Chaud anniversaire
Récit érotique écrit par TRUSTNO1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chaud anniversaire
Cette histoire est totalement fictive. Toute ressemblance avec des personnages, faits ou lieux réels est totalement fortuite.
CHAUD ANNIVERSAIRE
L'année dernière, mon meilleur ami Gilles, sa mère, Laura, et moi étions partis quelques jours en Auvergne afin de fêter les 39 ans de Laura. Voici notre histoire.
Le départ pour Aurillac était prévu pour 15h16 mais le train nous arriva une heure plus tard, bondé comme pas permis. Cette surpopulation entraîna un changement dans les places initialement prévues. Je me retrouva donc seul avec Laura, en compagnie de quelques autres voyageurs, des touristes japonais. C'était la première fois que je me retrouvais en tête à tête avec la dame. Depuis plusieurs temps déjà, j'avais commencé à lui trouver un certain charme : elle avait des traits fins et réguliers, de jolis yeux noisettes, des cheveux légèrement teints en noirs, une poitrine peu imposante mais qui avait son charme et un cul bien rebondi malgré son âge. Elle était de taille moyenne et plutôt mince, le tout sans chirurgie plastique. Elle avait mis une fine robe d'été et couvert ses épaules d'une petite veste en soie. Le tout la rendait sexy et accentuait sa taille mince.
Les premières minutes étaient assez gênées mais après un certain temps, une force inconnue faisait se rencontrer nos yeux que nous levions au même moment, comme si une affinité nous eût avertis. Nous nous sentions heureux l'un près de l'autre, peut-être parce que nous pensions l'un à l'autre. Le temps couvert jusqu'à maintenant s'éclaircit soudain et le soleil pénétra dans le wagon. Un rayon éclaira le beau visage de Laura ; elle était décidément vraiment jolie. De plus, ce beau temps nous rendit bavards et les choses les plus simples nous donnaient d'interminables gaietés. Le train arriva à bon port et nous retrouvâmes Gilles sur le quai. Il semblait surpris de voir sa mère et son meilleur ami parler et plaisanter comme s'ils se connaissaient et s'adoraient depuis longtemps. Après un court trajet en taxi, nous arrivâmes dans notre hôtel, un charmant petit 3 étoiles au Michelin. Nous avions réservé deux chambres : Gilles et moi dans l'une, Laura, seule, dans l'autre. Le dîner fût très animé et convivial, mais l'heure de se coucher arriva vite. Laura, après avoir embrasser son fils, me lança un regard pénétrant et entendu avant de me souhaiter « bonne nuit ».
Seul dans mon lit, je repensais à ce dernier regard et à son doux parfum de pomme. Soudain, je sentis mon sexe se dresser et l'envie de me masturber vint alors. Je me tourna vers Gilles qui dormait déjà profondément en me demandant s'il pourrait comprendre que son meilleur ami se branle en pensant à sa mère. Qu'importe. Je commençai à retirer mon boxer quand j'entendis la porte de la chambre s'ouvrir. Dans la panique, j'avais seulement tirer la couette, sans remonter mon sous-vêtement. Je n'osais pas imaginer la bosse que ma bite devait former. Je sentis le bas de mon matelas s'enfoncer, en même temps qu'une odeur de pomme. ELLE était là. Sa présence renforça mon érection, au point que je dus faire appel à tout mon sang froid pour ne pas lui sauter dessus. Les minutes nous semblaient des heures, pour ma bite et moi. Après un gros quart d'heure, j'entendis un bruit d'étoffe suivit de petits gémissements. Troublé, j'entrouvris légèrement les yeux, suffisamment pour voir Laura en train de se masturber, là, au pied de mon lit. Je commençai à élaborer un « plan d'attaque » quand Gilles se tourna brusquement dans son lit, faisant fuir Laura comme une ombre.
Ni une ni deux, je saute de mon lit, enfile un jean’ssss quelconque et me précipite dans le couloir jusqu'à sa chambre. Mais une fois arrivé devant sa porte, l'euphorie et l'excitation de tout à l'heure commencèrent à se dissiper et une impression d'être complètement fou me pénétra. Je frappai quand même, guidé par une entité invisible. Sa douce voix me dit d'entrer mais je restais planter devant la porte, paralysé. Elle dut venir ouvrir la porte elle même et se présenta à moi dans une magnifique nuisette transparente.
