Charles mon amant
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 328 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Fabriss34 ont reçu un total de 3 277 805 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 10 310 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Charles mon amant
Charles, mon chéri porte un petit paquet. Il m’annonce que ce soir il organise entre nous deux un weekend crapuleux. Son cadeau: un dvd de cul. Voir un film porno ne me dérange pas du tout, au contraire, le dernier vu a été pour moi une bonne occasion de me masturber quand j’étais seule.
Nous voilà donc devant la télé, assis sur le divan quand les premières images défilent. Le sujet du film : une vague histoire d’héritage dans un château…. Les acteurs, de belles filles sexy, ouvertes à tous les caprices des acteurs pas mal dotés de belles bites assez grosses, plus grosses que celle de mon chéri. La première action hard est celle qui met en train deux filles. J’aime voir les filles se faire des choses comme j’aimerai qu’on me fasse. Je mouille pas mal, je passe la main sur la chatte, par-dessus le string. Je vois que Charles se tripote la bite à travers le pantalon. Quand je lui dis que je vais me branler, il n’y tient plus : il sort sa queue : il bande bien. Je commence à passer ma main rapidement sur le dessus de la chatte sans la toucher. Je ne cherche pas à jouir rapidement. Je cherche l’anus, je le frôle à peine.
Je n’en peux plus, je me mets toute nue, les cuisses ouvertes, en regardant d’un œil les acteurs s’aimer comme des bêtes et mon Charles nu comme moi avec sa pine bandée. Il s’astique lentement. Je regarde sa main aller et venir sur la bite. J’attends qu’il jouisse en lâchant son fiel pour le lécher un peu pour avoir son gout, son bon gout dans la bouche.
A l’écran les filles ont fini de se brouter. Je les envie, j’aimerais assez que la grande brune du film soit à mes pieds, sa tête entre mes jambes, sa langue montant entre mes cuisses pour aboutir à ce que j’ai de plus précieux sur mon con : le bouton. Un trio est en place, elle se fait mettre par un type assez costaud. Derrière le gaz un autre type est la, la queue droite. Je m’en doutais : il met sa pine dans le cul du premier qui semble apprécier. J’aimerai voir Charles avec un copain se faire mettre ainsi. Il me semble que je jouirais sans même me toucher. Il faut que je le lui demande pour me faire plaisir. Il acceptera certainement.
Je sens monter la jouissance. Je m’arrête un instant pour voir le sperme de Charles jaillir plus haut que d’habitude. Je n’ai pas pu venir lui prendre sa semence. Tant pis je ferais ça plus tard. J’entre deux doigts dans la figue. Je sais que comme ça je vais jouir une première fois. Je me tends contre le dossier, les fesses levées. Et là arrive le miracle : je jouis longuement. Henri pose sa bouche sur la mienne pendant que j’ai mes spasmes. Il prend mes seins, les caresse comme j’aime : je suis encore excitée surtout que sur le téléviseur, les choses ne s’arrangent pas. Une fille que je ne connais pas encore est posée sur le ventre d’un acteur. Elle lui lèche la queue qui grossit. Elle passe totalement sur lui, écarte les jambes pour lui donner la prune. Un gros plan sur la chatte montre la langue lécher.
Charles bande encore. Je vais sur lui, le dos contre son ventre. Je peux me faire mettre et regarder. Il va et vient dans le con. Je me touche le bouton pour le caresser encore. J’aime me branler quand il me baise. Je le sens bien quand je jouis encore. Je ne veux pas que Charles jouisse maintenant. J’ai encore besoin de sa queue.
Je me suis levée pour aller prendre le gode. Charles attend mon retour. Il bande plus fort que tout à l’heure. Il va me défoncer. Tant mieux. Comme à l’écran où une fille assez dodue prend dans le cul une pine énorme, tellement grosse qu’elle me fait peur. Elle ne pourrait pas entrer et là, il la lui met facilement. Elle est au fond du cul dilaté.
