Chaude rencontre - histoire érotique

Je m'appelle Yves, j'ai dépassé la soixantaine, autant dire que j'ai atteint la "date limite d'utilisation" pour beaucoup. Je suis purement passif et volontiers soumis. Il m'arrive encore de rencontrer des hommes, c'est souvent mon côté soumis qui les attire, ce qui ne me déplait pas je dois l'avouer.

Dernièrement j'ai eu un contact avec Régis, un homme dans la cinquantaine, adepte de la domination, et qui semblait intéressé par les photos que je lui ai envoyées. Nous avons donc fixé un rendez-vous chez lui, dans une vielle maison un peu isolée au sein d'un petit village. Le marché était simple, je venais et la seule chose que j'avais à faire était... de me laisser faire.

Je suis arrivé chez lui à 14 heures comme prévu, vêtu d'une chemisette et d'un pantalon de toile mais cela n'a pas trop d'importance pour la suite.
Régis est assez grand, sans doute plus de 1,80 m, et avait du être assez athlétique avant que les années viennent s'en mêler. Il m'a fait entrer dans une grande pièce peu meublée, m'a tendu un collier de cuir, des bracelets et un bandeau pour les yeux et m'a simplement dit :
- Tu te mets à poil, tu mets le collier et les bracelets et tu ajustes le bandeau. Tu m'attends les mains dans le dos, je reviens.

Je me suis exécuté, j'étais donc au milieu de la pièce, seulement vêtu des bracelets aux poignets et aux chevilles, du collier et du bandeau. J'ai attendu un bon moment sans bouger, cela faisait sans doute partie du plan.

J'ai entendu du bruit, puis une porte qui s'ouvre. Régis m'a pris par le bras et m'a emmené dans une autre pièce, il m'a fait pivoter et poussé contre ce qui devait être une table. Il a appuyé sur mes épaules pour que je m'allonge sur le dos, le bassin à la limite du bord de la table, il a écarté mes jambes et les a ramenées contre mon ventre, a attrapé mes bras pour les passer derrière mes cuisses et a attaché mes poignets au collier. Je devais ressembler à une grenouille en attente de passer à la casserole !

Dans cette position, je ne pouvais pas cacher grand chose de mon anatomie, il a promené ses mains sur ce qui s'offrait à lui, insistant sur le sillon et tirant sur les bourses. Il s'est éloigné et est revenu avec un lien pour attacher mes couilles et ma queue et a commencé à jouer avec, donnant des petits coups sur mes bourses tendues vers lui. Puis ce sont des claques un peu plus fortes, je gémissais sans le vouloir. Il a continué en me donnant des claques à l'intérieur des cuisses, là où la peau est tendre, puis les cuisses et les fesses. Il frappait fort d'entrée et je commençais à sentir la chaleur monter. Il s'est arrêté, je ne pouvais qu'entendre quelques bruits, sans doute des objets qu'on déplace. D'un coup j'ai ressenti une brulure sur mes fesses, puis un autre coup, puis un autre, il frappait en cadence avec un martinet dont les lanières touchaient parfois mes couilles et ma queue. Je devais faire trop de bruit car il m'a enfoncé un mouchoir dans la bouche. Ainsi offert, je ne pouvais rien faire que subir. Les coups se sont arrêtés, j'ai senti un doigt passer sur ma raie, s'arrêter sur mon trou, appuyer un peu, puis recommencer. Sans le vouloir je soulevais mon bassin, tendant mes fesses vers ce doigt. Je ne sais combien cela a duré à jouer avec mes sensation, puis de nouveau quelques claques sur mes couilles, il alternait sans me laisser de répit.

Son doigt est revenu sur mon trou mais cette fois j'ai senti du froid, il massait l'entrée avant de pénétrer d'un coup me laissant échapper un gémissement. Il a fait des va-et-vient puis a enfoncé un second puis un troisième doigts, les écartant pour élargir le passage. Il a retiré ses doigts, j'ai entendu le bruit du préservatif qu'il a ouvert, il s'est approché et m'a pénétré d'un coup. Ses coups de boutoir me faisaient haleter, il en profitait pour me claquer la queue à la volée. Je l'ai entendu pousser un râle et ses cuisses frapper plus fort mes fesses avant qu'il ne s'arrête. Il s'est retiré et m'a laissé pantelant.

Quand il est revenu il a détaché mes poignets du collier, me permettant de déplier mes jambes. Il m'a redressé, mis debout et m'a conduit à un autre endroit. Il m'a fait lever les bras, les a attaché, a placé une barre d'écartement à mes chevilles et j'ai senti mes bras être tirés vers le haut jusqu'à être presque sur la pointe des pieds. De nouveau le martinet s'est abattu sur mes fesses, mes cuisses mais aussi le dos. Je ne voyais rien mais j'ai senti les lanières arriver sur mon ventre, le devant des cuisses mais aussi mon sexe offert. Il s'amusait à frapper de bas en haut afin que les lanières couvrent mes couilles tendues. Je gémissais mais mes gémissement semblaient l'amuser et il redoublait d'activité. Quand il a cessé, je sentais la chaleur sur tout le corps. Il s'est approché de moi et m'a enfilé un plug d'un coup, me laissant dans cette position. Il est enfin venu me libérer après quelques minutes, m'a mis à quatre pattes, a enlevé le baillon et l'a remplacé par sa queue qui a très vite repris de la vigueur dans ma bouche chaude. Il me baisait la bouche avec entrain, je la sentais grossir, il la ressortait parfois pour me gifler avec. Je suis resté dans cette position, de nouveau j'ai entendu le bruit du préservatif, il s'est placé derrière mois, a retiré d'un coup le plug et m'a enfilé d'une traite. Il avait repris de la vigueur et me labourait toujours avec autant de force, profitant de ma position pour claquer mes fesses à la volée.

Quand il a fini de prendre son plaisir, je me suis effondré pour essayer de reprendre mon souffle, j'étais épuisé. Nous avons bu un café, moi toujours à poil, la queue meurtrie par les liens, les fesses et les cuisses rougies, la rondelle... je n'ose le dire.
Je me suis rhabillé et suis parti en me disant que je recommencerais bien volontiers.