Immédiatement, je rougis de ma présence et balbutia quelques paroles pouvant justifier ma visite mais elle me fit taire en posant son doigt sur mes lèvres. Elle regarda subrepticement dans le couloir avant de m'entraîner dans sa chambre en me murmurant à l’oreille « Je t’attendais… ». Cette parole raviva mon érection au moment où elle me projeta sur le lit. Mon attention fût brièvement attirée par la présence de nombreuses bougies avant de revenir sur le corps presque nu de Laura, à califourchon sur moi. Elle retira lentement sa nuisette, me faisant découvrir une belle chatte encore bien entretenue. Elle prit alors ma main et la fit glisser entre ses deux seins, descendant progressivement et en mettant mes nerfs à rude épreuve. Sa peau était douce et chaude. Elle me lâcha une fois arrivé au niveau des poils pubiens. Ahuri, je restais bouche bée, sans plus pouvoir contrôler mes gestes. Nullement perturbée, la belle ménagère commença alors à frotter sa chatte contre mon jean'ssss et contre mon sexe durcit avec un lent mouvement du bassin. L’adrénaline éprouvée alors me fit réagir bestialement : je pris un de ses petits seins dans une de mes mains tandis que j’occupais l’autre à caresser ses fesses. Je ne pus attendre plus longtemps avant de la retourner sur le lit. Nos regards s’enlaçaient à présent. On y voyait à la fois le désir et la culpabilité, sûrement dû au fait que presque vingt ans séparaient les deux êtres. Nous nous embrassâmes dans une étreinte passionnée qui m’excita davantage. Suite à ce baiser, j’attaqua le cunnilingus, d’un mouvement circulaire et sempiternel, rythmé par Laura qui me caressait tantôt les cheveux, tantôt le reste du visage. Sa mouille me faisait peu à peu tourner la tête, ce qui ne m’empêchait pourtant pas de m’enivrer de son liquide. Les soupirs qu’elle poussait m’insistaient à accélérer le mouvement de ma langue sur son clitoris dressé. Elle prit soudain mon visage de ses deux mains afin de le remonter au niveau du sien pour m’embrasser. Ce baiser fût plus intense et torride que le précédent. Elle retira mon T-shirt et caressa un moment mon torse et ma ceinture abdominale. Visiblement satisfaite, elle inversa la position afin que je me trouve en dessous d’elle. Elle m’embrassa, lécha mon torse et mes abdos avant de s’arrêter à aux boutons du jean’ssss qu’elle défit avec des gestes lents et étudiés. Tout aussi lentement, elle retira mon pantalon qu’elle jeta au pied du lit. Comme au début, elle frotta son sexe, sur mon boxer cette fois. Je pouvais sentir sa mouille traversait mon sous-vêtement. J’en profitai pour caresser plus vivement ses seins que je sentais pointer dans ma paume. Laura s’arrêta soudain pour glisser au pied du lit et me caresser la bite, toujours à travers le boxer dont les coutures devaient être sur le point de craquer. Avec son éternel lenteur, elle retira mon boxer qui vint rejoindre le jean'ssss. Elle commença à me masturber, avec lenteur et expérience, accélérant la cadence de temps à autre. Tout en continuant son geste, elle me malaxait et léchaient goulûment les couilles. Puis vint le moment de la fellation. C’est là que je pris réellement ampleur de l’expérience de Laura. Son geste, tellement jouissif, était toujours le même ou presque : sa langue débutait au bas de la bite, remontait graduellement jusqu’à envelopper la quasi-totalité du gland avant de redémarrer à la base, et ainsi de suite. J’étais sur le point de la prévenir que je ne pourrais pas résister plus longtemps quand elle s’arrêta et prit congé à la salle de bain. Effaré, je commençais à me redresser et à chercher de vue mes vêtements, pensant que tout ça était déjà terminer mais elle revint quelques secondes plus tard avec un préservatif dont l’emballage était marqué aux armoiries de l’hôtel. La peur soudaine que j’avais éprouvé auparavant m’avait quelque peu fait débander, mais la vue de son beau corps ne pût que raviver mon désir. Elle me fit rallonger, déchira l’emballage et sortit la capote qu’elle déroula doucement sur mon sexe dressé.
