Chiottes privées

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Chiottes privées Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chiottes privées
Farid vient d'emménager dans un immeuble de banlieue, une grande tour. Il est au 2ème et une de ses fenêtres donne directement sur l'entrée du parking.
C'est le nez au vent à sa fenêtre, regardant les mecs passer dans la rue qu'il a été intrigué de voir le nombre de personnes qui entraient dans le parking et il ne voyait qu'une ou deux voitures sortir. Certains mecs ne ressortaient à pieds qu'une bonne heure plus tard.

Farid est un beau rebeu de 30 ans, il se qualifie lui-même de bi mais il préfère niquer les mecs "à la sauvage" comme il dit alors qu'avec les meufs il aime prendre son temps dans un lit.
Ce qu'il aime Farid avec les mecs, ce sont les rencontres dans les chiottes où les salopes viennent sucer de la queue et se faire niquer.

Près de son ancien domicile, il avait des chiottes publiques ouvertes aux quatre vents, sans gardien et il en a niqué du mec, la tête dans l'urinoir faisant couler l'eau pendant que ses 23 cm remplissaient le petit cul. Même quand d'autres personnes entraient il ne s'interrompait pas et en fin de compte aimait se faire mater quand il démontait un mec pour leurs plaisirs. Ce n'était pas rare que les spectateurs se bousculent pour le sucer après...

Il faut que je trouve un autre endroit dans le quartier pense t-il en matant un jeune mec sortir du parking.
Un petit mec de 25 ans, blond châtain, qui semble souffler et reprendre ses esprits, machinalement il se gratte les couilles et fait bouger son sexe comme s'il tirait sur son slip.
J'l'ai pas vu entrer celui-là pense Farid.
Ce n'est qu'au bout de deux ou trois jours de ce même manège qu'enfin il se décide d'aller voir dans le parking.

Bah c'est un parking comme les autres, la barrière pour sortir est baissée comme celle pour entrer. Il y a pas mal de voitures de stationner mais il ne voit personne à l'horizon. Il fait un tour pour voir que le fond bifurque sur la droite et son cœur se met à battre quand il voit une petite pancarte noire avec d'écrit en blanc en lettres capitales : "WC". La direction est indiquée par le sens de la flèche.

Un sourire se dessine sur ses belles lèvres, ses yeux pétillent de malices. Bien sûr qu'il suit la direction annoncée et au fond de ce recoin, pratiquement dans la pénombre une porte coupe-feu portant le même sigle.
Il s'approche, presque intimidé comme s'il allait découvrir un trésor.
Il pousse la porte qui ne résiste pas. La lumière s'allume et il reste la bouche ouverte devant le spectacle.

Sur la droite deux petits éviers, au fond trois urinoirs, et sur la gauche trois portes.
C'est le silence total, presque assourdissant.
Il pousse la première porte, des chiottes, la deuxième pareille mais il remarque un Glory Hole entre les deux. Seule la troisième cabine n'en possède pas.

Il entre dans la troisième, referme la porte derrière lui et observe lentement le décor, se rend compte qu'on tient facilement à deux dans cette cabine, les chiottes sont propres, l'eau coule quand il appuie sur le bouton. Un sourire se dessine sur les lèvres que pas mal de mâles voudraient embrasser. Il regarde la serrure, son sourire s'agrandit.
Une idée vient de germer, il va installer tout ce qu'il faut.

Il en profite pour pisser, sortir son gros zob semi dur qui urine avec violence sur la faïence. Il s'amuse à montrer à son zob le "décor" alentours. Cela semble lui plaire car il se met à durcir. Il ne va pas se branler maintenant. Il range le matériel et sort de la cabine pour voir entrer deux mecs d'une quarantaine d'années qui se taisent en le matant, le détaillant comme s'ils allaient le bouffer. Il voit bien qu'il leur plait, mais il a son idée, il les toise d'un air arrogant, presque méprisant et sort des chiottes.
Son idée vient de faire son chemin.

