Civitas

- Par l'auteur HDS Emile Martell -
Auteur homme.
  • • 6 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.2
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Récit libertin : Civitas Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Civitas
Vous étiez en balade à Nantes lorsque la pluie vous surprit en fin d'après-midi. Le ciel s'était assombri et vous deviez vous dépêcher à rejoindre la gare à l'autre bout de la ville. En temps normal vous aimiez vaquer à vos balades sans contraintes de temps ou d'itinéraire mais cette fois ci vous avez donc utilisé le GPS pour vous trouver le chemin le plus court vers votre objectif. Vous aviez couru depuis 10 bonnes minutes et vous deviez passer à travers un quartier de la cité de Nantes. Les longues barres d'immeubles n'offraient aucun abri et vos vêtements n'étaient pas fait pour vous protéger de la pluie. Vous décidiez donc après ferme proposition de ta copine de vous arrêter dans un des petit hall éclairés en bas des immeubles pour vous mettre à l'abri de la pluie battante. Par chance le hall était accessible à tous et par ce temps pratiquement personne ne sortait de son chez lui.

Vous étiez donc tout les deux trempés dans un petit hall désert à la lumière tamisée au beau milieu d'un quartier inconnu. Cette situation était quelque peu excitante pour vous car vous aviez un fantasme commun : baiser dans un lieu public avec le risque d'être surpris. Cet endroit s'y prêtait parfaitement car il était à la fois peu éclairé mais visible de l'extérieur par des larges portes vitrées et de grandes baies vitrées qui étaient la face frontale du hall vers la rue. De plus n'importe quel locataire pouvait descendre et vous surprendre. Vous aviez enlevé vos manteaux trempés et les aviez mis sur le vieux chauffage en fonte du hall. Maintenant serrés l'un contre l'autre vous vous câliniez. Au bout d'un petit moment de cette étreinte tu sentais les formes de ta copine contre toi et elle pouvait de plus en plus distinctement sentir ton sexe se durcir dans ton pantalon contre le haut de ses cuisses. Elle te lança un regard pétillant d'envie et elle commença à passer sa main sur l'emplacement de ta bite déjà bien dure, caressant la toile de ton pantalon. Vous vous regardiez et un désir très puissant naquit en vous.

L'intérieur éclairée du hall était visible depuis la rue, dehors, l'obscurité de la soirée tombait lentement et ne vous permettait plus de distinguer les formes qui y passaient. Cette situation faisait partie de vos fantasmes les plus forts, être vus sans savoir qui pouvait vous voir. Et l'obscurité tombante cachait les passants mais la lumière du hall attirait naturellement les regards extérieurs. Vos caresses mutuelles faisaient monter la tension entre vous et elle devenait insoutenable. Tu caressais maintenant les seins de ta copine à travers son t-shirt pendant qu'elle passait sa main sous le tien pour venir te torturer les tétons tandis que son autre main continuait ses va et vient par-dessus ton entrejambe. Le bruit de la pluie dans le silence du hall accompagné de l'obscurité de l'extérieur et de la luminosité de l'intérieur finissaient de vous isoler dans votre désir, mais pas du reste du monde. Peut-être des passants voyaient-ils un jeune couple fou amoureux en train de s'embrasser passionnément et de perdre leurs mains un soir de pluie. Seule votre imagination y répondait.

Après de longues caresses sensuelles et érotiques ta copine te surpris en déliant sa langue de la tienne, quittant ta bouche pour se mettre à genoux devant toi. Elle défit alors ta braguette et baissa légèrement ton boxer pour laisser sortir, libre, ton sexe déjà dur et humidifié par le liquide séminal. En plein hall d'un immeuble d'un quartier inconnu, ta copine était à genoux en train de sortir ta queue qu'elle commençait à branler doucement. Sa main coulissait le long de ta verge tendue et son index venait passer sur ton gland pour étaler le liquide et te lubrifier le haut de la queue.
Après quelques minutes de ce traitement elle commença à passer la langue sur ton frein en explorant petit à petit ton gland en te regardant fixement dans les yeux avec son regard de braise. La frustration de sa langue sur ton gland et de sa masturbation te firent la supplier de te prendre enfin en bouche.
Après une ultime provocation elle enfourna ta bite dans sa bouche et commença des vas et vient avec sa bouche sur ton gland et ta verge. Sa langue tournait sur ton gland et venait titiller le frein. La salive coulait le long de ta queue et sa fellation prenait un rythme puissant. En te suçant elle te branlait en même temps ce qui te fît monter très vite, au bord du gouffre tu la supplia d'arrêter avant que tu jouisse mais elle pris tes poignets et les plaqua contre le chauffage en fonte pour t'empêcher de bouger et continua de plus belle sa fellation en te regardant dans les yeux.

