ciné
Récit érotique écrit par Leo84 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
ciné
Attente…
J’ai pénétré dans l’étroit couloir des toilettes du ciné. C’est l’obscurité la plus totale. Tout au plus dans quelques minutes j’apercevrai, en me retournant vers la porte une clarté diffuse, mais rien de plus. C’est donc à l’aveuglette que j’avance vers le fonds, avant de revenir pour essayer de m’appuyer contre le mur. C’est là que je trouverai ce que je cherche. Les bras ballants pour être à la bonne hauteur , je trouve ma place non sans frôler au passage des corps. J’attends sans oser encore m’aventurer. Bien m’en prends, mon voisin immédiat s’appuie sur moi avec insistance, c’est une invitation nette, j’avance ma main vers lui et touche tout de suite son sexe qu’il a sorti. Dressé vers moi, il avance encore le bassin. Je saisis à pleine main la queue raide et dure et la caresse du bout des doigts pour l’évaluer, le gland est développé et humide. Je m’attarde longuement, en faisant le tour puis en montant et descendant. Ses couilles sont aussi à l’air, elles sont de belle taille et fraîches. Je les soupèse, les entoure, j’y glisse l’autre main et commence à le branler lentement. Il respire très fort et apprécie visiblement la caresse. Au bout d’un moment sa main vient se poser sur mon épaule, m’intimant de me baisser et de le sucer. Je ne refuse pas, je prends délicatement sa queue entre les lèvres et l’engouffre avec lenteur sans l’enfourner entièrement. De la langue, je tourne en spirale autour du gland et avec de petits mouvements, je le frotte. Sa respiration se fait plus bruyante ce qui a pour effet de faire se rapprocher un autre amateur vers moi. Je saisis alors cette deuxième queue mais me contente de la branler tout en poursuivant ma fellation. J’en ai maintenant plein la bouche. Il s’efforcer d’entrer plus avant encore mais ma capacité est limitée. C’est lui maintenant qui, tenant ma tête entre ses mains imprime le mouvement. Il me baise littéralement dans la bouche jusqu’à ce que je sente sa giclée m’emplir. Quand il se retire, je recrache son jus et enfourne la queue que je tenais dans la main. Elle est beaucoup plus petite, mais le type ne me la laisse pas, il préfère que je le branle . Je me relève, poursuis le travail en me mettant de côté pour qu’il ne me souille pas. S’ensuit un long moment de répit. Le va et vient dans le couloir se poursuit. On essaie bien de me sonder le ventre mais je ne laisse pas faire et écarte les mains baladeuses.
Au bout d’un long moment, alors que je m’apprête à changer de place, je sens une mains se poser sur la mienne, Des doigts me caressent doucement, remontant vers le poignet, je ne bouge pas car ce type de caresse est peu fréquent. Le manège se poursuit un peu puis la main se pose sur le haut de ma cuisse et glisse vers l’arrière, se promène sur mes reins et mes fesses. Comme je ne montre aucune réaction, elle s’enhardit et se fait plus insistante, remonte dans le dos, soulève mon polo et se promène sur ma peau, je respire un peu fort et me tends vers la caresse pour faire comprendre que j’apprécie. Le type l’a bien compris, il a approché sa tête, m’embrasse dans le cou. Ses lèvres remontent vers mon visage et vienne se poser sur les miennes, il force le passage et me donne un baiser profond. Sa langue se promène dans ma bouche, il se plaque face à moi et me saisit la nuque tandis que son autre main continue d’explorer ma peau du torse, du ventre, du dos, puis se dirige vers ma ceinture qu’il défait pour plonger vers mes fesses. Il continue de m’embrasser, sa deuxième main rejoint l’autre, mon pantalon a glissé, mes deux globes sont emprisonnés et malaxés. « Tu as de belles fesses, me dit-il, j’ai envie de te faire l’amour, tu veux bien? » me souffle-t-il à l’oreille. Comme je lui dis oui, il poursuit: « tourne-toi contre moi et écarte un peu les jambes, laisse moi faire, je ne te ferai pas mal. »J’obtempère et prends la position demandée. Il m’écarte les fesses et présente son sexe que je n’ai pu apprécier à l’entrée. Mon premier réflexe est de refus, mais involontaire. Je m’applique à me décontracter et à le laisser entrer. Je sens la lente progression et le passage du gland qui franchit l’anneau des muscles. C’est à la fois douloureux et jouissif. Douloureux car je me sens écartelé et jouissif plus mentalement dans un premier temps. Il a fini de pousser, je sens sa queue dans mon ventre, il se retire lentement sans toutefois sortir entièrement puis entreprend d’accélérer la cadence. Il s’arrête ensuite puis ressort et rentre plus brutalement. Ce sont les ruptures de rythme qui me donnent du plaisir. Il me saisit les hanches avec fermeté et entreprend de me baiser plus rapidement. Je crois que je gémis et mes plaintes attirent un spectateur qui lui me caresse le bas ventre. Je bande à peine mais cette caresse assez brutale qui survient augmente mon plaisir. Je me sens esclave des désirs de ces hommes, trituré, manipulé. J’ai chaud au joues. Celui qui me tripotait s’est maintenant baissé, il me lèche, me suce, me mordille. Je gigote sous le plaisir ce qui a pour effet de faire éjaculer mon partenaire. Je sens un long jet me frapper les muqueuses au moment ou moi même j’atteins une sorte de plaisir sans juter.. Je me dégage, sors un mouchoir de ma poche et essuie le trop plein qui me coule derrière.