Je reviens sur Charles. Il bande toujours autant. Il s’entretient à la main. J’aime bien le voir se branler. Je reviens sur lui, je m’arrange un peu pour changer de trou. Voir la file se faire enculer m’en donne envie. La queue entre doucement dans l’anus qui s’ouvre facilement, comme toujours. Ses mains entourent mes cuisses. Je fais les mouvements. Je monte et descends comme je veux le long de son mat dressé. C’est bon de se faire enculer. J’ai envie de plus. Je pose le gode sur le vagin. J’hésite à le faire entrer.
Je suis mal installée, ma tête doit se tenir droite si je veux continuer à voir le film. Tant pis si j’ai mal au cou. Je me baise quand sur le téléviseur deux filles échangent de nombreux baisers en se branlant. Mon instinct me dit qu’elles ne jouent pas : c’est vrai qu’elles jouissent comme je vais faire. Je sens Charles dans mon cul, je sens le gode dans le con. Que c’est bon de baiser ainsi. Le poignet appuyé sur les hanches, ma main peut aller et venir sur le gode. Je baise à toute allure. Charles jouit dans l’anus. Ses spasmes entrainent ma jouissance.
En me redressant je vois un couple baisant en levrette. Je n’ai pas vu le début de la scène. J’espère qu’il l’encule. Moi, je ne peux voir la suite, j’ai mon dernier acte à accomplir. Charles commence à débander. Je le prends dans la bouche. Son gout revient dans la bouche, même atténué par celui de mes fesses. Ses couilles sont lourdes dans ma main. En léchant le gland, je sais que j’ai toute sa virilité en moi, que je pourrais le mordre sans qu’il résiste. La langue trouve le méat. J’adore ce petit endroit d’où sort sa semence.
J’ai envie de sa langue sur moi, sur mon abricot. Qu’il me bouffe le con, le cul, ce qu’il voudra, mais qu’il me bouffe. Je suis couchée sur le tapie, il comprend ce que je veux quand enfin il est sur moi. Non, il me la met. Je ne le veux pas là. Je me débats assez pour qu’il change de lieux. Enfin sa bouche est sur moi, entre mes jambes. Il commence en bas, tout en bas, là où il avait sa queue tout à l’heure. Il doit gouter son sperme, il en reste toujours un peu sur l’anus. J’ai sa queue dans la bouche. C’est bon un 69 avec lui. Sa langue entre sans frapper dans l’anus. Il me fait tellement de bien que je jouis rapidement, plus il me suce plus je jouis vite. Il reste là où il est, seuls ses doigts viennent fouiller le reste. Ils entrent profondément dans la moule. Je trouve le gode à coté de moi. Tant pis pour lui je vais le lui mettre, je vais l’enculer comme il me fait, j’ai droit non !
Je mouille un peu le gode, je le tiens bien en main, à pleine main. Il remue comme pour dire non au moment où je pose l’engin sur son cul. Tant pis pour lui, la première fois je n’ai pas fais d’histoire quand il m’a sodomisée. D’accord je l’ai accepté pour lui faire plaisir, même s’il m’a faite jouir.
Il entre encore sa langue, j’entre le gode. Il pousse un cri de surprise. Charles ne me rejette pas, il accepte un peu de se faire enculer. Je sens sa queue avoir des à coups dans la bouche. Je continue, j’entre le plus possible. Ma main touche ses fesses : je ne peux pas entrer plus. Dommage. Il gémit maintenant. Il gémit et décharge dans la bouche. Son sperme me plait à cet instant. Je voudrais qu’il en ait encore. Je voudrais finir de l’enculer. Je me suis régalée de faire ce que j’ai fait, une bite dans le cul de mon amant….
Je me souviens qu’il a mis en route la caméra. Nous nous sommes filmés, même quand je l’enculais. Je suis sure qu’il se branlera devant moi en regardant les images. Je pourrais même lui caresser le cul...
