Marthe 3
Récit érotique écrit par MaîtreChat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marthe 3
Pendant la fin du trajet de retour Marthe a fait glisser le zip de mon pantalon pour sortir ma queue. Profitant d'une grande ligne droite, elle s'est penchée sur moi et s'est mise à me sucer. J'ai protesté mais elle s'en est amusée et j'étais muni d'une splendide érection lorsque nous sommes arrivés à destination.
Marthe a ouvert la porte et nous nous sommes dirigés vers la cuisine. Elle a fait réchauffer les restes de notre repas du midi pendant que je dressais le couvert. Nous avons mangé rapidement en discutant des travaux que nous comptions réaliser le lendemain puis j'ai lavé nos couverts. Lorsque j'ai eu fini elle s'est approchée de moi, a ouvert ma braguette et prenant en main ma bitte ramollie elle m'a entraîné vers le séjour en disant :
- Maintenant c'est l'heure du dessert…
En gagnant le séjour, j'ai enlevé ma chemise. Quand elle s'est arrêtée, elle s'est tout de suite agenouillée devant moi pour me sucer. J'ai détaché ma ceinture et mon pantalon s'est retrouvé en tas à mes pieds. J'ai fait relever ma belle mère et prenant le bas de sa robe, je l'ai fait passer par-dessus sa tête sans la déboutonner. Je l'ai poussée vers la table et elle a basculé sur le plateau, jambes écartées.
- Oh oui, bouffe moi la chatte...
J'ai soutenu ses jambes de mes bras et j'ai commencé à lui lécher toute la fente. Elle grognait de plaisir et mouillait déjà abondamment. J'ai lâché une de ses jambes et j'ai enfoncé deux doigts dans son vagin mouillé et je l'ai branlée sur un rythme lent. Elle a relevé ses jambes plus haut passant ses mains derrière ses genoux en s'est ouverte au maximum. Au bout d'un instant elle m'a dit entre deux gémissements :
- Oui, continue, je vais jouir…
Elle a arrondi le dos en regardant mes doigts s'enfoncer dans sa chatte, puis elle s'est laissée aller en arrière et a poussé une longue plainte accompagnée d'un flot de cyprine…
Ma main était trempée et j'ai barbouillé toute sa fente de son jus, puis insistant sur son œillet froncé, j'ai enfoncé mon index lentement dans son cul. En reprenant son souffle elle s'est un peu redressée et me regardant au fond des yeux elle m'a dit :
- Enfonce doucement un autre doigt doucement. Je veux que tu me prépares bien pour que je puisse profiter au mieux de ta bitte dans mon cul…
- Dites moi si je vous fait mal…
- Non, vas y… oui comme ça… Hmmm… putain que c'est bon, je vais me régaler quand tu vas me bourrer le fion…
- Après je vous ferai une jolie coupe, vous aurez une chatte d'enfer…
- Oui… Viens maintenant, je suis prête et je veux sentir ta queue… prends moi la chatte pour bien te lubrifier…
Je me suis présenté devant elle et je me suis enfoncé sans difficultés dans son intimité, elle ruisselait. J'ai fait quelques va et vient et elle m'a dit d'une voix rauque :
- Ne t'arrêtes pas, je vais jouir… bourre moi la chatte ouiiiiii …
J'ai nettement senti son vagin se crisper sur ma verge. Elle a eu plusieurs spasmes et j'avais l'impression qu'elle me suçait… encore tout essoufflée elle m'a dit :
- Vite prends moi le cul maintenant, défonce moi la rondelle… putain que j'aime baiser…
Il va sans dire que j'avais compris tout seul. Je me suis retiré lentement, puis j'ai appuyé mon gland contre son anus et j'ai poussé progressivement. Au fur et a mesure que je m'enfonçais, elle m'encourageait de la voix et poussait des petits soupirs de satisfaction. Quand mes couilles ont touché ses fesses, elle m'a souri et elle m'a dit :
- Maintenant, tu peux me casser le cul…
Je me suis enfoncé lentement entre ses fesses relevées puis j'ai posé le pouce sur son clitoris et j'ai commencé à la besogner sur un bon rythme. Rapidement elle s'est mise à gémir d'une voix flutée… J'étais très concentré, mais mes va et vient dans son cul serré faisaient monter mon plaisir au plus haut. J'ai piqué un sprint faisant claquer mon ventre contre ses fesses et j'ai déchargé dans un cri de victoire. Elle a poussé un gros soupir et je me suis plié en deux pour poser ma tête entre ses seins aux pointes dressées.
