chez le toubib
Récit érotique écrit par Yvan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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chez le toubib
Je devais avoir dans les 17 ans quand je me suis fait opéré de l'appendicite. Inutile de vous dire que ça me fit mal. A l'hôpital, le soir de mon arrivée, je sonnais l'infirmière toutes les cinq minutes, en espérant qu'elle arrive à calmer ma douleur, mais finalement à mon chevet, elle me reprocha tout simplement de la déranger en me traitant de poule mouillée... Le lendemain matin, juste avant l'opération, elle s'est pointée avec un rasoir, un verre d'eau, de la crème à raser, et m'a demandé d'enlever le bas. J'étais souqué par une très mauvaise nuit, la tête dans le cul, et j'ai baissé le froc de façon machinale. Non, je vous rassure, j'ai pas bandé. Après ses paroles peu aimables de la veille, je n'éprouvais aucune sympathie pour cette infirmière, encore moins de désir, même si la fille était plutôt mignonne, une jeune blonde bien faite, dans la trentaine.
L'infirmière me tirait d'une main la chandelle vers le haut pendant que de l'autre elle me rasait le pubis. J'avais un peu la honte car ma queue était toute molle et ne devait pas dépasser les cinq six centimètres. Pas très viril, le gamin, devait-elle se dire... Le matin, d'habitude, j'ai plutôt la gaule, mais là vraiment, je ne la sentais pas... Tout ce dont je me souviens, est que ma queue s'est baladée à droite, à gauche, puis au milieu du bas ventre, avant qu'une main ne la frotte avec une serviette pour la sécher et enlever toute trace de mousse à raser. A l'instant même où mon sexe regagna ce qui me servait de pyjama, je ressentis un bien agréable durcissement, mais c'était trop tard et je suppose que mon infirmière ne s'est rendue compte de rien.
Non, ce qui m'a bleffé est arrivé quelques jours après l'opération, lorsque je suis allé voir le chirurgien pour un examen de contrôle. Ma mère, comme d'habitude à la bourre pour son travail, m'a laissé devant le portail de l'hôpital, et je me suis rendu seul dans le service du chirurgien.
Le toubib me fit rentrer dans sa salle de consultation et m'a demandé si tout allait bien.
C'était un homme dans la quarantaine, un beau mec brun, souriant assez sympa, qui me mit vite en confiance.
A sa question, je lui répondis que ça pourrait aller mieux. Il fronça alors les sourcils tout en me disant qu'il fallait positiver.
Il me dirigea ensuite vers la table d'auscultation, et me demanda de me mettre en slip avant de m'y allonger.
Il était en train de se laver les mains dans un petit lavabo lorsque je m'allongeais sur la table.
- enlève aussi le maillot de corps, s'il te plaît, me précisa-t-il.
Je fis valser le maillot et me retrouvais en boxer, un peu tremblant sur cette table, car la pièce n'était pas bien chauffée.
- voyons ça, sourit le chirurgien.
Il baissa mon boxer de quelques centimètres, laissant apparaître mon pubis rasé et le bout de mon sexe bien enveloppé dans le prépuce.
- ça va dis-donc, la cicatrice est superbe!
J'étais pas vraiment convaincu, au vu des croûtes rougeâtres qui me lacéraient encore le pli droit, mais il continua à me rassurer tout en palpant doucement la peau tout autour de la cicatrice.
- tu n'as pas mal? ça va? me demanda-t-il
J'étais en fait assez gêné car les mains de fée du chirurgien m'avaient quelque peu troublé, et je pense que ça se voyait. Mon sexe commençait à durcir. Je sentais le prépuce se dérouler peu à peu, laissant immerger le gland sans que rien ni personne ne puisse l'en empêcher.
La chaleur avait remplacé la sensation de fraîcheur ressentie auparavant. Je pense que j'étais en train de rougir.
- holà, me dit le toubib en souriant, tu penses à ta copine?
- euh, non, j'en ai pas... juste que...c'est la première fois que je suis nu devant quelqu'un... excusez-moi, si...
- t'inquiète pas, j'en ai vu d'autres, tu sais, ça arrive plus fréquemment qu'on ne le croit... Tu vas à la selle normalement?
-euh! aux toilettes? ben, justement, j'ai des difficultés, je suis plutôt constipé depuis l'opération...
- ah bon? hum, retire ton boxer, on va voir ça...
Là, je suis complètement perdu, c'est pas possible de me défroquer entièrement, il va tout voir, mon chir... Je laisse glisser mon boxer lentement sur mes chevilles, mais ne pouvant plus masquer mon émotion, je dévoile au toubib mon intimité dressée, ma verge qui bande mou, le gland complètement sorti, au bord du chavirement.
