Christine
Récit érotique écrit par MaîtreChat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Christine
J'ai eu envie de donner une suite à mon histoire de train et j'ai imaginé ce qui suit...
Deux ans plus tard, mon père n'avait toujours pas obtenu sa mutation et j'ai continué à passer certaines vacances chez lui dans le sud. Il ne m'était rien arrivé d'autre dans le train, cependant j'ai encore vécu des aventures aussi extraordinaires qu'inattendues.
Alors que je me retrouvais seul un après-midi, la plupart de mes copains ayant soit des activités de club soit déjà un boulot, j'ai décidé d'aller rendre visite aux parents de certains d'entre eux qui effectuaient leur service militaire alors que j'étais en sursis.
Je suis monté chez Michel dont les parents habitent dans le même escalier que mon père. J’ai trouvés ses parents en grande discussion à propos de leur plus jeune fils. Alain ne décolérait pas et Christine faisait tout son possible pour le calmer.
Je m'apprêtais à m'éclipser quand Alain me dit :
- Non non, reste ! Je dois aller à un rendez-vous à la mairie et prendre l'air me fera le plus grand bien.
Il est sorti, me laissant seul avec Christine. Après quelques banalités d'usage elle a proposé de me faire un café. J'ai accepté et je l'ai suivie dans la petite cuisine.
Pendant que la cafetière italienne montait en pression, elle a saisi mes bras et me tenant devant elle, elle m'a détaillé en disant :
- Attends que je regarde un peu le beau jeune homme que tu es devenu…
Elle m'a examiné sous toutes les coutures, me palpant ça et là comme un maquignon et semblant satisfaite, elle a dit :
- Pas mal ! Tu t'es étoffé, tu es vraiment un homme maintenant…
Puis en se trémoussant devant moi avec un grand sourire elle m'a demandé si je la trouvais jolie et si elle avait changé depuis la dernière fois où je l'avais vue.
Je l'ai détaillée à mon tour, admirant le renflement de sa généreuse poitrine au travers de sa robe légère. Puis je l'ai fait tourner sur elle-même pour voir si elle avait toujours le beau cul sur lequel je fantasmais quand j'étais plus jeune. Je l'ai replacée face à moi et j'ai posé mes mains sur ses hanches en disant :
- Splendide ! Vous êtes toujours aussi belle, vous n'avez pas changé.
- Flatteur ! dit-elle en levant le nez vers moi. Mes seins tombent et j'ai grossi.
- Mais on ne s'en rend pas compte, vous semblez être toujours la même ! dis-je sur un ton scandalisé.
- Peut-être mais moi je m'en rends compte…
Et a elle pris mes mains pour le faire remonter sur les prétendues poignées d'amour, puis les faisant remonter encore plus haut elle les a posées sur ses seins généreux en me regardant dans les yeux et a dit :
- Alors ! Tu me crois maintenant ?
Surpris et quand même un peu gêné, j'ai répondu :
- Mais non Christine, votre poitrine ne tombe pas, elle est même très ferme !
- C'est parce que j'ai un super soutien-gorge, mais sur la plage on le voit bien.
- Je reviendrai donc cet été pour vérifier, ai-je dit en riant.
- Qu'il est bête ! Tu n'es même pas certain de passer tes vacances ici…
Elle a saisi la cafetière et me poussant vers le salon et je l'ai suivie. Je me suis installé dans le canapé et en posant le plateau avec la cafetière et les tasses sur la table elle a dit :
- Attends une seconde, je reviens !
J'ai attendu un peu intrigué et au bout de deux ou trois minutes elle est revenue vêtue d'une robe d'été sans manches boutonnée sur le devant. Elle avait laissé deux doutons détachés ce qui permettait de voir la naissance de sa poitrine sans pour autant la dévoiler. Elle a servi le café en prenant bien soin de se pencher devant moi pour que je puisse plonger mon regard dans son décolleté. Je ne m'en suis pas privé et j'ai vu qu'elle avait enlevé son soutien-gorge. Elle s'est assise près de moi sur le canapé et nous avons commencé à boire notre café en silence. Après avoir reposé sa tasse, elle a pris ma main et l'a posée sur sa poitrine en me disant :
- Touche maintenant ! Tu vois bien que sans soutif ça tombe…
Je pris son sein dans ma main, le flattant de la paume puis je l'ai soupesé et j'ai répondu en caressant le mamelon de mon pouce au travers du tissu.
