Cocu & Soumis, ma femme tombe amoureuse d'un amant

Récit érotique écrit par Pierre6911 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Pierre6911 ont reçu un total de 3 037 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 481 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Cocu & Soumis, ma femme tombe amoureuse d'un amant
Salut à tous ,
Je vous écrit ce que j’ai vécu entant que véritable cocu. Il s’agit d’une histoire bien réelle qui m’est arrivé il n’y a pas si longtemps dans ma relation de couple avec ma femme actuelle.
Ma femme Adeline avec qui je suis pacsé et en couple depuis 19 ans est tombée amoureuse d’un autre homme et m’a quitté durant 18 mois...
Ce que j’ai vécu , ce que j’ai enduré, va bien au-delà de ce que beaucoup pourraient tolérer. Mais moi… je suis fait comme ça. J’ai toujours eu ce fond en moi. Ce côté soumis, malléable, faible même. Je l’ai nié longtemps. Mais Adeline, elle, avec son fort caractère, l’a vu tout de suite. Et elle en a fait ce qu’elle voulait.
On est ensemble depuis plus de 19 ans. Mais ces deux dernières années ont été un enfer. Ou un rêve tordu, selon comment on le regarde pour certain. Un jour, sans prévenir, elle m’a quitté. Net. Sec. Elle est tombée follement amoureuse d’un autre, Josselin. Pas un flirt, non. Un amour vrai. Total. Elle s’est offerte à lui, entièrement. Elle me l’a dit un jour dans les yeux : "Avec lui, je ressens ce que je n’ai jamais ressenti avec toi." Et ce n’était pas une phrase en l’air. Elle en tremblait encore. Rien que de prononcer son prénom, même ses yeux brillaient, cela ne trompe pas.
Mais le pire, c’est que ce n’est pas resté une aventure à distance. Elle l’a fait venir vivre chez nous. Elle l’a mis dans notre lit. Elle m’a expulsé dans la chambre d’amis comme un vieux coloc indésirable. Et moi ? Je n’ai rien dit. Parce que c’est là que mon vrai visage est ressorti. Je suis soumis. Je suis faible. Je suis fait pour obéir quand une femme comme elle prend le dessus. Elle est cruelle, intelligente, impitoyable. Et ce contraste entre ma soumission et sa froideur sa domination sur moi… elle l’a senti. Et elle en a joui. Elle a toujours eu un côté cruelle et garce avec moi. ET moi, j’ai toujours cherché à la récupérer dans cette histoire.
La maison étant autant à elle qu’à moi, personne n’a voulu partir ou céder. On vivait donc à 3 dans la maison. Elle me l’a imposé. J’ai assisté à leur passion jour après jour sous mes yeux et je n’avais plus droit à elle car nous n’étions plus ensemble. Elle m’a jeté comme une vieille paire de chaussette. Ils faisaient l’amour sans retenue, sans pudeur. Elle hurlait, volontairement fort. Elle voulait que je sois là, que j’entende. Et j’écoutais. Brisé. Frustré. Ridiculisé. Une fois, en sortant de leur chambre, elle m’a dit : "Tu l’as entendu hein ? C’est ça, un vrai orgasme. Toi, tu m’as toujours laissé sur ma faim. Deux minutes, et tu dormais."
Elle me rabaissait constamment, même devant lui. Elle m’envoyait acheter des courses pour eux avec une liste pour qu’ils puissent rester seul à la maison. J’étais dans une situation perdu, je me suis même jeté à ses pieds à plusieurs reprises en la suppliant de revenir avec moi, Je lui embrassais à genoux carpette, pendant qu’elle discutait avec Josselin au téléphone. Elle lui disait même ce que je faisais pensant qu’elle garderait cela pour elle. J’avais super honte à des moments. Elle posait son pied sur ma tête, comme si j’étais son esclave. Et je l’étais. Un jour, pendant que je passais la serpillière dans le salon, elle s’est assise sur Josselin en petite culotte, me regardant avec ce sourire sadique. Elle lui a dit : "Tu vois, j’ai même pas besoin d’un robot. J’ai Fred."
A plusieurs reprises j’ai tenté ma chance aupres d’elle. Mais elle m’a dit : "C’est comme ça maintenant, t’as plus rien à dire." Si tu ne veux pas partir, tu dois t’habituer à vivre comme un cocu. Et moi ? J’ai obéi. Parce que j’étais déjà à genoux intérieurement. Parce que je l’aimais encore comme un idiot. Pourtant, je n’existais déjà plus pour elle.