Le chir reste calme, et très pro:
- je vais te palper le ventre, et si nécessaire te faire un toucher rectal pour m'assurer que tout va bien. détends-toi... en fait, reste comme tu es, me précise-t-il en souriant, tu verras, ça fait pas mal.
Je bande de plus belle en pensant au toucher rectal, le fantasme de tous les mecs gays, ou potentiellement gay, comme je semble être.
Ma queue est désormais complètement à son apogée quand il me demande d'écarter les cuisses. Je ferme les yeux, son majeur badigeonné de vaseline me pénètre doucement l'anus. Ça coulisse agréablement, tranquillement, j'ai envie de crier: encore m'sieur, j'en veux plus! mais le chir retire son doigt.
- tout va bien, je vais quand même te faire une ordonnance mais normalement, ça devrait rentrer dans l'ordre tout seul.
- ben... tant mieux! C'est tout ce que je sus répondre.
- alors c'est vrai ce que tu me disais tout à l'heure, tu n'as pas de copine?
L'entrée soudaine du toubib dans ma vie intime me troubla tout en me mettant encore plus en confiance. Enfin quelqu'un qui s'intéresse à moi... Je lui confiai alors des trucs jamais dits aux copains ou à mes parents:
- en fait, suis encore puceau, j'ai jamais... juste embrassé une copine de classe... mais bon, elle fume, c'est dégueu, le goût du tabac dans la bouche, rétorquais-je en souriant. Et puis, sais pas si je suis normal, en fait?
- normal? dans quel sens, tu veux dire?
- ben, mon sexe d'abord, il est pas très... long, j'ai des petites couilles, suis pratiquement imberbe, j'ai pas besoin de me raser, je suis pas très viril quoi... et puis, je crois être plus attiré par les garçons que par les filles...
- holà, comme tu y vas! me répondit le toubib. D'abord, tu dois savoir que tout le monde n'est pas fait du même moule, heureusement, la vie est faite de diversité. Concernant ton sexe, je constate qu'il ne se porte pas si mal, non?
- ouais je bande, c'est sûr, répondis-je, mais regardez, il est pas très long, même en érection, n'est-ce pas?
- je trouve que tu es dans la normalité, si tant est que l'on puisse parler de normalité... tu... tu éjacules normalement? se hasarda mon toubib.
Ma gêne du début s'était totalement évaporée et j'avais maintenant envie de jouer avec le chir qui devenait de plus en plus indiscret.
- sais pas, ça veut dire quoi? j'éjacule pas beaucoup en tout cas... vous pourriez contrôler ça?
Le toubib me parut pour la première fois désarçonné par ma demande.
- je... je vais te palper les testicules.
Je n'en demandais pas tant! ou plutôt si, désormais, j'en demande plus!
Le toubib s'attarda sur mes bourses imberbes qu'il caressa minutieusement, je pense qu'il y prenait plaisir et moi aussi. Je me remis à bander.
Je gémis délicieusement afin de lui faire comprendre que j'étais disponible. Les doigts du toubib quittèrent mes bourses, je les sentis soudain s'appesantir sur la hampe de ma verge turgescente. Le toubib ne parlait plus. Il me caressa, il me masturba délicatement, puis les va-et-vient de ses doigts s'accélèrent s'intensifièrent, il me branla frénétiquement pour faire sortir la semence. Mais je n'étais pas prêt. Nos regards se croisèrent un instant et il finit par enfourner ma verge dans sa bouche chaude et humide. Putain, c'était la toute première fois qu'un mec me suçait, et c'était tout simplement divin... J'aurais bien voulu à mon tour soupeser son paquet, un paquet d'homme mûr, ça doit être lourd, j'aurais bien aimé aussi caresser son torse viril que je devinais poilu, mais bon, j'étais dans mon plaisir, les yeux fermés, et je me contentais de soupirer dans l'extase que cet homme provoquait en moi. Je sentis soudain venir la sauce alors que le toubib me suçait tout en réchauffant de sa main mes couilles devenues dures, serrées l'une contre l'autre. Je sortis brusquement ma verge de sa bouche.
- arrêtes! je vais jouir... caresse-moi le sexe, fort fort, fort! lançais-je dans un soupir. Je m'aperçus que je l'avais tutoyé.
Le chir reprit sa branle, il se fit très viril. Je râlais comme un damné quand un premier jet s'étala violemment sur mon torse, bientôt suivi de quatre ou cinq giclées mémorables. Le toubib continua de me caresser jusqu'à la dernière goutte. Je jutais de plaisir en suffoquant à chaque expulsion. Bientôt apaisé, je soupirais d'aise et rouvris enfin les yeux...