Curieusement, mon baiseur était resté près de moi, je m’en aperçois quand il me saisit à nouveau la main et m’embrasse à nouveau.
- J’ai du mal à te quitter me dit-il, j’ai beaucoup de plaisir, comment t’appelles-tu?
-Jean, moi aussi cela m’a plu…-Je voudrais bien te revoir pour recommencer, tu es facile et j’aime ça. Moi, c’est Philippe. Tu viens souvent ici, je ne t’avais jamais rencontré.
-Non rarement.
-Veux-tu revenir demain? On va sortir pour que je te reconnaisse. Si tu veux tu m’attends ici, dans ce coin. Je saurais te reconnaître. D’accord tu viens? J’ai besoin de te baiser encore, tu as de si belles fesses.
Nous nous quittons. Comme j’ai eu ma ration de plaisir je ressors du cinéma. Ce sera assez pour aujourd’hui.
J’ai pénétré dans l’étroit couloir des toilettes du ciné. C’est l’obscurité la plus totale. Tout au plus dans quelques minutes j’apercevrai, en me retournant vers la porte une clarté diffuse, mais rien de plus. C’est donc à l’aveuglette que j’avance vers le fonds, avant de revenir pour essayer de m’appuyer contre le mur. C’est là que je trouverai ce que je cherche. Les bras ballants pour être à la bonne hauteur , je trouve ma place non sans frôler au passage des corps. J’attends sans oser encore m’aventurer. Bien m’en prends, mon voisin immédiat s’appuie sur moi avec insistance, c’est une invitation nette, j’avance ma main vers lui et touche tout de suite son sexe qu’il a sorti. Dressé vers moi, il avance encore le bassin. Je saisis à pleine main la queue raide et dure et la caresse du bout des doigts pour l’évaluer, le gland est développé et humide. Je m’attarde longuement, en faisant le tour puis en montant et descendant. Ses couilles sont aussi à l’air, elles sont de belle taille et fraîches. Je les soupèse, les entoure, j’y glisse l’autre main et commence à le branler lentement. Il respire très fort et apprécie visiblement la caresse. Au bout d’un moment sa main vient se poser sur mon épaule, m’intimant de me baisser et de le sucer. Je ne refuse pas, je prends délicatement sa queue entre les lèvres et l’engouffre avec lenteur sans l’enfourner entièrement. De la langue, je tourne en spirale autour du gland et avec de petits mouvements, je le frotte. Sa respiration se fait plus bruyante ce qui a pour effet de faire se rapprocher un autre amateur vers moi. Je saisis alors cette deuxième queue mais me contente de la branler tout en poursuivant ma fellation. J’en ai maintenant plein la bouche. Il s’efforcer d’entrer plus avant encore mais ma capacité est limitée. C’est lui maintenant qui, tenant ma tête entre ses mains imprime le mouvement. Il me baise littéralement dans la bouche jusqu’à ce que je sente sa giclée m’emplir. Quand il se retire, je recrache son jus et enfourne la queue que je tenais dans la main. Elle est beaucoup plus petite, mais le type ne me la laisse pas, il préfère que je le branle . Je me relève, poursuis le travail en me mettant de côté pour qu’il ne me souille pas. S’ensuit un long moment de répit. Le va et vient dans le couloir se poursuit. On essaie bien de me sonder le ventre mais je ne laisse pas faire et écarte les mains baladeuses.
