Clic.... Clac !

- Par l'auteur HDS Akileditu II -
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Récit libertin : Clic.... Clac ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Clic.... Clac !
L’autre jour, sur le front de mer, on se balade avec Abdou. Il fait beau. La promenade est blindée de monde. Chacun cherche le soleil, la détente des vacances.
Abdou s’affiche volontiers en tant qu’homo. Il le revendiquerait même, parfois. Alors, de temps à autres, il me prend la main, ostensiblement et veut montrer crânement que nous sommes un couple. Parfois, je lui dis. Tu crois qu’ils ont pas déjà capté, rien qu’à notre look ? Il me répond que les hétéros ont bien le droit de s’embrasser au vu et au su de tous… Il n’a pas tort. Après, ça ne me gêne pas plus que ça, car, moi aussi, je suis fier d’être avec Abdou.
Il faut dire que, sur la plage, en lisière de l’eau, on adore se balader, se montrer, provoquer même dans nos mini slips de bain moule bites. On peut parcourir ainsi des kilomètres… Des fois, on voit des beaux mecs, seuls ou à deux… On adore l’idée que les gens pensent qu’on est ensemble et qu’on est amant, ce qui est le cas.
Bref. Revenons sur la promenade. Partout, des couples, des familles avec enfants, des personnes âgées… A un moment, on tombe sur deux gars qui veulent se prendre en photo avec leur téléphone. Pas évident de régler tout ça, alors Abdou leur propose de les prendre lui-même. Ils sont très mignons tous les deux. Jeunes, beaux… On dirait même qu’ils sont ensemble.
Pour les tester, Abdou leur fait prendre différentes positions, en leur faisant croire qu’il est photographe pro ! Ils se laissent faire bien volontiers ! Il arrive même à les faire se regarder tendrement dans le blanc des yeux. En plus, ils ont l’air content du résultat qu’Abdou leur montre. Bon, c’est clair, ces deux là sont homos, comme nous.
On continue notre promenade, chacun de notre côté. Plus tard, dans l’après midi, en passant devant une terrasse, on se fait héler. Ce sont nos deux gars de tout à l’heure. Ils nous invitent à les rejoindre, pour boire un coup avec eux. Ce qu’on fait bien volontiers. Direct, la conversation s’engage sur la nature de notre relation. Abdou ne leur cache rien, donnant même certains détails un peu croustillants…. Ce qui les fait bien rigoler. La table d’à côté aussi, d’ailleurs.
Pareils pour eux. Ils se sont rencontrés ici, il y a quelques jours et depuis, ils ne se lâchent plus. Ils sont en fac tous les deux, en plus, dans la même fac ! Mais, ils ne s’étaient jamais calculés avant ! Ils espèrent que ça va durer après la rentrée. La table d’à côté, garçons et filles n’en perdent pas une miette…
« -Ca vous dirait qu’on aille se baigner ?
-On est un peu là pour ça, non ? »
Nous voilà filés tous les quatre au bord de l’eau. Mais Jean suggère qu’on aille un peu plus loin, côté naturistes et gays. OK ! En slips de bain tous les quatre, marchant à la lisière des vaguelettes, on y va en discutant. C’est vrai qu’ils sont bien foutus tous les deux. Assez grands, muscles fins, fin duvet, beaux paquets….Bandants, quoi.
On arrive enfin vers la zone naturiste. Jean et Eric ont l’air de bien connaître. Pas mal de couples hétéros mais d’hommes aussi. Tous nus. Alors, Jean donne le signal pour se désaper. Ca nous donne l’occasion de voir leurs bites à tous les deux. Beaux morceaux, rasés avec juste une fine pellicule de poils, comme nous. On se complimente les uns les autres sur la taille de nos teubs, en rigolant bien sûr. Bien que celle d’Abdou ne soit déjà plus une demi molle… Déjà, sur la plage, quelques têtes se dressent pour voir qui sont ces quatre jeunes qui viennent de débarquer et comment sont ils gaulés… Allez, on file dans l’eau dans une gerbe d’éclaboussures. S’ensuivra un ballet ininterrompu d’empoignades, de frôlements, de cris, de gerbes d’eau, de submersions. Des vrais gamins, quoi. Ce que nous sommes encore un peu, tous.
Un peu rassasiés, on décide de remonter. On s’allonge à même le sable, n’ayant pas de serviettes. Pas mal de regards se tournent vers nous. Nos corps sont ruisselants de gouttes d’eau. Joli tableau. On discute de tout et de rien. Négligemment Jean a posé sa main sur le ventre d’Eric. Abdou a fait de même avec moi….