Le lendemain, ça tombe bien il ne travaille pas, il fait quelques courses et descend dans le parking avec le matériel.
Comme il s'y attendait, à cette heure il n'y a personne. Il file dans la cabine de la veille, referme la porte. Il fait sauter le verrou et avec une perceuse fore un trou pour installer une serrure et pouvoir fermer cette porte de l'extérieur également.
Comme c'est un bricoleur, le travail est vite fait et sur la porte, il colle un petit panneau qui le fait sourire "PRIVE".
Ce qu'il avait toujours rêvé, avoir ses chiottes privées pour s'adonner à ses vices et combler ceux des autres...

Il s'est remis à la fenêtre pour observer le manège et quand il a compris qu'il y avait du monde, il est arrivé tel le sauveur... Il a tout fait pour se faire remarquer Farid quand il allait faire son entrée. Il a mis son survêt de marque qui lui colle à la peau et dessine bien son gros zob, même au repos, de quoi alimenter les fantasmes de toutes les salopes qui se trouvent là, et un tee-shirt blanc, moulant son torse musclé.

Il s'est bien peigné, rangeant ses cheveux qui tombaient en bouclettes sur son front jusqu'aux sourcils, ses yeux noirs étaient en chasse et son sourire carnassier éclairait son visage fin de rebeu.

Quand il est entré il a vu de suite les trois mecs au fond occupants chacun un urinoir et les mains qui ne tenaient pas forcément la queue de son propriétaire.
"Sa" porte est toujours fermée et il entend du bruit dans les cabines, comme des gémissements... il bande instantanément.
Trois têtes se retournent et il voit bien qu'ils sont stupéfaits.
Trois céfrans, deux de 40 ans environ qui encadrent un plus jeune qui les branle en cadence.

Le plus jeune doit être dans les âges de Farid qui, les mains dans les poches, pose son cul sur un évier, se caresse le zob pour bien le faire durcir et fixe le plus jeune de son regard de mâle dominateur. Il le mate comme s'il lui disait avec les yeux, "je t'ai choisi, viens là!" et son regard lui montre le chemin.

Le mec semble hésiter, son regard parcourt le corps du rebeu, ses yeux s'attarde sur l'entrejambe libre et il voit bien la forme de la queue qui semble d'une autre dimension que les deux qu'il tient en main.
Le regard du rebeu est intense et le jeune mec lâche les deux bites, se retourne pour montrer son service 3 pièces, une belle queue coulante bien raide, il n'a que trois enjambées à faire pour se retrouver devant le rebeu en le fixant.

Il tend la main comme pour se saisir du zob du rebeu, qui le retient en se redressant de toute sa stature :
-je ne fais pas de représentation publique, viens!
Il le tire vers "sa" porte, sort une clé, ouvre, pousse le mec à l'intérieur et referme derrière lui.
Ce qu'il ne voit pas ce sont les deux mecs la queue à la main venir devant la porte et voir "PRIVE". Ils écoutent en silence.

Le rebeu toise sa proie, son sourire devient ironique, sa main vient caresser la joue du céfran, une douce caresse qui lui donne des frissons et le fait bander encore plus. Le rebeu lit dans les yeux du céfran qui se demande ce qui va lui arriver.
Le rebeu se penche sur lui :
-fous toi à poils ma belle salope que je vois toute la marchandise.
Dans le bruit des froissements de vêtements, le mec se met nu, en chaussettes devant le regard intéressé du rebeu qui mate le beau corps de ce châtain clair, la queue raide, le gland bien décalotté, la mouille coule, les couilles sont remontées sur la queue.

Sa main vient à nouveau caresser la joue.
-t'aimes le zob ?
Le mec fait oui de la tête.
-t'aimes te faire niquer ?
-oui dit le mec.
-donc t'es une salope, tourne toi que je vois ton petit cul.
Le céfran se retourne et se penche en avant, écartant bien ses fesses et Farid peut voir le petit trou rouge déjà ouvert!
Ses yeux lancent des étincelles pendant que sa queue fait des bonds dans son boxer.