- c'est ce que l'on appelle un orgasme, une jouissance,
me dit sobrement le toubib en m'essuyant le ventre et ma queue de plusieurs papiers scottex. Tu peux être rassuré, ton sexe est normal, il réagit tout à fait correctement aux sollicitations manuelles et buccales. Et pour ta semence, rien de particulier, elle est bien épaisse, dense, et puis... y'en a assez, je pense pour peupler le pays, ajouta-t-il en rigolant.
Je me rhabillais tandis que mon toubib se rinçait les mains. La gêne était revenue, chez moi en tout cas. Ce que le toubib venait de faire, c'était pas tout à fait normal, je pense, mais moi, je l'avais bien cherché!
- bon, voilà ton ordonnance... Maintenant... savoir si tu préfères les hommes aux femmes, c'est à toi de décider, de faire tes expériences, tu verras bien. Protège-toi en tout cas, les capotes sont la seule protection efficace contre les MST et le SIDA.
- oui, je sais... en tout cas, merci docteur pour tout. C'était bien sympa, et puis maintenant je suis rassuré.
Il me tendit une solide poignée d'homme et nous nous sommes quittés, lui regagnant son bureau avec un autre patient, et moi, le regard hagard dans les rues de Paris, me remémorant les instants délicieux que je venais de vivre, m'interrogeant sur leurs véracités. Mon bas-ventre encore humide et ma verge collée au boxer me convainquirent que tout cela s'était bien déroulé dans la vraie vie. Ce toubib m'avait quelque part un peu dépucelé et je m'en suis voulu sur le moment de n'avoir pas osé le caresser, le sucer et faire vraiment l'amour avec lui, mais bon, il n'aurait sans doute pas accepté!
L'infirmière me tirait d'une main la chandelle vers le haut pendant que de l'autre elle me rasait le pubis. J'avais un peu la honte car ma queue était toute molle et ne devait pas dépasser les cinq six centimètres. Pas très viril, le gamin, devait-elle se dire... Le matin, d'habitude, j'ai plutôt la gaule, mais là vraiment, je ne la sentais pas... Tout ce dont je me souviens, est que ma queue s'est baladée à droite, à gauche, puis au milieu du bas ventre, avant qu'une main ne la frotte avec une serviette pour la sécher et enlever toute trace de mousse à raser. A l'instant même où mon sexe regagna ce qui me servait de pyjama, je ressentis un bien agréable durcissement, mais c'était trop tard et je suppose que mon infirmière ne s'est rendue compte de rien.
Non, ce qui m'a bleffé est arrivé quelques jours après l'opération, lorsque je suis allé voir le chirurgien pour un examen de contrôle. Ma mère, comme d'habitude à la bourre pour son travail, m'a laissé devant le portail de l'hôpital, et je me suis rendu seul dans le service du chirurgien.
Le toubib me fit rentrer dans sa salle de consultation et m'a demandé si tout allait bien.
C'était un homme dans la quarantaine, un beau mec brun, souriant assez sympa, qui me mit vite en confiance.
A sa question, je lui répondis que ça pourrait aller mieux. Il fronça alors les sourcils tout en me disant qu'il fallait positiver.
Il me dirigea ensuite vers la table d'auscultation, et me demanda de me mettre en slip avant de m'y allonger.
Il était en train de se laver les mains dans un petit lavabo lorsque je m'allongeais sur la table.
- enlève aussi le maillot de corps, s'il te plaît, me précisa-t-il.
Je fis valser le maillot et me retrouvais en boxer, un peu tremblant sur cette table, car la pièce n'était pas bien chauffée.
- voyons ça, sourit le chirurgien.
Il baissa mon boxer de quelques centimètres, laissant apparaître mon pubis rasé et le bout de mon sexe bien enveloppé dans le prépuce.
- ça va dis-donc, la cicatrice est superbe!
J'étais pas vraiment convaincu, au vu des croûtes rougeâtres qui me lacéraient encore le pli droit, mais il continua à me rassurer tout en palpant doucement la peau tout autour de la cicatrice.
- tu n'as pas mal? ça va? me demanda-t-il
J'étais en fait assez gêné car les mains de fée du chirurgien m'avaient quelque peu troublé, et je pense que ça se voyait. Mon sexe commençait à durcir. Je sentais le prépuce se dérouler peu à peu, laissant immerger le gland sans que rien ni personne ne puisse l'en empêcher.
La chaleur avait remplacé la sensation de fraîcheur ressentie auparavant. Je pense que j'étais en train de rougir.