Nous avons repris notre souffle tranquillement et passant ses doigts dans mes cheveux elle m'a dit d'une voix douce :
- Merci… Je ne pensais pas retrouver ces sensations… Tu peux me demander tout ce que tu veux, tu peux me baiser quand tu veux, par le trou que tu veux… j'espère avoir souvent l'occasion de profiter de ta virilité… te sentir encore raide comme maintenant, me donne l'impression d'être encore jeune… si au moins Léon pouvait me sauter de temps en temps…
- Si Laure avait le même appétit que vous, ce serait formidable pour moi…
- Si tu veux, j'essaierai de lui parler… j'amènerai le sujet dans notre conversation l'air de rien… Tu es un bon coup et c'est dommage de laisser passer ça… Ceci dit, si elle devient plus gourmande, je compte quand même sur toi pour m'honorer de temps en temps…
- C'est promis Marthe, j'aime bien la baise sans tabou et pour ça, vous être une sacrée partenaire…
Je me suis redressé, j'ai donné quelques coups de reins pour qu'elle puisse bénéficier de ma raideur, puis je me suis retiré en l'entraînant avec moi pour la relever. Elle s'est dressée devant moi, m'a donné un baiser volcanique puis m'a pris par la main et m'a entraîné en silence jusqu'à la salle de bains. En marchant une image s'est fait place dans mon imagination et je voyait Laure et sa mère à poil sur le lit en train de me sucer tour à tour… Tout un programme…
Nous avons pris une douche ensemble et en nous savonnant mutuellement, nous en avons profité pour continuer à jouer avec nos sexes. Nous n'étions pas rassasiés et comme je lui frottais le dos, je l'ai fait pencher en avant. Elle a pris appui sur le bord de la baignoire et je l'ai prise en levrette en m'accrochant à ses seins généreux. Ça m'a semblé incroyable mais nous avons encore joui tous les deux presque à l'unisson. Sur le plan du cul, je crois que nous sommes totalement en harmonie, si nous étions dans la même entreprise, je pense que trouverions le moyen de baiser pendant les heures de travail.
Après nous être séchés, j'ai pris mon matériel de rasage et je l'ai entraînée vers la salle de séjour en lui disant :
- Maintenant, je vais vous faire une joli minou…
Marthe s'est allongée sur la table, les jambes écartée et m'a demandé :
- Comment tu vas l'arranger ?
- Je vais vous faire une coupe en forme de cœur, ça vous dit ?
- Fais comme tu veux, de toute façon t'es le seul à la voir…
- Ça ne durera pas, quand les mecs vont savoir que vous avez une jolie chatte ils vont faire la queue devant la porte…
Après avoir pris une photo de son pubis velu, j'ai taillé dans la masse de ses poils pour les raccourcir et donner à sa touffe une jolie forme de cœur. Chaque fois que mes doigts s'approchaient de ses lèvres intimes, ma belle mère gloussait et elle se serait tortillée si je ne lui avais pas recommandé de ne pas bouger pendant que j'officiais de peur de la blesser.
Lorsque j'ai eu fini, j'ai refait une photo et j'ai pu m'apercevoir que sa chatte dégoulinait de cyprine. Je lui ai fait voir l'image et elle s'est montrée ravie.