Tu ne pouvais pas te retenir plus longtemps et tu explosa dans sa bouche, envoyant plusieurs jets de sperme chaud sur sa langue et dans sa gorge. Tu jouissais bruyamment en gémissant car la situation t'excitais au plus haut point. Elle ne perdait pas une goutte de ta jouissance et vînt nettoyer ta bite encore à demi dure. A ce moment précis tu entendis les sifflets et les cris émanant de la rue où un groupe de jeunes passait devant le hall et n'avaient sûrement rien loupé du spectacle. Un peu gênés mais excités tu rangeas tout de même ta bite et les cris s'éloignèrent dans le noir.
Ta copine s'était relevée et t'embrassa passionnément. Vos langues se mélangèrent et tu sentis le goût léger de ta jouissance. Puis elle mît fin à l'étreinte pour reculer d'un pas et sans prévenir retirer son t-shirt et le jetter à côté de toi sur le chauffage auquel tu étais adossé. Le message était clair, elle aussi voulait jouir et s'exhiber dans ce hall. Tu t'avançais alors vers elle pour lui prendre les seins à pleine main et les malaxer tendrement. La sensation de ses petits seins fermes et doux t'excitait et tu repris de la vigueur, ta bite grossissait à nouveau. Tu entrepris de lui lécher les tétons et de les torturer un peu a ton tour. Pendant que ta langue et tes dents s'occupaient d'un, une de tes mains s'occupait de pincer l'autre tandis ce que ta dernière main glissait par-dessus son jean à l'emplacement de son clitoris.

À ce moment précis la folie s'empara de vous deux et tu défis précipitamment son jean et tu fis glisser sa culotte à ses chevilles. Elle retirait totalement ses bas pour être plus libre de mouvement et se retrouvait entièrement nue au milieu du hall, la chatte dégoulinante de désir. Elle s'assit sur le chauffage, une jambe tendue qui la maintenait en équilibre et l'autre relevée posée elle aussi sur le chauffage pour offrir sa chatte à ta langue mais aussi à la vue de tous. Tu te précipita sur sa fleur offerte et ouverte pour poser ta langue sur son clitoris puis descendant jusqu'à son vagin pour goûter son nectar salé qui te faisait tourner la tête. S'ensuivit alors un cunnilingus passionné qui se transforma en véritable bouffage de chatte. Tu alternais les pressions et la vitesse et ta langue décrivait une danse abstraite et aléatoire autour de son clitoris. Elle commençait à gémir sous ces caresses buccales lorsqu'elle t'arrêta pour descendre du chauffage. Elle se plaça dos à toi puis se cambra en avant en s'appuyant sur le mur pour t'offrir son petit cul rebondi et sa chatte dégoulinante de salive et de mouille. À demi retournée pour croiser ton regard elle te dit de manière autoritaire :
- Tu vas me défoncer la chatte jusqu'à ce que l'un de nous deux jouisse. Si tu jouis en premier tu seras puni et tu seras à ma disposition jusqu'à ce soir mais si je jouis en première tu auras le droit de posséder mon cul pour te vider et tu pourras faire ce que tu veux de moi.

