Charline cherche du travail
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Charline cherche du travail
Charline cherche du travail. Ses compétences sont réduites à zéro par suite de sa scolarité très incertaine. Après des jours et des jours de recherches, sans résultat, elle décide d’employer les grands moyens.
Belle, jolie, peu sérieuse sur le plan sexuelle, elle est prête à tout. Pour elle tout veut bien dire tout, même son corps, elle aime assez se donner pour son plaisir. Alors se vendre pour un boulot, pourquoi pas, où est le mal ?
La première personne quelle rencontre est le propriétaire d’une imprimerie. Elle ne connaît strictement rien à ce genre de travail. Elle sait tout juste se servir d’un clavier d’ordinateur. Le patron la regarde un peu étonné qu’une fille lui demande de travailler sans rien connaitre au travail d’impression.
- Vous savez, je peux vous rendre d’inestimables services personnels.
- De quel genre ?
- Pour vous rendre calme en cas d’énervement. Surtout vous soulager dans les moments de stress.
- Je serais curieux de vous voir à l’œuvre.
Il ne faut par répéter deux fois ce genre de choses : Charline, sans pudeur aucune, commende à sortir la bite de son futur patron. Elle l’entoure dans une main pendant que l’autre est directement sur les couilles. La masturbation qu’elle fait est courte, elle préfère prendre la queue dans la bouche. Elle aime bien le sperme alors elle espère récupérer directement à la source ce qui va sortir inévitablement de la pine bandée. Sa langue entoure le gland qu’elle a dégagé.
L’homme se laisse faire : il adore se faire sucer, même chez lui par sa femme. Mais là, c’est une jeune de 18 ans qui se donne directement, sans aucun problème. Il la laisse le sucer avec beaucoup de plaisir comme n’importe quel homme le ferait.
Charline engage le plus possible de la queue dans sa bouche. Elle a de l’expérience : elle a sucé son premier ami quand elle n’avait pas encore 15 ans. Elle avait avalé la semence avec un grand plaisir. Alors, depuis qu’elle a des amants, elle les suce toujours avec à chaque fois plus d’expérience. Elle sait quand l’orgasme masculin arrive. En ne gardant que le gland dans la bouche, elle récupère la plus grande partie du sperme.
Son futur patron la remercie du pompier qu’elle lui a donné gracieusement. Quand à lui donner du travail : elle n’a pas les qualifications nécessaires.
Déçue, Charline recherche ailleurs du travail. Elle aurait pu commencer par le Pole emploi pour le même résultat, sans la jouissance. Pourtant là, si elle a fait jouir un homme son seul plaisir était de déguster du sperme. Cherchant dans les annonces du journal local, elle trouve ce qu’elle pense son bonheur.
Une chapellerie demande une vendeuse. Pourquoi ne pas tenter sa chance. Les patronnes de la boutique sont deux femmes sans charme. Elle comprend vite de qui il s’agit : deux lesbiennes vivant en couple. Là, elle ne connait pas encore le mode d’emploi. Elle est prête à se dévouer à ses demoiselles. Elle fait tout pour se rendre désirable. C’est facile, elle ne porte pas de culotte, ni de soutien gorge. Elle le montre en se penchant en avant : les deux femmes voient son cul. La plus intrépide ne se gêne pas pour mettre sa main sur le cul présenté.
Charline qui ne connait pas du tout les mœurs lesbiennes se laisse faire. Elle est étonnée de sentir qu’elle mouille dès ce premier contact. Elle reste penchée en avant, la main d’une autre femme sur son cul.
Oh, son cul n’est pas vierge depuis longtemps, depuis qu’elle a eu sa première sodomie vers 16 ans : elle aime bien se faire mettre par le petit trou. Mais entre une bite et la main d’une femme, il y a une grande différence. Sauf que le doigt sur son anus insiste pour entrer. Elle se laisse faire, pour finalement en jouir malgré elle.
La deuxième femme vient devant Charline pour lui donner sa fente à lécher. Encore une nouvelle expérience. Elle sort sa langue, la pose sur le peu de chatte apparente, trouve le clitoris qu’elle lèche. Elle sent bien quand elle fait jouir cette femme.
Elle se retrouve nue rapidement : les deux femmes se sont liguer pour la déshabiller. Elles la couchent sur le comptoir du magasin fermé. C’est à son tour de subir le léchage sur sa fente et son cul. Elle en jouit facilement. Elle se trouve avec le sexe d’une des deux sur sa bouche. Elle sent les odeurs un peu fanées des femmes. Sa figue est sous la bouche de l’autre. Son orgasme est vite là, il est accompagné d’un second.
Elle est prête à travailler dans ce magasin où elle est si bien traitée. Malgré son expérience de l’amour, le reste ne convient pas : elle doit chercher ailleurs.
