Chienne Loulou 3 - histoire érotique

Je devinais par l'oeilleton que l'on me regardait et j'ai entendu, t'es qui?
C'est moi Louis.
-Prouve le.
Ok j'ai ouvert mon jean dévoilant mon sexe. J'ai entendu les verrous et je suis entré. Bonjour Angelo, ça va?
-Je t'ai dis quoi quand tu arrives?
Ho pardon. J'ai vite ôté mes fringues.
-Je préfère. Tends ton cou et tes mains. Il a remis le collier ôté le matin. Eric a révoqué ta présence chez Uber donc t'es disponible jusqu'à la fin de ta coupure. J'en ai parlé au téléphone avec Eric, et on est d'accord lui et moi que t'as des poils là où on en veut pas! Je vais commencer par tes jambes.
Euh, ils se foutent déjà de moi au taf quand je me change et que je n'ai pas de slip.
-Et alors? Il a saisi ma queue tirant le prépuce en arrière j'avais bavé et ça se voyait aussi sur l'intérieur du jean, ça n'a pas l'air de t'avoir déplu. Il a passé les doigts sur le gland encore humide et les a porté à ma bouche. Lèche!
Je n'avais jamais goûté ma bave de bite mais ce n'a pas été désagréable.
-Allonges toi sur le canapé, sur le dos. Mets les talons sur la barre que j'ai mis au fond. Il a sorti un pot de son sac. Une fois ouvert, l'odeur était forte et il a étalé de la crème sur mes jambes, de l'aine ou il en restait jusqu'au dessus de mes pieds, partout ou j'avais un peu de poils. Ne bouge plus , tu tâcherais ton canapé. T'es en location ici?
Evidemment je ne peux pas acheter. Trop cher.
-Et tes parents?
Quittés, trop rigides cathos et quand ils ont su que j'étais gay, il a fallu me débrouiller.
-Je devine. Je vais être sympa j'ai apporté un dvd qui évoque un peu ton rôle tu sauras ce que l'on attend de toi. Il l'a engagé dessous le petit ensemble télé-dvd que j'avais et a allumé. Je pouvais voir entre mes pieds un mec nu, de dos, pieds écartés, penché en avant. Il a écarté ses fesses rasées, sa rondelle était distendue et on voyait ses couilles attachées, pendantes, un poids fixé à un petit collier les tenait comme ça. Je bandais comme un dingue. Angelo a entouré mes couilles entre ses doigts.
-Ne jouis pas. Regarde , sinon je serre et ça va faire très mal.
La caméra a tourné sur le côté montrant son sexe tendu, collé au ventre. Derrière lui, un gode ventouse fixé au mur. Réaliste, veiné, décalotté mais avec les bourrelets de la peau et il a reculé doucement, s'arrêtant au contact du gland. Une main passe du lubrifiant sur le gode et entre les fesses du mec. Et l'écran devient noir.
J'ai les doigts d'Angelo serré sur mon sac. Tu mouilles, je crois que tu feras une vraie chienne. Il passe un racloir sur la crème laissant mes jambes encore plus nues puis m'emmène sous la douche pour ôter le reste. Ses doigts glissent sur ma peau.
-Pas mal, ils vont se marrer à ton job. Reprends la position.
Je m'allonge à nouveau. Je me sens un peu féminin malgré ma bite raide.
-Comme on veux que tu ais honte mais la vraie honte, je vais te branler. Ne ris pas ce sera rapide et je le ferais tant que tu auras du jus. Il a agi rapidement. J'ai envoyé le premier jet sur mon ventre secoué par le plaisir, ça ne l'a pas arrêté et il m'a branlé encore et encore. je tremblais mais il a arrêté quand j'ai demandé grâce.
-Je vais profiter de ta queue molle et baveuse pour t'installer une cage qui t'empêcheras de jouer avec ton asticot. Il a enfermé le sac et la queue dans un anneau sur lequel il a posé un tube brillant qui a coulissé sur le gland et qu'il a fixé avec un cadenas. Une fois fini il l'a ôté les chaînes des poignets pour en passer une qu'il a fixé de l'autre coté à son poignet. Va te doucher. Tu pues ton sperme.