Tu hochais la tête précipitamment d'un air excité devant son regard dominateur mais qui laissait percer une envie de se faire prendre. Après ce cunni et cet proposition tu étais de nouveau opérationnel et ton érection était plus dure que jamais. Tu te plaça donc devant l'entrée de sa chatte pour venir la pénétrer, avec la vison de dos cambré et ses fesses fermes et rondes. Ta queue glissait dans son intimité chaude, douce et serrée venant vous unir. Tu commenças alors à faire des vas et vient de plus en plus puissants en plaçant tes mains sur ses hanches mais tu préfèrais les ramener sur ses fesses pour faire venir un de tes pouces sur l'entrée de son anus. Tu ralentis tes coups de reins pour cracher sur son petit trou et tu vînt le masser avec ton pouce. Puis une fois son petit cul dilaté tu le lui pénètra avec vigueur. Cette vision était plus qu'excitante pour toi, tu la baisais en plublic, elle totalement nue, sans savoir qui pouvais te voir. Tu lui défonçais la chatte en lui doigtant le cul en vue de ta victoire prochaine lorsqu'elle passa une main sous elle pour te saisir les couilles. Elle les malaxa fermement ce qui couplé avec cette vision érotique au plus haut point te fis éjaculer dans sa chatte. Tu jouissais de plus en plus fort au fond d'elle lorque elle aussi jouit lorque tu te pencha en avant pour passer une main sous son bassin pour lui branler le clitoris.

Vous récupériez tout les deux de vos orgasmes respectifs, essoufflés et à bout de force. Une énorme vague de bruit vous surpris à peine votre ébat fini. Des cris et des sifflets fusaient depuis l'extérieur dans le noir accompagnés de quelques applaudissements. Il semblerait que votre exhibition ait attiré un groupe de jeunes qui n'avaient rien perdu de votre baise. Ta copine se rhabilla à la hâte et vous vous enlaciez en vous embrassant fiers de vous tandis ce que les cris s'étaient estompés pour laisser à nouveau place au silence et à l'obscurité. Le groupe de jeune était parti et vous étiez seuls et habillés dans le hall plus faiblement éclairé par l'heure tardive. D'un regard espiègle ta copine te lança droit dans les yeux :
- Tu as joui avant moi tu as donc perdu... tu es à moi pour la soirée et tu as donc une punition... retournes toi.

Elle te força à te mettre dans sa position précédente. En t'appuyant sur le mur face au mur le cul légèrement offert. Elle baissa ton pantalon de manière à devoiler ton cul lui aussi ferme et parfait. Ses mains parcouraient tes fesses en s'approchant de plus en plus de ta fente masculine. Puis ses doigts arrivèrent sur ton anus et elle se mît à le masser et à le caresser légèrement. Puis quand il fût detendu elle avança sa bouche pour cracher sur l'emplacement de ton trou, et étala la salive dessus. Elle te pénétra avec un premier doigt en faisant des vas et vient puis en mis un deuxième. La sensation était intense et tu ne la voyais pas directement tandis ce que cette scène était toujours visible de la rue. Elle s'approcha de ton oreille et dit :
- Tu te souviens du fantasme dont tu m'avais fait part il y a quelques semaines ? Ton envie d'avoir une expérience avec un autre homme et de te faire sodomiser par un ou plusieurs autres mâles ? Saches que si on est passés par cette cité ce n'est pas pour rien...

Tu sentis des mouvements dans ton dos et tu entendis un son de porte discret suivit de bruits de pas de plusieurs personnes resonner dans le hall. Tu essayais par réflexe de te retourner pour voir ces inconnus mais ta copine te mis son autre main sur la nuque et te força à garder la tête contre le mur pendant qu'elle te doigtait. Elle poursuivit :
- Ne t'en fais pas, j'ai engagé ces deux hommes pour s'occuper de toi et de ton fantasme. Tu es à moi ce soir et je décide de te donner à eux... malheureusement ils ont un prix... je dois être à eux aussi...

Une pointe de surprise et de jalousie vînt accueillir cette proposition dans ton esprit. Mais rapidement la situation t'excita par le doigtage de ta copine et la présence de ces deux mecs derrière toi en sachant qu'ils étaient là pour vous baiser toi et elle. Tu donna ton accord à ta copine pour continuer et elle se retira de toi. Tu pouvais bouger à nouveau et tu découvrais les deux hommes qui allaient être tes partenaires pour ta première expérience bisexuelle.