La quête recommence, après un foule de place elle croit avoir trouvé l’emploi ultime : serveuse topless dans un cabaret. Le patron lui expose son travail : simplement servir au bar, les seins nus, en mini jupe. Elle se doit d’aguicher le client avant de le servir. S’il s’agit d’un couple, a elle de savoir si la fille est une professionnelle ou pas. Pour une vulgaire pute, elle ne lui sert que des boissons non alcoolisées, en faisant payer le prix fort au client.
Sa chance est qu’elle est prise à l’assai. Le soir même la voilà encadrée par une autre fille pour commencer son service. Ses seins sont durs, aux tétons saillants. Elle se fait vite aux regards envieux des clients quelques fois de clientes. Par contre elle se laisse faire quand sa marraine au bar lui passe une main sous la jupette. Au bout d’un moment elle est excitée par cette main baladeuse. A tel point qu’elle se laisse caresser pendant un moment de calme. Elle tend son bijou vers la main qui lui donne du plaisir, un plaisir supérieur à celui qu’elle a eu avec les modistes. Elle arrive à jouir.
Charline voudrait elle aussi caresser pour la faire jouir sa collègue. Il faut attendre la fin de la soirée pour le lui faire dans le vestiaire. Enfin quand le moment arrive, elle ne tarde pas à rejoindre l’autre. C’est elle qui l’embrasse la première. Pendant que ses lèvres sont sur celle de l’autre fille elle est surprise de trouver une main sur son trésor.
Elle écarte les jambes pour que la main aille bien là où il faut. Charline ne tient pas tellement debout, elle s’assoit sur le bord de la table de maquillage. Là, enfin elle peut déguster les caresses. Elle ne pensait jamais se donner ainsi à une autre fille à peine plus âgée qu’elle. Ce qui la surprend c’est qu’elle aime ça, presque autant qu’une queue dans son tiroir des jouissances.
La meilleure surprise vient quand elle reçoit dans le ventre un énorme godemichet. Elle n’a jamais eu un tel calibre qui lui donne ce plaisir. Sa partenaire du moment lui demande de la sucer : elle accepte facilement. Leurs places changent : maintenant c’est l’autre qui est assise au bord de la table, les jambes grandes ouvertes. Son sexe est rasé, contrairement à celui de Charline.
Cette dernière la lèche en lui mettant un doigt dans l’anus. Charline profite toujours du gros gode dans le con. Elle balance dessus pour avoir les mouvements qui la comblent.
Pour finir la nuit, elles partent ensemble sous le regard goguenard sur patron. Il a eu ce qu’il voulait : deux nanas qui baisent : elles sont ainsi plus fidèles à son établissement pour y attirer la clientèle. Pour le reste, il s’en moque : il n’aime que les garçons.
Belle, jolie, peu sérieuse sur le plan sexuelle, elle est prête à tout. Pour elle tout veut bien dire tout, même son corps, elle aime assez se donner pour son plaisir. Alors se vendre pour un boulot, pourquoi pas, où est le mal ?
La première personne quelle rencontre est le propriétaire d’une imprimerie. Elle ne connaît strictement rien à ce genre de travail. Elle sait tout juste se servir d’un clavier d’ordinateur. Le patron la regarde un peu étonné qu’une fille lui demande de travailler sans rien connaitre au travail d’impression.
- Vous savez, je peux vous rendre d’inestimables services personnels.
- De quel genre ?
- Pour vous rendre calme en cas d’énervement. Surtout vous soulager dans les moments de stress.
- Je serais curieux de vous voir à l’œuvre.
Il ne faut par répéter deux fois ce genre de choses : Charline, sans pudeur aucune, commende à sortir la bite de son futur patron. Elle l’entoure dans une main pendant que l’autre est directement sur les couilles. La masturbation qu’elle fait est courte, elle préfère prendre la queue dans la bouche. Elle aime bien le sperme alors elle espère récupérer directement à la source ce qui va sortir inévitablement de la pine bandée. Sa langue entoure le gland qu’elle a dégagé.
L’homme se laisse faire : il adore se faire sucer, même chez lui par sa femme. Mais là, c’est une jeune de 18 ans qui se donne directement, sans aucun problème. Il la laisse le sucer avec beaucoup de plaisir comme n’importe quel homme le ferait.
Charline engage le plus possible de la queue dans sa bouche. Elle a de l’expérience : elle a sucé son premier ami quand elle n’avait pas encore 15 ans. Elle avait avalé la semence avec un grand plaisir. Alors, depuis qu’elle a des amants, elle les suce toujours avec à chaque fois plus d’expérience. Elle sait quand l’orgasme masculin arrive. En ne gardant que le gland dans la bouche, elle récupère la plus grande partie du sperme.
Son futur patron la remercie du pompier qu’elle lui a donné gracieusement. Quand à lui donner du travail : elle n’a pas les qualifications nécessaires.
Déçue, Charline recherche ailleurs du travail. Elle aurait pu commencer par le Pole emploi pour le même résultat, sans la jouissance. Pourtant là, si elle a fait jouir un homme son seul plaisir était de déguster du sperme. Cherchant dans les annonces du journal local, elle trouve ce qu’elle pense son bonheur.
