Chroniques d'un jeune de 25 ans addict au sexe - 3
Récit érotique écrit par Jeune25 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Chroniques d'un jeune de 25 ans addict au sexe - 3
Me revoilà pour une nouvelle chronique. Vous êtes toujours plus nombreux à réagir à mes chroniques, et sachez que je suis très heureux de voir l’effet qu’elles vous font. Appréciez donc ma troisième chronique ! Je rappelle simplement comme d’habitude que tout est réel, rien n’est fantasmé.
Les histoires avec monsieur C s’achèvent. En effet après deux ans de bonne baise, j’ai déménagé, et lui a développé certains problèmes de santé.
Mais ce fut réellement mon premier amant, celui avec qui j’ai commence à m’ouvrir à l’homosexualité, et à apprécier passer du temps avec un homme mûr. La rencontre avec monsieur J viendra plus tard, mais il faut que je vous conte une autre histoire.
J’ai déménagé dans un coin assez paumé de notre beau pays, toujours dans le Sud (plus ou moins..), mais un coin bien perdu, pas de monde, pas de bar gay, pas de ours pervers à l’horizon, rien. Le problème de ce nouvel endroit, c’est que tout le monde parle sur tout le monde, ce microcosme joue contre moi, gardant ma vie sexuelle assez discrète, trop sujette aux jugements divers et variés.
Alors, je me perds sur les sites de rencontres, surtout ceux à caractère sexuel. Je ne vais pas les citer ici, mais j’en ai écumé des tonnes, à la recherche de mon bonheur. Au fil de mes recherches, et en écumant les profils, je reçois une réponse à une de mes annonces précédemment postées.
«Bonjour Martin, je m’appelle B, j’ai 72 ans, et je serai ravi de t’accueillir afin de passer un moment privilégié avec toi. Je suis vieux certes, mais très pervers comme tu aimes, avec une queue qui bande toujours. J’aimerai bien te souiller, si tu acceptes de me rencontrer.»
Monsieur B avait donc 72 ans, et habitait à 20 minutes de chez moi. Je n’avais jamais encore baisé avec un homme si vieux, mais je dois vous avouer que l’idée de coucher avec un homme aussi âgé que mon grand-père m’excitait énormément.
Cette tension sexuelle, liée à un peu d’inceste me rendait fou. Je voulais vraiment baisé avec B, et retrouver ce que j’avais perdu avec C.
Malheureusement, B doucha mes espoirs lorsqu’il m’annonça qu’il avait de la famille à la maison, impossible donc de nous voir. Cependant, il me proposa de nous rencontrer sur une aire de repos, pas très loin de chez lui.
De ce qu’il m’avait expliqué, c’était une aire très connue pour son activité homosexuelle, et beaucoup d’hommes venaient, dans l’espoir de baiser, ou le contraire.
Ni une ni deux, je décida d’y aller, mais avec une grosse boule au ventre. En effet, je n’avais jamais encore fais quoi que ce soit à l’extérieur, surtout pas en nature. Le scénario m’excitait, certes, mais j’étais terrifié à l’idée de me faire surprendre..
Arrivé à l’aire, quelques voitures sont déjà garés, et je prends le chemin de terre que B m’avait indiqué, avant d’arriver vers une maison abandonnée. Quelques hommes sont déjà là, la quarantaine je dirai, et me dévisage, comme si j’étais un morceau de viande.
C’était excitant, mais malaisant en même temps. Je traverse donc la sorte de cour, sans prêter attention aux invitations très délicates de ces messieurs, avant de rejoindre une sorte d’ancienne cave à bois.
B était là. Un peu plus petit que moi, une belle moustache, et surtout un air extrêmement pervers… Il me dévore du regard, se lèche les lèvres, se touche l’entre-jambes«J’avais hâte que tu viennes mon garçon, je suis tout excité à l’idée de te baiser..»Me baiser ? Oui, me baiser. Ce que je ne savais pas, c’est que B était un actif, un actif convaincu, et aimait cracher son jus dans le cul de jeunes salopes. Sur le moment, je ne réfléchis pas, et il se jette sur moi pour commencer de fougueuses embrassades.
