Claire à l'hôtel
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Claire à l'hôtel
Je ne vois d’abord que sa tignasse : de longs cheveux presque noirs, qui descendent à mi fesses, puis ses fesses qui roulent quand elle marche en se déhanchant. Je marche à peine plus vite qu’elle, je suis à sa hauteur assez vite. Je la regarde en tournant légèrement la tête Rien que son profil montre la beauté satanique de cette fille. J‘ai envie d‘elle aussitôt.
J’aime les femmes comme certaines, s’il m’arrive de faire l’amour avec un homme, c’est au cours de soirées particulièrement chaudes, et encore avec une autre fille : j’aime faire l’amour en trio. Le sexe masculin ne me sert que pour me faire mettre quand la langue d’une amie lèche ma chatte.
Mais cette fille me donne envie de jouir, là, maintenant. Je réfléchi un instant : elle ne porte qu’un chemise d’homme boutonnée à mi sein. Je voudrai déboutonner la chemise pour embrasser les seins qui sont nus certainement.
Elle aussi tourne la tête, en me voyant elle me sourit. Bon présage. Je risque un bonjour timide, elle me répond. Alors nous bavardons.
- Il fait chaud cet après midi.
- C’est vrai.
- Vous accepteriez si je vous offre un rafraichissement ?
- Ca dépend où.
- Où vous voudrez.
- A la brasserie en face.
Nous sommes attablées au fond du bistrot, avec un Perrier frais. Nous reprenons la conversation. Après tout si elle est près de moi, elle l’a voulu.
- Je m’appelle Julie, et vous ?
- Moi, Claire, on pourrait se tutoyer ?
- Bien sur. Tu fais quoi dans la vie,
- Je suis patronne d’une petite boite de communication.
- Tu as beaucoup de clients ?
- Je commence à peine, c’est dur de se faire une réputation.
- Tu es libre maintenant.
- Presque, je devais voir un ancien mec à moi, celui qui m’a lancée dans le biseness.
- Donc tu n’es pas pressée.
- Pas du tout. Tu sais que tu es jolie et sexy.
C’est moi qui essaie de la lever, c’est elle qui me trouve sexy.
- Sexy je ne sais pas, toi tu l’es surement. J’ai même envie de toi.
- Parce que tu aime les filles ?
- Bien sur, ce n’est pas défendu.
- Non, au contraire, moi aussi j’aime les filles comme toi, celles qui n’ont pas froid aux yeux.
Tout en parlant elle pose une main sur ma jambe. Je la laisse faire en regardant sa main. Elle monte doucement le long du jean. J’écarte légèrement les jambes : elle ne pourra rien me faire d’autre que me faire comprendre qu’elle veut de moi rapidement. Je me tourne vers elle pour l’embrasser sur la bouche. Nos langues fouillent la bouche de l’autre. Sa main est sur ma poitrine. Nous sentons des regards d’hommes intéressés par notre prochaine caresse. Nous partons sans trop savoir où aller. Excitées nous entrons dans un petit hôtel qui accepte les locations à l’heure. C’est Claire qui paye d’avance, comme il est de coutume dans ce genre d’établissements.
Nous sommes enlacées dans une chambre neutre, nous nous embrassons encore. Quand nous cessons Claire me lèche les lèvres comme en remercîment. Je commence à défaire les boutons de la chemise, c’est bien ce que je pensais elle ne porte rien dessous. Ses seins n’ont pas besoin d’armature pour tenir en l’air. Je ne me pose pas de question mes mains s’empare des ses seins. Je les caresse en les détaillants. Je suis surprise de la couleur de ses aréoles un peu trop brune, par contre ses tétons sont déjà bien bandés.
Claire ne reste pas inactive. Elle enlève mon t-shirt, défait la ceinture du jean, descend la fermeture éclair pour faire tomber et le pantalon et le string. Je suis nue devant elle, sans aucune pudeur ; nous allons nous donner l’une à l’autre. Comme je la pelote, elle se déshabille toute seule : pour le peu qu’il y a elle fait vite. Je vois qu’elle est comme moi, elle porte fièrement sa fourrure.
