Chaude cousine
Récit érotique écrit par HOTENDEUT [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chaude cousine
J'avais à peine plus de 20 ans. En vacance chez un oncle, je venais de retrouver une cousine perdue de vue depuis des années. Elle avait aussi une vingtaine d'années. Etudiante en pharmacie, elle passait ses vacances loin de son université et semblait résolue à en profiter un maximum. Brune, les cheveux coupés courts,sportive, elle était sexy et le savait fort bien... Au bord de la piscine familiale, je la regardais discrétement: vraiment, elle avait un charme fou. Sa poitrine assez forte sans être grosse ajoutait à son attrait, au moins pour moi. Bien sûr, je me gardais de lui avouer qu'elle me faisait de l'effet... mais je crois que son instinct féminin ne la trompait pas, comme je m'en suis aperçu plus tard.
En effet, une nuit où je ne dormais d'ailleurs que d'un oeil vu la chaleur estivale, la porte de ma chambre s'ouvrit discrétement. Dans la pénombre, je reconnu tout de suite la silhouette de la cousine Isabelle, v^tue d'une chemise de nuit très (très!) légère.
_ Tiens, c'est toi, dis-je un peu stupidement tant j'étais à la fois intrigué et ravi. La chaleur t'empêche aussi de dormir?
_ Oui, dit elle. Je ne parviens pas à fermer l'oeil! On bavarde un peu?
Elle s'assit sur le lit, tout près de moi.
_ Toi aussi, tu as chaud, dit-elle à voix basse en me regardant. Tu n'as gardé que ton pantalon de pyjama!
_ Euh, oui!... sinon, tu m'aurais surpris en tenue d'Adam!
_ Hum! ça aurait pu être interessant, dit-elle d'une ton entendu.
Il est vrai que malgré mes efforts pour paraître "normal", une bosse toujours plus grosse commencait à se former sous le tissu de mon pyjama...
_C'est la chaleur qui te fait ça? demanda-t-elle en riant sans bruit
_ Euh!Ben!... si on veut... A moins que...
_A moins que quoi? dit elle en posant délicatement sa main sur ma bosse
Ce contact me fit l'effet d'un courant électrique. Isabelle sans perdre de temps s'était approchée de mon visage, et quelques secondes après, ses lèvres étaient sur les miennes tandis que sa main experte repoussait le pyjama. Ma bite dure comme du bois vint frapper mon ventre. Isabelle, d'un geste souple, enleva sa chemise, puis se saisit de ma queue qu'elle commença à sucer tout en me massant les couilles. Nous n'avions rien dit: tout s'était passé trop vite. Je croyais rêver, tant ce qu'elle me faisait était bon. Etendu sur le dos, légèrement cambré pour mieux donner prise aux petits coups de langue de ma cousine, je fermais les yeux. Le bonheur absolu.
Au bout d'un moment qui parut à la fois très court et très long, Isabelle s'interrompit et me dit:
_ Au fait, tu me préviens quand ça vient! Je n'aime pas en avoir dans la bouche!
_ D'accord. Tu préfères quoi?
_ Tout sur moi, j'adore ça!J'espère que tu jutes fort! J'adore avoir du foutre partout!
_ OK
Elle changea de position et se mit à califourchon sur mon ventre. Puis, tout en approchant sa chatte de mon visage pour un 69 bienvenu, elle recommença à me pomper. Ma langue effleura ses lèvres intimes, à la recherche de son clito. Elle mouillait abondamment, et sa mouille était parfumée de toutes les lotions qu'elle utilisait quotidiennement.Sa langue sur mon gland était tellement habile que je savais ne plus pouvoir tenir longtemps.
Quelques minutes plus tard, en effet, malgré tous mes efforts, la jouissance n'allait plus pouvoir être contenue
_Isabelle, dis-je dans un souffle, attention, ça vient!...
Isabelle se redressa et me branla fort de la main droite tout en pelotant mes couilles avec la gauche.
Je giclais comme une baleine. Au moins neuf fois, le sperme jaillit de ma queue en longs jets qui inondèrent les seins, le ventre, les jambes de la cousine, sans parler des draps qui eurent aussi leur dose. Isabelle, vibrante de plaisir, continuait à me branler, tandis que ne sortaient plus de ma bite que quelques mini-éjacs qui coulaient sur sa main. Quand il n'y eut plus rien à faire couler, elle arrêta et se tourna vers moi, rayonnante. Elle ruisselait de sperme. De grandes trainées blanches coulaient de son cou vers ses seins, de ses seins vers son ventre et vers sa chatte.
