Claudette, Mathieu...Jean (2) - histoire érotique

Aujourd’hui avec Jean ses vieux démons sont revenus, il a de nouveau envie de faire des choses cochonnes avec un garçon.
-C’est bandant hein, tu aimes?
-Oui, çà donne envie !
-Branle-toi si tu veux, moi aussi j’ai envie ! Joignant le geste à la parole Jean a sorti sa bite. Une verge longue assez fine et bien lisse comme celle d’ Hamed ne peut s’empêcher de penser Mathieu. Déjà sa main s’active pendant qu’il se régale d’images érotiques. Mathieu a sorti son sexe et se caresse tout en lisant. La jeune femme du livre en laquelle il évoque Claudette, suce l’autre homme devant son mari qui lutine l’autre femme. Il ne peut s’empêcher d’imaginer Claudette, sa Claudette sous Jean et l’accueillant entre ses cuisses. Il voit la bite de son copain, l’imagine fouillant le vagin de sa petite femme, lui donnant du plaisir à la faire crier. Quand Jean prend sa verge et commence à le branler, il se laisse aller en arrière sur le lit. Jean le suit se couche près de lui pour se laisser masturber à son tour. La respiration des deux hommes s’accélère, le plaisir monte dans leurs reins. C’est Jean qui rompt le silence de la main il impose à Mathieu un rythme plus lent..
-Pas trop vite, c’est trop bon fais durer, ne me fais pas jouir trop vite. Vas plus lentement, tu es le premier à me faire ça c’est trop bon.
-c’est bon comme ça?
-Oui, continue c’est trop bon, et toi tu aimes ? Mathieu se sent bien avec ce garçon, ils sont pareils, ils aiment mater, se branler. Il est vicieux comme lui. A l’Armée il n’a pas osé le faire avec un autre après le départ d’Hamed, mais là l’envie le gagne. Ils sont seuls et personne ne peut les surprendre.
-Oui, tu branles mieux que ma femme, caresse moi en même temps, caresses mes fesses, elles t’ont excité aux douches, tu les as aimées ?
-Oui, j’ai joui en les mâtant. J’aime ton cul, il me fait bander. Baisse ton pantalon, je vais les caresser tes petites fesses, elles me font trop raidir la queue.
-On enlève tout, on sera mieux?
-Oui, oui on le fait, mais……
-Quoi ?
-Ben tu ne m’encules pas, je ne l’ai jamais fait!
-Oui comme tu voudras, juste des caresses en se masturbant. Viens!
Mathieu a envie d’aller plus loin avec lui. Claudette avec ses caprices incessants l’agace. Et cette envie de le faire avec un garçon qu’il avait à l’Armée revient….Jean est doux, sa peau est fine. Il lui suce les tétons, lui caresses les fesses. C’est comme avec Hamed et sa peau brune qui l’attirait tant.
Ils sont l’un contre l’autre, leurs ventres se frottent. C’est chaud. Ils ont mis leurs verges entre leurs cuisses comme dans le vagin d’une fille. Ils se frottent un moment, puis Mathieu se laisse aller sur le ventre. Jean est sur lui, se fourbit entre ses fesses. Il soulève son bassin, s’offre. Jean a compris l’invite. A genoux derrière lui, il le prend aux hanches, l’attire vers lui, vers son gland qu’il a enduit de salive.
-T’as envie que je te la mette, tu veux ?
-Oui.; Oui prend moi, prend moi j’ai envie de ça, j’ai envie de ta queue, encule moi, baise moi, je suis ta femelle, ta petite femme…
Jean se délecte, il a trouvé un copain, un garçon comme lui qui aime le sexe. Cela fait deux ans qu’il n’a pas baisé. Il aurait préféré la croupe de sa femme, mais un petit cul comme celui de Mathieu ne se refuse pas. Il écarte les fesses de son amant et son gland vient se placer sur la pastille brune. Il pousse en tirant Mathieu vers lui et d’un coup il se sent entrer. Le gland d’abord, l’anneau qui défend la petite porte cède, s’ouvre, le laisse s’engouffrer d’un coup de reins nerveux dans la croupe convoitée. Sous lui Mathieu a poussé d’abord un petit gémissement de douleur, puis de plaisir à présent. Jean se délecte, le baise à grand coup de reins, se régale de la croupe dodue qui se tend vers lui, se colle à son ventre. Mathieu s’est étendu de tout son corps sur le lit qui grince en cadence. Il se laisse caresser, se laisse mordiller la nuque par son amant qui le couvre son corps, qui le monte comme une fille. Jean sous leurs corps emboités a trouvé la verge raide de sa petite pute et lui a fait un fourreau de se main. Les mouvements de leurs deux corps font le reste. Quand il jouit et s’épanche enfin dans les reins de sa petite femelle, il sent les contractions du pénis, perçoit les giclées de sperme de son amante qui souillent les draps de son lit.



