Charlotte l'allumeuse (2)
Récit érotique écrit par Grenoblois [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 6 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Charlotte l'allumeuse (2)
Chapitre 2: Mohamed Partie 2
Lui: « Tu sais que tu me fais bander, comme ça dans cette tenue ? » Moi: « Pardon ?! T’es malade ou quoi ?! »
Oui, il fallait bien que je fasse au moins semblant de résister, ou au moins de ne pas comprendre. Je reste une femme et je ne vais pas dire oui au premier sourire ! Enfin si, mais c’est toujours assez drôle de voir de quelle manière l’étalon en face de moi va s’y prendre.
Lui: « Tu m’as très bien entendu. Tu vas me dire que tu sors comme ça parscequ’il fait chaud ? » Moi: « Oui, il fait chaud, mais tu as raison, j’ai aussi le droit d’avoir envie de plaire. Après, si t’es pas capable de te retenir… »
Il marque une seconde d’arrêt. Il se sent un peu con, un peu déstabilisé, ça se voit. En plus de ne pas voir beaucoup de salopes comme moi dans la rue - même si je suis loin d’être la seule - il ne doit pas être habitué à voir une femme qui lui tient tête et lui répond. Mais c’est trop tard, il a vu une ouverture et son cerveau d’homme en chien ne peut plus résister. Il est à moi, à tellement vouloir être en moi.
Lui: « Comment tu veux qu’on se retienne quand vous nous résistez et que vous sortez comme ça, habillées comme des putes ? »Moi: « Est-ce que je te résiste ? »
Ca y est, il a compris. Avec mon regard provocateur et mon petit sourire en coin, il m’a démasquée en une seule seconde. Il a vu clair dans mon jeu, je ne suis pas sortie à moitié à poil juste pour allumer ou pour tester mes charmes. Il sait tout. Que je suis sortie habillée le plus court possible pour que les hommes me regardent, viennent vers moi et assouvissent ma soif de queue. Pendant qu’il me regarde dans les yeux et se demande comment transformer l’essai, je le regarde de haut en bas pour savoir à qui j’ai vraiment à faire.
Il n’est pas très grand, un mètre soixante-dix comme moi. Il est fin, pas de bide, pas de graisse, mais probablement pas de muscle. La peau mate, les cheveux longs jusqu’aux épaules. Son visage n’est pas très gracieux, il a pas mal de boutons d’acné, ce qui est normal pour son âge: Il doit avoir une vingtaine d’années tout au plus. Il porte une casquette Lacoste noire, un maillot de foot de la Thaïlande et un bas de survêtement noir. Enfin, une paire de baskets noires qui n’apportent rien d’original à sa tenue. Il est banal, voir assez laid, mais je m’en fous. C’est le moyen le plus simple et le plus rapide d’avoir enfin une première queue en moi.
Moi: « J’habite à cinq minutes ici à pieds. Je te laisse trente secondes pour aller l’annoncer à tes potes, ensuite on va chez moi ? »Lui: « Tu m’attends là. »
Il voulait avoir l’air autoritaire alors qu’il était surpris comme un petit garçon à qui on vient d’offrir un jouet. C’est un peu le cas, sauf qu’aujourd’hui, le jouet, c’est moi. Le temps de faire comprendre à ses potes qu’il va me soulever et on s’en va en direction de mon appartement. Sur le chemin, personne ne parle. Lui, il n’ose pas, de peur de perdre cette chance. Moi, je n’ai pas envie de lui parler. Je me fous de savoir comment il s’appelle, ce qu’il aime, ce qu’il fait. Je veux simplement un bon coup de bite et au revoir.
On arrive dans mon immeuble, je monte les escaliers pendant qu’il me suit. Je sens son regard posé sur mes fesses, et la pression commence à monter. Est-ce que je vais être capable de le satisfaire ? Est-ce que je vais prendre tout le plaisir que j’attend ? J’ouvre la porte d’entrée et fonce vers ma chambre. Il referme la porte et arrive près de mon lit quelques secondes après moi.
Toujours aucun mot, toujours aucune tendresse, il se penche vers moi et commence à toucher mes seins. Il se fait plaisir et je l’aide, je les retire mon débardeur et mon soutif. Je suis maintenant seins-nu devant lui, pour son plus grand plaisir: il les lèche, les mordille, les malaxe avec ses doigts. Il fait ça sans aucune délicatesse, ce mec est un gouja, et ça me fait terriblement mouiller.
