Cinéma torride

- Par l'auteur HDS Libertin47 -
Récit érotique écrit par Libertin47 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Cinéma torride Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2008 dans la catégorie Plus on est
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Cinéma torride
Ceci s’est passé il y a environ cinq ans.
Cela faisait deux ou trois fois que nous allions mon épouse et moi au cinéma, le film n’étant pas terrible, je m’étais mis à la caresser discrètement pendant la projection. Au début elle me faisait comprendre que cela là dérangeait, mais en insistant, elle a finit par lâcher prise et s’est abandonnée à mes caresses.

J’avais donc passé un bras au dessus de son épaule et de la main droite, je lui caressais le sein droit par-dessus son chemisier. Quant à ma main gauche, elle caressait ses cuisses et faisait remonter sa jupe jusqu’à la naissance de ses bas, elle portait des auto-fixants noirs et un string blanc.
De temps à autre, Martine faisait redescendre sa jupe car il y avait des spectateurs à quelques mètres de nous, moi, j’étais excité par la situation.

Un samedi soir, je lui propose donc d’aller voir un film, mais elle comprend à mon léger sourire que mes intentions étaient tout autres. Je lui ai alors demandé si elle était d’accord que je choisisse pour elle les vêtements qu’elle allait porter, elle sourit et me dit que c’est ok, à condition que je n’exagère pas trop sur le côté sexy.
Je choisis donc une jupe simple, correcte, juste au dessus du genou, des auto-fixants couleur chair, un soutien balconnet blanc et un chemisier blanc, je lui dis alors que je lui laisse le choix des chaussures...
Au bout de quelques instant, elle me crie, d’un ton sec, et la culotte ?
Ce soir, je préfère que tu n’en portes pas, si tu veux bien ! Elle me dit ok à condition que tu n’en portes pas non plus ! Qu’à cela ne tienne lui ai-je répondu, elle fut très étonnée...

Elle avait quarante deux ans, elle est très attirante, mince, un corps très ferme pour son âge. Dans la voiture, je regardais ses cuisses, j’étais déjà émoustillé à l’idée de la caresser. Nous arrivons dans l’entrée de la salle et je là précède pour pouvoir choisir moi-même l’endroit où nous allions nous installer.

J’ai privilégié une rangée dans le haut de la salle où il n’y avait personne à gauche à droite et derrière nous, elle a déposé sa veste sur le siège à ma gauche, et j’ai fais de même.
Après les pubs et les conneries, la salle s’est obscurcie et le film a commencé, j’ai attendu une bonne dizaine de minutes et j’ai posé ma main droite sur ses cuisses, elle avait les jambes croisées, je lui caressais doucement les cuisses, soudain elle modifia sa position, se laissant aller plus profondément dans le fauteuil et se pencha vers moi, son épaule touchait presque la mienne, ces mouvements, avaient fait remonter sa jupe à mi cuisses et elle avait aussi décroisé les jambes.
Je passe un bras au dessus de son épaule et ma main se pose sans effort sur son sein droit, je l’effleure à peine, au travers de son chemisier, je sens le mamelon se durcir, elle regarde le film comme si rien ne se passait, sauf que j’ai remonté sa jupe au dessus des bas et que je caresse l’intérieur des cuisses et parfois je remonte jusqu’à son sexe sans m’y attarder.

Tout à coup, je vis à ma gauche une ombre s’approcher et j’entends par le bruit du fauteuil, que quelqu’un s’est assis derrière nous, je me retourne discrètement et je vois un homme d’environ cinquante-cinq ou soixante ans, occupé à se débarrasser de son manteau et à s’installer confortablement, bizarrement, il avait tout le loisir de s’asseoir ailleurs mais il a choisi le siège juste derrière moi ! Enfin, il est libre...
Je craignais que ma femme ne retire mes mains, mais on aurait dit qu’elle ignorait complètement la présence du quidam de derrière, la situation m’excitait davantage, j’imaginais le bonhomme mater ma femme pendant que la dévoilais et la caressais.
J’ai donc continué mes caresses en passant mes doigts de temps à autre sur son sexe, qui par ailleurs est complètement rasé, (c’est moi qui m’occupe de ce rasage) elle à très légèrement écarté les cuisses, ce qui m’encourage...