_Ouah! Super! dit-elle dans un souffle. J'ai rarement vu un mec gicler autant! Tu n'avais pas baisé depuis longtemps?
_ Non, en effet: j'avais les couilles archi-pleines! Tu m'as bien vidé!
_Pas complètement, j'espère, dit-elle en me caressant de nouveau les couilles. J'en veux encore!
_ D'accord, mais pas tout de suite... et cette fois je veux te pénétrer.
Après s'être essuyée, elle se pelotona contre moi, tout en continuant à jouer avec ma bite et mes couilles.
_ Tu jutes toujours aussi fort ou c'est exceptionnel?
_ Non, c'est souvent comme çA. Plus jeune, quand je me masturbais au lit, je prenais toujours une serviette pour éviter de tacher mes draps. A 16 ans, j'avais fait un concours avec un copain: on en avait mis partout!
_ Tu aimes les garçons?
_Non, c'était juste des jeux d'ados!
Rassurée, elle continuait à palper mon sexe, qui reprenait peu à peu de la vigueur.
_Sois gentil, essaye encore! J'aime te voir gicler!
_Tu veux que je nous inonde?
_ Oui, oui, dit elle dans un souffle. Vas-y! Je veux voir ton foutre chaud sur toi et sur moi!
Je fermais les yeux tandis que ses douces mains me branlaient avec amour.Sa bouche s'approcha de ma poitrine. Elle commença à me lêcher et me mordiller. De mon côté, je caressai son clito et sa chatte de nouveau ruisselante.
J'aurais voulu faire durer le plaisir plus longtemps, mais au bout d'un petit quart-d'heure, j'étais de nouveau prêt à exploser.
_ Ca vient...
Isabelle s'allongea à nouveau près de moi, la tête soulevée, la main gauche me branlant frénétiquement.Dans un long frémissement qui parcourut tout mon corps, j'éjaculais sans retenue. Le premier jet alla s'écraser sur le mur derriere le lit, tandis que plusieurs autres inondaient ma poitrine, celle d'Isabelle, les draps. Je croyais que je n'allais plus m'arrêter de jouir. Quand j'ouvris les yeux, il y avait du sperme partout.
_ tu es vraiment super, souffla Isabelle. Je veux te lécher jusqu'à la dernière goutte!
Sa langue parcourut mon corps, tandis qu'elle me chevauchait. Ma bite fatiguée ne pouvait la pénétrer. Il fallut attendre un moment pour que ce que j'attendais depuis le début puisse enfin se réaliser. Plusieurs va-et-viens suffire à lui provoquer un nouvel orgasme, qu'elle étouffa en mordant un drap. Connaissant son plaisir, je me retirai et lui giclai tout sur les seins et le ventre, en longs jets saccadés.
Ensuite, devinez pourquoi? nous avons dormi comme des bébés!
En effet, une nuit où je ne dormais d'ailleurs que d'un oeil vu la chaleur estivale, la porte de ma chambre s'ouvrit discrétement. Dans la pénombre, je reconnu tout de suite la silhouette de la cousine Isabelle, v^tue d'une chemise de nuit très (très!) légère.
_ Tiens, c'est toi, dis-je un peu stupidement tant j'étais à la fois intrigué et ravi. La chaleur t'empêche aussi de dormir?
_ Oui, dit elle. Je ne parviens pas à fermer l'oeil! On bavarde un peu?
Elle s'assit sur le lit, tout près de moi.
_ Toi aussi, tu as chaud, dit-elle à voix basse en me regardant. Tu n'as gardé que ton pantalon de pyjama!
_ Euh, oui!... sinon, tu m'aurais surpris en tenue d'Adam!
_ Hum! ça aurait pu être interessant, dit-elle d'une ton entendu.
Il est vrai que malgré mes efforts pour paraître "normal", une bosse toujours plus grosse commencait à se former sous le tissu de mon pyjama...
_C'est la chaleur qui te fait ça? demanda-t-elle en riant sans bruit
_ Euh!Ben!... si on veut... A moins que...
_A moins que quoi? dit elle en posant délicatement sa main sur ma bosse
Ce contact me fit l'effet d'un courant électrique. Isabelle sans perdre de temps s'était approchée de mon visage, et quelques secondes après, ses lèvres étaient sur les miennes tandis que sa main experte repoussait le pyjama. Ma bite dure comme du bois vint frapper mon ventre. Isabelle, d'un geste souple, enleva sa chemise, puis se saisit de ma queue qu'elle commença à sucer tout en me massant les couilles. Nous n'avions rien dit: tout s'était passé trop vite. Je croyais rêver, tant ce qu'elle me faisait était bon. Etendu sur le dos, légèrement cambré pour mieux donner prise aux petits coups de langue de ma cousine, je fermais les yeux. Le bonheur absolu.