Je ne lui laisse pas le temps de s’ammuser bien longtemps. Il n’est pas là pour son plaisir, mais pour le mien. Je lui retire son T-Shirt et commence à défaire son pantalon. Je ne me fatigue pas à tout lui retirer, j’ouvre juste ce qu’il faut pour faire sortir sans queue de son caleçon. Elle est plutôt longue, assez large, un joli morceau dans la partie haute de la moyenne. Je me penche pour le sucer pendant que Monsieur profite. Mais il ne va pas profiter bien longtemps, je veux simplement le faire bander au maximum pour qu’il soit le plus gros possible en moi. Quelques secondes plus tard, c’est fait, je lui enfile la capote, retire ce qu’il reste de mes vêtements et me positionne à quatre pattes, en attendant qu’il vienne me prendre.
Je n’ai pas à patienter bien longtemps. Moins de dix secondes plus tard, je sens quelque chose de froid et humide se poser sur mes lèvres. Je ne suis pas une grande fan des préservatifs, mais là, pas le choix ! Je vais devoir m’y habituer. Il ne perd pas de temps avec de la douceur, il s’enfonce directement en moi. Je me sens enfin prise, remplie par cette bite d’une taille honorable. Mon rêve commence enfin à se réaliser.
Pendant près de dix minutes, il me prend en levrette. Sans un mot, sans un bruit, il me baise, sans s’arrêter, il me prend, encore et encore. Je sens le plaisir monter petit à petit, quand il commence à gémir. Enfin, je n’ai plus l’impression de coucher avec un robot. Mais avec un chien, qui pénètre la première chienne en chaleur qu’il a trouvé. Ce traitement me fait du bien, mais est bien trop court. Quelques secondes seulement plus tard, il se retire brusquement de ma chatte, retire la capote et éjacule sur mon cul, dans un râle libérateur. Moi, je reste sur ma faim, dégoutée d’être tombée sur un mec qui ne tient pas. Où peut-être est-ce le traitement que réservent les hommes aux inconnues qu’ils baisent…
Lui: « Tu sais que tu me fais bander, comme ça dans cette tenue ? » Moi: « Pardon ?! T’es malade ou quoi ?! »
Oui, il fallait bien que je fasse au moins semblant de résister, ou au moins de ne pas comprendre. Je reste une femme et je ne vais pas dire oui au premier sourire ! Enfin si, mais c’est toujours assez drôle de voir de quelle manière l’étalon en face de moi va s’y prendre.
Lui: « Tu m’as très bien entendu. Tu vas me dire que tu sors comme ça parscequ’il fait chaud ? » Moi: « Oui, il fait chaud, mais tu as raison, j’ai aussi le droit d’avoir envie de plaire. Après, si t’es pas capable de te retenir… »
Il marque une seconde d’arrêt. Il se sent un peu con, un peu déstabilisé, ça se voit. En plus de ne pas voir beaucoup de salopes comme moi dans la rue - même si je suis loin d’être la seule - il ne doit pas être habitué à voir une femme qui lui tient tête et lui répond. Mais c’est trop tard, il a vu une ouverture et son cerveau d’homme en chien ne peut plus résister. Il est à moi, à tellement vouloir être en moi.
Lui: « Comment tu veux qu’on se retienne quand vous nous résistez et que vous sortez comme ça, habillées comme des putes ? »Moi: « Est-ce que je te résiste ? »
Ca y est, il a compris. Avec mon regard provocateur et mon petit sourire en coin, il m’a démasquée en une seule seconde. Il a vu clair dans mon jeu, je ne suis pas sortie à moitié à poil juste pour allumer ou pour tester mes charmes. Il sait tout. Que je suis sortie habillée le plus court possible pour que les hommes me regardent, viennent vers moi et assouvissent ma soif de queue. Pendant qu’il me regarde dans les yeux et se demande comment transformer l’essai, je le regarde de haut en bas pour savoir à qui j’ai vraiment à faire.
