Chasse à l'homme 01
Récit érotique écrit par kelic [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2023 dans la catégorie Plus on est
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Chasse à l'homme 01
Chasse à l'homme -1-
« On va faire les courses », c’était notre prétexte pour dire aux enfants que l’on s’absentait quelques heures. Les courses rapidement faites, le tout mis dans le coffre, on partait en forêt sur un de ces parkings objet de drague en tout genre.
Aujourd’hui, les enfants vivent leur vie et ne sont plus à la maison. Mais nous, nous continuons nos escapades libertines sous forme de promenade en forêt. C’est aussi l’occasion de prendre l’air et de sortir le chien, mais c’est surtout pour faire des rencontres et même de les provoquer.
Isabelle mon épouse aime toujours jouer les belles de jour et attirer l’œil des mâles. « Etre regardée et désirée, n’est ce pas une manière de continuer d’exister après 60 ans », dit-elle.
Ainsi, un petit mot flatteur ou un petit sous-entendu la met tout de suite en émoi. En résumé, elle aime être draguée et sait le rendre à celui qui s’intéresse à elle.
Mais c'est aussi le cas de la majorité des femmes qui quelque soit leur âge, apprécient les attentions des hommes, ça c'est mon expérience qui parle.
Comme j'y trouve mon compte et mon plaisir je l’encourage toujours pour qu'elle reste une femme désirable qui ne refuse aucune fantaisie sexuelle.
Ainsi nos balades sont nombreuses, entre les friches des abords des villes ou les parkings ombragées, nous connaissons tous les lieux de drague du département, et quand nous vient l’envie, nous partons à ce que l’on appelle entre nous « la chasse à l’homme » pour une baise à la sauvette le ou un dogging de jour comme de nuit.
Après une petite toilette intime, un lavement et un peu de gel lubrifiant là où il faut, un parfum suave pour finir et Isa est prête. Qu’importe la tenue en jupe ou en pantalon, mais toujours avec sobriété, qui peut imaginer que cette dame très classique cherche à baiser avec le premier venu.
Aujourd’hui, sur les routes forestières, il y a beaucoup de drague donc les occasions ne manquent pas même pour une femme de plus de soixante ans et cela se termine à chaque fois dans les fougères avec un ou plusieurs inconnus.
Qu’importe l’heure, il y a toujours des mecs qui draguent, souvent des homos, mais peut importe on y trouve toujours de quoi nous satisfaire. De jour, le risque d’être reconnu ou découvert est réel, mais cela ajoute du piquant et cette adrénaline augmente notre plaisir sexuel.
Ainsi de jour, elle s’éloigne seule avec le chien en laisse moi je reste dans la voiture et je la regarde faire. Les voitures ralentissent puis s’arrêtent à son niveau. Elle se laisse interpeller, je la vois discuter avec le chauffeur, lui dans sa voiture la vitre baissée. Quand la conversation se prolonge c’est que le prétendant lui convient, sinon elle repart avec le chien qui n’est là que pour sauver les apparences.
Elle ne monte jamais dans les voitures, mais se dirige dans un endroit isolé, que nous avons repéré auparavant, faut dire que maintenant on connaît tous les endroits discrets.
Je les rejoins et tout en surveillant les alentours je regarde avec délectation ma femme se faire donner du plaisir. Cela va très vite, elle finit toujours à genoux ou appuyer sur un arbre, le cul à l’air la jupe retroussée elle se fait pilonnée , avec des petits cris de plaisir, elle me regarde de temps en temps et me sourit. A chacun de ses cris, j’encourage son étalon à ne pas la ménager et à changer de trou autant qu’il veut.
Par beau temps, elle finit souvent à poil et je regarde ses seins se balancer à chaque coup de reins de son baiseur. En hiver, c’est avec des jambières chaudes et des bottes qu’elle offre son cul, le manteau remonté sur le dos. Dans les forêts,elle aime aussi les tables de pique nique qui sont très utiles, installée sur le dos elle peut se montrer toute ouverte, les cuisses écartées pour se faire fouiller la chatte avant de se faire bourrer bien à fond.
Toujours exigeante sur l’hygiène, avant de se faire prendre je lui passe une capote et elle s’arrange pour enfiler avec agilité, elle est devenue experte dans cet exercice. Cela lui change de ses débuts, où elle laissait le mec enfiler péniblement le latex, ce qui se terminait parfois par une débandade et une femme insatisfaite.
Vu le manque confort général de ces séances de plein-air, les séances sont brèves. A la rigueur, si l’homme lui plaît, elle lui accorde plus de temps et le laisse s’amuser avec ses seins et sa chatte, parfois elle lui consent une pipe pour l’exciter et en tirer ainsi plus de plaisir.
En attendant après chaque sortie, j’ai une femme encore toute excitée qui se donne encore plus à moi une fois rentré à la maison.