Je tâte son paquet et je remarque que, certes il bande sacrément pour un homme de 72 ans, mais surtout, il a un gros sexe ! Une vingtaine de centimètres, mais surtout très large. En clair, pour mon petit cul vierge, ça va être un sacré baptême.
Mais qu’importe, je me mets directement à genoux pour me délecter de son précum. Il a le gland tout mouillé, sa queue sent fort, elle sent le mâle. J’adore ça. J’essaie tant bien que mal d’avaler l’entièreté de son sexe, et les larmes me montent vite aux yeux.
Sentant que j’aime sucer sa grosse queue, il commence doucement à me baiser la bouche, tout en murmurant des insanités. Que j’étais une sale pute, que j’adorai la queue, que j’avais une bouche à pipe, on ne m’avait jamais insulté de la sorte, ni dominé, mais j’adorais ça..
Il continuait à me défoncer la bouche lorsque je sentis une main se poser sur mon épaule, et une queue approcher de ma joue.
J’eus peur sur le moment, c’était un autre mec, voulant profiter de ma gorge souillée par la queue de B. B justement écarta l’intrus, en lui faisant comprendre que j’étais son vide-couilles, pas le sien. C’était diablement excitant.
Soudain, B se retira de ma bouche. J’étais déçu, sa queue était délicieuse. Il m’invita à me lever, et à me tourner contre le mur, les jambes écartées. Ca y est, il veut me souiller..
Il déboutonna mon jean, et le baissa, pour me retourner. Je plaqua mes mains contre le mur, et j’écartai les jambes afin de sentir la queue de B entre mes deux fesses vierges. Malgré ma non-passivité à l’époque, j’étais extrêmement à cheval sur la propreté, et donc toujours clean, par devant comme par derrière.
Il se mit alors à bouffer mon petit trou, et je me surpris à gémir sous les coups de langue de ce vieux pervers.
Sa moustache me chatouillait, et sa langue travaillait ma rondelle. Tantôt en léchant, tantôt en crachant. Il y prenait du plaisir, je le voyais continuer à se masturber frénétiquement. Après 5 bonnes minutes, il leva la tête, et posa son gland à l’entrée de ma rondelle.
Il n’avait pas de capote, je lui fis alors remarquer que c’était très risqué. Il m’assura alors qu’il n’y avait rien à craindre, qu’il voulait vraiment se vider dans mon cul de salope, et m’a supplié de le laisser le baiser sans capote. J’acceptai alors, sous le coup de l’excitation, et il entra d’un coup l’entièreté de son gland en moi.
Des larmes me vinrent directement aux yeux, et une douleur fulgurante s’empara de moi. Je voulais lui dire d’arrêter, de ralentir, mais il était lancé, il voulait me baiser, n’en avait rien à foutre de moi.
Il continuait à me pilonner le cul, en me disant à quel point j’étais bon, j’étais serré, qu’il allait me féconder, et… je me surpris à prendre du plaisir.
La douleur s’estompait, pour laisser place à une agréable sensation, et je gémissais sous ses coups de reins. B me défonçait comme une pute, en me fessant, et en continuant à me pilonner toujours plus brutalement.
B était un vrai baiseur, un homme qui aime salir de jeunes mâles, et cela se confirma lorsque je sentis son sexe se contracter, et un liquide chaud se répandre en moi, il m’avait fécondé, comme il l’avait dit plus tôt.
Il se retira et laissa une grande sensation de vide en moi. Il plongea deux doigts dans mon trou très dilaté, afin de me faire lécher le foutre qu’il eut laissé en moi, j’adorais son sperme, et je lui nettoya les doigts proprement.