Comme je lui faisait remarquer à quel point elle était mouillée, elle s'est redressée et m'a dit en plantant son regard dans le mien :
- Viens, allons nous coucher… je veux que tu me prennes encore et encore. Vous allez partir dans quelques jours et je veux profiter au maximum de la virilité de mon jeune amant… Je te jure que grâce à tes coups de bitte, j'ai l'impression de revivre…
La nuit a été très agitée, Marthe était affamée et elle savait utiliser tous les trucs pour me motiver et me faire bander comme je n'avais jamais bandé. J'ai assumé fièrement mon rôle et même si j'en ai été étonné j'ai eu un plaisir immense ; ma belle mère est sans doute une sorcière…
Marthe a ouvert la porte et nous nous sommes dirigés vers la cuisine. Elle a fait réchauffer les restes de notre repas du midi pendant que je dressais le couvert. Nous avons mangé rapidement en discutant des travaux que nous comptions réaliser le lendemain puis j'ai lavé nos couverts. Lorsque j'ai eu fini elle s'est approchée de moi, a ouvert ma braguette et prenant en main ma bitte ramollie elle m'a entraîné vers le séjour en disant :
- Maintenant c'est l'heure du dessert…
En gagnant le séjour, j'ai enlevé ma chemise. Quand elle s'est arrêtée, elle s'est tout de suite agenouillée devant moi pour me sucer. J'ai détaché ma ceinture et mon pantalon s'est retrouvé en tas à mes pieds. J'ai fait relever ma belle mère et prenant le bas de sa robe, je l'ai fait passer par-dessus sa tête sans la déboutonner. Je l'ai poussée vers la table et elle a basculé sur le plateau, jambes écartées.
- Oh oui, bouffe moi la chatte...
J'ai soutenu ses jambes de mes bras et j'ai commencé à lui lécher toute la fente. Elle grognait de plaisir et mouillait déjà abondamment. J'ai lâché une de ses jambes et j'ai enfoncé deux doigts dans son vagin mouillé et je l'ai branlée sur un rythme lent. Elle a relevé ses jambes plus haut passant ses mains derrière ses genoux en s'est ouverte au maximum. Au bout d'un instant elle m'a dit entre deux gémissements :
- Oui, continue, je vais jouir…
Elle a arrondi le dos en regardant mes doigts s'enfoncer dans sa chatte, puis elle s'est laissée aller en arrière et a poussé une longue plainte accompagnée d'un flot de cyprine…
Ma main était trempée et j'ai barbouillé toute sa fente de son jus, puis insistant sur son œillet froncé, j'ai enfoncé mon index lentement dans son cul. En reprenant son souffle elle s'est un peu redressée et me regardant au fond des yeux elle m'a dit :
- Enfonce doucement un autre doigt doucement. Je veux que tu me prépares bien pour que je puisse profiter au mieux de ta bitte dans mon cul…
- Dites moi si je vous fait mal…
- Non, vas y… oui comme ça… Hmmm… putain que c'est bon, je vais me régaler quand tu vas me bourrer le fion…
- Après je vous ferai une jolie coupe, vous aurez une chatte d'enfer…
- Oui… Viens maintenant, je suis prête et je veux sentir ta queue… prends moi la chatte pour bien te lubrifier…
Je me suis présenté devant elle et je me suis enfoncé sans difficultés dans son intimité, elle ruisselait. J'ai fait quelques va et vient et elle m'a dit d'une voix rauque :
- Ne t'arrêtes pas, je vais jouir… bourre moi la chatte ouiiiiii …
J'ai nettement senti son vagin se crisper sur ma verge. Elle a eu plusieurs spasmes et j'avais l'impression qu'elle me suçait… encore tout essoufflée elle m'a dit :
- Vite prends moi le cul maintenant, défonce moi la rondelle… putain que j'aime baiser…
Il va sans dire que j'avais compris tout seul. Je me suis retiré lentement, puis j'ai appuyé mon gland contre son anus et j'ai poussé progressivement. Au fur et a mesure que je m'enfonçais, elle m'encourageait de la voix et poussait des petits soupirs de satisfaction. Quand mes couilles ont touché ses fesses, elle m'a souri et elle m'a dit :
- Maintenant, tu peux me casser le cul…
Je me suis enfoncé lentement entre ses fesses relevées puis j'ai posé le pouce sur son clitoris et j'ai commencé à la besogner sur un bon rythme. Rapidement elle s'est mise à gémir d'une voix flutée… J'étais très concentré, mais mes va et vient dans son cul serré faisaient monter mon plaisir au plus haut. J'ai piqué un sprint faisant claquer mon ventre contre ses fesses et j'ai déchargé dans un cri de victoire. Elle a poussé un gros soupir et je me suis plié en deux pour poser ma tête entre ses seins aux pointes dressées.