Je défais un bouton de son chemisier, puis un deuxième, et je glisse ma main droite dans son corsage, je caresse un sein,,j’ai mis un doigt à l’entrée de sa vulve qui est bien plus mouillée que je ne l’imaginais, et ses yeux ne quitte toujours pas l’écran !
Cependant, je vois que sa respiration est plus rapide et plus lourde, je tourne la tête vers elle, je voulais l’embrasser dans le coup, elle aime ça, je vois à ce moment, sur ma droite, que le bonhomme s’est avancé vers nous et qu’il mate tout ce qui peu voir, sa tête se trouve à cinquante centimètres de la mienne, je continue mes petits bisous sans m’occuper de lui, comme il avait remarqué que je savais qu’il nous observait, il se fit plus courageux et s’approcha davantage, mais cette fois, de l’autre côté, c’est-à-dire du côté de ma femme, je sentais mon cœur battre à tout rompre dans ma poitrine, et sans savoir si mon épouse avait remarqué sa présence ou non, je défis encore un bouton de son chemisier, j’écartais le chemisier, et elle se trouva en soutien, j’ai alors dégager davantage ses seins du balconnet et je les caressais en tirant de temps à autre, sur le bout des seins, elle adore ça.

Elle à fermé les yeux pour s’abandonner au plaisir, maintenant, son sexe est trempé, elle a les cuisses largement ouvertes et le gars va jusqu’à se pencher pour mieux voir ce qui se passe plus bas !
A mon avis il devait être pas mal excité, soudain, il avance doucement une main en direction de la poitrine de ma femme, il pose sa main sur ses seins, je retire alors mon bras, ce qui lui laisse le champ libre pour lui tripoter les seins, il les caresse, les malaxe, les presse, ma femme a toujours les yeux clos et se contente de savourer le plaisir que ces caresses lui procurent, elle a maintenant la tête sur mon épaule, j’ai glissé deux doigts dans son sexe et je lui branle le clito avec mon pouce, elle soulève le bassin pour que mes doigts pénètrent davantage, j’en profite pour lui remonter la jupe jusqu’à la taille, le bas de son corps est maintenant à l’air, le mec de derrière s’est levé et je vois qu’il se penche vers ma femme et qu’il commence à lui embrasser les seins, moi, j’ai sorti mon sexe qui est tendu comme un arc et je dirige sa main pour qu’elle commence à me caresser la queue.
Ce qu’elle fait sans hésiter, je suis sur maintenant qu’elle à compris que je n’étais plus seul, et le mec à compris aussi, si bien qu’il s’enhardit bien plus, il lui caresse aussi le sexe, introduit profondément un doigt, ce qui là fait gémir de plaisir, fait quelques aller et retour dans sa chatte, puis remonte la main vers son visage et lui caresse les lèvres avec ce même doigt, ceci ne semble pas lui faire d’effet mais ne là dérange pas pour autant, il force légèrement entre ses lèvres pour lui faire ouvrir la bouche, ce qu’elle fait sans rechigner et il introduit son majeur trempé de foutre dans sa bouche et commence un lent mouvement de va et vient, ma femme referme les lèvres sur son doigt et joue le jeu à fond, soudain, il enleva son doigt de la bouche, se pencha vers elle, la langue en avant, il avait une langue d’une longueur étonnante, il lui fourra la langue dans sa bouche d’une vitesse incroyable et commença à l’embrasser goulûment, elle répondit à son baiser sans problèmes.

Au bout d’un petit moment, il se releva, pris son manteau et s’en alla, me semblais-t-il ! Car il avait contourné la rangée et vint s’asseoir à la droite de ma femme, il lui releva ensuite la jambe droite et il lui caressait l’entrée de l’anus, elle devenait folle, il se mouilla les doigts dans son sexe puis lui glissa un doigt dans le cul, je devais presque poser ma main sur sa bouche pour étouffer ses gémissements, de l’autre main, il lui branlait le clito, à cet instant, comme je là connais bien, je commence à tirer sur le bout des seins ce qui déclancha instantanément un orgasme d’une violence rare...

Il se positionna en face d’elle, à genoux, et se mit à la lécher sans retenue, avec une certaine brutalité, elle soulevait le bassin dans une cadence régulière, il releva la tête et je vis qu’il lui avait mis le pouce dans le cul, il se remis à là lécher et elle jouit à nouveau, il se releva, il avait sorti sa queue et revint s’asseoir à côté d’elle, il saisi alors sa nuque, et il l’approcha de lui pour l’embrasser à nouveau, sans qu’il ne fasse rien, ma femme avait saisi le sexe du gars
et le branlait, et alors, tout en se remettant dans son siège, il fit pencher ma femme sur sa queue, elle ouvrit la bouche sans hésiter et se mit à le sucer, moi je lui caressais le cul, le sexe, je lui bouffais la chatte et elle jouit une fois de plus , soudain j’entendis un gargouillis dans la bouche de ma femme, je compris alors qu’il venait de jouir, il lui maintenait la tête sur sa bite pour l’obliger à tout avaler, n’ayant pas le choix, c’est ce qu’elle fit.

