Christine et ses jeux
Récit érotique écrit par Philominicuir è [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Christine et ses jeux
J’ai connu une jeune fille, Christine, grande brune, plantureuse sans être grosse qui avait toujours ses culottes mouillées. Elle s’essuyait avec quand elle allait pisser. J’aimais assez, quoique un peu choqué au début. Mais ça la rendait plus sensuelle, animale.
J’aimais qu’elle parte en « expédition », le soir (jupette en cuir et petite culotte blanche en coton déjà bien humide) Quand elle rentrait au milieu de la nuit j’aimais la fouiller. Sa culotte était souillée de pisse, de mouille glaireuse et de foutre. Un excellent cocktail.
Je ne lui permettais pas de laver sa culotte et l’obligeais (elle s’était bien lavée et parfumée) à la remettre et de sortir en quête de nouvelles aventures. Ca l’excitait.
Elle rencontrait des types dans des cafés, allait aux toilettes pour se soulager devant eux et parfois se faisait baiser. Tout excitée, elle m’appelait pour me demander si elle pouvait continuer à jouer les salopes. Je l’incitais. Elle en profitait pour se saloper et se faire saloper. Un jour elle me raconte qu’elle avait forcé un type, pas très jeune ni séduisant à pisser dans son slip. Il accepta. Elle lui tripota les couilles avec son slibard tout compissé, le masturba avant de lui offrir son cul tout trempé qu’il arrosa de son foutre.
Rentrée elle me raconta la chose me disant qu’elle aimerait que j’assiste et participe à se jeux.
Je l’obligeais à porter la même culotte sans la laver plusieurs jours. Elle se lavait, se parfumait, s’enduisait de pommades onctueuses et remettait sa petite culotte sèche mais bien crade. Elle portait toujours des jupes courtes en cuir (ou en skaï), ou des pantalons, voire des shorts – selon les lieux et circonstances – en cuir.
Un soir, elle était très excitée, elle m’invite au téléphone à venir la rejoindre. Elle avait une surprise pour moi. Elle était en compagnie d’un couple qui semblait s’intéresser à elle. De belles personnes bien débauchées. Elle se fait toucher par le type et par la femme. Ils semblent aimer qu’elle soit bien mouillée. Ils boivent un puis deux ou trois verres. J’arrive. Je fais semblant de la surprendre comme une fille que je connais. Elle m’invite à la table. Un verre. Un autre. Elle m’avait demander de mouiller mon slip (je portais un pantalon en cuir). Je commence à tripoter la fille sous la table, elle se laisse faire, ouvre les cuisses. Bien mouillée, elle aussi. Conversation de plus en plus chaude. Envie de poursuivre notre connaissance. Ils nous invitent chez eux. C’était tout près et pas loin de chez nous. On boit encore, mange un peu, musique douce, lumière tamisée. Nos propos deviennent de plus orientés sexe ! Christine se laisse tripoter sans vergogne par le type, cuisses ouvertes. Elle lui ouvre la braguette et commence à jouer avec ce qu’il a dans le slip. Je fais de même avec Laure, la belle femme bien chaude qui est aussi bien trempée et excitée. Sa main vient fouiller dans mon pantalon. Elle découvre que mon slibard est détrempé. Ca ne semble pas lui déplaire. Elle me dit qu’elle aime les jeux mouillés. Son mari aussi. Nous sommes d’accord. Christine dit qu’elle a envie de pisser. Nous filons tous les quatre dans la salle de bains. Elle se soulage sans retirer sa culotte. Ils la touchent, Laure en fait autant. On se tripote. Je suis en slip, lui aussi. Deux slips blancs en coton ! Il bande et baise Christine en l’arrosant de sa purée sur le cul. Je fais de même avec Laure.
Bien salopé. On se repose un peu. On a envie de continuer Christine finit par suggérer quelque chose. Encore dans la salle de bains, elle pise dans la bouche du type, l’inonde. Il ruisselle. Elle la gâte pour le récompenser d’une bonne pie (sa bite reste un peu molle). Laure désire faire la même chose avec moi. J’hésite puis accepte. Je bois son jet chaud, lèche sa chatte, lla ui bouffe avec sa culotte toute souillée. C’est bon. Je lui mets un puis deux doigts dans son petit trou. Elle aime.
