CHEZ LE MEDECIN
Récit érotique écrit par Fantasmmmeuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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CHEZ LE MEDECIN
Ceci est mon principal fantasme, cette histoire est donc malheureusement fictive.
Je m'appelle Sandy et j'ai 18 ans. Je suis brune, d'origine italienne, et je me considère assez sexy. Je suis mince, j'ai de longues jambes, un joli petit cul et une belle grosse poitrine bien ferme. En d'autres mots, j'ai tendance à attirer l'attention des gars!
C'était le temps de notre visite annuelle chez le médecin, à moi et ma mère. Mon rendez-vous étant en avant-midi et celui de ma mère en après-midi, celle-ci vint me reconduire au cabinet et partit faire des courses. J'entrais dans la petite pièce où m'attendait monsieur Bouchet, notre médecin de famille. Il était dans la trentaine, assez bel homme. Nous nous saluâmes et il m'invita à prendre place sur le lit pour commencer l'examen de routine, ce que je fis. Je portais une jolie camisole assez décolletée pour qu'on voie bien mes seins rebondis, et une mini-jupe en dessous de laquelle je portais un string en dentelle. Ma tenue ne sembla pas laisser M.Bouchet indifférent, car son regard se baissait régulièrement sur ma poitrine et mes jambes, et j'avoue que ça ne me déplaisait pas. Il exécuta quelques petits examens de ma bouche, mes oreilles, mes genoux, etc. Puis, il prit son stéthoscope et le déposa sur mon sein gauche, l'effleurant doucement du bout des doigts. Il me palpa lentement, puis déposa son instrument. «Je vais vérifier s'il y a une bosse sur vos seins, juste au cas où.», me dit-il le plus sérieusement du monde, et j'acceptai avec une certaine gêne. Il me demanda d'enlever mon chandail et dégrafa mon soutien-gorge, découvrant ma poitrine. Il déposa une main sur chaque sein et les serras doucement, puis avec plus de vigueur, me procurant un certain plaisir. Puis, une de ses mains descendit sur ma hanche et glissa sous ma jupe, caressant mon minou mouillé. Un sourire satisfait apparut sur son visage. Je vis une bosse se former sous son pantalon et souris faiblement, mal à l'aise. Soudain, il se détacha de moi et marcha vers la porte. Je craignis qu'il l'ouvre car j'étais à moitié nue, mais il ne fit que la verrouiller. Il se retourna vers moi, affichant un sourire narquois. J'étais de plus en plus mal à l'aise. Il revint devant moi et m'ordonna d'enlever ma jupe. Hésitante, mais craignant son air menaçant, je me levai et baissai ma jupe, découvrant mon string. Excité, il me l'arracha et me poussa violemment sur le lit d'examen. J'avais à présent très peur, mais je n'osais pas crier. Je le vis baisser son pantalon, libérant sa queue gonflée à bloc. Je ramenai mes jambes vers moi, pressentant la suite. Il s'approcha d'avantage, je reculai mais je me heurtai au mur. J'étais nue, assise sur un lit d'examen et coincée entre M.Bouchet et le mur. Son sexe pointait vers le ciel, démesuré. Il empoigna mes jambes et me tira vers lui, impossible de me libérer. Il les écarta de force et, d'un coup sec, m'empala sur sa queue dure comme le roc. Il mit sa main sur ma bouche pour étouffer mes cris de douleur et de peur. Son autre main était placée sur mon dos et me retenait fermement contre lui, il était profondément en moi. Quand je cessai de hurler, il libéra ma bouche, prit mes fesses à deux mains et me souleva un peu, commençant de lents va-et-vient. Je gémissais à présent. Je n'éprouvais aucun plaisir, contrairement à mon agresseur, mais j'avais excessivement peur et mal à cause de cette brusque pénétration. Je me laissais faire, me disant qu'il finirait par me relâcher, mais il n'en fit rien. Il continua ses va-et-vient de plus en plus rapides pendant de longues minutes. La cadence était maintenant infernale, et je ne pus m'empêcher