Nous commençâmes alors la position d’Andromaque, position facilitant les échanges érotiques. J’en profitai pour atteindre toutes les parties de son corps accessibles, mes caresses étant parfois ponctuées par d’interminables baisers, doux et sauvages, passionnés et distants. Les gémissements de Laura, de plus en plus forts, étaient accompagnés par mes râles, de plus en plus profonds tandis que les va-et-vient étaient de plus en plus rapides. Encore une fois, elle s’arrêta juste avant mon éjaculation. Elle se mit alors devant moi, à quatre pattes. Je mis plusieurs secondes avant de comprendre qu’elle voulait que je la prenne en levrette. Cette nouvelle position me permettait toujours de caresser ses petits seins qui se balançaient au fil des va-et-vient. Nerveux, je dérapais fréquemment sur le clitoris, ce qui semblait l’exciter davantage. Je renforçais parfois mes pénétrations en m’agrippant fermement à ses épaules. Comme je m’y attendais, elle se retira juste avant que je jouisse, et s’allongea, sans un mot, les jambes écartées. Débuta alors une classique position du missionnaire, classique mais excitante. Mon regard était éperdument plongé dans le sien. Elle me caressait le cul tandis que nos deux langues s’enlaçaient passionnément. Comme à son habitude, elle nous fit changer de position au bon moment. Elle s’allongea fesses en arrière, parée à la sodomie. J’enfonçai doucement ma bite, ayant peur de lui faire mal. Comme elle ne bronchait pas, j’accélérait peu à peu le mouvement, en prenant fermement en mains son joli cul. Son sixième sens lui dit une nouvelle fois de s’arrêter. Elle se retourna, enleva la capote et me suça brièvement. Elle m’incita ensuite à me lever et s’agrippa à moi, empalant ma bite dans sa chatte. C’était la première fois que je faisais l’amour debout et c’était plus fatiguant que je ne l’aurais cru mais aussi plus intense. Plusieurs fois, elle avait poussé d’assourdissants cris qui m’emmenèrent à la conclusion qu’elle avait eût au moins un orgasme. Soulagé, je lui murmura à l’oreille : « Je viens… ». Aussitôt, elle sauta à terre, se mit à genoux et me suça vivement jusqu’à ce que, suite à plusieurs râles, je l’aspergeai de nombreux jets de sperme qu’elle avala en partie. Après l’avoir directement regarder dans les yeux en essayant de faire passer le plus de gratitude possible, je pris mes affaires et me dirigeai vers la salle de bain, histoire de me rafraîchir. Suite à une dernière étreinte, je retournai dans ma chambre, le cœur remplit de joie et avec l’envie de courir et de hurler tout et n’importe quoi dans l’hôtel.
Mais arrivé dans la chambre, je vis Gilles, éveillé, devant l’ordinateur en train de déguster une appétissante tarte aux fraises. Il se tourna vers moi, étonné.
« - Putain mais où t’étais ?! s’enquit mon meilleur ami
[Merde]
- Je…j’étais au chiotte…J’dois avoir genre une vieille gastro…balbutiai-je
- Bah merde, j’espère que ça ira mieux demain, faudrait pas que ça gâche le séjour…
- C’est ça…
- Bon, viens voir, j’ai trouver un vieux forum où des gars raconte leurs parties de baise…Putain y’a d’ces trucs…Genre un mec qui dit avoir baisé la mère d’son pote….Non mais t’imagine…? Elle avait au moins 50 piges la meuf ! Ben quoi ? Tu fais une drôle de gueule…
- Ouais, j’ai encore un peu mal au ventre…Ça ira mieux demain…
- J’espère…En attendant repose-toi bien hein…
- Merci, et toi vas-y molo sur la branlette…
- Ça va pas…?! J’vais pas m’branler devant les vieux fantasmes de pervers psychopathes ! »
Je me glissai rapidement dans mes draps. A peine eus-je fermer les yeux que le bruit caractéristique d’une masturbation s’éleva dans la chambre. Je ne pouvait cesser de repenser à tout ce qui c’était passé cette nuit. Mais le bruit faible et régulier fini par m’endormir, m’évitant ainsi d’appréhender le lendemain, lorsque que je me retrouverai face à face avec Laura…
fin…?
