Cocu en live

- Par l'auteur HDS Julien Motta -
Auteur homme.
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Récit libertin : Cocu en live Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Cocu en live
Bonjour à tous, voici un petit temps que je lis vos histoires sur HDS et j’ai eu envie de vous faire partager mon expérience. Celle-ci est vraie ! Elle n’est en rien le fruit de mon imagination.

Au moment des faits, j’ai 19ans. Je m’appelle Julien, je fais des études dans la région de Charleroi et je viens de rentrer en deuxième d’un graduat.
Ma copine, Leyla, est Turque. Elle a également 19 ans et est dans ma classe. Sans vouloir la vanter, elle est sublime. Parfois, je la regarde et me demande ce qu’elle fait avec moi. Tous les mecs la regardent, plein de mecs essayent de se la faire… D’un naturel jaloux, j’avoue que ça m’exaspère mais soit…

Je fus son premier mec ! Son premier mec au niveau… bisous ! Ben oui, Turque et musulmane, ça signifie rien avant le mariage. Donc je me contente de bisous, de pipes, de cunnilingus et d’une sodomie bien compliquée.

Elle n’est pas voilée mais ses tenues sont toujours fort décentes. Très rarement des jupes, jamais de mini, jamais de décolletés. Tout au plus dois- je me contenter d’un string qui dépasse d’un pantalon taille basse. Ca ne l’empêche pourtant pas d’être très sociable et souriante avec les gens qui l’entourent. Ce n’est pas une Turque typique, elle est assez « européanisée ».

Ce jour d’été, pourtant, elle a mis une jupe. En- dessous des genoux bien entendu. Mais une belle jupe assez fine avec des bottes en cuir, ce qui lui donne un petit air sexy.

C’est l’été, il fait chaud. Avant de rentrer, nous décidons de nous rendre au parc de Charleroi, afin de nous coucher un peu dans l’herbe.
A peine sommes- nous installé qu’un copain à elle la croise. Un marocain en training casquette, assez racaille. Moi, il ne me regarde même pas, il discute avec elle. Puis lui explique qu’ils font un tour en voiture avec un certain Youssef et demande pour les accompagner. Elle décline l’invitation en me présentant. Mais celui- ci s’en fou complètement et répond qu’ils m’emmènent avec eux.

Youssef s’arrête cinq minutes plus tard, au bord du parc. Ca ne m’enchante pas de me promener avec cette racaille mais je n’ai pas encore dit un mot depuis le début.
Rachid, le copain, m’invite à monter devant où Youssef me serre la main, me demande mes goûts musicaux, mon prénom… il a l’air plus cordial que l’autre.

Derrière, je ne sais même pas ce qu’il se passe. Pour tout vous dire, je n’ose me retourner. Tout juste entendais- je de temps en temps Leyla rire dans un premier temps mais puis le silence total. La musique à fond couvre beaucoup de choses.
Pourtant lors d’un léger coup d’œil, je vous Rachid assis derrière et Leyla au milieu. Ils sont véritablement collés et je suis même sûr qu’ils se tiennent la main. Mais je n’ose éterniser mon regard et encore moins intervenir. J’essaye désespérément de regarder dans le rétroviseur mais celui- ci est adapté au conducteur et non au passager.
Puis une idée me vient enfin : je commence à me gratter l’œil pour prétexter une gêne qui m’oblige à descendre le pare- soleil pour me regarder dans le miroir. Là, le spectacle ma glace le sang, j’ai comme une boule au ventre devant la vision du spectacle : si on les entendait plus, c’est tout simplement car ils s’embrassaient à fond. Leyla, mon amour, pourquoi fais- tu cela ? J’ai envie, de crier, tout casser… mais Youssef referme brusquement le pare- soleil.
Je n’ose protester.

Il conduit encore une demi- heure avant de s’arrêter dans la cité parc de Marcinelle.
On descend tous de la voiture. Leyla vient près de moi, me donne la main et me demande comment je vais, comme si de rien n’était. Elle ose même dire qu’ils sont gentils !

On monte dans une sorte d’appartement deux pièces. La première pièce, salle, en désordre est un salon. Enfin, disons un fauteuil vieux et usé, une console de jeux et une télévision.
La deuxième est une chambre mais je n’y rentrerai jamais.

A peine montés dans l’appartement, Rachid parle de vieilles photos quand ils étaient petits, je ne sais pas tout quoi qu’il doit montrer à Leyla et ils l’emmènent dans l’autre pièce. Je n’ai droit qu’à un « j’arrive » de mon amoureuse.
Deux minutes plus tard, Youssef se demande ce qu’ils font et va les rejoindre et veille à refermer la porte derrière lui. Je ne sais plus quoi faire, j’ai super mal au ventre, j’ai même peur… mais au bout de deux minutes, j’ai tout compris. Dans ce genre d’endroit, les murs sont peu épais et les portes ne masquent aucun bruit. Et Leyla jouit. J’en suis sur, je l’entends jouir. J’ai envie de voir mais j’ai peur.
Puis je me lance quand même… à tort car le spectacle va véritablement me tuer. Elle est étendue sur le lit, jambes écartées et Youssef la pénètre. Oui, la pénètre. Elle pouvait jouer à la grande vierge, la fille aux principes, la fille pure,… Et je la vois mordiller ses lèvres de plaisir. L’autre lui frappe les seins, l’embrasse,… elle accepte tout.
Rachid est couché dessus quand j’entends « A moi ». C’est Youssef qui, tout nu, pousse son copain. Leyla rigole et remet ses cheveux derrière ses oreilles. Il se couche à son tour sur elle et le sexe pénètre sa chatte toute mouillée. Rachid avec une capote ! Lui-même pas ! Il se fait aller et venir en elle, elle a du mal à retenir ses cris et mord dans un coussin.

Les deux arabes vont s’alterner ainsi trois fois chacun. Chaque fois, elle se donne, elle se fait aller, elle se laisse faire ! Sale chienne, sale pute.
Finalement, Rachid sera le premier à jouir dans la capote. Lors de la pénétration qui suit, Youssef giclera aussi mais bien dans son vagin. Elle prenait donc même la pilule cette salope.

Et comme elle ne m’avait pas encore assez tué, alors qu’il se rhabillait, elle demande à Rachid pour le sucer en vitesse. Au moment du sperme, elle tente de reculer mais Rachid lui tient la tête et Youssef vient l’aider. Les deux mecs rigolent et ne la relâche qu’une fois que toute la semence est avalée
« Bande de merdes ! » rigole- t- elle. « Je n’aime pas le goût ».
Elle sortit un peu après comme si de rien n’était.

La suite ? C’est simple, je lui ai avoué avoir tout vu. Elle s’est mise à pleurer et m’a juré que c’était la première fois. Inutile de vous dire que je n’y ai pas cru. Elle a même voulu me faire croire que c’était l’anus et non le vagin. Plus gros comme mensonge, ça n’existe pas…

Soit, je l’ai largué et le regrette car finalement, ça m’a excité de la voir se faire prendre par un autre. J’aimerais tant franchir ce pas avec ma copine actuelle mais ça semble peu probable voire impossible ! Tant pis pour moi.

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Texte coquin : Cocu en live
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