- Non Christine, ce n'est vraiment pas dramatique, vous avez une poitrine très ferme et vu le volume de vos seins, c'est normal qu'ils tombent un peu. Je connais plein de jeunes nanas qui aimeraient être comme vous…
Elle m'a regardé avec un air gourmand et déboutonnant le haut de sa robe elle a dit :
- Regarde, en plus, je trouve que les bouts sont trop gros…
J'étais plutôt déconcerté mais j'appréciais ce semblant de striptease. Je savais que Christine n'était pas très pudique mais là, je ne savais plus quoi penser, c'était une véritable provocation. Je regardais la poitrine dénudée de cette femme entre deux âges et tout à fait appétissante sans que ça semble la gêner le moins du monde. Elle s'est levée et continuant à déboutonner le devant de la robe elle m'a demandé :
- Ton père m'a dit que tu fais de très belles photos de nus, tu crois que je pourrais encore servir de modèle ?
Elle s'est tournée vers moi, tenant les deux côtés du vêtement largement ouvert afin que je puisse juger son corps. Elle était totalement nue sous la robe d'été et je reluquais avec gourmandise le renflement de son pubis à peine ombré d'un triangle de poils blonds partant de son ventre à peine rebondi et désignant de sa pointe la fente de son sexe. Attendant que je réponde, elle a tourné sur elle-même en laissant tomber le vêtement. Son cul me parut aussi beau que lorsque je l'avais regardée se doucher plusieurs années avant à la fin d'une journée de vendanges.
- Alors, qu'est-ce que tu en penses ?
- Et bien ma foi, je confirme que bien des nanas seraient fières d'avoir votre corps. Vous pouvez passer une annonce sans craintes dans les revues photos.
- Alors tu me trouves à ton goût ?
- Tout à fait ! Si j'en juge par ce que je vois, vous pouvez rendre un photographe heureux…
- Tu ne voudrais pas me faire quelques photos ? Je ne suis pas certaine de bien savoir prendre la pose… tu pourrais sans doute me conseiller…
Disant cela, elle s'est approchée tout près de moi et m'a caressé la joue. J'avais son ventre nu à quelques centimètres de mon visage et je sentais ma gorge se serrer au fur et à mesure qu'une violente érection gonflait mon pantalon. Suivant du doigt une marque d'élastique sur sa hanche j'ai dit :
- En principe il faut éviter de porter des vêtements serrés environ une demi-heure avant de poser, sinon ça fait des marques comme ça.
Se tournant un peu sur le côté elle a acquiescé :
- Ah oui, je vois… puis elle s'est remise face à moi.
Elle était si près que je n'ai pas pu me retenir. J'ai posé mes mains sur ses fesses et je l'ai attirée contre moi pour poser un baiser sur son ventre.
- Hummm ! Tu es très délicat comme garçon… a-t-elle dit en frottant son ventre contre mon visage.
Je me suis laissé glisser à genoux devant elle et j'ai posé quelques baisers sur les poils de son pubis puis j'ai caressé le début de sa fente du bout de ma langue. Elle a gloussé, a écarté un peu les jambes et ses mains dans mes cheveux elle a basculé le bassin pour m'offrir sa vulve. J'ai écarté ses lèvres intimes du bout de ma langue et léché son clitoris qui commençait à gonfler. Me faisant me relever, elle a reculé vers un fauteuil où elle s'est installée et posant un pied sur chaque bras du siège.
