Cher journal

- Par l'auteur HDS Petitelilou2 -
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Récit libertin : Cher journal Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cher journal,

Tu m'excuseras d'avance de venir ternir tes belles pages vierges avec mes délires d'étudiante frustrée mais il faut bien que j'extériorise.

La nuit dernière, j'ai rêvé. Un rêve érotique extrêmement explicite.

Nous sommes une veille de rentrée, il fallait que je rêve de lui, évidemment.

Les cours vont reprendre à la fac et notamment ceux d'histoire moderne. Si vous m'avez déjà lue, vous savez à quel point j'apprécie ces cours et surtout le prof qui les donne... peu importe s'il a deux fois mon âge et les cheveux grisonnants. Je le trouve charmant. Pour ne pas dire totalement attirant. Ses petites manières, sa passion qui transpire dans ses mots et à travers ses textes, sa façon de parler presque d'un autre temps, le silence qui tombe sur l'amphi dès son arrivée, comme si tout le monde s'enfonçait dans son siège pour éviter l'interrogation orale. Ah non mon esprit coquin imagine déjà un double sens... disons pour éviter d'être interrogé. Si vous espérez passer deux heures en amphi à roupiller tranquille, vous allez vite déchanter. En plus de rendre ses cours intéressants, il a une autorité et un magnétisme assez naturels. En quelques minutes, vous êtes transporté en plein coup d'état de 1851.

Donc pour en revenir à nos montons, puisque vous n'êtes pas là pour le cours d'histoire, je l'imagine bien du genre dominant au lit. C'est une idée qui m'excite terriblement.

Ah que ne donnerais-je pas pour avoir un tête-à-tête avec lui en dehors de la fac et découvrir enfin ce qu'il cache sous son long manteau noir.

J'en ai eu un petit aperçu fictif cette nuit.

Mes souvenirs oniriques sont flous et peu de détails restent, je vais donc broder un peu (beaucoup) pour la forme mais j'en suis encore toute retournée... et émoustillée. Ce probablement pourquoi je me suis réveillée en sueur, trempée, la main coincée entre mes cuisses.

La scène se passe dans son bureau, un peu cliché mais toujours aussi efficace. Un endroit que j'ai eu l'occasion de visiter quelques fois au cours de mes années de licence. Pas assez souvent, si vous voulez mon avis. Son bureau donc. Je suis plus précisément assise dessus et chose insolite... à moitié nue. Autrement dit, la jupe troussée jusque la taille, les cuisses écartées, offrant à mon public une vue parfaite sur ma vulve dégoulinante que je caresse fébrilement du bout des doigts. Ma poitrine est découverte et mes seins pointent effrontément hors de mon chemisier ouvert. J'ai envie de les pincer. De sentir une bouche les mordre et les sucer.

J'ai les joues en feu. Je rougis davantage en voyant ma petite culotte encore pendue à ma cheville. Elle n'a pas disparu finalement. Le blanc contraste avec le noir de mes bottines brillantes.

Mes yeux brillent sous l'excitation qui traverse mon corps par vagues et me force à gémir.

Sans retenue, comme ça, devant lui.

J'ignore comment je me suis retrouvée dans cette position délicate, excitante et... totalement indécente. J'en tremble rien que d'y penser, d'imaginer que mon prof puisse un jour me voir dans cet état. C'est l'avantage des rêves, pas besoin de début ni de fin, ni même de logique. Je suis là, in medias res, comme dirait l'autre.

Son regard me fixe. Ce bleu gris assombri par le désir. Ses yeux qui embrasent mon bas-ventre et trempent tous mes sous-vêtements à chaque fois que je les croise en cours. Savoir que je suis à l'origine de ce désir et de la lueur perverse qui s'y est glissée me rend à la fois honteuse et terriblement excitée.

Il me dévore des yeux et j'adore ça. Confortablement installé sur son fauteuil de bureau, dans son trois pièces noir, costume un peu vieux jeu mais qu'il ne quitte jamais. Malgré son air désinvolte, je l'entends soupirer. Il a ouvert son veston, déboutonné sa chemise, si bien que je peux voir le haut de son torse. J'ai envie de l'embrasser. Et encore plus la bosse qui déforme l'avant de son pantalon et qu'il palpe d'une main. Mon show a l'air de lui plaire.