Le bonhomme se rajusta, moi aussi, mais ma femme le fit quelques instants plus tard.
Le type se pencha vers nous et nous dit ‘’ bonsoir à vous deux, il nous a sourit et il s’en est allé.

Nous avons quitté la salle quelques minutes après, j’étais détendu et Martine n’était pas encore descendue sur terre, je lui demande : ça t’a plu ? Elle me répondit qu’elle avait un peu honte mais que c’était quand même super.
Tout en marchant en direction de la voiture, nous passons devant une taverne qui s’appelle ‘’La grignotte’’ puisque nous sortions du cinéma "caméo" (certain auront donc compris que cela c’est passé à Namur.
Juste en passant, je jette un coup d’œil dans le bistrot et il me semble apercevoir au bar, notre complice de tout à l’heure, je propose à mon épouse d’entrer prendre un verre et elle accepte, je fais passer ma femme devant moi, nous passons derrière lui et je propose de nous installer une ou deux tables plus loin, ce qu’on fit. Martine tournait presque le dos au gars, moi j’attendais qu’il se retourne tout en me demandant si ma femme avait vu son visage, ce que je ne pense pas, Jean, puisque c’est son prénom, se retourne, regarde ma femme en commencent par jeter un coup d’œil sur ses jambes, puis remonte et je vois l’interrogation naître dans ses yeux, ensuite il me regarde, je lui souris et il se détend (il devait se dire, oui c’est bien eux !).

C’était un gars très net, soigné et paraissais plus jeune que son âge, il avait en fait soixante-trois ans. Je regarde mon épouse et lui dis à voix basse, tu vois le mec qui prend un verre au comptoir, et bien c’est le gars du cinoche elle se retourne le plus discrètement possible et regarde dans sa direction, mais au même moment, Jean fait la même chose et leurs regards se croisent très vite !

Ma femme détourne la tête et me regarde en disant : tu es sur ? Certain ! Dis-je, elle était rouge de honte, je lui demande alors si elle se sent mal à l’aise et me répond que lui ne l’a peut-être pas reconnu, je me mets à rire et elle comprit que c’était pas la peine de se raconter des histoires.
Je lui dis alors : on l’invite à prendre un pot ? Elle ne sait quoi répondre, elle me regarde, en hésitant entre oui et non, toute confuse et toujours les joues roses, je me lève et me dirige vers Jean, je m’appuie sur le comptoir, lui dis bonsoir et lui propose de prendre un verre avec nous, il accepte en souriant et me suis, arrivé à hauteur de notre table, je lui indique la banquette où était assise Martine, mon épouse recule et se réfugie au bout du siège, Jean pris place et j’appelle le garçon pour commander.

Mon épouse était tétanisée, figée sur place ! Jean nous demande nos prénoms, il nous dit le sien et nous échangeons des banalités, il était retraité et ancien indépendant, ils nous proposa ensuite de se tutoyer, je dis que pour moi pas de problème, il regarda Martine et elle fit un signe de la tête, voulant dire oui, mais sans le regarder. Après quelques minutes mon épouse commençait à se détendre, je la voyais rassurée par la classe et l’éducation de Jean, il se leva en s’excusant pour un instant, et disparu au sous-sol vers les toilettes. Je dis alors à Martine, tu te sens un peu mieux ? Elle me répondit que oui et que de toutes façon elle n’avait pas de quoi avoir honte ! Je fus tout à fait d’accord avec elle.
Jean revint et pris place, mais cette foi, plus près de Martine, elle me regarda et je vis dans ses yeux un peu d’angoisse, je lui ai souris pour la détendre.

Il me vint alors une idée, je me lève, m’excuse à mon tour et me dirige vers les toilettes, je ne sais trop ce que j’espérais mais je me laissais le droit de découvrir une éventuelle surprise, ou rien du tout, qui sait ?
Je pensais justement que les banquettes étant très proches de la table, on pouvait faire pas mal de choses par-dessous, sans que personne ne se doute de quelque chose, je pris mon temps et je finis par remonter, je marchais doucement pour pouvoir avoir le temps de voir, si toutefois il y avait quelque chose à voir...