- Continue, c'est très bon ce que tu me fais…
Je m'y suis donc employé passant mes mains sous ses fesses pour la soulever si nécessaire. J'ai suçoté son bouton d'amour dressé, léché ses lèvres tout au long de sa fente déjà mouillée, je l'ai pénétrée de ma langue aussi profond qu'il m'était possible. Elle soupirait fort et semblait prendre beaucoup de plaisir à mes caresses. De temps à autres elle envoyait son ventre vers ma bouche en gémissant.
Tout en léchant sa fente, je caressais son clitoris de mon pouce et j'ai vu son abdomen se contracter au rythme de mes caresses. Puis elle a relevé brusquement ses jambes de ses deux mains en glissant vers moi et s'est crispée avec un feulement.
Après un silence ou elle sembla récupérer son souffle elle dit :
- Putain que c'est bon !
Elle s'est redressée, puis elle s'est relevée en me prenant dans ses bras pour m'embrasser à pleine bouche. J'ai senti une de ses mains glisser jusqu'à ma virilité tendue à l'extrême et elle s'est exclamée :
- Houlaaaa ! Ta bitte est dure comme du bois, il faut que je m'en occupe…
Elle m'a repoussé légèrement puis a déboutonné mon pantalon et s'est accroupie devant moi en le faisant descendre jusqu'à mes chevilles. Délicatement elle a léché mon gland découvert puis elle a embouché mon sexe. Je sentais sa langue tourner autour de mon gland et je pénétrais sa bouche chaude avec délices. Me prenant les couilles entre ses mains elle m'a fait tourner sur moi-même et m'a poussé dans le fauteuil pour que je m'y assoie.
Quand j'ai été installé, elle a cessé sa fellation et embrassé avec ardeur. Puis elle a posé ses pieds sur le siège, de chaque côté de mon bassin, s'est accroupie et a pris ma verge en main pour la guider vers son vagin mouillé. Sa chatte était brûlante et elle soupirait lorsque je m'enfonçais en elle. J'ai posé mes mains sur ses seins et me suis rendu compte à quel point ils étaient fermes. Christine coulissait sur ma hampe faisant monter dans mon ventre des vagues de plaisir intense.
Décidément cette femme était non seulement un beau modèle mais aussi une grosse gourmande... Chaque fois qu'elle me sentait au bord de l'orgasme elle faisait varier son rythme et la profondeur de mes pénétrations. Au bout d'un moment je me suis rendu compte qu'elle aussi était prête à jouir. Je l'ai prise par les hanches et j'ai accompagné ses mouvements me plantant au plus profond de sa féminité. Puis n'y tenant plus j'ai éjaculé abondamment, la maintenant empalée sur mon membre dressé. Elle m'a regardé droit dans les yeux et projetant sa poitrine vers moi a joui à son tour avec un grognement rauque.
Nous sommes restés ainsi collés l'un à l'autre à reprendre notre souffle. Elle s'est relevée et m'a pris par la main en m'invitant à aller faire un brin de toilette. Elle a fait ses ablutions sur le bidet et je me suis lavé dans le lavabo. Quand j'ai eu fini elle s'est relevée et me poussant sur le côté a entrepris de se repeigner.
La voir nue de dos redonna de la vigueur à mon sexe qui dodelinait. Elle avait un cul splendide… je me suis collé à elle et passant mes mains sous ses bras, j'ai saisi ses seins lourds et lui ai dit en les caressant :
- Il a de la chance Alain d'avoir une femme comme vous…
Sentant mon sexe dressé entre ses fesses elle a dit :
- Mais tu bandes encore ! Puis elle a écarté les jambes et prenant mon membre en main elle m'a guidé en elle en se cambrant pour faciliter mes pénétrations.