Nous voilà donc devant la télé, assis sur le divan quand les premières images défilent. Le sujet du film : une vague histoire d’héritage dans un château…. Les acteurs, de belles filles sexy, ouvertes à tous les caprices des acteurs pas mal dotés de belles bites assez grosses, plus grosses que celle de mon chéri. La première action hard est celle qui met en train deux filles. J’aime voir les filles se faire des choses comme j’aimerai qu’on me fasse. Je mouille pas mal, je passe la main sur la chatte, par-dessus le string. Je vois que Charles se tripote la bite à travers le pantalon. Quand je lui dis que je vais me branler, il n’y tient plus : il sort sa queue : il bande bien. Je commence à passer ma main rapidement sur le dessus de la chatte sans la toucher. Je ne cherche pas à jouir rapidement. Je cherche l’anus, je le frôle à peine.
Je n’en peux plus, je me mets toute nue, les cuisses ouvertes, en regardant d’un œil les acteurs s’aimer comme des bêtes et mon Charles nu comme moi avec sa pine bandée. Il s’astique lentement. Je regarde sa main aller et venir sur la bite. J’attends qu’il jouisse en lâchant son fiel pour le lécher un peu pour avoir son gout, son bon gout dans la bouche.
A l’écran les filles ont fini de se brouter. Je les envie, j’aimerais assez que la grande brune du film soit à mes pieds, sa tête entre mes jambes, sa langue montant entre mes cuisses pour aboutir à ce que j’ai de plus précieux sur mon con : le bouton. Un trio est en place, elle se fait mettre par un type assez costaud. Derrière le gaz un autre type est la, la queue droite. Je m’en doutais : il met sa pine dans le cul du premier qui semble apprécier. J’aimerai voir Charles avec un copain se faire mettre ainsi. Il me semble que je jouirais sans même me toucher. Il faut que je le lui demande pour me faire plaisir. Il acceptera certainement.
Je sens monter la jouissance. Je m’arrête un instant pour voir le sperme de Charles jaillir plus haut que d’habitude. Je n’ai pas pu venir lui prendre sa semence. Tant pis je ferais ça plus tard. J’entre deux doigts dans la figue. Je sais que comme ça je vais jouir une première fois. Je me tends contre le dossier, les fesses levées. Et là arrive le miracle : je jouis longuement. Henri pose sa bouche sur la mienne pendant que j’ai mes spasmes. Il prend mes seins, les caresse comme j’aime : je suis encore excitée surtout que sur le téléviseur, les choses ne s’arrangent pas. Une fille que je ne connais pas encore est posée sur le ventre d’un acteur. Elle lui lèche la queue qui grossit. Elle passe totalement sur lui, écarte les jambes pour lui donner la prune. Un gros plan sur la chatte montre la langue lécher.
Charles bande encore. Je vais sur lui, le dos contre son ventre. Je peux me faire mettre et regarder. Il va et vient dans le con. Je me touche le bouton pour le caresser encore. J’aime me branler quand il me baise. Je le sens bien quand je jouis encore. Je ne veux pas que Charles jouisse maintenant. J’ai encore besoin de sa queue.
Je me suis levée pour aller prendre le gode. Charles attend mon retour. Il bande plus fort que tout à l’heure. Il va me défoncer. Tant mieux. Comme à l’écran où une fille assez dodue prend dans le cul une pine énorme, tellement grosse qu’elle me fait peur. Elle ne pourrait pas entrer et là, il la lui met facilement. Elle est au fond du cul dilaté.
Je reviens sur Charles. Il bande toujours autant. Il s’entretient à la main. J’aime bien le voir se branler. Je reviens sur lui, je m’arrange un peu pour changer de trou. Voir la file se faire enculer m’en donne envie. La queue entre doucement dans l’anus qui s’ouvre facilement, comme toujours. Ses mains entourent mes cuisses. Je fais les mouvements. Je monte et descends comme je veux le long de son mat dressé. C’est bon de se faire enculer. J’ai envie de plus. Je pose le gode sur le vagin. J’hésite à le faire entrer.