« -Dis, Abdou, on ne va quand même pas baiser ici devant tout le monde ?
-T’inquiète, répond Jean, je connais un coin un peu plus loin dans les dunes, chez les gays
-Ah, ok ! ».
Mais, finalement, en regardant bien autour de nous, sur cette plage naturiste, pas mal de couples, hétéros, se caressent doucement. Certains ont même de belles érections et ne les cachent pas, loin de là.
Là-dessus, on est retourné plusieurs fois à l’eau pour chahuter de plus belle. Vers la fin d’après midi, la plage a commencé à se vider un peu. C ‘est à ce moment là que Jean a proposé :
« -Hé, les gars, ça vous dirait d’aller se câliner dans les dunes ? En tous cas, moi oui ! »
On se met en route vers la plage gay, pas bien loin d’ailleurs. Là, c’est majoritairement masculin mais quelques couples lesbiens aussi. Beaux corps, dans l’ensemble. On traverse en biais, vers les petites dunes de ‘arrière plage. Certaines sont déjà occupées par des mecs qui baisent. Déjà, la perspective de baiser bien tôt fait qu’Abdou se balade avec un superbe mât dressé devant lui. On poursuit. On arrive à un petit creux assez excentré, vide.
« -Ca vous embêterait si des mecs venaient à passer…
-Pas du tout ! On est assez exhibs, tu sais, répond Abdou
-Nous aussi ! » lui lance Eric.
On s‘installe à proximité les uns des autres, par couples d’origine. On se sent parfaitement à l’aise avec Jean et Eric, comme si on les avait toujours connus. Aucune gêne, bien au contraire même. Nos deux compères ont l’air assez hypnotisés par la gaule d’Abdou. Eux aussi sont dans de bonnes « dispositions », signe qu’eux aussi sont cools. On commence à se caresser longuement en faisant attention de ne pas se mettre trop de sable sur la bite, ce qui parait assez difficile. Visiblement, Jean et Eric sont assez « sonores » eux aussi, comme Abdou, car, dès les premières caresses, ils se mettent à couiner. Ca nous promet un beau concert !
Bien sûr, on ne peut s’empêcher de mater leurs bites. Beaux engins ma foi, tous les deux. Abdou commence à me sucer doucement. Allongé sur le dos, je me tortille sous la caresse. Jean fait de même avec Eric, juste à côté de moi. On se regarde et on se sourit, comblés. A cet instant, Eric me prend la main et me la serre fortement. Du coup, je crois comprendre qu’ils veulent beaucoup plus. Bien évidemment, Abdou aussi s’en est aperçu. Eric, s’enhardissant, amène ma main sur son ventre, tout près de sa bite que Jean est entrain de sucer. J’ai compris. Je lui caresse doucement le dessous de ses couilles du bout de mes doigts. Il se tend. Eux aussi ont les couilles rasées et la toison courte et taillée. Ca doit être une tendance chez les homos…
Jean me prend alors le bout des doigts et les dépose, en cercle à la base de la bite d’Eric. Visiblement, il veut que je la branle en même temps qu’il la suce. Les gémissements d’Eric redoublent. Cela donne une idée à Abdou. Par gestes, il demande à Jean s’il veut bien échanger sa place avec la sienne. C'est-à-dire que Jean me sucerait pendant qu’il sucerait Eric. Jean n’attendait que ça, visiblement. Ca y est, on est parti dans le plan cul à quatre !
Je demande alors si on peut se mettre tous les quatre en 69…Accordé. Me voila entrain de déguster la bite de Jean pendant qu’Abdou se fait sucer par Eric. J’aime, et Abdou encore plus, découvrir de nouvelles bites. Celle de Jean, de belle taille, je la prends bien en bouche et vais jusqu’à la gorge profonde. Là, il ne couine plus, il grogne de plaisir. J’en profite pour lui titiller la rondelle en même temps. Je vois sa croupe onduler de contentement.
C’est le moment qu’un couple gay, en quête d’une dune pour baiser, choisit pour passer le long de notre creux de sable. Ils s’arrêtent pour admirer le spectacle. Ca nous excite grave, tous.