J'ai laissé ses seins pour la prendre par les hanches et la besogner comme un forcené. Elle ondulait du postérieur amplifiant notre plaisir mutuel. Rapidement j'ai senti venir un orgasme et j'ai lâché ma semence en m'enfonçant jusqu'au bout de sa grotte mouillée avec un grognement féroce. Sentant ma verge au fond de sa gaine et mon sperme bouillant, elle s'est crispée avec une plainte flutée… Puis dit dans un soupir :
- Putain, il m'a encore fait jouir !…
Après quelques secondes, elle m'a repoussé puis se tournant pour un baiser ardent elle a dit :
- Dépêche-toi de faire une toilette, Alain va finir par rentrer… Ceci dit je te veux à moi toute une nuit. J'ai envie de tout essayer avec toi, tu pourras me prendre comme tu veux, je veux ta bouche partout sur moi et ta queue dans tous mes trous. Tu verras, nous passerons une nuit d'enfer…
Prenant ma main pour la poser sur son pubis elle m'a fait constater qu'elle remouillait déjà. Décidément cette femelle était un volcan… Je suis reparti rêveur, je venais de baiser la mère d'un de mes vieux copains…
L'occasion ne nous fut pas donnée de passer une nuit ensemble durant mon séjour. Cependant un matin, alors que j'allais ranger des affaires de pêche dans le cellier de mon père, je la rencontrais dans le couloir des caves. Elle se plaqua contre moi et prit ma main pour la guider sous sa jupe. Lorsque je posais mes doigts sur son pubis elle me dit :
- Touche ma chatte, tu sens comme je mouille pour toi ? Quand tu reviendras, fais-moi signe n'importe quand, je m'arrangerai pour qu'on puisse passer un bon moment ensemble…
Je commençais à la caresser mais entendant quelqu'un descendre je dus la laisser là, la chatte ruisselante.
J'ai pu passer quelques soirées débridées avec mes copains sans pour autant retrouver la réelle complicité que nous avions avant mon départ. J'avais manqué quelques épisodes plus ou moins glorieux et ça se faisait sentir dans nos relations. Sans devenir un étranger j'étais devenu une sorte de transfuge involontaire, une sorte de touriste... Je n'ai pas sombré dans la morosité, mais en tant que "touriste" j'ai vécu sur un autre rythme.
Deux ans plus tard, mon père n'avait toujours pas obtenu sa mutation et j'ai continué à passer certaines vacances chez lui dans le sud. Il ne m'était rien arrivé d'autre dans le train, cependant j'ai encore vécu des aventures aussi extraordinaires qu'inattendues.
Alors que je me retrouvais seul un après-midi, la plupart de mes copains ayant soit des activités de club soit déjà un boulot, j'ai décidé d'aller rendre visite aux parents de certains d'entre eux qui effectuaient leur service militaire alors que j'étais en sursis.
Je suis monté chez Michel dont les parents habitent dans le même escalier que mon père. J’ai trouvés ses parents en grande discussion à propos de leur plus jeune fils. Alain ne décolérait pas et Christine faisait tout son possible pour le calmer.
Je m'apprêtais à m'éclipser quand Alain me dit :
- Non non, reste ! Je dois aller à un rendez-vous à la mairie et prendre l'air me fera le plus grand bien.
Il est sorti, me laissant seul avec Christine. Après quelques banalités d'usage elle a proposé de me faire un café. J'ai accepté et je l'ai suivie dans la petite cuisine.
Pendant que la cafetière italienne montait en pression, elle a saisi mes bras et me tenant devant elle, elle m'a détaillé en disant :
- Attends que je regarde un peu le beau jeune homme que tu es devenu…
Elle m'a examiné sous toutes les coutures, me palpant ça et là comme un maquignon et semblant satisfaite, elle a dit :
- Pas mal ! Tu t'es étoffé, tu es vraiment un homme maintenant…
Puis en se trémoussant devant moi avec un grand sourire elle m'a demandé si je la trouvais jolie et si elle avait changé depuis la dernière fois où je l'avais vue.
Je l'ai détaillée à mon tour, admirant le renflement de sa généreuse poitrine au travers de sa robe légère. Puis je l'ai fait tourner sur elle-même pour voir si elle avait toujours le beau cul sur lequel je fantasmais quand j'étais plus jeune. Je l'ai replacée face à moi et j'ai posé mes mains sur ses hanches en disant :
- Splendide ! Vous êtes toujours aussi belle, vous n'avez pas changé.