Mathieu est reparti et Jean heureux savoure sa victoire. Il a enfin baisé après deux années de privation. Aujourd’hui il a eu Mathieu et son petit cul qui l’avait tant excité aux douches publiques. Il devine que son nouvel ami est aussi vicieux que lui, et aime le sexe sans trop se soucier de la morale, il s’est laissé sodomiser sans doute l’avait-il déjà fait avec un autre garçon. Il devine que plus tard, Mathieu ne s’opposera pas à ce qu’il se joigne à ses joutes amoureuses avec sa femme. Cette Claudette avec son petit cul l’excite en passant devant son bureau à l’atelier. Il espère pouvoir l’avoir et assouvir avec ce couple toutes ses envies sexuelles. Pour le tester Mathieu, il lui a demandé pour sa prochaine visite d’apporter une des petites culottes de sa Claudette. Une culotte qu’elle vient de quitter. Il adore sentir les sécrétions intimes des jeunes femmes tout en se masturbant. Dans un tiroir il en a toute une collection provenant de chapardage près de sa belle-sœur, de ses cousines aussi. Mathieu lui a confié que lui aussi aimait faire cela avant son mariage.


Avant de se séparer, ils ont convenu d’une partie de pêche pour le lendemain dans un étang dans un village des environs. Claudette sera avec eux, elle adore s’y baigner. Mathieu se doute que Jean en profitera pour la mater et cela l’excite déjà. Elle est bandante sa Claudette dans son petit bikini moulant. Il aime quand elle sort de l’eau, plaqué sur elle son léger maillot cache à peine ce qu’elle a de plus intime. Demain soir c’est certain, Jean va se branler en fantasmant sur sa petite femme. La demande de Jean concernant une petite culotte de sa femme ne l’a pas surpris, lui aussi aime faire ça. Il lui arrive souvent dans leur salle d’eau, de sentir ainsi les petites culottes de ses belles-sœurs quand il rend visite à la famille de Claudette.
Mais il a cependant honte de s’être laisser aller si loin avec ce Jean. Ce qu’il a vu par le trou dans le mur des douches l’a mis dans un état second et ses vieux démons sont remontés à la surface. Depuis son mariage, il pensait pourtant les avoir enfoui au plus profond de lui. Il était trop excité et il n’a pu résister à l’envie de sexe et sa femme n’était pas là pour calmer son excitation.
Pour sa femme, il devine que si son copain le lui demande il va le laisser approcher Claudette, il l’a remarquée à l’usine le cochon. Il a envie de la voir prise par un autre homme. Quand ils font l’amour, ils aiment fantasmer tous les deux et parfois elle lui dit entre deux spasmes de plaisir, « j’aimerai qu’une autre vienne et me prenne avec toi. Tu nous regarderais baiser, tu guiderais avec ta main sa queue dans ma petite chatte…et toi dans queue en même temps dans mon petit cul». Claudette est aussi cochonne que lui. Lors de leur adolescence, il lui ait arrivé plusieurs fois devant lui de se livrer à des attouchements sexuels avec un de ses copains. Cela l’excitait de la voir se prêter aux caresses d’un autre garçon.

Il est tard et Claudette n’a pu rentrer ce soir ayant loupé son train, elle rentrera demain matin avec le premier train lui a-t-elle dit au téléphone. Mathieu a pu avertir Jean à temps et reporter la partie de pêche au dimanche prochain. Jean lui a demandé de lui apporter aussi une ou plusieurs photos de sa femme le plus dénudée possible avec une de ces petites culottes sales. Il ne lui a pas caché qu’il voulait se masturber en se régalant de son petit corps et de ses odeurs intimes et qu'il aimerait la baiser un jour avec lui.
Cette dernière exigence a fait prendre conscience à Mathieu combien il a été imprudent de se laisser aller avec cet homme. Il n’aurait pas dû le suivre chez lui, lui céder comme il l’a fait. Il a maintenant peur que Jean raconte qu’il est homosexuel et qu’il l’a possédé comme une femme. Il se sent pris au piège et va lui obéir.