Il baisse juste son survêt et boxer libérant son monstre dur comme de l'acier trempé, lui aussi la mouille sort.
Il passe son zob dans la raie, faisant des allers retours, frottant l'anus ce qui fait gémir le céfran.
-écarte bien tes jambes salope, j'veux pas te démolir le cul, alors ouvre le bien.

Son gros gland est positionné, il laisse tomber juste au bon endroit un paquet de salive qu'il écarte avec son gland et force l'entrée en prenant le céfran aux hanches.
Son zob peine à entrer, mais le céfran pousse et les 23 cm s'engouffrent dans la caverne chaude et humide sous un hurlement du céfran qui recule son cul sur le gros zob qui arrive bien au fond.

Quelques claques sur les fesses pour attendrir... et les mains du rebeu viennent caresser le dos jusqu'à la nuque qu'il masse.
-ouvre bien ton cul avec tes mains salope!
Les mains lâchent le bidet et viennent écarter les fesses encore plus, pendant que celles du rebeu poussent la tête du céfran pour entrer dans le bidet, le cul bien l'air.

D'un geste vif le rebeu actionne l'eau et la tête du céfran est comme noyée dans le tourbillon de flotte. Il n'a pas le temps de réfléchir plus que les mains du rebeu le reprennent aux hanches et qu'il se fait niquer en beauté par le gros zob dur qui racle sa paroi, lui donnant des frissons, des sensations qu'il est sûr n'avoir jamais connu.

Il est heureux Farid de voir son zob coulisser comme ça dans ce nouveau cul!
Quand il jouit, il grogne de contentement, sentir son jus brûlant entourer sa queue, se répandre dans le conduit, remplir comme s'il ne voulait jamais arrêter. Lui grogne et le céfran gémit longuement.
Le rebeu sort doucement de ce nouveau cul, regardant son jus s'échapper, couler sur les jambes du céfran qui se redresse doucement. Farid le retourne, l'observe, le fixe et vient caresser sa joue encore mouillée, les cheveux plaqués sur sa tête.

Les yeux clairs du céfran sont doux, reconnaissants et il croit voir dans ceux du rebeu de l'admiration, sa caresse est douce, tendre comme s'ils se connaissaient depuis longtemps. Le céfran approche sa tête de la sienne comme si ses lèvres voulaient venir sur celles du rebeu. Mais la main lui met la tête sur l'épaule, il peut respirer le rebeu.
-t'as pas fini ton boulot le céfran, faut nettoyer le matériel.

Comme s'il n'attendait que ça, le céfran s'assoit sur le bidet pour prendre en main le gros zob du rebeu et le lécher comme il aime. Il adore tenir une queue et la lécher, l'avaler, la noyer de salive, la faisant pénétrer au plus profond de sa gorge, se faisant tousser, pleurer, cracher mais le gros zob semble content du traitement, il est redevenu dur.

Il l'aspire, le lèche, le serre entre ses lèvres chaudes et le gros zob durcit encore plus, sursaute et les giclées reviennent en même temps que les grognements du rebeu.
Il a le sourire le céfran de voir que son rebeu est content du traitement.
Le rebeu s'agenouille devant lui, pose ses mains sur ses genoux.
-montre moi comment tu jouis le céfran, branle toi en me fixant, je te dirais quand juter!
Les yeux du céfran brillaient quand il s'est adossé aux chiottes, pris sa belle queue en mains, une sur les couilles et l'autre tenait la hampe.

Il se branle lentement comme une caresse, montrant bien son gland se recouvrir et se découvrir au maximum, devenir rouge vif. Les yeux du rebeu ne quittait pas la queue du céfran, la main accélérait, les râles du céfran s'accentuaient.
Le rebeu le regarde :
-doucement ma salope, tu vas jouir trop vite, sent bien le plaisir arriver... pense à moi ma belle salope, pense à ce que le rebeu pourrait te faire pour te faire jouir plus vite... tu vois ma belle salope que tu bandes encore plus! tu le sens le plaisir arriver, regarde ma langue qui pourrait toucher ton gland, recueillir ton jus... c'est ça que tu voudrais le céfran, alors jute maintenant ma salope!