L'eau coulait sans retenu sur mes jambes, sensation nouvelle pour moi et cette cage qui maintenant m'empêchait de bander. La honte quand je me changerais tout à l'heure pour le service du soir! Bon, j'avais voulu il allait falloir assumer. Quand l'heure est venue il m'a tendu un jean qu'il avait déchiré aux genoux et un sweat pour le haut. Le tissus sur les jambe nues me donnaient des idées ajoutées à la couture entre les fesses. En vélo j'ai retardé un peu mais bon il fallait me changer et je me suis fait traiter de gonzesse, surtout quand ils ont vu la cage sur mon sexe.
Bon une fois changé j'ai eu droit à des caresses sur les fesses et de petites claques mais j'ai évité le pire en disant que je faisais un test pour le sida. Là ils m'ont laissé tranquille. De retour chez moi il a m'a fallu me mettre nu sur le palier avant qu'il m'ouvre la porte. Avec lui, un mec que je connaissais pas. Grand, pas la bête mais musclé, il m'a poussé vers le bas devant lui sans un mot. J'ai vu la bosse avant qu'il me prenne la main pour la palper.
Je t'ai vu dans tes oeuvres pour l'essai et tu vas me servir de la bouche! Pas un mot. Une chienne se tait et obéi. J'avais à peine vu sa tête genre beur mais j'ai bien vu ce que j'ai fait sortir en écartant le boxer. Je ne pensais plus qu'à lui faire plaisir et j'ai suçoté le bout avant que d'une poussée sur la nuque il me l'envoie bien au fond à buter contre ma gorge au fond.
-Quand je te dis de me servir c'est pas de chipoter comme ça , c'est de sucer comme une lope suce un mec!
Message reçu j'ai sucé sur la longueur l'engin bien formé. En plus j'aimais ça. Sucer une belle bite est un plaisir qui se partage facilement. Moi avec les queues en bouche et le plaisir du mec qui sent ma langue et mes lèvres. Ma récompense m'a été retirée pour que je la reçoive sur le visage les yeux fermés. La puissance des jets diminuant doucement. Il a remonté le zip en souriant.
-Angelo je crois que la cage lui convient. Maintenant il sait que donner du plaisir sans rien recevoir est bon pour lui.
Je le savais depuis longtemps mais j'ai fermé la bouche savourant le plaisir donné.
-File sous la douche lopette. Je dois parler avec Benji.
J'ai été me laver du jus qui coulait de mon visage et quand je suis revenu Angelo souriait de toutes ses dents.
-Tu vas écrire deux lettres. Une pour ton job disant que tu le cesses et une autre pour ton proprio l'informant que tu n'habiteras là qu'épisodiquement , qu'il ne s'inquiète pas, tu payeras comme d'habitude tes versements. Ce soir , on commence de suite à trier tes fringues. Je viens de consulter les résultats de tes test et c'est négatif. Tu vas pouvoir vraiment être la chienne que tu veux être.
Il a ouvert mes placards, fouillant mes fringues, ne gardant que celles qui faisaient pute , jean serré, short échancré ou très large, jock, string. Débardeur hyper large. Bref tout ce que je voyais qu'il sortait avait pour moi une histoire.
-Mets tout ça dans un sac. On s'en servira. Ce soir tu sors avec juste le string et le collier jusqu'à la voiture.
Il avait allumé la télé et il matait un film amené par lui. Du cul évidemment mais aussi des lopes , ramassées au hasard dans les boîtes ou défoncées par le mélange alcool et drogue. La plupart étant des acteurs et étaient manipulées sans façon, mis à nu et explorés, bouche et cul. Fessés pour les récalcitrants. Ma bite dans sa cage cherchait à se tendre et bavait . On a attendu que le soir tombe puis la nuit avant qu'il me pousse sur le palier et referme la porte à clé. J'avais le sac à la main et sans être en infraction car je ne montrais pas mon sexe, on est allé à sa voiture.
Coup de pot ou pas , je ne sais pas, mais personne ne m'a croisé. Il a pris le volant, appuyant sur un bouton le coffre s'est ouvert.
-Monte à ta place.
J'ai enjambé le seuil du coffre et me suis roulé en boule. Une fois refermé je ne savais pas ou on allait mais après un moment à tourner on a pris de la vitesse. J'ai compris qu'on sortait de Bordeaux. Un ralentissement puis une accélération cette fois plus forte, on devait être sur l'autoroute.