de pousser de petits soupirs au rythme de ses pulsions. Soudain il s'arrêta, me coucha sur le lit et, toujours en moi, éjacula de toutes ses forces au fond de ma chatte. Je poussai un long cri en sentant la pression de son flot se déversant dans mes entrailles. Il serrait les dents, essayant de ne pas hurler sa jouissance, mais un fort gémissement se faisait entendre. Puis, plus rien. J'attendis qu'il retire sa queue de mon minou douloureux, mais il ne semblait pas avoir l'intention d'arrêter. Il ne bougeait plus, mais restait en moi. Il semblait exténué, et moi donc! Sa queue molle semblait avoir considérablement réduit de taille, je ne la sentais presque plus. Je haletais, toujours couchée et lui debout entre mes jambes écartées. Je n'osais pas parler, mais j'avais hâte qu'il se retire car je commençais à avoir vraiment mal. Il n'en fit toujours rien, mais se pencha sur moi, posa ses mains sur mes seins et recommença à les pétrir lentement. Une larme coula sur ma joue. Qu'allait-il me faire, maintenant? Après quelques minutes qui me semblèrent interminables, il se releva et retira enfin sa queue de mon orifice engourdi. Je restai là pendant qu'il nettoyait son sexe avec une lingette et remontait son pantalon. Puis il parla enfin. «Rhabille-toi et ne dis rien.», m'ordonna-t-il sèchement. Je me relevai péniblement, mon dos me faisant horriblement mal, et remit ma jupe, mon soutien-gorge et ma camisole dans le silence le plus complet. M.Bouchait me regardait calmement. Quand je fus habillée, il s'approcha, essuya mes joues mouillées et me dit de ne parler de ça à personne, que ce serait notre petit secret à nous deux. J'acquiesçai, tremblante. Il m'indiqua la sortie, que je m'empressai de rejoindre. Ma mère m'attendait dehors. «Alors, tout s'est bien passé?», me demanda-t-elle avec un sourire. «O... Oui, très bien passé... », Bégayai-je en regardant mes pieds. Satisfaite, elle nous ramena à la maison, où je montais à ma chambre pour me masturber en pensant à M.Bouchet.
Je m'appelle Sandy et j'ai 18 ans. Je suis brune, d'origine italienne, et je me considère assez sexy. Je suis mince, j'ai de longues jambes, un joli petit cul et une belle grosse poitrine bien ferme. En d'autres mots, j'ai tendance à attirer l'attention des gars!
C'était le temps de notre visite annuelle chez le médecin, à moi et ma mère. Mon rendez-vous étant en avant-midi et celui de ma mère en après-midi, celle-ci vint me reconduire au cabinet et partit faire des courses. J'entrais dans la petite pièce où m'attendait monsieur Bouchet, notre médecin de famille. Il était dans la trentaine, assez bel homme. Nous nous saluâmes et il m'invita à prendre place sur le lit pour commencer l'examen de routine, ce que je fis. Je portais une jolie camisole assez décolletée pour qu'on voie bien mes seins rebondis, et une mini-jupe en dessous de laquelle je portais un string en dentelle. Ma tenue ne sembla pas laisser M.Bouchet indifférent, car son regard se baissait régulièrement sur ma poitrine et mes jambes, et j'avoue que ça ne me déplaisait pas. Il exécuta quelques petits examens de ma bouche, mes oreilles, mes genoux, etc. Puis, il prit son stéthoscope et le déposa sur mon sein gauche, l'effleurant doucement du bout des doigts. Il me palpa lentement, puis déposa son instrument. «Je vais vérifier s'il y a une bosse sur vos seins, juste au cas où.», me dit-il le plus sérieusement du monde, et j'acceptai avec une certaine gêne. Il me demanda d'enlever mon chandail et dégrafa mon soutien-gorge, découvrant ma poitrine. Il déposa une main sur chaque sein et les serras doucement, puis avec plus de vigueur, me procurant un certain plaisir. Puis, une de ses mains descendit sur ma hanche et glissa sous ma jupe, caressant mon minou mouillé. Un sourire satisfait apparut sur son visage. Je