Je suis mal installée, ma tête doit se tenir droite si je veux continuer à voir le film. Tant pis si j’ai mal au cou. Je me baise quand sur le téléviseur deux filles échangent de nombreux baisers en se branlant. Mon instinct me dit qu’elles ne jouent pas : c’est vrai qu’elles jouissent comme je vais faire. Je sens Charles dans mon cul, je sens le gode dans le con. Que c’est bon de baiser ainsi. Le poignet appuyé sur les hanches, ma main peut aller et venir sur le gode. Je baise à toute allure. Charles jouit dans l’anus. Ses spasmes entrainent ma jouissance.
En me redressant je vois un couple baisant en levrette. Je n’ai pas vu le début de la scène. J’espère qu’il l’encule. Moi, je ne peux voir la suite, j’ai mon dernier acte à accomplir. Charles commence à débander. Je le prends dans la bouche. Son gout revient dans la bouche, même atténué par celui de mes fesses. Ses couilles sont lourdes dans ma main. En léchant le gland, je sais que j’ai toute sa virilité en moi, que je pourrais le mordre sans qu’il résiste. La langue trouve le méat. J’adore ce petit endroit d’où sort sa semence.
J’ai envie de sa langue sur moi, sur mon abricot. Qu’il me bouffe le con, le cul, ce qu’il voudra, mais qu’il me bouffe. Je suis couchée sur le tapie, il comprend ce que je veux quand enfin il est sur moi. Non, il me la met. Je ne le veux pas là. Je me débats assez pour qu’il change de lieux. Enfin sa bouche est sur moi, entre mes jambes. Il commence en bas, tout en bas, là où il avait sa queue tout à l’heure. Il doit gouter son sperme, il en reste toujours un peu sur l’anus. J’ai sa queue dans la bouche. C’est bon un 69 avec lui. Sa langue entre sans frapper dans l’anus. Il me fait tellement de bien que je jouis rapidement, plus il me suce plus je jouis vite. Il reste là où il est, seuls ses doigts viennent fouiller le reste. Ils entrent profondément dans la moule. Je trouve le gode à coté de moi. Tant pis pour lui je vais le lui mettre, je vais l’enculer comme il me fait, j’ai droit non !
Je mouille un peu le gode, je le tiens bien en main, à pleine main. Il remue comme pour dire non au moment où je pose l’engin sur son cul. Tant pis pour lui, la première fois je n’ai pas fais d’histoire quand il m’a sodomisée. D’accord je l’ai accepté pour lui faire plaisir, même s’il m’a faite jouir.
Il entre encore sa langue, j’entre le gode. Il pousse un cri de surprise. Charles ne me rejette pas, il accepte un peu de se faire enculer. Je sens sa queue avoir des à coups dans la bouche. Je continue, j’entre le plus possible. Ma main touche ses fesses : je ne peux pas entrer plus. Dommage. Il gémit maintenant. Il gémit et décharge dans la bouche. Son sperme me plait à cet instant. Je voudrais qu’il en ait encore. Je voudrais finir de l’enculer. Je me suis régalée de faire ce que j’ai fait, une bite dans le cul de mon amant….
Je me souviens qu’il a mis en route la caméra. Nous nous sommes filmés, même quand je l’enculais. Je suis sure qu’il se branlera devant moi en regardant les images. Je pourrais même lui caresser le cul...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Fabriss34
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le style de fabrissa est absolument génial. Et le contenu de l'histoire pas moins. L
une imagination intarissable dans le domaine porno est bien l'attraction rayonnante de fabrissa. L
Je bande
J’aime bien, belle histoire avec plein de mots crus et cochons, ça m’excite, je mouille et je me fais jouir , c’est bon . CL