Ils faisaient l’amour bruyamment, à toute heure. Le pire, c’est qu’elle ne retenait même pas ses cris. J’entendais tout depuis la chambre juste à côté. Elle s’assurait que je sois là, dans la pièce d’à côté, pendant qu’elle hurlait son plaisir, comme une chienne en chaleur. Et je les entendais en ricanant de la situation. Certaine fois, nous regardions une serie à la télévision, et elle était juste en petite nuisette sans rien. Ils se chauffaient alors même que j’étais à coté sur la canapé. Je les vu à plusieurs reprises lui mettre des doigts dans sa petite fente en douce juste là avec loi à 2 mètres. Je vous assure que cela fait une drôle de sensation. Puis ils me demandaient si je n’en avais pas mare de tenir la chandelle et m’envoyer dans ma chambre pour baiser tranquillement sur le canapé. Certaine fois, je les ai vu en sortant des toilettes avec elle a califourchon sur lui. J’ai même croisé Adeline à quelques reprises juste apres qu’elle est finie de faire l’amour avec lui nue allant à la douche et je pouvais voir sa chatte toute brillante et gluante avec sa vulve toute gonflée. A plusieurs reprises elle s’est amusée quand je la croisée à m’humilier. "Tu as bien entendu cette fois. Lui au moins, il me fait jouir. Il me prend comme j’aime, pas comme toi avec ton petit ZIZI. »
Elle était toujours très dure avec moi et humiliante.
Je suis resté. J’ai tout accepté. Plus le temps passé et plus J’étais devenu leur serviteur. Elle m’envoyait acheter du lubrifiant, même des sex-toys qu’ils utilisaient ensemble pendant que je rangeais la cuisine. Une fois, elle m’a demandé d’aller lui acheter une nuisette "sexy, mais facile à enlever". Elle l’a portée le soir même pour lui. Et elle m’a remercié devant lui, en se moquant. Je me souviens encore de cette scène : elle était sur ses genoux, nue sous la dentelle que j’avais moi-même choisie et acheté, et elle m’a lancé : "T’as fait un bon choix, Fred. Josselin adore."
Le matin, je leur ai servi le le petit-déjeuner au lit à quelques reprises. (Adeline, poussait toujours plus loin les limites pensant que je finirais par prendre un appartement et partir de moi-même, mais je suis amoureux d’elle). Je toquais à la porte. Elle criait "entre !" et je découvrais la scène : elle nue sur le lit, les draps complétement en l’air, encore en sueur, lui allongé nue à côté, torse nu, satisfait. Elle prenait le plateau, me regardait droit dans les yeux et me disait : "Tu vois, même cocu, tu restes utile." Elle s’est même amusée à me faire repasser ses dessous sales, imbibés de leur plaisir. Et j’ai obéi. Honteux. Silencieux. Cassé.
Josselin me traitait de plus en plus comme un larbin. Il me filait des ordres. Il me disait quand sortir de la pièce. Une fois, alors qu’ils commençaient à se chauffer dans le salon, il m’a lancé : "Tu peux débarrasser la table avant qu’on s’y mette ?". J’ai tout ramassé sans dire un mot. Et Adeline me regardait faire avec ce sourire cruel, ce regard supérieur de femme dominatrice qui sait qu’elle tient un homme en laisse.
Elle s’asseyait parfois sur lui, à califourchon, en sous-vêtements, pendant qu’il regardait la télé. Moi, certaine fois, je passais l’aspirateur derrière eux. Un jour, alors ils étaient assis a côté, elle a même posé ses pieds nus sur ma nuque pendant que je nettoyais, comme si j’étais son repose-pied vivant. Et elle a murmuré à Josselin : "Il est mignon mon petit toutou, non ?"
J’avoue que je n’étais plus un homme. Adeline fait de moi ce qu’elle veut. J’étais un meuble, une serpillière émotionnelle. Et malgré tout ça, je l’aimais. J’espérais. Je pensais qu’elle finirait par se lasser. Mais elle adorait ça. Elle adorait me dominer, m’humilier, me rabaisser. Et plus je me soumettais, plus elle en voulait. Elle avait le beurre et l’argent du beurre. Je n’aurais jamais cru qu’elle me fasse vivre ça.