Et dans un grand soupir, les yeux ne quittant pas le rebeu, le céfran a joui comme rarement il ne l'avait fait de sa main et le rebeu observe la première giclée s'envoler pour retomber sur le corps du céfran et les giclées se suivent toujours aussi abondantes. Il transpire le céfran en lâchant sa queue qui retombe sur son ventre, laissant couler encore du liquide... Il a l'air épuisé quand il regarde le rebeu.
-tu m'as tué dit il en souriant.
-oui mais moi tu m'as excité et quand je suis excité, faut que je nique ma salope!
Le sourire aux lèvres le céfran s'est relevé et reprend la première position. Avant de pouvoir ouvrir ses fesses qu'il sent le gland passer dans sa raie, trouver l'anus.
-bouge plus le céfran.

Une main sur son épaule, l'autre aux hanches il sent le gros zob forcer son entrée, il pousse et tout glisse à l'intérieur, direct au fond avec en prime un nouveau hurlement, de contentement!
Il est niqué rapidement, les va-et-vient sont secs et puissants, le rebeu lui soulève une jambe et il a l'impression que le zob va encore plus profond et d'un seul coup dans un long grognement, les giclées reprennent et coulent en lui. La chaleur se répand dans tout son corps. Le rebeu le serre contre lui, il sent ses lèvres passer dans son cou, sa nuque, il baisse la tête et le rebeu le mord, oh pas durement, mais comme s'il voulait laisser sa marque, sa trace en disant "t'es à moi maintenant", enfin c'est ce que comprends le céfran et dans don for intérieur, il est d'accord.
Le zob glisse de ses entrailles, il se retourne, souriant au rebeu :
-et voilà maintenant faut que je recommence le nettoyage.

Le rebeu sourit pour sentir immédiatement les douces lèvres du céfran s'emparer de son zob. La langue entrer en action et sentir que son zob apprécie énormément le travail de cette salope. Il met de l'entrain, on sent bien qu'il n'est pas forcé de faire cela, il prend son temps car le zob durcit encore. Il regarde le rebeu.
-tu veux jouir dans ma bouche ? demande t-il d'un regard suppliant.
-ça risque d'être un peu plus long répond le rebeu.
-j'suis pas pressé dit le céfran en se remettant à son ouvrage.

Le céfran s'est permis des fantaisies, caressant les couilles, venant les lécher, les gober une par une pour avaler les deux, ressemblant à un hamster, mais quand il a recommencé de s'occuper du gros zob c'était pour recevoir la liqueur rebeu.

Et il a été servi encore une fois, avant de se réfugier dans les bras du rebeu qui a compris qu'il voudrait l'embrasser... mais le rebeu n'embrasse pas les mecs!
-faut te rhabiller ma belle salope, on va sortir! dit le rebeu qui n'avait retiré aucun vêtement.
Il a observé le céfran se rhabiller qui aussitôt vient se coller au rebeu.
-je m'appelle Lucien dit le céfran et j'habite au dessus dans la tour, si tu veux venir chez moi j'suis d'accord le rebeu.

Il l'a toisé, de son air ironique, l'a pris à la gorge et ses lèvres sont venues se poser sur celles du céfran, les retirant au moment où il sent sa langue arriver.
-t'es une belle salope intéressante, on verra ça! dit le rebeu en lui mettant une claque sur les fesses qui fait sourire le céfran Lucien.

Il ouvre la porte et pousse Lucien dehors, ils sont estomaqués de trouver 3 mecs pratiquement à poils, la queue à la main qui manifestement se sont branlés, car vu les flaques qu'il y a au sol...
Le rebeu les regarde durement les uns après les autres.
-vous me nettoyez ça avant de partir, bande de salopes, sinon ça va chauffer pour vos gueules.
Il referme la porte et sort avant qu'aucun n'ait ouvert la bouche.

Il a le sourire Farid, il a trouvé sa garçonnière à mecs... des chiottes privées!

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