B se rhabilla, et parti sans demander son reste, en me laissant là, le cul souillé et ouvert par un homme de 72 ans, en pleine nature. Une sacrée première fois.
Comme d’habitude, si vous voulez me donner votre avis, ou bien même discuter de cette histoire :jeune25@laposte.net.
Merci de m’avoir lu et à très vite !
Les histoires avec monsieur C s’achèvent. En effet après deux ans de bonne baise, j’ai déménagé, et lui a développé certains problèmes de santé.
Mais ce fut réellement mon premier amant, celui avec qui j’ai commence à m’ouvrir à l’homosexualité, et à apprécier passer du temps avec un homme mûr. La rencontre avec monsieur J viendra plus tard, mais il faut que je vous conte une autre histoire.
J’ai déménagé dans un coin assez paumé de notre beau pays, toujours dans le Sud (plus ou moins..), mais un coin bien perdu, pas de monde, pas de bar gay, pas de ours pervers à l’horizon, rien. Le problème de ce nouvel endroit, c’est que tout le monde parle sur tout le monde, ce microcosme joue contre moi, gardant ma vie sexuelle assez discrète, trop sujette aux jugements divers et variés.
Alors, je me perds sur les sites de rencontres, surtout ceux à caractère sexuel. Je ne vais pas les citer ici, mais j’en ai écumé des tonnes, à la recherche de mon bonheur. Au fil de mes recherches, et en écumant les profils, je reçois une réponse à une de mes annonces précédemment postées.
«Bonjour Martin, je m’appelle B, j’ai 72 ans, et je serai ravi de t’accueillir afin de passer un moment privilégié avec toi. Je suis vieux certes, mais très pervers comme tu aimes, avec une queue qui bande toujours. J’aimerai bien te souiller, si tu acceptes de me rencontrer.»
Monsieur B avait donc 72 ans, et habitait à 20 minutes de chez moi. Je n’avais jamais encore baisé avec un homme si vieux, mais je dois vous avouer que l’idée de coucher avec un homme aussi âgé que mon grand-père m’excitait énormément.
Cette tension sexuelle, liée à un peu d’inceste me rendait fou. Je voulais vraiment baisé avec B, et retrouver ce que j’avais perdu avec C.
Malheureusement, B doucha mes espoirs lorsqu’il m’annonça qu’il avait de la famille à la maison, impossible donc de nous voir. Cependant, il me proposa de nous rencontrer sur une aire de repos, pas très loin de chez lui.
De ce qu’il m’avait expliqué, c’était une aire très connue pour son activité homosexuelle, et beaucoup d’hommes venaient, dans l’espoir de baiser, ou le contraire.
Ni une ni deux, je décida d’y aller, mais avec une grosse boule au ventre. En effet, je n’avais jamais encore fais quoi que ce soit à l’extérieur, surtout pas en nature. Le scénario m’excitait, certes, mais j’étais terrifié à l’idée de me faire surprendre..
Arrivé à l’aire, quelques voitures sont déjà garés, et je prends le chemin de terre que B m’avait indiqué, avant d’arriver vers une maison abandonnée. Quelques hommes sont déjà là, la quarantaine je dirai, et me dévisage, comme si j’étais un morceau de viande.
C’était excitant, mais malaisant en même temps. Je traverse donc la sorte de cour, sans prêter attention aux invitations très délicates de ces messieurs, avant de rejoindre une sorte d’ancienne cave à bois.
B était là. Un peu plus petit que moi, une belle moustache, et surtout un air extrêmement pervers… Il me dévore du regard, se lèche les lèvres, se touche l’entre-jambes«J’avais hâte que tu viennes mon garçon, je suis tout excité à l’idée de te baiser..»Me baiser ? Oui, me baiser. Ce que je ne savais pas, c’est que B était un actif, un actif convaincu, et aimait cracher son jus dans le cul de jeunes salopes. Sur le moment, je ne réfléchis pas, et il se jette sur moi pour commencer de fougueuses embrassades.