- holà, me dit le toubib en souriant, tu penses à ta copine?
- euh, non, j'en ai pas... juste que...c'est la première fois que je suis nu devant quelqu'un... excusez-moi, si...
- t'inquiète pas, j'en ai vu d'autres, tu sais, ça arrive plus fréquemment qu'on ne le croit... Tu vas à la selle normalement?
-euh! aux toilettes? ben, justement, j'ai des difficultés, je suis plutôt constipé depuis l'opération...
- ah bon? hum, retire ton boxer, on va voir ça...
Là, je suis complètement perdu, c'est pas possible de me défroquer entièrement, il va tout voir, mon chir... Je laisse glisser mon boxer lentement sur mes chevilles, mais ne pouvant plus masquer mon émotion, je dévoile au toubib mon intimité dressée, ma verge qui bande mou, le gland complètement sorti, au bord du chavirement.
Le chir reste calme, et très pro:
- je vais te palper le ventre, et si nécessaire te faire un toucher rectal pour m'assurer que tout va bien. détends-toi... en fait, reste comme tu es, me précise-t-il en souriant, tu verras, ça fait pas mal.
Je bande de plus belle en pensant au toucher rectal, le fantasme de tous les mecs gays, ou potentiellement gay, comme je semble être.
Ma queue est désormais complètement à son apogée quand il me demande d'écarter les cuisses. Je ferme les yeux, son majeur badigeonné de vaseline me pénètre doucement l'anus. Ça coulisse agréablement, tranquillement, j'ai envie de crier: encore m'sieur, j'en veux plus! mais le chir retire son doigt.
- tout va bien, je vais quand même te faire une ordonnance mais normalement, ça devrait rentrer dans l'ordre tout seul.
- ben... tant mieux! C'est tout ce que je sus répondre.
- alors c'est vrai ce que tu me disais tout à l'heure, tu n'as pas de copine?
L'entrée soudaine du toubib dans ma vie intime me troubla tout en me mettant encore plus en confiance. Enfin quelqu'un qui s'intéresse à moi... Je lui confiai alors des trucs jamais dits aux copains ou à mes parents:
- en fait, suis encore puceau, j'ai jamais... juste embrassé une copine de classe... mais bon, elle fume, c'est dégueu, le goût du tabac dans la bouche, rétorquais-je en souriant. Et puis, sais pas si je suis normal, en fait?
- normal? dans quel sens, tu veux dire?
- ben, mon sexe d'abord, il est pas très... long, j'ai des petites couilles, suis pratiquement imberbe, j'ai pas besoin de me raser, je suis pas très viril quoi... et puis, je crois être plus attiré par les garçons que par les filles...
- holà, comme tu y vas! me répondit le toubib. D'abord, tu dois savoir que tout le monde n'est pas fait du même moule, heureusement, la vie est faite de diversité. Concernant ton sexe, je constate qu'il ne se porte pas si mal, non?
- ouais je bande, c'est sûr, répondis-je, mais regardez, il est pas très long, même en érection, n'est-ce pas?
- je trouve que tu es dans la normalité, si tant est que l'on puisse parler de normalité... tu... tu éjacules normalement? se hasarda mon toubib.
Ma gêne du début s'était totalement évaporée et j'avais maintenant envie de jouer avec le chir qui devenait de plus en plus indiscret.
- sais pas, ça veut dire quoi? j'éjacule pas beaucoup en tout cas... vous pourriez contrôler ça?
Le toubib me parut pour la première fois désarçonné par ma demande.
- je... je vais te palper les testicules.
Je n'en demandais pas tant! ou plutôt si, désormais, j'en demande plus!
Le toubib s'attarda sur mes bourses imberbes qu'il caressa minutieusement, je pense qu'il y prenait plaisir et moi aussi. Je me remis à bander.
Je gémis délicieusement afin de lui faire comprendre que j'étais disponible. Les doigts du toubib quittèrent mes bourses, je les sentis soudain s'appesantir sur la hampe de ma verge turgescente. Le toubib ne parlait plus. Il me caressa, il me masturba délicatement, puis les va-et-vient de ses doigts s'accélèrent s'intensifièrent, il me branla frénétiquement pour faire sortir la semence. Mais je n'étais pas prêt. Nos regards se croisèrent un instant et il finit par enfourner ma verge dans sa bouche chaude et humide. Putain, c'était la toute première fois qu'un mec me suçait, et c'était tout simplement divin... J'aurais bien voulu à mon tour soupeser son paquet, un paquet d'homme mûr, ça doit être lourd, j'aurais bien aimé aussi caresser son torse viril que je devinais poilu, mais bon, j'étais dans mon plaisir, les yeux fermés, et je me contentais de soupirer dans l'extase que cet homme provoquait en moi. Je sentis soudain venir la sauce alors que le toubib me suçait tout en réchauffant de sa main mes couilles devenues dures, serrées l'une contre l'autre. Je sortis brusquement ma verge de sa bouche.