CHAUD ANNIVERSAIRE
L'année dernière, mon meilleur ami Gilles, sa mère, Laura, et moi étions partis quelques jours en Auvergne afin de fêter les 39 ans de Laura. Voici notre histoire.
Le départ pour Aurillac était prévu pour 15h16 mais le train nous arriva une heure plus tard, bondé comme pas permis. Cette surpopulation entraîna un changement dans les places initialement prévues. Je me retrouva donc seul avec Laura, en compagnie de quelques autres voyageurs, des touristes japonais. C'était la première fois que je me retrouvais en tête à tête avec la dame. Depuis plusieurs temps déjà, j'avais commencé à lui trouver un certain charme : elle avait des traits fins et réguliers, de jolis yeux noisettes, des cheveux légèrement teints en noirs, une poitrine peu imposante mais qui avait son charme et un cul bien rebondi malgré son âge. Elle était de taille moyenne et plutôt mince, le tout sans chirurgie plastique. Elle avait mis une fine robe d'été et couvert ses épaules d'une petite veste en soie. Le tout la rendait sexy et accentuait sa taille mince.
Les premières minutes étaient assez gênées mais après un certain temps, une force inconnue faisait se rencontrer nos yeux que nous levions au même moment, comme si une affinité nous eût avertis. Nous nous sentions heureux l'un près de l'autre, peut-être parce que nous pensions l'un à l'autre. Le temps couvert jusqu'à maintenant s'éclaircit soudain et le soleil pénétra dans le wagon. Un rayon éclaira le beau visage de Laura ; elle était décidément vraiment jolie. De plus, ce beau temps nous rendit bavards et les choses les plus simples nous donnaient d'interminables gaietés. Le train arriva à bon port et nous retrouvâmes Gilles sur le quai. Il semblait surpris de voir sa mère et son meilleur ami parler et plaisanter comme s'ils se connaissaient et s'adoraient depuis longtemps. Après un court trajet en taxi, nous arrivâmes dans notre hôtel, un charmant petit 3 étoiles au Michelin. Nous avions réservé deux chambres : Gilles et moi dans l'une, Laura, seule, dans l'autre. Le dîner fût très animé et convivial, mais l'heure de se coucher arriva vite. Laura, après avoir embrasser son fils, me lança un regard pénétrant et entendu avant de me souhaiter « bonne nuit ».
Seul dans mon lit, je repensais à ce dernier regard et à son doux parfum de pomme. Soudain, je sentis mon sexe se dresser et l'envie de me masturber vint alors. Je me tourna vers Gilles qui dormait déjà profondément en me demandant s'il pourrait comprendre que son meilleur ami se branle en pensant à sa mère. Qu'importe. Je commençai à retirer mon boxer quand j'entendis la porte de la chambre s'ouvrir. Dans la panique, j'avais seulement tirer la couette, sans remonter mon sous-vêtement. Je n'osais pas imaginer la bosse que ma bite devait former. Je sentis le bas de mon matelas s'enfoncer, en même temps qu'une odeur de pomme. ELLE était là. Sa présence renforça mon érection, au point que je dus faire appel à tout mon sang froid pour ne pas lui sauter dessus. Les minutes nous semblaient des heures, pour ma bite et moi. Après un gros quart d'heure, j'entendis un bruit d'étoffe suivit de petits gémissements. Troublé, j'entrouvris légèrement les yeux, suffisamment pour voir Laura en train de se masturber, là, au pied de mon lit. Je commençai à élaborer un « plan d'attaque » quand Gilles se tourna brusquement dans son lit, faisant fuir Laura comme une ombre.
Ni une ni deux, je saute de mon lit, enfile un jean’ssss quelconque et me précipite dans le couloir jusqu'à sa chambre. Mais une fois arrivé devant sa porte, l'euphorie et l'excitation de tout à l'heure commencèrent à se dissiper et une impression d'être complètement fou me pénétra. Je frappai quand même, guidé par une entité invisible. Sa douce voix me dit d'entrer mais je restais planter devant la porte, paralysé. Elle dut venir ouvrir la porte elle même et se présenta à moi dans une magnifique nuisette transparente.