Nous avons repris notre souffle tranquillement et passant ses doigts dans mes cheveux elle m'a dit d'une voix douce :
- Merci… Je ne pensais pas retrouver ces sensations… Tu peux me demander tout ce que tu veux, tu peux me baiser quand tu veux, par le trou que tu veux… j'espère avoir souvent l'occasion de profiter de ta virilité… te sentir encore raide comme maintenant, me donne l'impression d'être encore jeune… si au moins Léon pouvait me sauter de temps en temps…
- Si Laure avait le même appétit que vous, ce serait formidable pour moi…
- Si tu veux, j'essaierai de lui parler… j'amènerai le sujet dans notre conversation l'air de rien… Tu es un bon coup et c'est dommage de laisser passer ça… Ceci dit, si elle devient plus gourmande, je compte quand même sur toi pour m'honorer de temps en temps…
- C'est promis Marthe, j'aime bien la baise sans tabou et pour ça, vous être une sacrée partenaire…
Je me suis redressé, j'ai donné quelques coups de reins pour qu'elle puisse bénéficier de ma raideur, puis je me suis retiré en l'entraînant avec moi pour la relever. Elle s'est dressée devant moi, m'a donné un baiser volcanique puis m'a pris par la main et m'a entraîné en silence jusqu'à la salle de bains. En marchant une image s'est fait place dans mon imagination et je voyait Laure et sa mère à poil sur le lit en train de me sucer tour à tour… Tout un programme…
Nous avons pris une douche ensemble et en nous savonnant mutuellement, nous en avons profité pour continuer à jouer avec nos sexes. Nous n'étions pas rassasiés et comme je lui frottais le dos, je l'ai fait pencher en avant. Elle a pris appui sur le bord de la baignoire et je l'ai prise en levrette en m'accrochant à ses seins généreux. Ça m'a semblé incroyable mais nous avons encore joui tous les deux presque à l'unisson. Sur le plan du cul, je crois que nous sommes totalement en harmonie, si nous étions dans la même entreprise, je pense que trouverions le moyen de baiser pendant les heures de travail.
Après nous être séchés, j'ai pris mon matériel de rasage et je l'ai entraînée vers la salle de séjour en lui disant :
- Maintenant, je vais vous faire une joli minou…
Marthe s'est allongée sur la table, les jambes écartée et m'a demandé :
- Comment tu vas l'arranger ?
- Je vais vous faire une coupe en forme de cœur, ça vous dit ?
- Fais comme tu veux, de toute façon t'es le seul à la voir…
- Ça ne durera pas, quand les mecs vont savoir que vous avez une jolie chatte ils vont faire la queue devant la porte…
Après avoir pris une photo de son pubis velu, j'ai taillé dans la masse de ses poils pour les raccourcir et donner à sa touffe une jolie forme de cœur. Chaque fois que mes doigts s'approchaient de ses lèvres intimes, ma belle mère gloussait et elle se serait tortillée si je ne lui avais pas recommandé de ne pas bouger pendant que j'officiais de peur de la blesser.
Lorsque j'ai eu fini, j'ai refait une photo et j'ai pu m'apercevoir que sa chatte dégoulinait de cyprine. Je lui ai fait voir l'image et elle s'est montrée ravie.
Comme je lui faisait remarquer à quel point elle était mouillée, elle s'est redressée et m'a dit en plantant son regard dans le mien :
- Viens, allons nous coucher… je veux que tu me prennes encore et encore. Vous allez partir dans quelques jours et je veux profiter au maximum de la virilité de mon jeune amant… Je te jure que grâce à tes coups de bitte, j'ai l'impression de revivre…
La nuit a été très agitée, Marthe était affamée et elle savait utiliser tous les trucs pour me motiver et me faire bander comme je n'avais jamais bandé. J'ai assumé fièrement mon rôle et même si j'en ai été étonné j'ai eu un plaisir immense ; ma belle mère est sans doute une sorcière…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pourquoi mon gendre ne me fait pas la même chose je reve qu il me prenne et me baise
J'ai adoré tous tes récits avec ta belle mère. Réalité ou fantasme finalement ce n'est vraiment pas important. C'était bon à lire. Merci.