Le premier était l'homme de tout les fantasmes, d'une peau métissée parfaite, grand, allure sportive et musculature finement sculptée. Son visage était anguleux et ses courtes dreadlocks lui donnaient un style d'homme assuré et dominant. Il était déjà torse nu habillé uniquement d'un short qui laissait entraperçevoir ses formes.
Le deuxième était blond et moins grand que le premier, un physique et un visage plus banal, allure sportive et élancée. Lui était encore habillé d'un t-shirt et d'un jean qui faisait clairement apparaître son érection. Il avait un sourire plus chaleureux et plus personnel par rapport au premier qui paraissait de marbre et taillé dans l'ébène.

Tu étais alors toujours le pantalon baissé offrant la vision de ton cul à ces nouveaux arrivants qui ne se privaient pas de te mater. Au moment où tu voulu te rhabiller le blond le pris les poigets fermement et les plaqua contre le mur tandis que le métisse te cambrait pour t'assener une féssée qui résonna dans tout le hall. Ton cul était brulant sous cette surprise et le blond se pencha à ton oreille et une voix chaleureuse et assurée te dit :
- Tu as entendu ta copine... ce soir vous êtes à nous... vous allez être nos petites salopes... alors vous allez nous obéir car qui sait ce qui pourrait arriver ici dans ce hall perdu au milieu de notre cité...

Sans un mot tu hocha la tête avec résignation et tu abandonna l'idée de te rhabiller. Toujours à demi nu le métisse t'avais pris la bite en main et commençait à te branler tandis que une main du blond vînt lacher tes poignets pour retomber le long de ton dos et te prendre le cul. Après ce rapide pelotage le métisse se dirigea vers ta copine et commença à lui prendre les seins à pleines mains pour les malaxer. Tu ressentis une pointe de jalousie mais tu laissa place à l'excitation quand le blond t'ordonna toujours aussi posément, comme si chaque phrase retentissait tel la volonté inexorable que prenait le futur, comme si tu étais à lui et que le temps ne le pressait pas pour profiter de toi :
- Fous toi à poil sans discuter. Et fais ce que tu aurais dû faire depuis bien longtemps à ton maître d'un soir...

Tu hésita et ne compris pas tout de suite ses ordres. Il te pris alors par la nuque et te força à te mettre à genoux. Il te redis fermement de le sucer à voix haute, devant ta copine et le métisse qui la touchait et commençait à lui lécher les seins et les gens qui devaient sûrement toujours vous observer depuis l'extérieur :
- je veux que tu retiennes bien que à chaque fois que je me présente devant toi où que je suis à côté de toi sans rien faire... je veux que tu me branle ou me suce sans hésiter... si tu veux être à nous il va falloir que tu intègres vite les codes.

Sans que tu ai le temps de répondre il déboutonna son jean et enfourna sa queue dans ta bouche en forçant tes lèvres. Il te laissa faire un moment, pour ta première fois il te complimenta puis pris ta tête à deux mains et prit le contrôle de la cadence. Il te baisait la bouche pendant que ta copine elle aussi suçait la bite du métisse, qui paraissait démesurée.
Après quelques minutes de fellation l'ordre de se déshabiller résonna encore et tu devais l'exécuter. Tu commençais alors à enlever tes vêtements un par un devant ta copine, les inconnus à l'extérieur et les deux mecs qui se branlaient en te matant. Une fois nu dans le hall ils dirent à toi et ta copine de les suivre dans une des caves pour y être plus tranquilles et enfin pouvoir procéder à ton initiation.

Une fois nu au milieu du hall, tu vis le métis déshabiller ta copine et tu sentis ton érection redoubler d'intensité. Le blond avait remarqué et vint se coller dans ton dos, il enfonça deux doigts dans ta bouche pour récupérer de la salive puis les enfonça dans ton cul en jouant d'abord avec l'entrée de ton anus.
Les sensations en toi se décuplaient et ce n'était que le début.
Ils vous conduisirent tout deux, nus, vers une porte au fond du hall et vous amenèrent vers une pièce simple, qui servait au stockage d'objets de l'immeuble. Ils dégagèrent une table et la mirent au milieu de la pièce.
Le blond te dis au creux de l'oreille qu'il allait t'enculer et te faire vivre une première fois dont tu allais te rappeler. La phrase et l'idée t'excita et l'envie de te faire prendre se fit sentir dans ton cul.