Il n’est pas très grand, un mètre soixante-dix comme moi. Il est fin, pas de bide, pas de graisse, mais probablement pas de muscle. La peau mate, les cheveux longs jusqu’aux épaules. Son visage n’est pas très gracieux, il a pas mal de boutons d’acné, ce qui est normal pour son âge: Il doit avoir une vingtaine d’années tout au plus. Il porte une casquette Lacoste noire, un maillot de foot de la Thaïlande et un bas de survêtement noir. Enfin, une paire de baskets noires qui n’apportent rien d’original à sa tenue. Il est banal, voir assez laid, mais je m’en fous. C’est le moyen le plus simple et le plus rapide d’avoir enfin une première queue en moi.
Moi: « J’habite à cinq minutes ici à pieds. Je te laisse trente secondes pour aller l’annoncer à tes potes, ensuite on va chez moi ? »Lui: « Tu m’attends là. »
Il voulait avoir l’air autoritaire alors qu’il était surpris comme un petit garçon à qui on vient d’offrir un jouet. C’est un peu le cas, sauf qu’aujourd’hui, le jouet, c’est moi. Le temps de faire comprendre à ses potes qu’il va me soulever et on s’en va en direction de mon appartement. Sur le chemin, personne ne parle. Lui, il n’ose pas, de peur de perdre cette chance. Moi, je n’ai pas envie de lui parler. Je me fous de savoir comment il s’appelle, ce qu’il aime, ce qu’il fait. Je veux simplement un bon coup de bite et au revoir.
On arrive dans mon immeuble, je monte les escaliers pendant qu’il me suit. Je sens son regard posé sur mes fesses, et la pression commence à monter. Est-ce que je vais être capable de le satisfaire ? Est-ce que je vais prendre tout le plaisir que j’attend ? J’ouvre la porte d’entrée et fonce vers ma chambre. Il referme la porte et arrive près de mon lit quelques secondes après moi.
Toujours aucun mot, toujours aucune tendresse, il se penche vers moi et commence à toucher mes seins. Il se fait plaisir et je l’aide, je les retire mon débardeur et mon soutif. Je suis maintenant seins-nu devant lui, pour son plus grand plaisir: il les lèche, les mordille, les malaxe avec ses doigts. Il fait ça sans aucune délicatesse, ce mec est un gouja, et ça me fait terriblement mouiller.
Je ne lui laisse pas le temps de s’ammuser bien longtemps. Il n’est pas là pour son plaisir, mais pour le mien. Je lui retire son T-Shirt et commence à défaire son pantalon. Je ne me fatigue pas à tout lui retirer, j’ouvre juste ce qu’il faut pour faire sortir sans queue de son caleçon. Elle est plutôt longue, assez large, un joli morceau dans la partie haute de la moyenne. Je me penche pour le sucer pendant que Monsieur profite. Mais il ne va pas profiter bien longtemps, je veux simplement le faire bander au maximum pour qu’il soit le plus gros possible en moi. Quelques secondes plus tard, c’est fait, je lui enfile la capote, retire ce qu’il reste de mes vêtements et me positionne à quatre pattes, en attendant qu’il vienne me prendre.
Je n’ai pas à patienter bien longtemps. Moins de dix secondes plus tard, je sens quelque chose de froid et humide se poser sur mes lèvres. Je ne suis pas une grande fan des préservatifs, mais là, pas le choix ! Je vais devoir m’y habituer. Il ne perd pas de temps avec de la douceur, il s’enfonce directement en moi. Je me sens enfin prise, remplie par cette bite d’une taille honorable. Mon rêve commence enfin à se réaliser.
Pendant près de dix minutes, il me prend en levrette. Sans un mot, sans un bruit, il me baise, sans s’arrêter, il me prend, encore et encore. Je sens le plaisir monter petit à petit, quand il commence à gémir. Enfin, je n’ai plus l’impression de coucher avec un robot. Mais avec un chien, qui pénètre la première chienne en chaleur qu’il a trouvé. Ce traitement me fait du bien, mais est bien trop court. Quelques secondes seulement plus tard, il se retire brusquement de ma chatte, retire la capote et éjacule sur mon cul, dans un râle libérateur. Moi, je reste sur ma faim, dégoutée d’être tombée sur un mec qui ne tient pas. Où peut-être est-ce le traitement que réservent les hommes aux inconnues qu’ils baisent…
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