CINEMA SURPRISE SUITE
Récit érotique écrit par INGENU OU NAIF [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2009 dans la catégorie Plus on est
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CINEMA SURPRISE SUITE
Peu à peu je refais surface, mes deux " agresseurs " reprennent sagement leur place respectives. Les lumières qui se rallument me rappellent ma tenue, et je me dépêche de me rajuster. La salle reste dans une semi pénombre le temps des publicités, puis l'obscurité presque complète revient avec la nouvelle projection. On s'agite à côté de moi et je sens une main qui m'attire vers la droite tout en me montrant les derniers fauteuils de la rangée ; d'accord allons y ! Nous y serons plus tranquilles... L'homme nous suit et me voici à nouveau encadré par le couple.
Si tôt assis, les mains de la femme s'affairent sur ma ceinture, et me revoilà le ventre et les jambes à l'air, avec déjà un début d'érection timide. A ma gauche l'homme attire mon bras vers lui et le pose sur son ventre, il est dans la même tenue que moi, mais avec une queue énorme et dure. Je la sens battre contre mon poignet ; le gland doit être gorgé de sang pour être aussi gros et ferme. Timidement mes doigts se referment sur ce membre fièrement dressé et impatient de caresses.
La chaire du gland est douce comme du velours, je la câline en étalant la goutte qui perle au méat, puis je tire vers le bas l'enveloppe de peau de cette bite qui bande éperdument. Je ne sais ce qui me prend, mais ma tête se penche vers ce bas ventre, pour mieux voir peut être ? Ou alors pour obéir à la main qui pèse sur ma nuque ? C'est surement ces deux alibis qui me donnent bonne conscience car ma bouche s'approche lentement et commence à embrasser timidement, puis à lécher, à mordiller, à sucer, à gober ce gland décalotté qui tressaute contre mon palais et mes joues. C'est l'instinct qui me dicte comment faire et cela doit être pas mal car l'homme se trémousse sur son siège. Ma main droite triture ses grosses couilles velues et gonflées par le désir, je risque mon majeur le long du périnée et trouve son petit puits humide dans lequel je l'enfonce assez facilement à fond tant ce salaud mouille du cul.
Tout à mon œuvre de plaisir, je me suis tourné entièrement sur ma gauche et penché sur le ventre de mon bandeur, je me retrouve les fesses offertes vers la femme. Elle en profite pour me caresser les globes, puis se glisse le long de ma raie, descend jusqu'aux couilles, empoigne par en dessous ma verge qui n'en peut plus à force de bander dans le vide, deux ou trois vas et viens et reviens à mon trou plissé encore mouillé, et n'hésite pas à me sodomiser de nouveau avec deux puis trois de ces doigts, fins certes, mais je les sens bien quand même dans mon cul.
C'est extra ! Je m'applique à mieux pomper la queue du mes qui gigote beaucoup : ma bouche s'active de plus belle sur ce bâton de chaire, je sens dans ma main la peau de ses couilles qui se tend sous l'afflux du plaisir, dans mon cul les doigts s'agitent de plus en plus vite, elle a du en rajouter un autre ou alors c'est mon anus qui s'ouvre encore plus... Je devine qu'elle est maintenant debout pour mieux m'enculer avec sa main. Elle est collée contre moi et se frotte frénétiquement le ventre contre ma hanche. Les jambes de l'homme se mettent à trembler, il me prend la tête à deux mains et à grands coups de bassin me baise la bouche comme un fou...
De puissantes giclées de foutre fusent dans ma gorge me forcent à sucer et à déglutir plus rapidement, mon sperme jaillit en longues saccades de ma bite qui explose, mon trou du cul toujours investi se liquéfie sur les doigts de mon enculeuse qui les retire pour les sucer goulûment....