Une chapellerie demande une vendeuse. Pourquoi ne pas tenter sa chance. Les patronnes de la boutique sont deux femmes sans charme. Elle comprend vite de qui il s’agit : deux lesbiennes vivant en couple. Là, elle ne connait pas encore le mode d’emploi. Elle est prête à se dévouer à ses demoiselles. Elle fait tout pour se rendre désirable. C’est facile, elle ne porte pas de culotte, ni de soutien gorge. Elle le montre en se penchant en avant : les deux femmes voient son cul. La plus intrépide ne se gêne pas pour mettre sa main sur le cul présenté.
Charline qui ne connait pas du tout les mœurs lesbiennes se laisse faire. Elle est étonnée de sentir qu’elle mouille dès ce premier contact. Elle reste penchée en avant, la main d’une autre femme sur son cul.
Oh, son cul n’est pas vierge depuis longtemps, depuis qu’elle a eu sa première sodomie vers 16 ans : elle aime bien se faire mettre par le petit trou. Mais entre une bite et la main d’une femme, il y a une grande différence. Sauf que le doigt sur son anus insiste pour entrer. Elle se laisse faire, pour finalement en jouir malgré elle.
La deuxième femme vient devant Charline pour lui donner sa fente à lécher. Encore une nouvelle expérience. Elle sort sa langue, la pose sur le peu de chatte apparente, trouve le clitoris qu’elle lèche. Elle sent bien quand elle fait jouir cette femme.
Elle se retrouve nue rapidement : les deux femmes se sont liguer pour la déshabiller. Elles la couchent sur le comptoir du magasin fermé. C’est à son tour de subir le léchage sur sa fente et son cul. Elle en jouit facilement. Elle se trouve avec le sexe d’une des deux sur sa bouche. Elle sent les odeurs un peu fanées des femmes. Sa figue est sous la bouche de l’autre. Son orgasme est vite là, il est accompagné d’un second.
Elle est prête à travailler dans ce magasin où elle est si bien traitée. Malgré son expérience de l’amour, le reste ne convient pas : elle doit chercher ailleurs.
La quête recommence, après un foule de place elle croit avoir trouvé l’emploi ultime : serveuse topless dans un cabaret. Le patron lui expose son travail : simplement servir au bar, les seins nus, en mini jupe. Elle se doit d’aguicher le client avant de le servir. S’il s’agit d’un couple, a elle de savoir si la fille est une professionnelle ou pas. Pour une vulgaire pute, elle ne lui sert que des boissons non alcoolisées, en faisant payer le prix fort au client.
Sa chance est qu’elle est prise à l’assai. Le soir même la voilà encadrée par une autre fille pour commencer son service. Ses seins sont durs, aux tétons saillants. Elle se fait vite aux regards envieux des clients quelques fois de clientes. Par contre elle se laisse faire quand sa marraine au bar lui passe une main sous la jupette. Au bout d’un moment elle est excitée par cette main baladeuse. A tel point qu’elle se laisse caresser pendant un moment de calme. Elle tend son bijou vers la main qui lui donne du plaisir, un plaisir supérieur à celui qu’elle a eu avec les modistes. Elle arrive à jouir.
Charline voudrait elle aussi caresser pour la faire jouir sa collègue. Il faut attendre la fin de la soirée pour le lui faire dans le vestiaire. Enfin quand le moment arrive, elle ne tarde pas à rejoindre l’autre. C’est elle qui l’embrasse la première. Pendant que ses lèvres sont sur celle de l’autre fille elle est surprise de trouver une main sur son trésor.
Elle écarte les jambes pour que la main aille bien là où il faut. Charline ne tient pas tellement debout, elle s’assoit sur le bord de la table de maquillage. Là, enfin elle peut déguster les caresses. Elle ne pensait jamais se donner ainsi à une autre fille à peine plus âgée qu’elle. Ce qui la surprend c’est qu’elle aime ça, presque autant qu’une queue dans son tiroir des jouissances.
La meilleure surprise vient quand elle reçoit dans le ventre un énorme godemichet. Elle n’a jamais eu un tel calibre qui lui donne ce plaisir. Sa partenaire du moment lui demande de la sucer : elle accepte facilement. Leurs places changent : maintenant c’est l’autre qui est assise au bord de la table, les jambes grandes ouvertes. Son sexe est rasé, contrairement à celui de Charline.
Cette dernière la lèche en lui mettant un doigt dans l’anus. Charline profite toujours du gros gode dans le con. Elle balance dessus pour avoir les mouvements qui la comblent.
Pour finir la nuit, elles partent ensemble sous le regard goguenard sur patron. Il a eu ce qu’il voulait : deux nanas qui baisent : elles sont ainsi plus fidèles à son établissement pour y attirer la clientèle. Pour le reste, il s’en moque : il n’aime que les garçons.
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