Il ne s'en serait jamais douté. Comment une élève aussi sérieuse peut-elle être aussi salope ? J'ai le profil de l'étudiante studieuse, sans histoires. La brune intello discrète, avec ses petites lunettes rectangulaires, la chouchou du prof, surtout à son cours. Celle qui brigue le master de recherche. Il le sait à présent. Je suis une coquine qui cherche les ennuis et mérite des fessées. Qu'il promet de me donner en temps voulu. Pour ma provocation. Pour m'être installée au premier rang vêtue d'une jupe trop courte avec vue sur les dentelles transparentes de ma petite culotte... humide.

Cette situation et ses mots m'enflamment comme jamais.

Le rythme de mes doigts s'accélère. Ils forment de petits cercles sur ma chatte ruisselante, pressent mes grandes lèvres roses, taquinent les petites, glissent le long de ma fente, tapotent mon clito gonflé sur le point d'exploser. Ils s'engouffrent dans ma chaleur brûlante. Ces caresses répétées m'envoient de petites décharges électriques dans tout le corps. Je ferme les yeux. Oh c'est tellement bon. Le plaisir devient insupportable, dévore mes entrailles, finit par me submerger comme un raz de marée. Un gémissement plus profond m'échappe et mes cuisses se resserrent violemment autour de ma main. Je jouis, encore... pour le plaisir de ses yeux et pour le mien.

Pantelante, je le regarde en goûtant mes doigts couverts de cyprine. Il y a bien autre chose que j'ai envie de sucer.

Après tout, c'est lui qui l'a demandé. Il voulait que je lui montre ce que je faisais en pensant à lui, dans ma chambre d'étudiante, de préférence quand ma coloc était absente. Mais pas toujours. J'ai appris qu'elle était parfois là, à mon insu mais ceci est une autre histoire.

- Qui vous a donc dit d'arrêter ? Continuez !

- Mais professeur...

Je me mords la lèvre. Ce ne sont plus mes doigts que je veux. C'est lui. J'ai tellement envie de lui que j'en perds la tête. Je veux qu'il me baise ici et maintenant, sans ménagement. Ma main effleure mon sexe sensible alors que mon esprit conjure cette délicieuse image mentale. Moi empalée sur son énorme pieux, subissant ses assauts jusqu'à ce que jouissance s'en suive.

- Je vous demande pardon ? Répétez-moi ça, je crois avoir mal entendu.

Mes joues deviennent plus écarlates, si c'est possible. Apparemment, j'ai dû penser tout haut. Mais malgré toutes mes pensées salaces, je ne peux m'empêcher de souffler un timide :

- J'ai envie de vous, monsieur, prenez-moi.

Le rictus qui orne ses fines lèvres s'agrandit. Soudain, mon coeur s'emballe en le voyant se redresser. Il envahit mon espace et son after-shave mes narines. Ses mains se posent sur moi, se baladent librement sur mon corps et m'enivrent. C'est comme si j'avais bu plusieurs verres. Le tissu de sa chemise titille mes tétons dressés. Je frissonne. J'adore sentir la friction de ses vêtements contre ma peau nue.

- Je crois que votre esprit vif et créatif peut faire mieux que ça, mademoiselle.

Qu- quoi ? Ah oui.

- Je veux aaah- !

Je gémis en sentant ses longs doigts me pénétrer sans préambule et stimuler mon petit bouton durci à chaque va et vient. Oh oui, qu'il continue, qu'il fouille mon sexe jusqu'à me faire gicler... mais non, il s'arrête. Il aime jouer avec moi.

- J-je veux jouir sur votre grosse queue, je veux la sentir me défoncer hmmm... baisez-moi !

- Quelle bouche vulgaire vous avez, jeune fille. J'ai envie de la remplir elle aussi. Et vos manières ? lance t-il en me donnant une petite tape sur la vulve. Je sursaute.

- S'il vous plaît, professeur...

Mes mains me démangent. Son érection confinée dans ce pantalon étroit me fait de l'oeil depuis un moment. Impatiente, ma main se faufile entre nous, dégrafe ses boutons et disparait dans son slip. Il me laisse faire. Je jubile. J'ai envie de hurler comme une fan hystérique à un concert de rock mais je me retiens. Shiva et toutes les divinités ont dû exhausser mes prières. Sa verge est épaisse et turgescente. C'est chaud, c'est brûlant même. Humide et dur. Plein de promesses. J'ai envie de lécher ce gland rougi, le sucer entre mes lèvres, le taquiner avec ma langue, savoir quel goût il a.

Mes caresses lui font beaucoup d'effet, on dirait. Haletant, il saisit mon poignet et le presse dans mon dos, forçant mon corps à se cambrer contre lui. Mon pubis se presse directement contre sa queue et j'ondule du bassin, incapable de me retenir.