Immédiatement, je rougis de ma présence et balbutia quelques paroles pouvant justifier ma visite mais elle me fit taire en posant son doigt sur mes lèvres. Elle regarda subrepticement dans le couloir avant de m'entraîner dans sa chambre en me murmurant à l’oreille « Je t’attendais… ». Cette parole raviva mon érection au moment où elle me projeta sur le lit. Mon attention fût brièvement attirée par la présence de nombreuses bougies avant de revenir sur le corps presque nu de Laura, à califourchon sur moi. Elle retira lentement sa nuisette, me faisant découvrir une belle chatte encore bien entretenue. Elle prit alors ma main et la fit glisser entre ses deux seins, descendant progressivement et en mettant mes nerfs à rude épreuve. Sa peau était douce et chaude. Elle me lâcha une fois arrivé au niveau des poils pubiens. Ahuri, je restais bouche bée, sans plus pouvoir contrôler mes gestes. Nullement perturbée, la belle ménagère commença alors à frotter sa chatte contre mon jean'ssss et contre mon sexe durcit avec un lent mouvement du bassin. L’adrénaline éprouvée alors me fit réagir bestialement : je pris un de ses petits seins dans une de mes mains tandis que j’occupais l’autre à caresser ses fesses. Je ne pus attendre plus longtemps avant de la retourner sur le lit. Nos regards s’enlaçaient à présent. On y voyait à la fois le désir et la culpabilité, sûrement dû au fait que presque vingt ans séparaient les deux êtres. Nous nous embrassâmes dans une étreinte passionnée qui m’excita davantage. Suite à ce baiser, j’attaqua le cunnilingus, d’un mouvement circulaire et sempiternel, rythmé par Laura qui me caressait tantôt les cheveux, tantôt le reste du visage. Sa mouille me faisait peu à peu tourner la tête, ce qui ne m’empêchait pourtant pas de m’enivrer de son liquide. Les soupirs qu’elle poussait m’insistaient à accélérer le mouvement de ma langue sur son clitoris dressé. Elle prit soudain mon visage de ses deux mains afin de le remonter au niveau du sien pour m’embrasser. Ce baiser fût plus intense et torride que le précédent. Elle retira mon T-shirt et caressa un moment mon torse et ma ceinture abdominale. Visiblement satisfaite, elle inversa la position afin que je me trouve en dessous d’elle. Elle m’embrassa, lécha mon torse et mes abdos avant de s’arrêter à aux boutons du jean’ssss qu’elle défit avec des gestes lents et étudiés. Tout aussi lentement, elle retira mon pantalon qu’elle jeta au pied du lit. Comme au début, elle frotta son sexe, sur mon boxer cette fois. Je pouvais sentir sa mouille traversait mon sous-vêtement. J’en profitai pour caresser plus vivement ses seins que je sentais pointer dans ma paume. Laura s’arrêta soudain pour glisser au pied du lit et me caresser la bite, toujours à travers le boxer dont les coutures devaient être sur le point de craquer. Avec son éternel lenteur, elle retira mon boxer qui vint rejoindre le jean'ssss. Elle commença à me masturber, avec lenteur et expérience, accélérant la cadence de temps à autre. Tout en continuant son geste, elle me malaxait et léchaient goulûment les couilles. Puis vint le moment de la fellation. C’est là que je pris réellement ampleur de l’expérience de Laura. Son geste, tellement jouissif, était toujours le même ou presque : sa langue débutait au bas de la bite, remontait graduellement jusqu’à envelopper la quasi-totalité du gland avant de redémarrer à la base, et ainsi de suite. J’étais sur le point de la prévenir que je ne pourrais pas résister plus longtemps quand elle s’arrêta et prit congé à la salle de bain. Effaré, je commençais à me redresser et à chercher de vue mes vêtements, pensant que tout ça était déjà terminer mais elle revint quelques secondes plus tard avec un préservatif dont l’emballage était marqué aux armoiries de l’hôtel. La peur soudaine que j’avais éprouvé auparavant m’avait quelque peu fait débander, mais la vue de son beau corps ne pût que raviver mon désir. Elle me fit rallonger, déchira l’emballage et sortit la capote qu’elle déroula doucement sur mon sexe dressé.