Tu appréhendais un peu et ton cul était serré alors le blond te demanda de te pencher en avant, ventre sur la table pendant que le métis mettait ta copine à genoux. Puis il lui ordonna de te lecher ton ptit cul, ce qu'elle fît sans résister.
Tu sentis sa langue d'abord le long de ta raie puis plus profondément, tu la sentis s'insinuer vers ton anus et lorsqu'elle déposa enfin sa langue dessus tu ressentis un déluge de sensations. Sa langue humide contre ton trou t'excitait, car c'était la première fois qu'elle le faisait. Elle commença alors à varier les intensités et la pression de sa langue, elle jouait avec ton trou en le léchant et en essayant de te pénétrer avec. Tu sentis avec délice sa bouche saliver et sa langue qui te léchait et qui parfois te pénétrais.

Une fois ton petit trou dilaté et detendu, tu vis que les deux hommes s'étaient déshabillés et qu'ils vous mattaient en se branlant. Tu croisa le regard du blond qui vînt se placer devant toi tout en continuant à se toucher. Tu étais encore le torse collé contre la table et tu sentis que ta copine ne te léchait plus. Tu tourna la tête pour regarder derrière toi et tu la vis en train de sucer le métis qui lui caressait les cheveux. Tu voyais sa bite coulisser dans la bouche de ta copine, allant et venant en faisant couler de la salive le long de la verge. Tu étais hypnotisé par ce spectacle de voir celle que tu aimais se faire baiser la bouche par un inconnu lorsque une main t'aggripa les cheveux pour te faire revenir à la réalité. Tu retourna la tête et le blond présenta sa queue à l'entrée de ta bouche pour venir la forcer. Tu le laissa écarter tes lèvres et il s'enfonça jusqu'au fond de ta bouche avec un soupir de soulagement. Il te prit la tête à deux main et dirigea la cadence pendant plusieurs minutes. Une fois qu'il fût satisfait de la fellation il se retira pendant que le métis avait relevé ta copine pour la mettre dans la même position que toi, à côté de toi.

Vous étiez donc tout les deux, côtes à côtes, poitrines collés contre la table froide, vos regards se croisèrent et décrivaient une excitation intense. Les deux mecs étaient sortis de votre champs de vision pour se placer derrière vous. Tu tournais la tête vers eux et tu vis le métis derrière ta copine qui frottait son sexe contre le petit trou de ta copine qui te regardait toujours dans les yeux. Le blond vînt calmer les ardeurs du métis et t'ordonna de venir te mettre a genoux derrière ta copine. Pendant que le métis se redirigeait vers elle pour lui baiser la bouche, tu avais pour ordre de préparer son petit cul pour qu'elle soit dans les meilleurs conditions pour se faire sodomiser.

Tu la léchait avec la même passion que ta copine avait mise quand elle jouait avec ton cul. Ta langue tournait sur son trou et essayait de la pénétrer également. Sentir son cul se détendre sous ta langue était un pur bonheur et ton plaisir était décuplé par les gémissements étouffés par la queue qu'elle suçait que tu entendais. Pendant que tu étais à genoux derrière son cul magnifique, le blond se plaça derrière toi et promèna ses mains sur ton torse finement musclé. Il s'agenouilla derrière toi et son sexe bandé frottait contre tes fesses, ses mains elles caressaient ton torse et venaient pincer tes tétons qui pointaient d'excitation. Il les torturaient en les faisant rouler entre ses doigts pour te faire gémir de plaisir et alternait la force qu'il mettait. Il aimait te torturer ainsi, son corps contre le tien et sa bite tendue frottant parfois ton petit trou.