En passant à leur hauteur, je vis que Jean avait posé la main sous la table, qui disparaissait sans doute sur les cuisses de Martine, je repris ma place et fit comme si de rien n’était, je vis que ma femme était de nouveau rose et crispée, elle passa aussi une main sous la table et je là vis faire des efforts pour enlever la main de l’homme qui la tripotait, mais impossible, il était plus fort, elle abandonna la lutte et se résigna, je voyais le bras de Jean bouger légèrement de haut en bas, Martine se détendit et se laissa aller dans le fauteuil.
Je me levai pour prendre mon portefeuilles mais en fait, je voulais voir se qui se passait entre eux, ma femme avait posé une cuisse sur celle de Jean, et en me rasseyant, je senti le genou de Martine, elle avait les cuisses largement ouvertes, je vis alors deux jeunes hommes assis sur des tabourets au bar, ils se trouvaient juste dans la projection de Jean et Martine, à mon avis, ils mataient un méchant coup ! Je me suis alors déplacé sur la banquette pour qu’ils puissent voir encore mieux...
Martine ondulait doucement et fermait les yeux de temps à autre, un peu plus tard, elle fixait les gars dans les yeux, mais ils n’osaient soutenir son regard.
Jean se mis à chuchoter à l’oreille de mon épouse, elle sourit, se leva, Jean la laissa passer et elle se dirigea vers les toilette, quand elle revint, je vis qu’elle avait défait un bouton en plus, mais lorsqu’elle passa sous les spot, j’ai tout de suite remarqué qu’elle avait enlevé son soutien.
Par transparence, on distinguait facilement ses seins, elle s’est rassise, Jean à passé alors son bras par-dessus ses épaule, il passa la main sous son bras pour lui peloter le sein droit, les gars derrière nous n’en pouvaient plus, le plus grand s’est dirigé vers les toilettes, il portait un pantalon en lin, on pouvait aisément voir la bosse au niveau de sa braguette !
Jean nous proposa ensuite de nous rendre tous les trois dans un endroit qu’il connaissait et pas loin d’où nous nous trouvions, il précisa que cet endroit était parfait pour les jeux exib. Et voyeur, ma femme dit tout de suite, pourquoi pas ? Il n’est que minuit ! Ok dis-je alors, c’est parti !

Jean monta avec nous en voiture et choisi de s’installer à l’arrière, nous prîmes l’autoroute en direction de Charleroi, ensuite une sortie vers Epignies ensuite remonter sur l’autoroute pour terminer sur un parking.
Il était un peu éclairé, il y avait trois voitures garée sur les emplacements mais personne à l’intérieur, finalement, le parking semblait désert, je dis alors à Jean, ‘’il n’y a personne ici Jean ? T’inquiète me dit-il ce serait bien la première foi ! Il avait pas mal d’expérience le Jean...
Il demanda à Martine de laisser aller son dossier en position couchette mais pas complètement, ce qu’elle fit en bon élève ! Elle demanda alors à jean s’il n’y avait pas de danger à traîner là ? Jean la rassura en expliquant que non et que s’étaient souvent les mêmes personnes qui se trouvaient là, mais où sont ces personnes dont tu parles ? dit-elle alors ? Il faut attendre un peu, mets-toi à l’aise lui dit-il, ne sachant trop quoi faire, elle déboutonna complètement son chemisier, Jean se pencha vers elle et pris ses seins à deux main en ajoutant, :
-tu me fais de nouveau bander salope !!!

Jean me demanda d’allumer le plafonnier, ce que je fis, je vis alors que quelque chose bougeais dans la végétation, Jean me dit à cet instant de verrouiller les portes par pure précaution. Dans mon rétro, je voyais un type se diriger vers nous, il arrivait doucement, Jean se pencha davantage sur Martine et il fit remonter sa jupe en lui demandant de se soulever un peu, il remonta sa jupe jusqu’à la taille, il tira sur son chemisier pour le sortir de dessous la jupe et lui enleva complètement.