C’est elle qui pose sa main la première sur ma chatte. Elle la prend en entier dans sa main. Elle me laisse dans l’angoisse de savoir ce quelle va me faire : du bien, c’est sur, quel genre, masturber quoi : le bouton, mon puits, mon cul. Je la serre contre moi, je veux sentir mes seins contre les siens. Nous les faisons glisser l’un sur l’autre, c’est délicieux, les femmes qui refuse de faire l’amour avec une autre ne savent pas ce qu’elles ratent.
La main de Claire s’anime enfin sur ma chatte, elle a sorti un doigt qu’elle pose sur mon bouton. Elle me fait languir pas mal de temps.
- Branles moi vite, s’il te plait, j’en crève d’envie.
- Patiente un peu, c’est meilleur après.
- Embrasse moi encore et branles moi.
Sa bouche est vite sur la mienne, je sens son doigt bouger lentement là où elle est. Sa caresse m’excite encore plus que prévu. Je me laisse faire pour la première fois depuis longtemps. Normalement c’est moi qui domine. Je sens le plaisir monter lentement. Elle branle bien, très bien même. Mieux que quand je me masturbe. Un coup de tonnerre dans mon ventre ; je jouis. Elle laisse sa main pour laisser passer l’orgasme. Quand elle sent que je suis délivrée, elle me pousse sur le lit doucement. Je reste étendue, les jambes pendantes. J’attends sa langue. Oui, elle me lèche, en même temps elle me met deux ou trois doigt dans le puits. Elle trouve vite mon point sensible. Sa main continue à caresser l’intérieur du ventre, sa bouche vient sur la mienne un petit instant avant d’aller embrasser et sucer ma poitrine. Son autre main est dans ma bouche. Je la suce comme une bite. Elle a réussi ce que je rate souvent : entrer dans mon sexe, et ma bouche, en me pelotant.
- Oui, continue comme ça.
Claire ne répond pas, occupée qu’elle est par mon plaisir.
- Donne moi ta chatte que je la suce.
Pas de réponse.
- Je vais jouir. Je jouis.
Je ne sais si elle a avalé ma cyprine, toujours est-il que quand elle se relève elle a la figure toute mouillée. Quand elle m’embrasse je sens mon gout sur sa langue.
- Je veux te sucer maintenant. Tu n’as pas encore jouis
- Oui, je veux bien.
Elle se tourne seule, sa bouche est vite sur ma chatte, je trouve facilement la sienne : qu’elle est belle ainsi offerte, avec son petit trou visible. Je l’ajuste avant tout ; ma langue lèche l’anus légèrement pour savoir si elle m’accepte à cet endroit plus que personnel. J’adore sucer un cul, j’aime et le gout et l’odeur un peu forte. Je la sens frissonner sous ma caresse, surtout quand j’entre la moitié de la langue dans son cul. En remuant le bout, ma langue semble lui apporter un bonheur inégalé. Elle gémit. Je reste un bon moment là où je suis. Quand j’en sors c’est qu’elle vient de jouir.
Occupée à lui donner du plaisir j’oublie ce que me fais Claire : elle lèche toute ma fente depuis le rectum jusqu’au clitoris. Elle lèche sans arrêt la fente en me donnant plusieurs orgasmes. Par contre si sa langue est passée plusieurs fois sur l’anus, elle ne s’y est pas attardée. Elle préfère me faire jouir en mettant sa langue dans le vagin où elle trouve encore le point sensible.
Si elle aime tant les filles, c’est qu’elle sait surtout bien les faire jouir. Elle recommence à caresser le bouton : cette fois elle le fait avec tous les doigts d’une main. C’est la première fois qu’une femme me masturbe ainsi. C’est bon, c’est indiciblement délicieux.
Nous cessons le 69 au bout d’un moment. Je suis mouillée comme jamais, je sens ma cyprine couler entre mes fesses jusqu’à mon petit trou. Je pense avoir un peu de repos quand elle prend dans son sac une petite bouteille pleine d’un lubrifiant que je ne connais pas. Elle en fait couler sur mon bas ventre, entre mes cuisses, sur ma chatte. Elle revient avec sa main, elle me caresse partout sur le sexe, sa main glisse sur moi d’une façon extrêmement sensuelle.
