sont choisies par précaution de sorte a être valorisante, mais là, la réalité fut supérieur à cela, pour une fois le réel l’emporter haut la main, sur les clichés qu’il avait poster de lui.
En vrai, il était beaucoup plus naturel, il paraissait calme et mieux à son aise, dégageant un aplomb digne du gars confiant de lui même. N’importe qui à ma place, aurait pu l’admettre.
Apparement, tout laisser à penser qu’il était le genre de mec à vouloir se faire sucer sur commande convaincu de ses attribues et de son pouvoir de séduction.
Soyons honnêtes, si la proposition venait à se présenter, j’irais dans le premier coin isolé de la gare déboutonner son jeans et lui reluire la verge.
Peut être qu’après cela, il partirais sitôt chez lui, en pensant que je suis quelqu’un de facile qu’on peut baiser à tour de bras dans n’importe quels endroits crasseux, bien que ça ne soit pas du tout le cas, loin de moi l’idée d’être aussi libertin. Mais si tel est son souhait, d’accord je veux bien m’y engager.
Il est tellement beau, terriblement bien fichu, au point que mes regards en deviennent malaisant.
Je ressens cette même gêne qu’éprouve certaines femmes lorsqu’elles assume enfin un penchant inavoué tel que la sodomie. C’est à la fois indécent mais paradoxalement excitant.
Dans mon cas, il déchaine un violent désire prompt à l’assouvissement, contraire aux valeurs moral et puritaine du couple que je m’inflige. En somme, pas de sexe aux premiers rendez-vous.
Apprenons d’abord a nous connaître, puis voyons par la suite ce qu’il en résulte.
L’heures tourne et il n’a toujours pas raccroché visiblement, on dirais qu’il règle une discussion sérieuse. Soudain son regards heurte enfin le miens. Ses yeux teinté entre gris et bleu me scrutent un bref instant, puis s’en vont furtivement ailleurs.
C’est assez intimidant cette façon qu’il a de me regarder, cela a durer a peine trois secondes, mais ces trois secondes suffire à me faire perdre l’esprit et à me chambouler intérieurement.
Son regard si tendre, un brin espiègle et d’une douceur hypnotique, reviens aussitôt vers moi accompagné d’un sourire charmeur. Il m’éblouie et ce n’est rien de le dire.
Sa moue rieuse figé à ses fines lèvres donne à son visage cet aspect aguicheur que j’aime tant. Me voila sous le charme.

Enfin il descend l’escalier qui mène à l’autre voie et viens me rejoindre tout disposé à faire connaissance avec moi. En montant les dernières marches je constate qu’il n’est plus coller a son téléphone mais au lieux de cela très attentif à ma présence.
Il s’approche et me tend la main, empoigne la mienne, et ce fut notre premier contact physique.
La paume de sa main incroyablement chaude imprègne l’épiderme de ma peau puis se défait de son étreinte. Quel poigne, ça s’annonce plutôt bien !
Ensemble nous rebroussons chemins puis partons vers le centre commercial.
Il n’est pas très bavard durant le trajet, il s’exprime peu. J’ai l’impression qu’il me trouve ennuyeux.
Parfois je l’imagine même agacer, m’envoyer sur les roses et faire demi tour d’un moment à l’autre. Heureusement pour moi ce n’était pas le cas. Il marchait encore à mes coter, sensible à mon humour que je trouvais ringard et se laissait guider par mes pas.

J’avais envie de manifester mon attirance envers lui, occasionner le moment où il m’aurait entrainé contre un muret pour m’embrasser puis m’avouait qu’il voudrait bâtir une relation durable avec moi. Mais chaque choses en son temps. D’abord, il s’informerai ensuite il se prononcerait.
Notre promenade dura deux bonnes heures, pendant lesquels on passer notre temps à déambuler dans les galeries marchandes, quelquefois à l’assaut des boutiques susceptible de nous pousser à l’achat.
Une fois notre périple accomplie, je l’ai invité à venir chez moi, et nous y sommes allées d’un commun accord.
Il était assez réservé, parler avec retenue et me conquerrait avec ses sourires.
J’ai tenter à plusieurs reprises de le mettre en confiance en le socialisant, en usant de compliments ou encore en posant ma tête sur ses cuisses. Ça ne changeait pas pour autant.
Il ne disait quasiment rien, assis sur mon canapé lit, il se montré attentif à tout ce dont je lui racontait.
Bien entendu, tout serait nettement plus simple si dés notre arrivés, il avait défait son jeans puis tombé le boxer rouge dont j’ai saisi la couleur quelques minutes plus tôt. À ma manière, je l’aurais détendu et la pression serait redescendu.
Ma langue prête a lécher chaque millimètres de sa verge, succomberai au renflements dominant de son érection presque indomptable, pendant qu’il lutterai à moitié coucher en appuie sur les coudes contre l’envie de se répandre dans ma bouche.
Il parait semble t-il qu’on puisse évaluer la taille d’un sexe en fonction de la longueur des doigts, j’ai un peu du mal à le croire, mais si cela est vrai je vais devoir m’y préparer au vu de ses mains.
Le bel étudiant avait surement de quoi se vanter auprès de ses potes.
Belle gueule, corpulence parfaite, gros pénis. Intelligent et pas du tout compliqué.
Au lit avec un mec pareil, ça doit être une affaire. Du genre “ Je m’occupe de bander, occupe toi du reste“. Evidement, c’était à peu près cela.