- arrêtes! je vais jouir... caresse-moi le sexe, fort fort, fort! lançais-je dans un soupir. Je m'aperçus que je l'avais tutoyé.
Le chir reprit sa branle, il se fit très viril. Je râlais comme un damné quand un premier jet s'étala violemment sur mon torse, bientôt suivi de quatre ou cinq giclées mémorables. Le toubib continua de me caresser jusqu'à la dernière goutte. Je jutais de plaisir en suffoquant à chaque expulsion. Bientôt apaisé, je soupirais d'aise et rouvris enfin les yeux...
- c'est ce que l'on appelle un orgasme, une jouissance,
me dit sobrement le toubib en m'essuyant le ventre et ma queue de plusieurs papiers scottex. Tu peux être rassuré, ton sexe est normal, il réagit tout à fait correctement aux sollicitations manuelles et buccales. Et pour ta semence, rien de particulier, elle est bien épaisse, dense, et puis... y'en a assez, je pense pour peupler le pays, ajouta-t-il en rigolant.
Je me rhabillais tandis que mon toubib se rinçait les mains. La gêne était revenue, chez moi en tout cas. Ce que le toubib venait de faire, c'était pas tout à fait normal, je pense, mais moi, je l'avais bien cherché!
- bon, voilà ton ordonnance... Maintenant... savoir si tu préfères les hommes aux femmes, c'est à toi de décider, de faire tes expériences, tu verras bien. Protège-toi en tout cas, les capotes sont la seule protection efficace contre les MST et le SIDA.
- oui, je sais... en tout cas, merci docteur pour tout. C'était bien sympa, et puis maintenant je suis rassuré.
Il me tendit une solide poignée d'homme et nous nous sommes quittés, lui regagnant son bureau avec un autre patient, et moi, le regard hagard dans les rues de Paris, me remémorant les instants délicieux que je venais de vivre, m'interrogeant sur leurs véracités. Mon bas-ventre encore humide et ma verge collée au boxer me convainquirent que tout cela s'était bien déroulé dans la vraie vie. Ce toubib m'avait quelque part un peu dépucelé et je m'en suis voulu sur le moment de n'avoir pas osé le caresser, le sucer et faire vraiment l'amour avec lui, mais bon, il n'aurait sans doute pas accepté!
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai été tres emballé par ton histoire car il m'est arrivé globalement la meme chose par un medecin superbe et d'une incroyable douceur qui me transporta . A renouvellé quelques expériences, moi oui
Divin et bien écrit, grosses jutes à chacune de mes lectures lol!
Ah oui, j'oubliais... C'est quand même le toubib qui m'a essuyé la queue et le bas ventre crémeux de sperme, avec du papier essuie tout,et bien consciencieusementn ça c'est véridique. J'ignore s'il a pris du plaisir...
A ta question, digne lecteur, je dirai que mon histoire est authentique, à un détail
près, le toubib ne m'a pas branlé, il s'est contenté de me voir faire... Et quand après
de longues minutes,j'ai finalement éjaculé, il a simplement dit: eh bien, c'est plutôt
abondant tout cela,rien de plus normal!
Quant à mon dépucelage, pour l'autre lecteur, c'est fait!! depuis pas mal d'années
d'ailleurs, vu que mon histoire s'est passée il y a presque dix ans maintenant. Désolé!
ce ne sera pas avec toi...
près, le toubib ne m'a pas branlé, il s'est contenté de me voir faire... Et quand après
de longues minutes,j'ai finalement éjaculé, il a simplement dit: eh bien, c'est plutôt
abondant tout cela,rien de plus normal!
Quant à mon dépucelage, pour l'autre lecteur, c'est fait!! depuis pas mal d'années
d'ailleurs, vu que mon histoire s'est passée il y a presque dix ans maintenant. Désolé!
ce ne sera pas avec toi...
Putain, moi j'aurais bandé si l'infirmière avait touché à ma bite!
Et depuis, tu t'es fait dépuceler? ahahah, sinon, moi je suis partant!!
j'aurais bien aimé être à la palce du docteur pour te sucer comme un dieu et te déflorer la rondelle, petit puceau!!
Ouah!!! fantasme ou réalité?? Trop bien comme histoire...