Elle partait avec lui en week-end, ou en vacances et elle revenait avec des bleus dans le cou, le sourire aux lèvres. J’allais même les cherchés à la sortie du métro pour les ramener à la maison. Elle me montrait les photos de leurs voyages, leurs baisers torrides, leurs corps enlacés dans des chambres d’hôtel. Une fois, elle m’a dit en me montrant une vidéo : "Tu veux voir comment un vrai homme me prend ?" Et elle a lancé la vidéo sur le grand écran du salon. J’ai regardé. Jusqu’au bout. Elle jouissait comme jamais je ne l’avais jamais vue jouir avec moi. Et elle savait que je regardais. Elle l’a fait exprès. J’allais vite dans ma chambre pour me branler n’y tenant plus et tellement j’avais envie d’elle et qu’elle me rendait fou. Plusieurs fois j’ai jouie de sa façon d’être cruelle avec moi, à ne rien y comprendre.
Et puis il y avait ces moments où Josselin partait en déplacement. Et là… moi, je perdais pied. Je rampais régulièrement à ses pieds pour qu’elle me regarde. Je lui murmurais que je pouvais changer. Que je voulais qu’elle revienne. Que je l’aimais, que je ne pouvais pas vivre sans elle. Je me suis mis vraiment souvent à genoux devant elle, ne sachant plus quoi faire pour la récupérer. Littéralement. Une autre fois, je me suis allongé à ses pieds, en larmes, et je lui ai embrassé les chaussures en la suppliant. Je lui offert à plusieurs reprises des fleurs. Je l’implorais : "Reviens vers moi. Laisse-moi une chance. Tu peux refaire ta vie avec moi." Elle m’a regardé comme on regarde un moins que rien au bord du trottoir. Elle m’a soufflé : "Relève-toi Fred. Tu fais pitié. Tu crois vraiment pouvoir me satisfaire après ce que j’ai vécu avec lui ?" « JE l’aime et c’est intense. Il fait l’amour comme un dieu, c’est un vraie male ALPHA lui ! »
Et quand il n’était pas là, elle continuait à lui parler. Devant moi. Sans honte. Elle l’appelait au téléphone, s’allongeait sur le canapé, la voix douce, le regard amoureux. Elle lui disait des "Je t’aime mon chéri, tu me manques tellement", pendant que j’étais à deux mètres, en train de regarder la télévision. Ou lorsque j’étais de corvée linge car oui elle a réussi à ce que je repasse même les chemises de son mec où certaines fois des habitas à elle. Et elle me lançait parfois des regards narquois, pour bien me faire comprendre que je n’étais plus rien.
Elle me testait. Me poussait à bout. Il est même arrivé, qu’elle me fasse masser ses pieds après leurs ébats. M’envoyait chercher ses culottes qu’elle avait laissées traîner dans le salon. Une fois, elle m’a demandé de laver leur drap plein de sperme. Et, je l’ai fait. Sans discuter. Et elle m’a remercié avec un simple "T’es un bon petit chien, Fred."
Presque chaque soir, je les entendais faire l’amour. Je ne sais pas pourquoi mais j’avais tellement envie d’elle, que je me mettais à bander et à me branler pendant qu’il l’a prenait pendant des heures durant. Ma sexualité s’était complétement transformée.
Je me suis surpris à plusieurs reprises à chercher ces strings usagés avec du sperme dedans et à les sentir à les léchés tout en me branlant dessus. Comme si c’était la derrière chose dont j’avais droit d’elle.
J’ai vraiment vécu ça, je sais que c’est dur à imaginer. D’être réduit à l’état de chose. De pantin. Mais ce que je sais, c’est que malgré tout, j’y suis resté. Parce que j’étais accro à elle. Parce qu’une partie de moi avait besoin d’elle. De son regard dominateur. De sa violence froide. Je crois que je ne sais plus vivre autrement. Elle est la garce parfaite, la maîtresse cruelle que je ne mérite même pas.
Puis après environ 12 mois, elle est partie vivre avec lui. Six mois de passion. Elle ne m’envoyait que quelques textos secs. Je continuais à prendre soin de la maison. À faire son repassage quand elle revenait échanger des affaires. Comme si elle allait revenir. J’étais comme un esclave qui attend son maître. Et elle revenait parfois, une nuit, pour changer de fringues. Pas un regard. Pas un mot. Je l’accueillais, je l’aidais à porter ses sacs, je préparais le dîner, et elle repartait comme une reine capricieuse.