Au bout d'un moment qui parut à la fois très court et très long, Isabelle s'interrompit et me dit:
_ Au fait, tu me préviens quand ça vient! Je n'aime pas en avoir dans la bouche!
_ D'accord. Tu préfères quoi?
_ Tout sur moi, j'adore ça!J'espère que tu jutes fort! J'adore avoir du foutre partout!
_ OK
Elle changea de position et se mit à califourchon sur mon ventre. Puis, tout en approchant sa chatte de mon visage pour un 69 bienvenu, elle recommença à me pomper. Ma langue effleura ses lèvres intimes, à la recherche de son clito. Elle mouillait abondamment, et sa mouille était parfumée de toutes les lotions qu'elle utilisait quotidiennement.Sa langue sur mon gland était tellement habile que je savais ne plus pouvoir tenir longtemps.
Quelques minutes plus tard, en effet, malgré tous mes efforts, la jouissance n'allait plus pouvoir être contenue
_Isabelle, dis-je dans un souffle, attention, ça vient!...
Isabelle se redressa et me branla fort de la main droite tout en pelotant mes couilles avec la gauche.
Je giclais comme une baleine. Au moins neuf fois, le sperme jaillit de ma queue en longs jets qui inondèrent les seins, le ventre, les jambes de la cousine, sans parler des draps qui eurent aussi leur dose. Isabelle, vibrante de plaisir, continuait à me branler, tandis que ne sortaient plus de ma bite que quelques mini-éjacs qui coulaient sur sa main. Quand il n'y eut plus rien à faire couler, elle arrêta et se tourna vers moi, rayonnante. Elle ruisselait de sperme. De grandes trainées blanches coulaient de son cou vers ses seins, de ses seins vers son ventre et vers sa chatte.
_Ouah! Super! dit-elle dans un souffle. J'ai rarement vu un mec gicler autant! Tu n'avais pas baisé depuis longtemps?
_ Non, en effet: j'avais les couilles archi-pleines! Tu m'as bien vidé!
_Pas complètement, j'espère, dit-elle en me caressant de nouveau les couilles. J'en veux encore!
_ D'accord, mais pas tout de suite... et cette fois je veux te pénétrer.
Après s'être essuyée, elle se pelotona contre moi, tout en continuant à jouer avec ma bite et mes couilles.
_ Tu jutes toujours aussi fort ou c'est exceptionnel?
_ Non, c'est souvent comme çA. Plus jeune, quand je me masturbais au lit, je prenais toujours une serviette pour éviter de tacher mes draps. A 16 ans, j'avais fait un concours avec un copain: on en avait mis partout!
_ Tu aimes les garçons?
_Non, c'était juste des jeux d'ados!
Rassurée, elle continuait à palper mon sexe, qui reprenait peu à peu de la vigueur.
_Sois gentil, essaye encore! J'aime te voir gicler!
_Tu veux que je nous inonde?
_ Oui, oui, dit elle dans un souffle. Vas-y! Je veux voir ton foutre chaud sur toi et sur moi!
Je fermais les yeux tandis que ses douces mains me branlaient avec amour.Sa bouche s'approcha de ma poitrine. Elle commença à me lêcher et me mordiller. De mon côté, je caressai son clito et sa chatte de nouveau ruisselante.
J'aurais voulu faire durer le plaisir plus longtemps, mais au bout d'un petit quart-d'heure, j'étais de nouveau prêt à exploser.
_ Ca vient...
Isabelle s'allongea à nouveau près de moi, la tête soulevée, la main gauche me branlant frénétiquement.Dans un long frémissement qui parcourut tout mon corps, j'éjaculais sans retenue. Le premier jet alla s'écraser sur le mur derriere le lit, tandis que plusieurs autres inondaient ma poitrine, celle d'Isabelle, les draps. Je croyais que je n'allais plus m'arrêter de jouir. Quand j'ouvris les yeux, il y avait du sperme partout.
_ tu es vraiment super, souffla Isabelle. Je veux te lécher jusqu'à la dernière goutte!
Sa langue parcourut mon corps, tandis qu'elle me chevauchait. Ma bite fatiguée ne pouvait la pénétrer. Il fallut attendre un moment pour que ce que j'attendais depuis le début puisse enfin se réaliser. Plusieurs va-et-viens suffire à lui provoquer un nouvel orgasme, qu'elle étouffa en mordant un drap. Connaissant son plaisir, je me retirai et lui giclai tout sur les seins et le ventre, en longs jets saccadés.
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