Nous commençâmes alors la position d’Andromaque, position facilitant les échanges érotiques. J’en profitai pour atteindre toutes les parties de son corps accessibles, mes caresses étant parfois ponctuées par d’interminables baisers, doux et sauvages, passionnés et distants. Les gémissements de Laura, de plus en plus forts, étaient accompagnés par mes râles, de plus en plus profonds tandis que les va-et-vient étaient de plus en plus rapides. Encore une fois, elle s’arrêta juste avant mon éjaculation. Elle se mit alors devant moi, à quatre pattes. Je mis plusieurs secondes avant de comprendre qu’elle voulait que je la prenne en levrette. Cette nouvelle position me permettait toujours de caresser ses petits seins qui se balançaient au fil des va-et-vient. Nerveux, je dérapais fréquemment sur le clitoris, ce qui semblait l’exciter davantage. Je renforçais parfois mes pénétrations en m’agrippant fermement à ses épaules. Comme je m’y attendais, elle se retira juste avant que je jouisse, et s’allongea, sans un mot, les jambes écartées. Débuta alors une classique position du missionnaire, classique mais excitante. Mon regard était éperdument plongé dans le sien. Elle me caressait le cul tandis que nos deux langues s’enlaçaient passionnément. Comme à son habitude, elle nous fit changer de position au bon moment. Elle s’allongea fesses en arrière, parée à la sodomie. J’enfonçai doucement ma bite, ayant peur de lui faire mal. Comme elle ne bronchait pas, j’accélérait peu à peu le mouvement, en prenant fermement en mains son joli cul. Son sixième sens lui dit une nouvelle fois de s’arrêter. Elle se retourna, enleva la capote et me suça brièvement. Elle m’incita ensuite à me lever et s’agrippa à moi, empalant ma bite dans sa chatte. C’était la première fois que je faisais l’amour debout et c’était plus fatiguant que je ne l’aurais cru mais aussi plus intense. Plusieurs fois, elle avait poussé d’assourdissants cris qui m’emmenèrent à la conclusion qu’elle avait eût au moins un orgasme. Soulagé, je lui murmura à l’oreille : « Je viens… ». Aussitôt, elle sauta à terre, se mit à genoux et me suça vivement jusqu’à ce que, suite à plusieurs râles, je l’aspergeai de nombreux jets de sperme qu’elle avala en partie. Après l’avoir directement regarder dans les yeux en essayant de faire passer le plus de gratitude possible, je pris mes affaires et me dirigeai vers la salle de bain, histoire de me rafraîchir. Suite à une dernière étreinte, je retournai dans ma chambre, le cœur remplit de joie et avec l’envie de courir et de hurler tout et n’importe quoi dans l’hôtel.
Mais arrivé dans la chambre, je vis Gilles, éveillé, devant l’ordinateur en train de déguster une appétissante tarte aux fraises. Il se tourna vers moi, étonné.
« - Putain mais où t’étais ?! s’enquit mon meilleur ami
[Merde]
- Je…j’étais au chiotte…J’dois avoir genre une vieille gastro…balbutiai-je
- Bah merde, j’espère que ça ira mieux demain, faudrait pas que ça gâche le séjour…
- C’est ça…
- Bon, viens voir, j’ai trouver un vieux forum où des gars raconte leurs parties de baise…Putain y’a d’ces trucs…Genre un mec qui dit avoir baisé la mère d’son pote….Non mais t’imagine…? Elle avait au moins 50 piges la meuf ! Ben quoi ? Tu fais une drôle de gueule…
- Ouais, j’ai encore un peu mal au ventre…Ça ira mieux demain…
- J’espère…En attendant repose-toi bien hein…
- Merci, et toi vas-y molo sur la branlette…
- Ça va pas…?! J’vais pas m’branler devant les vieux fantasmes de pervers psychopathes ! »
Je me glissai rapidement dans mes draps. A peine eus-je fermer les yeux que le bruit caractéristique d’une masturbation s’éleva dans la chambre. Je ne pouvait cesser de repenser à tout ce qui c’était passé cette nuit. Mais le bruit faible et régulier fini par m’endormir, m’évitant ainsi d’appréhender le lendemain, lorsque que je me retrouverai face à face avec Laura…
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