Au cours de la soirée, j’ai eu envie d’en savoir plus. J’ai donc attendu qu’il accepte ma proposition de dormir chez moi, puis qu’il se débarrasse de ses vêtements pour me rejoindre au lit.
Il était pratiquement nu et ne lui restait plus que son boxer en guise d’habits. Pendant qu’il se déshabiller j’ai fait mine de ne rien remarquer, mais j’en ai profité pour me rincer l’oeil.
Au moment ou il est entrer sous la couette, je revoyais cette image de lui debout à cloche pieds enlevant ses chaussettes. Et à mon grand bonheur, il en portait des blanches de marque Lotto.
Ce n’est pas l’emblème que je préfère, mais la façon dont il les avaient entretenu me procurait un courant d’extase. Sans compter, l’usage qu’il faisait avec et le traitement qu’elles subissaient, flanquer dans un coin de la pièce, elles gardaient clandestinement leurs arômes et leurs tiédeur, une fois banni par son propriétaire.
J’espérais une approche avec elles, et me contenterai même de minces inspirations savoureuse, mais avant que ça ne produise il allait devoir quitter la pièce.
J’ai du mal à imaginer la réaction qu’il aurait eu en me voyant faire.
N’importe quels individus normalement constituée qualifierais cet acte comme répugnant. Certains irait même jusqu’à s’enfuir, parce qu’ils préfère la conformité aux pratiques jugée déviante. Libre à chacun de choisir son camp, en ce qui me concerne mon choix était fait depuis longtemps.
Etendu à coter de moi, il manipuler son smartphone, m’octroyant quelques minutes de rêveries.
Dans mon esprit, nous étions au même endroit, lui menottes aux poignets et en chaussettes vêtues de son boxer bien remplie, pleins à craquer. En guise de préliminaire, je me voyais lui chatouiller les pieds, juste pour voir son corps tout entier se contorsionner en me suppliant d’arrêter. L’entendre rire jusqu’aux larmes m’enthousiasmer, surtout si les pieds y succomber. De plus en plus de gens adhère à ce jeu érotique, contrairement à moi qui n’ai jamais tenter l’expérience. Bizarrement ce soir là, j’étais curieux de vouloir l’expérimenter avec lui.
Une fois rassasié, après la dure épreuve des chatouilles, suivie des massages plantaire et d’une bonne séance de léchage viendrait le tour de l’entre jambes généreux où l’abondance même promis un bel arrosage. Mon visage ruisselant d’une jouissance accompli, j’irais ensuite à hauteur de sa figure agiter mon sexe pour y verser à mon tour toutes la contenance, glorifiant sa beauté.