Je la sens quand elle entre deux doigts dans mon con. Elle ne me les mets pas totalement au fond, elle reste à mi course. Elle les fait aller et venir pour arrêter pour mettre encore un doigt puis un autre, je crois que c’est le pouce. Maintenant elle entre toute sa main fermée. Je me sens remplie par sa seule main. Cette pénétration de toutes sa main me fait peu mal. Quand elle s’enfonce complètement, jusqu’au poignet, je commence à sentir un plaisir étrange envahir ma chatte. Ca ne ressemble à aucun autre plaisir que je connais. C’est à la fois complet, superficiel et totalement inconvenant. Je ferme les yeux pour profiter de la suite qui ne tarde pas : je jouis plusieurs fois au début puis une seule fois très longue à la fin. Mon orgasme a bien du durer un quart d’heure. Je suis comblée, saturée et crevée.
- Tu m’as donné un drôle d’orgasme.
- Je sais c’est-ce que j’aime faire aux filles pour la fin.
- Et toi ?
- J’ai vu en entrant qu’il y avait une douche, nous allons nous doucher, toi pour te laver la chatte pour éliminer ce produit que je t’ai mis et moi pour que tu me branle avec le jet. J’en jouirai et tu me le rendras.
Claire prévoit tout. Nous sommes sous la douche, le rideau ouvert : nous nous moquons des éclaboussures. C’est elle qui me lave la chatte avec la savonnette, Elle m’excite encore malgré ce qu’elle m’a donné. Elle me rince rapidement avec le jet. Elle me le donne. A mon tour de sévir, j’approche l’eau chaude de sa chatte : elle écarte les lèvres pour être bien branlée. Je ne commence pas par le clitoris, je m’acharne sur le cul. Elle jouit sans rien dire, sinon que c’est bon. Ensuite et ensuite seulement je l’embrasse en lui mettant le jet là où elle le désire. Je le laisse malgré ses jouissances : je veux qu’elle garde un bon souvenir de moi.
Claire m’embrasse une dernière fois quand nous sortons de l’hôtel, elle a eu ce qu’elle voulait ; j’ai eu la fille qui me plaisait tant.
J’aime les femmes comme certaines, s’il m’arrive de faire l’amour avec un homme, c’est au cours de soirées particulièrement chaudes, et encore avec une autre fille : j’aime faire l’amour en trio. Le sexe masculin ne me sert que pour me faire mettre quand la langue d’une amie lèche ma chatte.
Mais cette fille me donne envie de jouir, là, maintenant. Je réfléchi un instant : elle ne porte qu’un chemise d’homme boutonnée à mi sein. Je voudrai déboutonner la chemise pour embrasser les seins qui sont nus certainement.
Elle aussi tourne la tête, en me voyant elle me sourit. Bon présage. Je risque un bonjour timide, elle me répond. Alors nous bavardons.
- Il fait chaud cet après midi.
- C’est vrai.
- Vous accepteriez si je vous offre un rafraichissement ?
- Ca dépend où.
- Où vous voudrez.
- A la brasserie en face.
Nous sommes attablées au fond du bistrot, avec un Perrier frais. Nous reprenons la conversation. Après tout si elle est près de moi, elle l’a voulu.
- Je m’appelle Julie, et vous ?
- Moi, Claire, on pourrait se tutoyer ?
- Bien sur. Tu fais quoi dans la vie,
- Je suis patronne d’une petite boite de communication.
- Tu as beaucoup de clients ?
- Je commence à peine, c’est dur de se faire une réputation.
- Tu es libre maintenant.
- Presque, je devais voir un ancien mec à moi, celui qui m’a lancée dans le biseness.
- Donc tu n’es pas pressée.
- Pas du tout. Tu sais que tu es jolie et sexy.
C’est moi qui essaie de la lever, c’est elle qui me trouve sexy.
- Sexy je ne sais pas, toi tu l’es surement. J’ai même envie de toi.
- Parce que tu aime les filles ?