Délicieuse partie !
J’aimais qu’elle parte en « expédition », le soir (jupette en cuir et petite culotte blanche en coton déjà bien humide) Quand elle rentrait au milieu de la nuit j’aimais la fouiller. Sa culotte était souillée de pisse, de mouille glaireuse et de foutre. Un excellent cocktail.
Je ne lui permettais pas de laver sa culotte et l’obligeais (elle s’était bien lavée et parfumée) à la remettre et de sortir en quête de nouvelles aventures. Ca l’excitait.
Elle rencontrait des types dans des cafés, allait aux toilettes pour se soulager devant eux et parfois se faisait baiser. Tout excitée, elle m’appelait pour me demander si elle pouvait continuer à jouer les salopes. Je l’incitais. Elle en profitait pour se saloper et se faire saloper. Un jour elle me raconte qu’elle avait forcé un type, pas très jeune ni séduisant à pisser dans son slip. Il accepta. Elle lui tripota les couilles avec son slibard tout compissé, le masturba avant de lui offrir son cul tout trempé qu’il arrosa de son foutre.
Rentrée elle me raconta la chose me disant qu’elle aimerait que j’assiste et participe à se jeux.
Je l’obligeais à porter la même culotte sans la laver plusieurs jours. Elle se lavait, se parfumait, s’enduisait de pommades onctueuses et remettait sa petite culotte sèche mais bien crade. Elle portait toujours des jupes courtes en cuir (ou en skaï), ou des pantalons, voire des shorts – selon les lieux et circonstances – en cuir.
Un soir, elle était très excitée, elle m’invite au téléphone à venir la rejoindre. Elle avait une surprise pour moi. Elle était en compagnie d’un couple qui semblait s’intéresser à elle. De belles personnes bien débauchées. Elle se fait toucher par le type et par la femme. Ils semblent aimer qu’elle soit bien mouillée. Ils boivent un puis deux ou trois verres. J’arrive. Je fais semblant de la surprendre comme une fille que je connais. Elle m’invite à la table. Un verre. Un autre. Elle m’avait demander de mouiller mon slip (je portais un pantalon en cuir). Je commence à tripoter la fille sous la table, elle se laisse faire, ouvre les cuisses. Bien mouillée, elle aussi. Conversation de plus en plus chaude. Envie de poursuivre notre connaissance. Ils nous invitent chez eux. C’était tout près et pas loin de chez nous. On boit encore, mange un peu, musique douce, lumière tamisée. Nos propos deviennent de plus orientés sexe ! Christine se laisse tripoter sans vergogne par le type, cuisses ouvertes. Elle lui ouvre la braguette et commence à jouer avec ce qu’il a dans le slip. Je fais de même avec Laure, la belle femme bien chaude qui est aussi bien trempée et excitée. Sa main vient fouiller dans mon pantalon. Elle découvre que mon slibard est détrempé. Ca ne semble pas lui déplaire. Elle me dit qu’elle aime les jeux mouillés. Son mari aussi. Nous sommes d’accord. Christine dit qu’elle a envie de pisser. Nous filons tous les quatre dans la salle de bains. Elle se soulage sans retirer sa culotte. Ils la touchent, Laure en fait autant. On se tripote. Je suis en slip, lui aussi. Deux slips blancs en coton ! Il bande et baise Christine en l’arrosant de sa purée sur le cul. Je fais de même avec Laure.
Bien salopé. On se repose un peu. On a envie de continuer Christine finit par suggérer quelque chose. Encore dans la salle de bains, elle pise dans la bouche du type, l’inonde. Il ruisselle. Elle la gâte pour le récompenser d’une bonne pie (sa bite reste un peu molle). Laure désire faire la même chose avec moi. J’hésite puis accepte. Je bois son jet chaud, lèche sa chatte, lla ui bouffe avec sa culotte toute souillée. C’est bon. Je lui mets un puis deux doigts dans son petit trou. Elle aime.
Délicieuse partie !
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