Une fois diluer aux reflets de la réalité, mes visions s’estompèrent, et sans permission de sa part me hissait à califourchon au dessus de lui. Il ne bougeait plus, et ne s’attendait pas à un tel élan de fougue.
Son torse nu assouvis par mes caresses frémit au contact de mes mains. Sa peau à peine transpirante, juste de quoi me filer un peu plus la gaule, imberbe mais garnie par endroits d’une légère toison de poils en signe de virilité, s’échauffer peu à peu.
J’ai fait durer l’instant avant que mes doigts ne viennent se faufiler sous l’élastique rouge du sous vêtement où j’ai tirait dessus découvrant son pubis pour la première fois.
Le dessous qu’il portait ajuster parfaitement ses attribues massifs, il bandait vigoureusement, c’était impressionnant a voir.
À peine le temps d’effleurer la saillie naissante de ses cuisses, qu’une envie immodéré m’obligeait à m’y agripper à pleine main et le branler.
Le beau mâle en excitation ne tiendrais pas une minutes ainsi, il mouillait tel un puceau entres mes doigts et se laissait apprivoiser. C’était assez plaisant à voire, un homme si beau réduit à ses envies. La difficulté qu’il éprouvait à se contenir prouvé qu’il n’avais pas eu de rapports depuis un long moment.
Ma bouche pris alors sa verge durci en otage et lui polit les bords. Il s’agrippait aux draps, gémis tendrement. Il bandait si fort qu’il contracter les abdos, plier le orteils et serrer les dents.
D’une minutes à l’autre il finirait par éjaculer de plaisir, j’ai donc pris les devant et saisi nos deux membres respectif l’un contre l’autre, peau contre peau à pleine main puis masturber nous laissant jaillirent sur son torse nu et sur les draps tachée de nos efforts.


Sa chaire dégoulinante de semences nécessitée une halte à la douche vu les généreuses giclée submergeant sa poitrine, il en était amplement imprégner et ça ne le dégouter pas.
Pas surprenant quand on sait la jouissance qu’il a ressenti lors du grand final. Je n’avais jamais vu une telle éjaculation si abondante et aussi puissante, ça mériter bien un premier bisous sur ses lèvres éclabousser de sperme.

Vingts secondes après, il parti sous la douche se rincer pendant que je savourer ses dernières saveurs déposer sur ma bouche. Il était divin et son alimentation lui donner bon gout.
Je regrettai de n’avoir pu en absorber d’avantage, c’était un régal de pouvoir voler son essence personnel et gouter sa propre sève organique.
Patiemment j’attendais son retour mais surtout ses premières impressions. Les miennes n’étaient pas mauvaise mais peu satisfaisante.
J’ignorais ses inclinaisons sexuelle et ne savais pas grand choses de lui. En revanche, j’ai pu constater qu’il aimer les branlettes et par-dessus tout les pipes. On allaient bien s’entendre lui et moi.
Assis sur le rebord du lit, je songeais à notre vie sexuelle à venir, sans doute épanouissante, sous réserve qu’il autorise mon fétichisme. Je me voyais déjà rampant à ses pieds, obéissant aux ordres, prêt à assouvir ses moindres caprices.
Lécher ses pieds un après midi entier, nettoyer ses chaussettes après les cours ou encore lui proposer des séances interminable de massages plantaire.
Mon bel étudiant en raffolerai, mais c’était encore trop tôt pour pouvoir l’affirmer.
Il en prenait du temps pour se rincer, pendant ce temps là, je tournais en rond dans ma chambre, entre inquiétude et résignation. Bientôt minuit, mes yeux me démangeaient et toujours pas sorti de la salle de bain. Je commence a m’impatienter quand soudain le déclic.
Ses chaussettes de sport sont sous mon nez depuis le début et je n’ai pas eu le réflexe de m’en approcher. Aussitôt dit, aussitôt fait, me voila a genoux à terre, prêt à les cueillir dans mes mains.
Elles sont blanches mais pas aussi immaculé qu’au début, elles ont un peu ternis principalement au niveau de la voute plantaire, en marchant pieds nus chez lui mon bel invité avait du les souiller.
C’était complètement dingue, j’imaginais tout ce qu’il avait pu faire avec aujourd’hui. Les trajets à pied, notre promenade de l’après midi. Toutes ses activités pourtant ordinaire dont je savais qu’il en résulterai un parfum composé de sueur.
La sienne était discrète, fugace et pas du tout incommodante, elle fleurait bon le jeune mâle viril chaud dans ses baskets qui exhale une douce amertume entêtante.
Les narines contre ses chaussettes je m’exhaler des senteurs suaves qu’elles contenait en visualisant l’étudiant en pleine épreuve sportive sous un soleil de plomb.
Je le voyais transpirer, imprégner ses chaussettes collant aux pieds délicieusement moite.
Quand brusquement un bruit surgit derrière moi.
Il me dévisageait, surpris par mon attitude, l’air mécontent.
Pris sur le fait, aucuns sons ne sortait de ma bouche. J’avais honte de moi, et lui aussi visiblement.
Ses yeux fixait mes mains tenant les chaussettes puis me défiait du regards complètement abasourdit, il cherchait une explication que je ne m’était pas préparer à lui donner.
La nuit promis d’être longue
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