- Si vous pouviez vous voir mademoiselle. Nue sur mon bureau à écarter les cuisses et me supplier comme une petite catin en manque. A peine sortie de l'adolescence et ça croit tout savoir sur le sexe. Complètement débauchée. Absolument scandaleuse. Sublime.

- Enseignez-moi alors, monsieur. Puisque c'est votre job..., je murmure chaudement à son oreille.

Il sourit contre ma joue mais ses doigts pincent ma cuisse et m'arrachent une plainte.

- Petite insolente.

Puis il ajoute :

- Sauf que nous avons un problème, chérie. Je n'ai aucun préservatif. Oui, il m'arrive rarement de tomber sur de petites cochonnes dans votre genre, ici à la faculté. Mais je peux vous assurer que vous n'avez rien à craindre. Alors ?

- Je m'en fiche, mettez-la moi... gémis-je lamentablement. Remplissez-moi ! J'ai envie de vous sentir jouir en moi, votre sperme couler entre mes-

A ce stade, j'ai dû griller un ou deux neurones mais je n'ai pas le temps de réaliser ni même de terminer ma phrase.

Ses lèvres écrasent les miennes et il prend possession de ma bouche, comme sa verge avec ma chatte. Mes cuisses l'accueillent déjà, je suis tellement prête pour lui, tellement lubrifiée, qu'il m'empale sur sa queue d'un coup de rein. C'est si fort que j'explose comme un feu d'artifice. Encore une fois. Mon cri est étouffé par notre baiser. J'ignore quel endroit son sexe vient de toucher en moi mais mon orgasme est fulgurant. Mon corps est pris de spasmes, ma mouille inonde mes cuisses et je dois m'accrocher à sa chemise pour ne pas basculer en arrière. Il en profite pour fourrer son visage entre mes seins et gober mes tétons durcis. Ils sont ultra sensibles et ses dents me mordent, sa langue me lèche. Ces sensations divines prolongent ma jouissance. J'ai l'impression de planer.

J'émerge peu à peu de cette torpeur sensuelle en sentant mon dos plaqué contre la surface froide du bureau. Sa main me maintient alors qu'il se met à bouger en moi. Son rythme est profond et rapide. Oh c'est bon. C'est parfait. J'ai dû encore exprimer mes pensées car il me répond, me complimente, me dit que malgré mon attitude d'allumeuse, il adore me voir complètement ouverte pour lui, lascive et gourmande. S'il continue comme ça, je vais encore jouir ! Je sens déjà la pression caractéristique étreindre mon bas-ventre, le plaisir monter, mon corps se tendre, mes gémissements devenir incontrôlables.

Puis il s'arrête sans prévenir. Je proteste mais il m'ignore. Je suis retournée, poussée en avant et il soulève mes cuisses pour me prendre à nouveau. Violemment. Mes seins s'écrasent contre le bureau, mes longs cheveux sont tirés alors qu'il pilonne ma chatte. C'est violent et je dois agripper sa veste par derrière pour me retenir. Il attrape mes poignets, m'impose son rythme. Je suis comme une poupée de chiffon entre ses mains et j'adore ça. J'essaye de contenir mes cris de plaisir et ça l'amuse, il me grogne que c'est inutile, personne n'est encore là à cette heure de la soirée. Qu'au contraire, il préfère m'entendre hurler.

C'est le cas. J'ai du mal à croire que les gémissements charnels qui emplissent la pièce viennent de moi. Comme les bruits obscènes produits par nos chairs humides et excitées. J'ai l'impression que toute la fac nous entend et sait parfaitement la transgression que nous commettons en ces lieux.

Il ralentit, son souffle erratique chatouille mon cou. Ses mains douces glissent sur ma peau moite. Il m'enlace, empoigne mes seins, embrasse ma nuque. Je tremble. Il me demande si c'est comme ça que j'aime être baisée, comme une petite salope impertinente de surcroit. Il me dit que je n'ai aucune honte à séduire ainsi mes professeurs. Que je mérite une bonne correction. Sa fougue me rend folle. J'halète lorsque sa queue presse mes fesses. Oh oui, qu'il continue ! Je le supplie de continuer.

Alors il replonge sa verge dans ma chaleur accueillante et étroite. Je sens que je vais me consumer. Lui aussi. Bientôt, je l'entends jouir dans un long râle et un liquide chaud jaillit soudain dans mes entrailles. Il déborde de ma chatte, coule dans ma raie. Je n'ai jamais rien ressenti de tel et cette sensation unique finit de m'achever. Je me sens remplie, comblée, euphorique.