Une fois vos culs humides et dilatés par vos propres langues et l'excitation, les deux mecs vous remirent en position initiale. C'est à dire le ventre et le torse collé contre la table, en vous regardant dans les yeux pendant que vos culs étaient cambrés et offerts.
Les deux mecs se plaçaient derrière vous et comme prévu, le métis se remit derrière ta copine et lui mît une fessée en lui empoignant ses fesses rondes et fermes. Il les lui écarta et vînt coller son gland contre son anus humide de ta salive. Tu sentis le blond qui lui écarta tes fesses pour les réhumidifier, il joua avec sa langue pour t'exciter un peu plus puis cracha sur ton petit trou et vînt y poser son gland aussi.
Tu échanga alors un regard intense avec ta copine, vous pouviez lire l'excitation et l'amour dans vos yeux. Vous étiez liés dans ce moment unique. Vous ne vous lachiez pas du regard pendant que les deux mecs commençaient à vous pénétrer en forçant légèrement sur vos petits culs. Ils progressèrent lentement, faisant coulisser leurs queues en vous. Ta copine fût la première à gémir car le métis avait une queue assez large qui semblait pousser ta copine et son cul dans leurs dernières limites. Son regard se brouilla et elle semblait transportée par sa sodomie, en effet le métis avait entièrement rentré sa queue dans son cul et ses couilles vinrent coller sa chatte mouillée. Cette vision te fît à peine réagir car le blond aussi se glissait en toi et tu le sentais te posséder de plus en plus profondément. Tu te sentis comblé quand ses couilles vinrent se frotter aux tiennes et sa verge totalement enfoncée dans ton cul.

Pour ta première sodomie tu ne fus pas déçu car le blond prenait son temps. Tu étais encore un peu tendu alors il vînt coller son ventre à ton dos pour pouvoir avoir accès à ton entrejambe. Il te saisit les couilles par dessous et commença a les malaxer délicatement. Il continua en montant sur ta queue et commença à te branler en faisant bien décalotter ton gland. Une fois qu'il te sentit plus détendu il commença les vas et vient en toi ce qui t'arracha des gémissements à chaque passage sur ta prostate.
Pendant ce temps à côté tu remarquais enfin que ta copine se faisait enculer de plus en plus fort, le métis l'ayant agrippée au niveau des hanches en lui infligeant occasionnellement des fessées. Toi aussi tu commençais à être secoué par les coups de reins de ton partenaire qui prenait plaisir à s'enfoncer toujours plus profondément en toi.
Le métis décida alors de retourner ta copine pour la mettre sur le dos tout en continuant à la sodomiser de plus en plus fort si bien que ses seins se balançaient devant lui. Il prît alors ses tétons et les pinça pour faire crier de plaisir ta copine qui paraissait perdue dans un flot de stimulation. Ils baisaient comme des bêtes et le métis était envoûté par les seins ronds et fermes qu'il malaxait ce qui lui fît encore accélérer ses coups de butoir.
Toi pendant ce temps là, tu te faisait maintenant défoncer par le blond qui avait accéléré comme son complice, ce qui faisait bouger tout ton corps. Tu étais toi aussi hébété par le plaisir nouveau qui s'offrait à toi, ton cul stimulé comme jamais, t'offrait un plaisir incomparable.

Ta copine gémissait et criait tandis ce que toi aussi tu ne pouvais contenir tes cris de plaisir qui s'échappaient malgré toi. Le métis jouit en premier, il avait accéléré au maximum les coups de bassins et la jouissance de l'un fît venir celle de l'autre, ta copine jouissait enfin quand il colla son pouce plein de mouille sur son clitoris pour appuyer desssus et jouer avec. Ils gémirent ensemble puis le métis se retira et s'écroula à bout de souffle sur une chaise qui traînait là.
Ce spectacle t'avais excité comme jamais et tu croisa à nouveau le regard de ta copine, elle aussi à bout de force. Tu sentis une chaleur monter en toi à force de vas et vient puissants. Tu te laissa aller et tu jouis comme jamais tu n'avais joui. Ton cul était en feu et ton corps en transe, ton esprit embrumé. Le blond gémit et lui aussi jouit en toi. Tu sentis les spasmes de plaisir de sa bite en toi.
Il se retira délicatement et te caressa lentement sur toute la longueur du dos. Ta copine vînt se lover au creux de tes bras le temps que vous récupériez de cet orgasme, vos regards étaient perdus et encore prisonniers du moment magique de fusion que vous veniez de vivre.

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Texte coquin : Civitas
Histoire sexe : Une rose rouge
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