Tous trois nous savourons ce moment intense sans trop bouger, puis rajustons nos tenues quelque peu débraillées... Lui se lève et se dirige vers la sortie, je me lève pour la laisser passer, elle en profite pour se coller et me plaque un bisou mouillé sur la bouche : j'espère que tu ne lui as vidé complètement ses bourses, je n'ai pas eu mon comptes moi ! En même temps elle me glisse un petit carton plié dans une main puis s'en va vers la petite lumière " exit "
Je souhaite que cela vous plaise et vous procure du plaisir, à bientôt si vous le désirez.
Si tôt assis, les mains de la femme s'affairent sur ma ceinture, et me revoilà le ventre et les jambes à l'air, avec déjà un début d'érection timide. A ma gauche l'homme attire mon bras vers lui et le pose sur son ventre, il est dans la même tenue que moi, mais avec une queue énorme et dure. Je la sens battre contre mon poignet ; le gland doit être gorgé de sang pour être aussi gros et ferme. Timidement mes doigts se referment sur ce membre fièrement dressé et impatient de caresses.
La chaire du gland est douce comme du velours, je la câline en étalant la goutte qui perle au méat, puis je tire vers le bas l'enveloppe de peau de cette bite qui bande éperdument. Je ne sais ce qui me prend, mais ma tête se penche vers ce bas ventre, pour mieux voir peut être ? Ou alors pour obéir à la main qui pèse sur ma nuque ? C'est surement ces deux alibis qui me donnent bonne conscience car ma bouche s'approche lentement et commence à embrasser timidement, puis à lécher, à mordiller, à sucer, à gober ce gland décalotté qui tressaute contre mon palais et mes joues. C'est l'instinct qui me dicte comment faire et cela doit être pas mal car l'homme se trémousse sur son siège. Ma main droite triture ses grosses couilles velues et gonflées par le désir, je risque mon majeur le long du périnée et trouve son petit puits humide dans lequel je l'enfonce assez facilement à fond tant ce salaud mouille du cul.
Tout à mon œuvre de plaisir, je me suis tourné entièrement sur ma gauche et penché sur le ventre de mon bandeur, je me retrouve les fesses offertes vers la femme. Elle en profite pour me caresser les globes, puis se glisse le long de ma raie, descend jusqu'aux couilles, empoigne par en dessous ma verge qui n'en peut plus à force de bander dans le vide, deux ou trois vas et viens et reviens à mon trou plissé encore mouillé, et n'hésite pas à me sodomiser de nouveau avec deux puis trois de ces doigts, fins certes, mais je les sens bien quand même dans mon cul.
C'est extra ! Je m'applique à mieux pomper la queue du mes qui gigote beaucoup : ma bouche s'active de plus belle sur ce bâton de chaire, je sens dans ma main la peau de ses couilles qui se tend sous l'afflux du plaisir, dans mon cul les doigts s'agitent de plus en plus vite, elle a du en rajouter un autre ou alors c'est mon anus qui s'ouvre encore plus... Je devine qu'elle est maintenant debout pour mieux m'enculer avec sa main. Elle est collée contre moi et se frotte frénétiquement le ventre contre ma hanche. Les jambes de l'homme se mettent à trembler, il me prend la tête à deux mains et à grands coups de bassin me baise la bouche comme un fou...
De puissantes giclées de foutre fusent dans ma gorge me forcent à sucer et à déglutir plus rapidement, mon sperme jaillit en longues saccades de ma bite qui explose, mon trou du cul toujours investi se liquéfie sur les doigts de mon enculeuse qui les retire pour les sucer goulûment....
Tous trois nous savourons ce moment intense sans trop bouger, puis rajustons nos tenues quelque peu débraillées... Lui se lève et se dirige vers la sortie, je me lève pour la laisser passer, elle en profite pour se coller et me plaque un bisou mouillé sur la bouche : j'espère que tu ne lui as vidé complètement ses bourses, je n'ai pas eu mon comptes moi ! En même temps elle me glisse un petit carton plié dans une main puis s'en va vers la petite lumière " exit "
Je souhaite que cela vous plaise et vous procure du plaisir, à bientôt si vous le désirez.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui, cette suite continue d'augmenter mon plaisir et mon excitation...