- Flatteur ! dit-elle en levant le nez vers moi. Mes seins tombent et j'ai grossi.
- Mais on ne s'en rend pas compte, vous semblez être toujours la même ! dis-je sur un ton scandalisé.
- Peut-être mais moi je m'en rends compte…
Et a elle pris mes mains pour le faire remonter sur les prétendues poignées d'amour, puis les faisant remonter encore plus haut elle les a posées sur ses seins généreux en me regardant dans les yeux et a dit :
- Alors ! Tu me crois maintenant ?
Surpris et quand même un peu gêné, j'ai répondu :
- Mais non Christine, votre poitrine ne tombe pas, elle est même très ferme !
- C'est parce que j'ai un super soutien-gorge, mais sur la plage on le voit bien.
- Je reviendrai donc cet été pour vérifier, ai-je dit en riant.
- Qu'il est bête ! Tu n'es même pas certain de passer tes vacances ici…
Elle a saisi la cafetière et me poussant vers le salon et je l'ai suivie. Je me suis installé dans le canapé et en posant le plateau avec la cafetière et les tasses sur la table elle a dit :
- Attends une seconde, je reviens !
J'ai attendu un peu intrigué et au bout de deux ou trois minutes elle est revenue vêtue d'une robe d'été sans manches boutonnée sur le devant. Elle avait laissé deux doutons détachés ce qui permettait de voir la naissance de sa poitrine sans pour autant la dévoiler. Elle a servi le café en prenant bien soin de se pencher devant moi pour que je puisse plonger mon regard dans son décolleté. Je ne m'en suis pas privé et j'ai vu qu'elle avait enlevé son soutien-gorge. Elle s'est assise près de moi sur le canapé et nous avons commencé à boire notre café en silence. Après avoir reposé sa tasse, elle a pris ma main et l'a posée sur sa poitrine en me disant :
- Touche maintenant ! Tu vois bien que sans soutif ça tombe…
Je pris son sein dans ma main, le flattant de la paume puis je l'ai soupesé et j'ai répondu en caressant le mamelon de mon pouce au travers du tissu.
- Non Christine, ce n'est vraiment pas dramatique, vous avez une poitrine très ferme et vu le volume de vos seins, c'est normal qu'ils tombent un peu. Je connais plein de jeunes nanas qui aimeraient être comme vous…
Elle m'a regardé avec un air gourmand et déboutonnant le haut de sa robe elle a dit :
- Regarde, en plus, je trouve que les bouts sont trop gros…
J'étais plutôt déconcerté mais j'appréciais ce semblant de striptease. Je savais que Christine n'était pas très pudique mais là, je ne savais plus quoi penser, c'était une véritable provocation. Je regardais la poitrine dénudée de cette femme entre deux âges et tout à fait appétissante sans que ça semble la gêner le moins du monde. Elle s'est levée et continuant à déboutonner le devant de la robe elle m'a demandé :
- Ton père m'a dit que tu fais de très belles photos de nus, tu crois que je pourrais encore servir de modèle ?
Elle s'est tournée vers moi, tenant les deux côtés du vêtement largement ouvert afin que je puisse juger son corps. Elle était totalement nue sous la robe d'été et je reluquais avec gourmandise le renflement de son pubis à peine ombré d'un triangle de poils blonds partant de son ventre à peine rebondi et désignant de sa pointe la fente de son sexe. Attendant que je réponde, elle a tourné sur elle-même en laissant tomber le vêtement. Son cul me parut aussi beau que lorsque je l'avais regardée se doucher plusieurs années avant à la fin d'une journée de vendanges.
- Alors, qu'est-ce que tu en penses ?
- Et bien ma foi, je confirme que bien des nanas seraient fières d'avoir votre corps. Vous pouvez passer une annonce sans craintes dans les revues photos.
- Alors tu me trouves à ton goût ?