Au bout d’un long moment, alors que je m’apprête à changer de place, je sens une mains se poser sur la mienne, Des doigts me caressent doucement, remontant vers le poignet, je ne bouge pas car ce type de caresse est peu fréquent. Le manège se poursuit un peu puis la main se pose sur le haut de ma cuisse et glisse vers l’arrière, se promène sur mes reins et mes fesses. Comme je ne montre aucune réaction, elle s’enhardit et se fait plus insistante, remonte dans le dos, soulève mon polo et se promène sur ma peau, je respire un peu fort et me tends vers la caresse pour faire comprendre que j’apprécie. Le type l’a bien compris, il a approché sa tête, m’embrasse dans le cou. Ses lèvres remontent vers mon visage et vienne se poser sur les miennes, il force le passage et me donne un baiser profond. Sa langue se promène dans ma bouche, il se plaque face à moi et me saisit la nuque tandis que son autre main continue d’explorer ma peau du torse, du ventre, du dos, puis se dirige vers ma ceinture qu’il défait pour plonger vers mes fesses. Il continue de m’embrasser, sa deuxième main rejoint l’autre, mon pantalon a glissé, mes deux globes sont emprisonnés et malaxés. « Tu as de belles fesses, me dit-il, j’ai envie de te faire l’amour, tu veux bien? » me souffle-t-il à l’oreille. Comme je lui dis oui, il poursuit: « tourne-toi contre moi et écarte un peu les jambes, laisse moi faire, je ne te ferai pas mal. »J’obtempère et prends la position demandée. Il m’écarte les fesses et présente son sexe que je n’ai pu apprécier à l’entrée. Mon premier réflexe est de refus, mais involontaire. Je m’applique à me décontracter et à le laisser entrer. Je sens la lente progression et le passage du gland qui franchit l’anneau des muscles. C’est à la fois douloureux et jouissif. Douloureux car je me sens écartelé et jouissif plus mentalement dans un premier temps. Il a fini de pousser, je sens sa queue dans mon ventre, il se retire lentement sans toutefois sortir entièrement puis entreprend d’accélérer la cadence. Il s’arrête ensuite puis ressort et rentre plus brutalement. Ce sont les ruptures de rythme qui me donnent du plaisir. Il me saisit les hanches avec fermeté et entreprend de me baiser plus rapidement. Je crois que je gémis et mes plaintes attirent un spectateur qui lui me caresse le bas ventre. Je bande à peine mais cette caresse assez brutale qui survient augmente mon plaisir. Je me sens esclave des désirs de ces hommes, trituré, manipulé. J’ai chaud au joues. Celui qui me tripotait s’est maintenant baissé, il me lèche, me suce, me mordille. Je gigote sous le plaisir ce qui a pour effet de faire éjaculer mon partenaire. Je sens un long jet me frapper les muqueuses au moment ou moi même j’atteins une sorte de plaisir sans juter.. Je me dégage, sors un mouchoir de ma poche et essuie le trop plein qui me coule derrière.
Curieusement, mon baiseur était resté près de moi, je m’en aperçois quand il me saisit à nouveau la main et m’embrasse à nouveau.
- J’ai du mal à te quitter me dit-il, j’ai beaucoup de plaisir, comment t’appelles-tu?
-Jean, moi aussi cela m’a plu…-Je voudrais bien te revoir pour recommencer, tu es facile et j’aime ça. Moi, c’est Philippe. Tu viens souvent ici, je ne t’avais jamais rencontré.
-Non rarement.
-Veux-tu revenir demain? On va sortir pour que je te reconnaisse. Si tu veux tu m’attends ici, dans ce coin. Je saurais te reconnaître. D’accord tu viens? J’ai besoin de te baiser encore, tu as de si belles fesses.
Nous nous quittons. Comme j’ai eu ma ration de plaisir je ressors du cinéma. Ce sera assez pour aujourd’hui.
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