Le voyeur était maintenant juste entre les deux portières droites, je demandai à Jean ce qu’il attendait, et jean me dit que le gars voulais être sur qu’il ne risquait pas de se faire jeter. Au bout d’un moment, il s’avança au niveau de la vitre de Martine, jean lui dit alors de poser les jambes sur le tableau de bord, elle s’exécuta et à mon tour, je lui demande des les écarter.
Le gars a maintenant le visage collé sur la vitre, Jean, d’un ton autoritaire, ordonna à Martine de se masturber, d’une main elle ouvrait sa vulve, et de l’autre elle branlait son clito, elle était visiblement très excitée, j’ai découvert que le fait d’être dominée lui plaisait au plus haut point.
Jean fit alors tourné la roulette du siège pour le positionner complètement en couchette, puis il attrape les jambes de ma femme,et les releva, il lui ordonna de continuer de se branler, dans cette position, on avait une vue imprenable sur son sexe et le reste, Jean me dit, caresse-lui son petit trou, je lui écartais les fesses et commençait doucement à lui doigter le cul, Jean dit alors : mets-lui ton doigt dans le cul, il a baissé son froc et Martine le suce, ouvre un peu la vitre me dit-il, je vis à cet instant qu’il y avait trois mecs collés à la vitre, ouvre davantage ! Et je descends encore un peu la vitre, un des gars a passé un bras et pelote les nichons de Martine, sans retenue et la limite de la violence, Jean d’un ton sévère s’écria -doucement ! Ou tu dégages !!!
Le gars le regarda et se calma brusquement, de ma propre initiative, je fis descendre complètement la vitre, Jean m’a regardé et m’a dit en souriant, (t’apprends vite !)

Les mains se croisaient, les trois mecs la pelotaient, lui ouvraient la chatte, pénétraient le sexe de Martine, elle n’en pouvait plus, elle branlais Jean qui n’était pas loin de jouir...Un des gars avait sorti sa bite et se branlait en regardant le spectacle, il était tout près, il saisit la main droite de ma femme, et la posa sur son sexe, elle commença à le branler frénétiquement , en quelques secondes, il éjacula sur la poitrine de Martine et sur son ventre, le suivant se mis aussi à se branler la bite, son sexe était carrément à l’intérieur de la voiture, Jean ordonna : aller, suce sa queue, salope, elle se relève et engloutit la bite du gars, Jean approcha et pendant que ma femme le suçait, il saisi la base du sexe du voyeur et le branla à toute vitesse, je vis qu’il jouit dans la bouche de Martine,car Jean lui tenait la tête de l’autre main , le gars disparu et il restait un mec plus jeune qui tenait son sexe en main, il semblait plus timide que les autres, Jean fit mettre Martine à genoux sur le siège et face à lui, elle se remit à sucer son maître, l’autre gars avait un superbe vue sur le cul de Martine , jean lui fit signe avec la tête de s’approcher et il ne se fit pas prier !
Il tripotait tant qui pouvait ses fesses, son petit trou, il allongeait le bras pour lui peloter les nichons, tout à coup, jean fit retourner Martine sur elle-même, quand elle releva la tête, elle avait la bouche à dix centimètres de sa bite, Jean lui dit ‘’pompe le aller !elle le suçait avec cœur, Jean me demanda alors si j’avais des capotes ?
J’ouvris le vide-poche, j’en pris une et lui passai. Jean dit alors à Martine de me sucer, elle s’exécuta ! C’était délicieux…mais elle avait les fesses tournées vers la vitre, elle était à genoux, Jean passa la capote au jeune gars, et lui dit d’un ton sévère, mets ça ! Le gars s’exécuta, non sans mal, car Jean vérifiait si tout était bien en place. Il dit alors au gars d’ouvrir la porte, à ce moment, ma femme dit, non, pas un inconnu ! Ne t’inquiète dis-je, il est bien protégé, et elle se remit à me sucer. Jean saisi les fesses de Martine, les écarta, et dit au gars, baise là, allez, baise cette salope, elle demande que ça ! Le gars guida sa bite à l’entrée de sa fente, et là pénétra d’un coup, ce qui fit gémir Martine, il la baisait avec virulence, pendant ce temps, Jean lui doigtait le cul en le mouillant de sa salive, il dit alors au jeune homme : mets-lui dans le cul maintenant ! Mais doucement, si tu lui fais mal, je t’arrache les couilles ! j’étais écroulé de rire …Le mec l’encula doucement puis repris ses vas et viens énergiques, tout cela m’avait terriblement excité, et j’éjaculais dans la bouche de Martine, qui avalât tout, Jean s’approcha de nous et dit, suce moi aussi ! Au moment ou elle mit la bite de Jean en bouche, il jouit aussi, le jeune poussait de gémissements de plaisir derrière Martine, en se vidant dans la capote.

Voilà, c’est fini, inutile de dire que Jean est devenu notre ami intime, et l’est toujours depuis ces années. Mais j’ai d’autres moments encore plus salaces à vous conter, la prochaine fois !!!

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