- Bien sur, ce n’est pas défendu.
- Non, au contraire, moi aussi j’aime les filles comme toi, celles qui n’ont pas froid aux yeux.
Tout en parlant elle pose une main sur ma jambe. Je la laisse faire en regardant sa main. Elle monte doucement le long du jean. J’écarte légèrement les jambes : elle ne pourra rien me faire d’autre que me faire comprendre qu’elle veut de moi rapidement. Je me tourne vers elle pour l’embrasser sur la bouche. Nos langues fouillent la bouche de l’autre. Sa main est sur ma poitrine. Nous sentons des regards d’hommes intéressés par notre prochaine caresse. Nous partons sans trop savoir où aller. Excitées nous entrons dans un petit hôtel qui accepte les locations à l’heure. C’est Claire qui paye d’avance, comme il est de coutume dans ce genre d’établissements.
Nous sommes enlacées dans une chambre neutre, nous nous embrassons encore. Quand nous cessons Claire me lèche les lèvres comme en remercîment. Je commence à défaire les boutons de la chemise, c’est bien ce que je pensais elle ne porte rien dessous. Ses seins n’ont pas besoin d’armature pour tenir en l’air. Je ne me pose pas de question mes mains s’empare des ses seins. Je les caresse en les détaillants. Je suis surprise de la couleur de ses aréoles un peu trop brune, par contre ses tétons sont déjà bien bandés.
Claire ne reste pas inactive. Elle enlève mon t-shirt, défait la ceinture du jean, descend la fermeture éclair pour faire tomber et le pantalon et le string. Je suis nue devant elle, sans aucune pudeur ; nous allons nous donner l’une à l’autre. Comme je la pelote, elle se déshabille toute seule : pour le peu qu’il y a elle fait vite. Je vois qu’elle est comme moi, elle porte fièrement sa fourrure.
C’est elle qui pose sa main la première sur ma chatte. Elle la prend en entier dans sa main. Elle me laisse dans l’angoisse de savoir ce quelle va me faire : du bien, c’est sur, quel genre, masturber quoi : le bouton, mon puits, mon cul. Je la serre contre moi, je veux sentir mes seins contre les siens. Nous les faisons glisser l’un sur l’autre, c’est délicieux, les femmes qui refuse de faire l’amour avec une autre ne savent pas ce qu’elles ratent.
La main de Claire s’anime enfin sur ma chatte, elle a sorti un doigt qu’elle pose sur mon bouton. Elle me fait languir pas mal de temps.
- Branles moi vite, s’il te plait, j’en crève d’envie.
- Patiente un peu, c’est meilleur après.
- Embrasse moi encore et branles moi.
Sa bouche est vite sur la mienne, je sens son doigt bouger lentement là où elle est. Sa caresse m’excite encore plus que prévu. Je me laisse faire pour la première fois depuis longtemps. Normalement c’est moi qui domine. Je sens le plaisir monter lentement. Elle branle bien, très bien même. Mieux que quand je me masturbe. Un coup de tonnerre dans mon ventre ; je jouis. Elle laisse sa main pour laisser passer l’orgasme. Quand elle sent que je suis délivrée, elle me pousse sur le lit doucement. Je reste étendue, les jambes pendantes. J’attends sa langue. Oui, elle me lèche, en même temps elle me met deux ou trois doigt dans le puits. Elle trouve vite mon point sensible. Sa main continue à caresser l’intérieur du ventre, sa bouche vient sur la mienne un petit instant avant d’aller embrasser et sucer ma poitrine. Son autre main est dans ma bouche. Je la suce comme une bite. Elle a réussi ce que je rate souvent : entrer dans mon sexe, et ma bouche, en me pelotant.
- Oui, continue comme ça.
Claire ne répond pas, occupée qu’elle est par mon plaisir.
- Donne moi ta chatte que je la suce.
Pas de réponse.
- Je vais jouir. Je jouis.
Je ne sais si elle a avalé ma cyprine, toujours est-il que quand elle se relève elle a la figure toute mouillée. Quand elle m’embrasse je sens mon gout sur sa langue.