Par expérience, je sais que, dans ces cas là, on aime bien découvrir de nouvelles bites, c'est-à-dire de les recevoir dans notre ventre. Abdou leur fait donc la proposition…
« -On aimerait bien gouter à vos bites, nous aussi …
-Ben, ça fait un sacré moment qu’on y pense… ! »
Ravis, Abdou et moi, on se met côte à côte, en levrette, leur offrant notre rondelle. Tous les deux, ils commencent par se désensabler soigneusement la bite puis à nous doigter avec application. Un, puis deux, puis trois doigts enduits de gel. Puis, on sent la pression de leurs glands sur nos anneaux…
« -N’hésitez pas les gars ! On aime bien aussi être défoncé à la hussarde !
-Hé, on est civilisé, nous ! On veut pas non plus vous passer à l’éméri !» On rigole.
Je sens le beau gland de Jean qui cherche le passage. C’est toujours un moment délicieux de recevoir une nouvelle bite. On ne sait pas encore comment elle va se comporter… J’écarte au max mes globes et il passe sans problème. Pareil pour Abdou. Ca y est ! Nos deux nouveaux amis sont en nous. Délicieux instant ! Nos deux jeunes, bien que jeunes, savent y faire. On dirait bien qu’ils ont déjà une certaine expérience en la matière. Jean change de rythme, varie les angles, se fait doux ou rude, me lance des mots crus…
« -Tu la sens ? Tu la sens bien ma bite ? Nous aussi, on aimerait bien être enculé par vous….
-C’est quand vous voulez. On aimerait ca aussi. Est-ce qu’on peut goûter à la bite du voisin ?
-C’était prévu ! ».
Jean et Eric intervertissent leurs places dans nos fourreaux. Muuuuhh ! Ils se mettent à nous limer avec application, parfaitement synchrones. Wouah ! C’est trop bon. Je propose d’inverser les rôles. La préparation de leurs trous n’est pas très longue car ils sont excités comme des poux. Abdou va jusqu’à y enfoncer sa langue pointée.
« -Défoncez nous, par pitié ! »
Ce qu’on s’applique à faire. Perso, j’adore ce moment là, aussi. Quand je regarde ce superbe cul rebondi et que je sais que je vais m’y enfoncer… Je le caresse tendrement en suivant ses courbes rebondies. J’y dépose quelques bisous. J’ écarte ses globes et contemple sa raie – il a une trop belle rondelle- et me mets à la lécher délicatement. Puis, j’insiste sur sa rondelle. Il glousse. Enfin, j’approche mon gland ruisselant de sa rondelle, que je le vois se poser dessus et chercher à s’engloutir….Muuuuhhh !
On est bien à l’intérieur de leurs ventres. Serrés, mais pas trop, au chaud, avec de bonnes sensations sur nos bites. Avec Abdou, on se regarde, ravis. A nouveau, notre couple de baiseurs repasse dans l’autre sens et marque une pause, ravi du spectacle que nous leur offrons.
A la demande de Jean, on inverse à nouveau. Avec nos partenaires qui s’allongent cette fois et qui attendent qu’on s’empale sur leurs teubs. Le couple de mateurs apprécie, en connaisseurs. Celle là aussi, c’est une position que j’aime beaucoup. On monte et baisse à son rythme, on s’écrase sur ses couilles, on se fait branler en même temps, à l’occasion. De temps en temps, Jean me demande de rester en position un peu relevée et c’est lui qui, reprenant un rôle actif, vient me tamponner par en dessous. J’adore !
Du côté d’Abdou et d’Eric, ce ne sont que gémissements et cris de plaisir…. Abdou propose qu’on jouisse en premier et ensuite, eux. Accepté, bien sûr. Alors, on les reprend tous les deux, en « missionnaire », de face, les yeux dans les yeux. Le limage se fait plus intense. Jean et Eric ont surélevé légèrement leurs basins pour mieux s’offrir et nous recevoir. Leurs mains sur nos hanches accompagnent bien notre limage et le renforcent même. Ils gémissent en permanence, maintenant.
« -Aaaaah, les mecs… C’est booooon ! Vos bites, elles sont booooonnes ! »
Ma bite, en feu, coulisse à toute vitesse dans le ventre de Jean qui affiche un air radieux. Que c’est bon ! Dieu que c’est bon ! Je tape au fond à chaque coup de reins et Jean pousse un gémissement. J’ai empoigné ses hanches et le secoue comme un prunier au rythme de mon va et vient. Il a ouvert sa bouche en grand comme s’il cherchait de l’air. Des gémissement ininterrompus en sortent.