vis une bosse se former sous son pantalon et souris faiblement, mal à l'aise. Soudain, il se détacha de moi et marcha vers la porte. Je craignis qu'il l'ouvre car j'étais à moitié nue, mais il ne fit que la verrouiller. Il se retourna vers moi, affichant un sourire narquois. J'étais de plus en plus mal à l'aise. Il revint devant moi et m'ordonna d'enlever ma jupe. Hésitante, mais craignant son air menaçant, je me levai et baissai ma jupe, découvrant mon string. Excité, il me l'arracha et me poussa violemment sur le lit d'examen. J'avais à présent très peur, mais je n'osais pas crier. Je le vis baisser son pantalon, libérant sa queue gonflée à bloc. Je ramenai mes jambes vers moi, pressentant la suite. Il s'approcha d'avantage, je reculai mais je me heurtai au mur. J'étais nue, assise sur un lit d'examen et coincée entre M.Bouchet et le mur. Son sexe pointait vers le ciel, démesuré. Il empoigna mes jambes et me tira vers lui, impossible de me libérer. Il les écarta de force et, d'un coup sec, m'empala sur sa queue dure comme le roc. Il mit sa main sur ma bouche pour étouffer mes cris de douleur et de peur. Son autre main était placée sur mon dos et me retenait fermement contre lui, il était profondément en moi. Quand je cessai de hurler, il libéra ma bouche, prit mes fesses à deux mains et me souleva un peu, commençant de lents va-et-vient. Je gémissais à présent. Je n'éprouvais aucun plaisir, contrairement à mon agresseur, mais j'avais excessivement peur et mal à cause de cette brusque pénétration. Je me laissais faire, me disant qu'il finirait par me relâcher, mais il n'en fit rien. Il continua ses va-et-vient de plus en plus rapides pendant de longues minutes. La cadence était maintenant infernale, et je ne pus m'empêcher de pousser de petits soupirs au rythme de ses pulsions. Soudain il s'arrêta, me coucha sur le lit et, toujours en moi, éjacula de toutes ses forces au fond de ma chatte. Je poussai un long cri en sentant la pression de son flot se déversant dans mes entrailles. Il serrait les dents, essayant de ne pas hurler sa jouissance, mais un fort gémissement se faisait entendre. Puis, plus rien. J'attendis qu'il retire sa queue de mon minou douloureux, mais il ne semblait pas avoir l'intention d'arrêter. Il ne bougeait plus, mais restait en moi. Il semblait exténué, et moi donc! Sa queue molle semblait avoir considérablement réduit de taille, je ne la sentais presque plus. Je haletais, toujours couchée et lui debout entre mes jambes écartées. Je n'osais pas parler, mais j'avais hâte qu'il se retire car je commençais à avoir vraiment mal. Il n'en fit toujours rien, mais se pencha sur moi, posa ses mains sur mes seins et recommença à les pétrir lentement. Une larme coula sur ma joue. Qu'allait-il me faire, maintenant? Après quelques minutes qui me semblèrent interminables, il se releva et retira enfin sa queue de mon orifice engourdi. Je restai là pendant qu'il nettoyait son sexe avec une lingette et remontait son pantalon. Puis il parla enfin. «Rhabille-toi et ne dis rien.», m'ordonna-t-il sèchement. Je me relevai péniblement, mon dos me faisant horriblement mal, et remit ma jupe, mon soutien-gorge et ma camisole dans le silence le plus complet. M.Bouchait me regardait calmement. Quand je fus habillée, il s'approcha, essuya mes joues mouillées et me dit de ne parler de ça à personne, que ce serait notre petit secret à nous deux. J'acquiesçai, tremblante. Il m'indiqua la sortie, que je m'empressai de rejoindre. Ma mère m'attendait dehors. «Alors, tout s'est bien passé?», me demanda-t-elle avec un sourire. «O... Oui, très bien passé... », Bégayai-je en regardant mes pieds. Satisfaite, elle nous ramena à la maison, où je montais à ma chambre pour me masturber en pensant à M.Bouchet.
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