« On va faire les courses », c’était notre prétexte pour dire aux enfants que l’on s’absentait quelques heures. Les courses rapidement faites, le tout mis dans le coffre, on partait en forêt sur un de ces parkings objet de drague en tout genre.
Aujourd’hui, les enfants vivent leur vie et ne sont plus à la maison. Mais nous, nous continuons nos escapades libertines sous forme de promenade en forêt. C’est aussi l’occasion de prendre l’air et de sortir le chien, mais c’est surtout pour faire des rencontres et même de les provoquer.
Isabelle mon épouse aime toujours jouer les belles de jour et attirer l’œil des mâles. « Etre regardée et désirée, n’est ce pas une manière de continuer d’exister après 60 ans », dit-elle.
Ainsi, un petit mot flatteur ou un petit sous-entendu la met tout de suite en émoi. En résumé, elle aime être draguée et sait le rendre à celui qui s’intéresse à elle.
Mais c'est aussi le cas de la majorité des femmes qui quelque soit leur âge, apprécient les attentions des hommes, ça c'est mon expérience qui parle.
Comme j'y trouve mon compte et mon plaisir je l’encourage toujours pour qu'elle reste une femme désirable qui ne refuse aucune fantaisie sexuelle.
Ainsi nos balades sont nombreuses, entre les friches des abords des villes ou les parkings ombragées, nous connaissons tous les lieux de drague du département, et quand nous vient l’envie, nous partons à ce que l’on appelle entre nous « la chasse à l’homme » pour une baise à la sauvette le ou un dogging de jour comme de nuit.
Après une petite toilette intime, un lavement et un peu de gel lubrifiant là où il faut, un parfum suave pour finir et Isa est prête. Qu’importe la tenue en jupe ou en pantalon, mais toujours avec sobriété, qui peut imaginer que cette dame très classique cherche à baiser avec le premier venu.
Aujourd’hui, sur les routes forestières, il y a beaucoup de drague donc les occasions ne manquent pas même pour une femme de plus de soixante ans et cela se termine à chaque fois dans les fougères avec un ou plusieurs inconnus.
Qu’importe l’heure, il y a toujours des mecs qui draguent, souvent des homos, mais peut importe on y trouve toujours de quoi nous satisfaire. De jour, le risque d’être reconnu ou découvert est réel, mais cela ajoute du piquant et cette adrénaline augmente notre plaisir sexuel.
Ainsi de jour, elle s’éloigne seule avec le chien en laisse moi je reste dans la voiture et je la regarde faire. Les voitures ralentissent puis s’arrêtent à son niveau. Elle se laisse interpeller, je la vois discuter avec le chauffeur, lui dans sa voiture la vitre baissée. Quand la conversation se prolonge c’est que le prétendant lui convient, sinon elle repart avec le chien qui n’est là que pour sauver les apparences.
Elle ne monte jamais dans les voitures, mais se dirige dans un endroit isolé, que nous avons repéré auparavant, faut dire que maintenant on connaît tous les endroits discrets.
Je les rejoins et tout en surveillant les alentours je regarde avec délectation ma femme se faire donner du plaisir. Cela va très vite, elle finit toujours à genoux ou appuyer sur un arbre, le cul à l’air la jupe retroussée elle se fait pilonnée , avec des petits cris de plaisir, elle me regarde de temps en temps et me sourit. A chacun de ses cris, j’encourage son étalon à ne pas la ménager et à changer de trou autant qu’il veut.
Par beau temps, elle finit souvent à poil et je regarde ses seins se balancer à chaque coup de reins de son baiseur. En hiver, c’est avec des jambières chaudes et des bottes qu’elle offre son cul, le manteau remonté sur le dos. Dans les forêts,elle aime aussi les tables de pique nique qui sont très utiles, installée sur le dos elle peut se montrer toute ouverte, les cuisses écartées pour se faire fouiller la chatte avant de se faire bourrer bien à fond.
Toujours exigeante sur l’hygiène, avant de se faire prendre je lui passe une capote et elle s’arrange pour enfiler avec agilité, elle est devenue experte dans cet exercice. Cela lui change de ses débuts, où elle laissait le mec enfiler péniblement le latex, ce qui se terminait parfois par une débandade et une femme insatisfaite.
Vu le manque confort général de ces séances de plein-air, les séances sont brèves. A la rigueur, si l’homme lui plaît, elle lui accorde plus de temps et le laisse s’amuser avec ses seins et sa chatte, parfois elle lui consent une pipe pour l’exciter et en tirer ainsi plus de plaisir.
En attendant après chaque sortie, j’ai une femme encore toute excitée qui se donne encore plus à moi une fois rentré à la maison.
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Dommage que le mari ne peut assister de plus près!