Notre couple de mateurs est toujours là qui semble apprécier le spectacle au plus haut point. Ce qu’Eric ne sait pas encore c’est que, vu l’endurance d’Abdou avant de jouir, il peut encore gémir un bon moment, pour son plus grand plaisir. Je les vois tous les deux qui se couvrent de sueur, haletant de plus belle. Perso, je me sens venir et préviens Jean.
« -Oooooh ! Je viens ! Je viens ! »
Et je me déverse littéralement dans son cul par saccades ininterrompues. Jean râle de bonheur d’être ainsi inondé. Bien qu’épuisé, je propose aussitôt à Jean de m’enculer à son tour.
« -Vas y carrément ! J’adore être bousculé par une bonne bite ! »
Jean force facilement le passage. J’adore ce moment quand je sens son bout qui commence à entrer en moi doucement et qui me remplit petit à petit, surtout quand c’est une nouvelle bite qui ne m’a jamais visité ! En plus, celle de Jean a une belle épaisseur qui fait que je la sens parfaitement entrer en moi, se frotter aux parois de mon fourreau, me combler de bonheur.
Il commence à me limer puissamment pendant qu’Abdou est entrain de se déchaîner sur le cul d’Eric qui tremble comme une feuille. Je crois qu’il est entrain de déclencher un orgasme prostatique qui va le submerger complètement. Abdou s’en rend compte et continue son pilonnage tout en se maîtrisant pour faire durer. Eric gueule maintenant comme un poulet qu’on égorge, dévoré par des spasmes de plaisir.
« -Aaaaaah, putain ! Ouuuuiiii ! Encooooore ! Déchire moi ! »
Jean est impressionné de voir ainsi son amant jouir du cul. Il redouble d’ardeur. Je lui tire les fesses à fond à chaque coup de bite. Ils sont beaux à voir, dans la jouissance, nos jeunes amants. Je sens trop bien le barreau de chair de Jean qui me lime l’intérieur du fourreau. Que c’est bon de sentir ça ! Ses couilles claquent contre mon cul à chacun de ses coups de bite. Je les sens bien taper. Trop bien ! Je lui griffe le dos de mes ongles, sous le plaisir qu’il me procure. Lui aussi a l’air extatique.
Ca y est ! Abdou vient de jouir dans un hurlement de loup, repris par Eric. Vite, il ressort et gicle encore deux fois sur le ventre d’Eric qui continue à être parcouru par des spasmes. C’est sûr, il va lui falloir un moment pour retomber et être capable d’enfiler Abdou. Alors, Jean me demande si ça ne me dérange pas s’il nous lime en alternance. Bien sûr que non ! Je pense aussi qu’il avait aussi beaucoup envie d’enculer Abdou… Qui résisterait au charme d’Abdou ? Donc Abdou vient se coller à moi, juste à côté et attend que Jean le pénètre. Ce qui ne tarde pas. Jean a l’air aux anges. Je le rappelle à mon bon souvenir et, de bonne grâce, il revient m’enfiler. Ce scénario a l’air de beaucoup lui plaire. Il glousse de plaisir.
Mais, voilà qu’Eric a l’air d’être un peu retombé mais encore vaillant pour participer. Il s’approche, queue dressée devant lui. Jean lui cède la place et revient vers moi. Les voilà tous les deux entrain de nous trombonner avec entrain.
« -Aaaaah ! Elles sont trop trop bonnes, vos bites ! »
Maintenant, ils ont passé la vitesse supérieure et nous pilonne à toute vitesse, souffle coupé. C’est Jean qui m’inonde le premier. Je sens la chaleur de ses jets de sperme en moi. Il retombe sur moi, cuit. Eric va encore pistonner Abdou pendant un petit temps puis, à son tour, jouir sur Abdou. Notre couple de mateurs se lève, applaudit, nous fait un signe de la main et repart bras dessus bras dessous.
On reste ainsi un bon moment tous les quatre à essayer de reprendre nos esprits. Puis on regagne la mer, on se rebaigne pour aussi se nettoyer et on regagne un petit bar de plage où on s’enfile quelques bières. On en profite pour discuter et leur demander ce qui les a fait flasher sur nous…
« -Mais, les gars, vous vous rendez pas compte comme vous êtes ! Mais tout le monde se retourne sur vous. Vous rayonnez tellement de bonheur. Vous faîtes envie, sérieux ! Le coup des photos, c’était juste un truc pour vous approcher….
-Et ça a marché ! Merci du compliment, mais vous êtes pas mal non plus… »
Décidément, la photographie mène à tout…

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