Quand Josselin est parti à l’étranger, elle est revenue. Effondrée. Vidée. Elle a pleuré dans mes bras. Et moi, j’étais là. Encore. Je la serrais. Je lui murmurais que je l’aimais. Elle ne répondait pas. Elle pensait à lui. Et moi, je la laissais pleurer sur mon épaule, comme une bête blessée. C’est tout ce qu’il me restait d’elle : ses larmes pour un autre.
Aujourd’hui, elle vit de nouveau ici. Elle me laisse croire que je l’ai récupérée. Mais c’est faux. Elle parle encore à Josselin. Elle l’attend. Elle me regarde parfois et me dit sans détour : "T’es qu’un plan B Fred. Je suis toujours amoureuse de lui"
Et moi, je suis toujours là. À ses pieds. À tout faire pour rester utile. À me contenter d’un regard, d’un mot. À accepter qu’elle me traite comme son larbin, son souffre-douleur. Parce que je suis comme ça. Parce que je n’ai jamais su lui dire non. Parce que j’ai cette faiblesse en moi, cette faille, et elle s’en est emparée sans pitié. Aujourd’hui, nous refaisons l’amour ensemble mais elle ne veut pas que je la pénètre.
Elle me dit qu elle pense encore à lui à certain moment et que ‘il revenait elle ne sait pas si elle ne craquerai pas à nouveau. Sinon j’ai trouvé pleins de photos et même des vidéos d elle sur son ordinateur. J ai pu voir qu elle m avait trompé depuis quasiment le début de notre relation avec différents mecs. Mais elle s’est brûlé avec son dernier. Elle pensait maîtriser le jeu mais elle est tombée amoureuse. Qd j ai vu qu elle m avait autant trompé et qu il y avait autant de photos et de vidéo parfois avec 2 mecs en même temps. Je n ai pas osé lui dire. Ça a été un choc car je la voyais comme un ange surtout dans les premières années de notre relation. Et il met arrivé a quelques reprises de me branler sur des photos ou vidéos d elle. Je pense que le fait d’être avec une femme comme elle, déstabilise sa propre sexualité. Le fait de me retrouver soumis, d’être autant cocu et de ne pas avoir le choix que de la partagé avec d’autres hommes à éveiller en moi quelques choses d’endormi. Cette femme qui m’échappe et qui est complètement incontrôlable insaisissable me rend complètement fou d’elle. Elle est comme une femme fatale pour moi. Mais je pense qu en réalité je vie avec une vrai femme infidèle qui je pense ne sait pas dire non à un mec qui sait la séduire..De nos jours, elle sort toujours en tenue sexy et se laisse draguer régulièrement même si je suis à côté. Et si j ai le malheur de contester, elle me reproche d etre jaloux et me dit que je m’inquiète pour rien. En ce moment, elle semble toutefois être revenue dans le droit chemin. Mais elle me fait régulièrement des reproches sur ma sexualité et pour mon petit sexe, sur mon caractère...elle dit que je suis son toutou, que je dois être à ses pieds...etc. Du coup elle nous à fait évoluer vers une sexualité ou elle me domine tout le temps au lit...elle se met par exemple toujours sur mon visage son entre cuisse me serrant fort la tête et me force à la léché jusqu'à ce qu elle jouisse. Elle m’oblige ensuite à avaler toute sa mouille jusqu'à la dernière goutte je ne dois rien laisser de côté. Elle s’amuse à me mettre à ses pieds pour que je lui lèche et certaine fois me force mon visage avec ses pieds pour que je lui lèche son petit anus et sa petite fente. Elle me raconte régulièrement comment Josselin la baiser bien et me demande si je me suis déjà branlé en les entendant…j’ai avoué que oui à plusieurs reprises. Elle veut aussi que je me laisse faire et je dois accepter toutes ces envies du moment ….comme par exemple quand elle me mets des doigts dans mon petit anus ( ca depuis peu de temps). Une fois qu elle a eu ce qu elle voulait, elle me laisse en plan sans même me toucher. Elle me dit que je peux me branler si je veux car elle ne sent rien quand je la prends…Ou elle me dit que je pars trop vite..que ça l’énerve après... Certaine fois, elle ne veut même pas que je me branle ou jouisse durant plusieurs semaines. Elle a accepté de se remettre avec moi mais me demande de lui obéir sur plusieurs aspects comme quand elle sort avec ces copines. je dois rester à la maison. Je ne dois rien dire et ne pas poser de question. Elle sort plusieurs fois par semaine. Dans tout les cas, à ce jours, tout semble être rentrée en bon ordre maintenant et elle est revenue à la raison.