- Tout à fait ! Si j'en juge par ce que je vois, vous pouvez rendre un photographe heureux…
- Tu ne voudrais pas me faire quelques photos ? Je ne suis pas certaine de bien savoir prendre la pose… tu pourrais sans doute me conseiller…
Disant cela, elle s'est approchée tout près de moi et m'a caressé la joue. J'avais son ventre nu à quelques centimètres de mon visage et je sentais ma gorge se serrer au fur et à mesure qu'une violente érection gonflait mon pantalon. Suivant du doigt une marque d'élastique sur sa hanche j'ai dit :
- En principe il faut éviter de porter des vêtements serrés environ une demi-heure avant de poser, sinon ça fait des marques comme ça.
Se tournant un peu sur le côté elle a acquiescé :
- Ah oui, je vois… puis elle s'est remise face à moi.
Elle était si près que je n'ai pas pu me retenir. J'ai posé mes mains sur ses fesses et je l'ai attirée contre moi pour poser un baiser sur son ventre.
- Hummm ! Tu es très délicat comme garçon… a-t-elle dit en frottant son ventre contre mon visage.
Je me suis laissé glisser à genoux devant elle et j'ai posé quelques baisers sur les poils de son pubis puis j'ai caressé le début de sa fente du bout de ma langue. Elle a gloussé, a écarté un peu les jambes et ses mains dans mes cheveux elle a basculé le bassin pour m'offrir sa vulve. J'ai écarté ses lèvres intimes du bout de ma langue et léché son clitoris qui commençait à gonfler. Me faisant me relever, elle a reculé vers un fauteuil où elle s'est installée et posant un pied sur chaque bras du siège.
- Continue, c'est très bon ce que tu me fais…
Je m'y suis donc employé passant mes mains sous ses fesses pour la soulever si nécessaire. J'ai suçoté son bouton d'amour dressé, léché ses lèvres tout au long de sa fente déjà mouillée, je l'ai pénétrée de ma langue aussi profond qu'il m'était possible. Elle soupirait fort et semblait prendre beaucoup de plaisir à mes caresses. De temps à autres elle envoyait son ventre vers ma bouche en gémissant.
Tout en léchant sa fente, je caressais son clitoris de mon pouce et j'ai vu son abdomen se contracter au rythme de mes caresses. Puis elle a relevé brusquement ses jambes de ses deux mains en glissant vers moi et s'est crispée avec un feulement.
Après un silence ou elle sembla récupérer son souffle elle dit :
- Putain que c'est bon !
Elle s'est redressée, puis elle s'est relevée en me prenant dans ses bras pour m'embrasser à pleine bouche. J'ai senti une de ses mains glisser jusqu'à ma virilité tendue à l'extrême et elle s'est exclamée :
- Houlaaaa ! Ta bitte est dure comme du bois, il faut que je m'en occupe…
Elle m'a repoussé légèrement puis a déboutonné mon pantalon et s'est accroupie devant moi en le faisant descendre jusqu'à mes chevilles. Délicatement elle a léché mon gland découvert puis elle a embouché mon sexe. Je sentais sa langue tourner autour de mon gland et je pénétrais sa bouche chaude avec délices. Me prenant les couilles entre ses mains elle m'a fait tourner sur moi-même et m'a poussé dans le fauteuil pour que je m'y assoie.
Quand j'ai été installé, elle a cessé sa fellation et embrassé avec ardeur. Puis elle a posé ses pieds sur le siège, de chaque côté de mon bassin, s'est accroupie et a pris ma verge en main pour la guider vers son vagin mouillé. Sa chatte était brûlante et elle soupirait lorsque je m'enfonçais en elle. J'ai posé mes mains sur ses seins et me suis rendu compte à quel point ils étaient fermes. Christine coulissait sur ma hampe faisant monter dans mon ventre des vagues de plaisir intense.
