Club d'abattage 2

- Par l'auteur HDS Tristan29 -
Récit érotique écrit par Tristan29 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Club d'abattage 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Club d'abattage 2
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Deux mecs entrent. On dirait deux frères tant ils sont semblables. Grands bruns, type méditerranéen, assez minces, gueules viriles, regards agressifs. Matteo et moi sommes assis sur la banquette. Ils se dirigent vers nous à pas assurés, l’un des deux m’attrape par la laisse et tire vers le bas pour me faire mettre à genoux. Il déboucle sa ceinture et baisse son pantalon jusqu’à mi-cuisse. Il n’a pas de slip et je me retrouve face à une belle bite circoncise déjà à moitié raide. J’ouvre la bouche en tirant la langue et commence de petits va-et-vient sur le gland. L’effet est immédiat car je sens durcir et grossir d’une façon spectaculaire cette belle bite foncée. Mon excitation est immédiatement maximale. Je me régale de cette bite longue, dure comme du bois et bien droite. J’y mets du coeur, je salive beaucoup, je bave même quand le mec passe sa main derrière ma tête et commence à me forcer la gorge. Le diamètre est important, j’ai du mal à la prendre en fond de gorge. J’ouvre les mâchoires au maximum mais le mec en veut davantage. Il se retire de ma bouche un moment, retire son pantalon complètement puis revient vers moi et met un pied sur la banquette, attrape ma tête des deux côtés, me maintient par les cheveux en me basculant un peu la tête en arrière puis, avec force, s’enfonce entièrement dans ma gorge. J’étouffe, j’ai la mâchoire disloquée, j’ai été surpris par la brutalité du mec. Il ressort de ma bouche et s’y ré-enfonce entièrement, il recommence, encore et encore, il me lime la gorge avec une régularité mécanique. J’ai les larmes qui me sortent des yeux, des hauts-le-coeur, je tente de gémir, je pose mes mains sur les cuisses du mec pour tenter de le retenir un peu mais il m’agrippe encore plus fort par les cheveux et accélère la cadence. Il me démonte la gueule comme ça pendant quelques minutes qui semblent des heures puis je sens ses cuisses se mettre à trembler. Il se tend comme un arc devant moi, me maintenant toujours par les cheveux, plaqué contre son ventre, ses couilles sur mon menton et il pousse un râle sourd et grave en me jouissant dans le fond de la gorge. Il me maintient comme ça quelques instant puis finit par me lâcher les cheveux et sortir de ma bouche. Je reprend mon souffle tant bien que mal et me rend compte qu’à côté de moi, le petit Matteo subit le même sort que moi. Il est assis sur la banquette, la tête bloquée contre le dossier, un flot abondant de bave lui coule sur le torse pendant que le mec lui ramone la gorge. Je le vois étouffer, agiter les jambes frénétiquement pendant que le mec lui jouit dans la gorge en grognant lui aussi.
Les deux mecs remettent leur pantalon en rigolant et se tapent dans la main, nous laissant pantelants et ruisselants de bave. J’apprendrai plus tard que ce sont effectivement deux frères, des Marocains, qui viennent tous les jours dès l’ouverture pour se faire purger. La porte s’ouvre avant qu’ils se soient complètement rhabillés et arrivent trois mecs, la quarantaine, en tenue de travail. Ils parlent portugais, l’un est un habitué, il semble expliquer aux deux autres comment ça se passe. A nous voir vautrés, pleins de bave, à poil et avec une laisse… ça semble évident… Les deux frères s’en vont et croisent en sortant un grand blond d’environ 2 mètres, en costard. Il rentre, nous regarde, ignore les trois Portugais et commence à se dessaper. Visiblement un habitué lui aussi, il se dirige vers nous, nous chope tous les deux par la laisse et nous place de chaque côté de sa bite encore un peu flasque mais déjà d’une dimension hors norme. J’ouvre la bouche pour le sucer mais il veut se faire lécher la queue par deux bouches. Il nous tient la tête et fait de grand allers retours entre nos lèvres face à face. L’effet est immédiat, sa queue durcit et se dresse telle un menhir entre nos deux bouches. Les trois Portugais se sont dessapé aussi et nous entourent de leur bites brunes déjà raides. Le grand blond n’a apparemment pas envie de partager nos bouches avec eux et me tire violemment par la laisse pour me remettre debout et m’entraîne vers le fond. Il me pousse dans un des slings et me met les pieds dans les étriers. J’ai un moment de panique. Sa bite est énorme, l’excitation que j’ai eu à la lécher sur toute la longueur en duo avec Matteo se transforme peur. Il risque de me déchirer les entrailles avec un morceau pareil… Mais il prend son temps, heureusement. Il crache dans sa main plusieurs fois, se badigeonne la queue, m’enduit le cul de sa salive et finalement pousse son gland lentement. Lentement mais sûrement… Il rentre, je crie un peu mais il rentre, inexorablement, il s’enfonce de plus en plus profond. La pénétration est interminable. Il me saisit par les cuisses et force en tirant vers lui jusqu’à s’enfoncer entièrement. J’ouvre la bouche pour hurler mais j’en ai le souffle coupé. Il me maintient fermement par les cuisses et remue un peu du bassin pour s’enfoncer le plus profond possible. J’ai l’impression d’être fendu en deux. Il commence de petits allers retours et amplifie le mouvement au maximum. Il me pilonne mécaniquement avec de grands coups de reins. Je gémis à chaque coup de boutoir mais ça ne le perturbe pas. Il est concentré, il a le regard fixé sur sa bite en train de me perforer le cul. Je me sens partir. La chaleur qui me monte du cul jusqu’au fond du ventre me transporte dans un état second, je perd la notion du temps. Puis il se met à haleter, à accélérer, à me bourrer à une vitesse folle jusqu’à pousser un grognement de bête en me jouissant au plus profond du ventre. Il reste quelques secondes immobile, la queue enfoncée en moi, les yeux fermés, la tête en arrière. Nul doute qu’il vient de bien prendre son pied. Il se retire d’un coup sec, souffle et va se rhabiller. Je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle que je vois un des Portugais s’avancer la queue à la main. Il m’encule brutalement et commence lui aussi à me bourrer à toute vitesse. Et cette chaleur si caractéristique qui m’envahit à nouveau… Je me régale, je tend le cul en avant, ondule, gémit… J’entends les gémissements aigus, féminins presque, de Matteo qui est très sûrement en train de se faire démonter lui aussi. Après quelques minutes de limage intense, le Portugais se retire, me sort les pieds des étriers et me fait descendre des slings. Il me ramène sur la banquette où Matteo est à genoux, penché en avant, en train de sucer un des deux autres pendant que le troisième le déglingue en lui donnant de grandes claques sur les fesses. Il me fait mettre à genoux à côté de Matteo et me ré-encule en me claquant les fesses lui aussi en rythme avec son pote pendant que le troisième alterne entre nos deux bouches, nous attrapant la tête pour nous forcer la gorge chacun notre tour. Ils s’éclatent, ils rigolent et jouissent simultanément, un dans le cul chacun, le troisième dans le fond de la gorge de Matteo.

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Texte coquin : Club d'abattage 2
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