A plat ventre sur le bureau, je tente de reprendre mes esprits. Mon prof s'est laissé tomber dans son fauteuil, hors d'haleine, les yeux brillants, les cheveux hirsutes mais visiblement satisfait de lui. Il est encore plus désirable ainsi. Avec un soupir, je passe une main entre mes cuisses et me caresse, avant de récolter sa crème. Puis je m'applique lentement à me lécher les doigts. Le mélange de nos fluides est salé, musqué, un peu âcre. Mon geste volontairement provocateur et lubrique lui fait hausser les sourcils. Il m'attire sur ses genoux.

- Insolente et insatiable. Que vais-je bien pouvoir faire de vous ?

Je souris.

- Avouez que ça vous plaît.

Il m'embrasse. Sa main remonte le long de mon échine jusque ma nuque, empoigne ma chevelure. La mienne décoiffe ses mèches, caresse les poils de son torse sous sa chemise ouverte, avant de descendre plus bas, vers sa verge que je veux de nouveau sentir enfler de désir pour moi.

Il retient mon poignet.

- Je n'ai plus votre âge, chérie. Il me faut du temps pour récupérer.

- Vous êtes plus sexy que n'importe quel garçon de mon âge.

Mon ton sans réplique le fait rire.

- La flatterie ne vous mènera nulle part.

- Même pas dans votre lit ? Contre une étagère de la bibliothèque ? A l'arrière de votre voiture ? Vous pourriez me punir toute la nuit...

J'ai pris ma voix la plus sensuelle, mon regard le plus enjôleur et suppliant. Il me répond d'un rictus. Deux doigts viennent presser mes lèvres gourmandes. Obéissante, j'ouvre la bouche pour me mettre à les sucer avec enthousiasme.

- Ce serait amplement mérité dans votre cas, susurre t-il. Vous aimez jouer avec le feu, n'est-ce pas Lisa...

Bon sang, jamais je n'aurais imaginé qu'entendre mon prénom dans la bouche de quelqu'un serait une expérience aussi excitante. Sauf dans la sienne. Un gémissement remonte de ma gorge et je suis prise d'une irrésistible envie de remplacer ses doigts par quelque chose de beaucoup plus chaud et volumineux...

Voilà pour cette fois. J'ignore comment se termine cette conversation. En punition très coquine, j'espère. A vous de l'imaginer. Mon rêve s'est achevé bien avant, la faute à ce fichu réveil. Du coup, mon imagination prolifique a pris le relais pour rendre tout ça lisible.

C'est le genre de fantasme refoulé que provoque chez moi mon cher professeur d'histoire moderne, représentant de l'autorité et de la connaissance. Le pauvre n'a pas idée de ce qui se trame dans la tête de ses étudiants bourrés d'hormones en ébullition. Ou peut-être que si ? La liste de mes fantasmes est longue. J'en ai presque honte. Mais non en fait. Même si mes joues me trahissent à chaque fois. J'espère qu'il ne découvrira jamais mes textes, sauf s'il veut bien généreusement venir m'aider à calmer mes ardeurs.

Pour l'instant, il me faut une bonne douche froide. Et mettre une petite culotte à dentelles blanches sous ma jupe, sait-on jamais.

Elle promet, cette rentrée de fac.

Les avis des lecteurs

Très bien écrit ! Beaucoup de détails croustillants !

Bref, j'adore !

Bonne continuation !

Roger

"un peu cliché mais toujours aussi efficace"(Dixit) Terriblement efficace, oui!
J'ai d'abord pensé au bureau sur lequel s'appuie Bardot quand elle expose, en guise d'argument ses longues jambes et son intimité à un Gabin qui ne sourcille (presque pas). Mais votre récit foisonnant de détails et d'impression donne envie de s'identifier à cette jeune femme. Et on ressent aussi la satisfaction du Professeur (Quel beau métier!) qui voit son étudiante se comporter ainsi. Jusqu'ou irait-on pour une mention?
J'espere une suite!

C'est vraiment bien écrit, bravo ! J'ai tout dévoré d'une traite :D

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J'aimerais tellement voir une belle salope dégoulinant de mouille sur les copies de mes étudiants, qui me supplie de lui défoncer la chatte sur le bureau...

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Histoire magnifiquement rédigée, et particulièrement excitante: on partage votre fantasme et vos émotions. Bravo. Et on se prend à regarder ses étudiantes avec un regard plus curieux, quand on est prof à la fac...



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