Je tâte son paquet et je remarque que, certes il bande sacrément pour un homme de 72 ans, mais surtout, il a un gros sexe ! Une vingtaine de centimètres, mais surtout très large. En clair, pour mon petit cul vierge, ça va être un sacré baptême.
Mais qu’importe, je me mets directement à genoux pour me délecter de son précum. Il a le gland tout mouillé, sa queue sent fort, elle sent le mâle. J’adore ça. J’essaie tant bien que mal d’avaler l’entièreté de son sexe, et les larmes me montent vite aux yeux.
Sentant que j’aime sucer sa grosse queue, il commence doucement à me baiser la bouche, tout en murmurant des insanités. Que j’étais une sale pute, que j’adorai la queue, que j’avais une bouche à pipe, on ne m’avait jamais insulté de la sorte, ni dominé, mais j’adorais ça..
Il continuait à me défoncer la bouche lorsque je sentis une main se poser sur mon épaule, et une queue approcher de ma joue.
J’eus peur sur le moment, c’était un autre mec, voulant profiter de ma gorge souillée par la queue de B. B justement écarta l’intrus, en lui faisant comprendre que j’étais son vide-couilles, pas le sien. C’était diablement excitant.
Soudain, B se retira de ma bouche. J’étais déçu, sa queue était délicieuse. Il m’invita à me lever, et à me tourner contre le mur, les jambes écartées. Ca y est, il veut me souiller..
Il déboutonna mon jean, et le baissa, pour me retourner. Je plaqua mes mains contre le mur, et j’écartai les jambes afin de sentir la queue de B entre mes deux fesses vierges. Malgré ma non-passivité à l’époque, j’étais extrêmement à cheval sur la propreté, et donc toujours clean, par devant comme par derrière.
Il se mit alors à bouffer mon petit trou, et je me surpris à gémir sous les coups de langue de ce vieux pervers.
Sa moustache me chatouillait, et sa langue travaillait ma rondelle. Tantôt en léchant, tantôt en crachant. Il y prenait du plaisir, je le voyais continuer à se masturber frénétiquement. Après 5 bonnes minutes, il leva la tête, et posa son gland à l’entrée de ma rondelle.
Il n’avait pas de capote, je lui fis alors remarquer que c’était très risqué. Il m’assura alors qu’il n’y avait rien à craindre, qu’il voulait vraiment se vider dans mon cul de salope, et m’a supplié de le laisser le baiser sans capote. J’acceptai alors, sous le coup de l’excitation, et il entra d’un coup l’entièreté de son gland en moi.
Des larmes me vinrent directement aux yeux, et une douleur fulgurante s’empara de moi. Je voulais lui dire d’arrêter, de ralentir, mais il était lancé, il voulait me baiser, n’en avait rien à foutre de moi.
Il continuait à me pilonner le cul, en me disant à quel point j’étais bon, j’étais serré, qu’il allait me féconder, et… je me surpris à prendre du plaisir.
La douleur s’estompait, pour laisser place à une agréable sensation, et je gémissais sous ses coups de reins. B me défonçait comme une pute, en me fessant, et en continuant à me pilonner toujours plus brutalement.
B était un vrai baiseur, un homme qui aime salir de jeunes mâles, et cela se confirma lorsque je sentis son sexe se contracter, et un liquide chaud se répandre en moi, il m’avait fécondé, comme il l’avait dit plus tôt.
Il se retira et laissa une grande sensation de vide en moi. Il plongea deux doigts dans mon trou très dilaté, afin de me faire lécher le foutre qu’il eut laissé en moi, j’adorais son sperme, et je lui nettoya les doigts proprement.
B se rhabilla, et parti sans demander son reste, en me laissant là, le cul souillé et ouvert par un homme de 72 ans, en pleine nature. Une sacrée première fois.
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