- Je veux te sucer maintenant. Tu n’as pas encore jouis
- Oui, je veux bien.
Elle se tourne seule, sa bouche est vite sur ma chatte, je trouve facilement la sienne : qu’elle est belle ainsi offerte, avec son petit trou visible. Je l’ajuste avant tout ; ma langue lèche l’anus légèrement pour savoir si elle m’accepte à cet endroit plus que personnel. J’adore sucer un cul, j’aime et le gout et l’odeur un peu forte. Je la sens frissonner sous ma caresse, surtout quand j’entre la moitié de la langue dans son cul. En remuant le bout, ma langue semble lui apporter un bonheur inégalé. Elle gémit. Je reste un bon moment là où je suis. Quand j’en sors c’est qu’elle vient de jouir.
Occupée à lui donner du plaisir j’oublie ce que me fais Claire : elle lèche toute ma fente depuis le rectum jusqu’au clitoris. Elle lèche sans arrêt la fente en me donnant plusieurs orgasmes. Par contre si sa langue est passée plusieurs fois sur l’anus, elle ne s’y est pas attardée. Elle préfère me faire jouir en mettant sa langue dans le vagin où elle trouve encore le point sensible.
Si elle aime tant les filles, c’est qu’elle sait surtout bien les faire jouir. Elle recommence à caresser le bouton : cette fois elle le fait avec tous les doigts d’une main. C’est la première fois qu’une femme me masturbe ainsi. C’est bon, c’est indiciblement délicieux.
Nous cessons le 69 au bout d’un moment. Je suis mouillée comme jamais, je sens ma cyprine couler entre mes fesses jusqu’à mon petit trou. Je pense avoir un peu de repos quand elle prend dans son sac une petite bouteille pleine d’un lubrifiant que je ne connais pas. Elle en fait couler sur mon bas ventre, entre mes cuisses, sur ma chatte. Elle revient avec sa main, elle me caresse partout sur le sexe, sa main glisse sur moi d’une façon extrêmement sensuelle.
Je la sens quand elle entre deux doigts dans mon con. Elle ne me les mets pas totalement au fond, elle reste à mi course. Elle les fait aller et venir pour arrêter pour mettre encore un doigt puis un autre, je crois que c’est le pouce. Maintenant elle entre toute sa main fermée. Je me sens remplie par sa seule main. Cette pénétration de toutes sa main me fait peu mal. Quand elle s’enfonce complètement, jusqu’au poignet, je commence à sentir un plaisir étrange envahir ma chatte. Ca ne ressemble à aucun autre plaisir que je connais. C’est à la fois complet, superficiel et totalement inconvenant. Je ferme les yeux pour profiter de la suite qui ne tarde pas : je jouis plusieurs fois au début puis une seule fois très longue à la fin. Mon orgasme a bien du durer un quart d’heure. Je suis comblée, saturée et crevée.
- Tu m’as donné un drôle d’orgasme.
- Je sais c’est-ce que j’aime faire aux filles pour la fin.
- Et toi ?
- J’ai vu en entrant qu’il y avait une douche, nous allons nous doucher, toi pour te laver la chatte pour éliminer ce produit que je t’ai mis et moi pour que tu me branle avec le jet. J’en jouirai et tu me le rendras.
Claire prévoit tout. Nous sommes sous la douche, le rideau ouvert : nous nous moquons des éclaboussures. C’est elle qui me lave la chatte avec la savonnette, Elle m’excite encore malgré ce qu’elle m’a donné. Elle me rince rapidement avec le jet. Elle me le donne. A mon tour de sévir, j’approche l’eau chaude de sa chatte : elle écarte les lèvres pour être bien branlée. Je ne commence pas par le clitoris, je m’acharne sur le cul. Elle jouit sans rien dire, sinon que c’est bon. Ensuite et ensuite seulement je l’embrasse en lui mettant le jet là où elle le désire. Je le laisse malgré ses jouissances : je veux qu’elle garde un bon souvenir de moi.
Claire m’embrasse une dernière fois quand nous sortons de l’hôtel, elle a eu ce qu’elle voulait ; j’ai eu la fille qui me plaisait tant.
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