Décidément cette femme était non seulement un beau modèle mais aussi une grosse gourmande... Chaque fois qu'elle me sentait au bord de l'orgasme elle faisait varier son rythme et la profondeur de mes pénétrations. Au bout d'un moment je me suis rendu compte qu'elle aussi était prête à jouir. Je l'ai prise par les hanches et j'ai accompagné ses mouvements me plantant au plus profond de sa féminité. Puis n'y tenant plus j'ai éjaculé abondamment, la maintenant empalée sur mon membre dressé. Elle m'a regardé droit dans les yeux et projetant sa poitrine vers moi a joui à son tour avec un grognement rauque.
Nous sommes restés ainsi collés l'un à l'autre à reprendre notre souffle. Elle s'est relevée et m'a pris par la main en m'invitant à aller faire un brin de toilette. Elle a fait ses ablutions sur le bidet et je me suis lavé dans le lavabo. Quand j'ai eu fini elle s'est relevée et me poussant sur le côté a entrepris de se repeigner.
La voir nue de dos redonna de la vigueur à mon sexe qui dodelinait. Elle avait un cul splendide… je me suis collé à elle et passant mes mains sous ses bras, j'ai saisi ses seins lourds et lui ai dit en les caressant :
- Il a de la chance Alain d'avoir une femme comme vous…
Sentant mon sexe dressé entre ses fesses elle a dit :
- Mais tu bandes encore ! Puis elle a écarté les jambes et prenant mon membre en main elle m'a guidé en elle en se cambrant pour faciliter mes pénétrations.
J'ai laissé ses seins pour la prendre par les hanches et la besogner comme un forcené. Elle ondulait du postérieur amplifiant notre plaisir mutuel. Rapidement j'ai senti venir un orgasme et j'ai lâché ma semence en m'enfonçant jusqu'au bout de sa grotte mouillée avec un grognement féroce. Sentant ma verge au fond de sa gaine et mon sperme bouillant, elle s'est crispée avec une plainte flutée… Puis dit dans un soupir :
- Putain, il m'a encore fait jouir !…
Après quelques secondes, elle m'a repoussé puis se tournant pour un baiser ardent elle a dit :
- Dépêche-toi de faire une toilette, Alain va finir par rentrer… Ceci dit je te veux à moi toute une nuit. J'ai envie de tout essayer avec toi, tu pourras me prendre comme tu veux, je veux ta bouche partout sur moi et ta queue dans tous mes trous. Tu verras, nous passerons une nuit d'enfer…
Prenant ma main pour la poser sur son pubis elle m'a fait constater qu'elle remouillait déjà. Décidément cette femelle était un volcan… Je suis reparti rêveur, je venais de baiser la mère d'un de mes vieux copains…
L'occasion ne nous fut pas donnée de passer une nuit ensemble durant mon séjour. Cependant un matin, alors que j'allais ranger des affaires de pêche dans le cellier de mon père, je la rencontrais dans le couloir des caves. Elle se plaqua contre moi et prit ma main pour la guider sous sa jupe. Lorsque je posais mes doigts sur son pubis elle me dit :
- Touche ma chatte, tu sens comme je mouille pour toi ? Quand tu reviendras, fais-moi signe n'importe quand, je m'arrangerai pour qu'on puisse passer un bon moment ensemble…
Je commençais à la caresser mais entendant quelqu'un descendre je dus la laisser là, la chatte ruisselante.
J'ai pu passer quelques soirées débridées avec mes copains sans pour autant retrouver la réelle complicité que nous avions avant mon départ. J'avais manqué quelques épisodes plus ou moins glorieux et ça se faisait sentir dans nos relations. Sans devenir un étranger j'étais devenu une sorte de transfuge involontaire, une sorte de touriste... Je n'ai pas sombré dans la morosité, mais en tant que "touriste" j'ai vécu sur un autre rythme.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Incroyablement sincère
Ça marche, le lecteur y est et bande
Ça marche, le lecteur y est et bande
je rêve d'avoir un moment comme ça mais ça n'arrive pas
la premiere histoire etait mais celle ci est encore meilleur continus j'adore