Voilà. C’est ça ma vie. Un homme cocu, humilié, piétiné… mais encore amoureux.
Je vous écrit ce que j’ai vécu entant que véritable cocu. Il s’agit d’une histoire bien réelle qui m’est arrivé il n’y a pas si longtemps dans ma relation de couple avec ma femme actuelle.
Ma femme Adeline avec qui je suis pacsé et en couple depuis 19 ans est tombée amoureuse d’un autre homme et m’a quitté durant 18 mois...
Ce que j’ai vécu , ce que j’ai enduré, va bien au-delà de ce que beaucoup pourraient tolérer. Mais moi… je suis fait comme ça. J’ai toujours eu ce fond en moi. Ce côté soumis, malléable, faible même. Je l’ai nié longtemps. Mais Adeline, elle, avec son fort caractère, l’a vu tout de suite. Et elle en a fait ce qu’elle voulait.
On est ensemble depuis plus de 19 ans. Mais ces deux dernières années ont été un enfer. Ou un rêve tordu, selon comment on le regarde pour certain. Un jour, sans prévenir, elle m’a quitté. Net. Sec. Elle est tombée follement amoureuse d’un autre, Josselin. Pas un flirt, non. Un amour vrai. Total. Elle s’est offerte à lui, entièrement. Elle me l’a dit un jour dans les yeux : "Avec lui, je ressens ce que je n’ai jamais ressenti avec toi." Et ce n’était pas une phrase en l’air. Elle en tremblait encore. Rien que de prononcer son prénom, même ses yeux brillaient, cela ne trompe pas.
Mais le pire, c’est que ce n’est pas resté une aventure à distance. Elle l’a fait venir vivre chez nous. Elle l’a mis dans notre lit. Elle m’a expulsé dans la chambre d’amis comme un vieux coloc indésirable. Et moi ? Je n’ai rien dit. Parce que c’est là que mon vrai visage est ressorti. Je suis soumis. Je suis faible. Je suis fait pour obéir quand une femme comme elle prend le dessus. Elle est cruelle, intelligente, impitoyable. Et ce contraste entre ma soumission et sa froideur sa domination sur moi… elle l’a senti. Et elle en a joui. Elle a toujours eu un côté cruelle et garce avec moi. ET moi, j’ai toujours cherché à la récupérer dans cette histoire.
La maison étant autant à elle qu’à moi, personne n’a voulu partir ou céder. On vivait donc à 3 dans la maison. Elle me l’a imposé. J’ai assisté à leur passion jour après jour sous mes yeux et je n’avais plus droit à elle car nous n’étions plus ensemble. Elle m’a jeté comme une vieille paire de chaussette. Ils faisaient l’amour sans retenue, sans pudeur. Elle hurlait, volontairement fort. Elle voulait que je sois là, que j’entende. Et j’écoutais. Brisé. Frustré. Ridiculisé. Une fois, en sortant de leur chambre, elle m’a dit : "Tu l’as entendu hein ? C’est ça, un vrai orgasme. Toi, tu m’as toujours laissé sur ma faim. Deux minutes, et tu dormais."
Elle me rabaissait constamment, même devant lui. Elle m’envoyait acheter des courses pour eux avec une liste pour qu’ils puissent rester seul à la maison. J’étais dans une situation perdu, je me suis même jeté à ses pieds à plusieurs reprises en la suppliant de revenir avec moi, Je lui embrassais à genoux carpette, pendant qu’elle discutait avec Josselin au téléphone. Elle lui disait même ce que je faisais pensant qu’elle garderait cela pour elle. J’avais super honte à des moments. Elle posait son pied sur ma tête, comme si j’étais son esclave. Et je l’étais. Un jour, pendant que je passais la serpillière dans le salon, elle s’est assise sur Josselin en petite culotte, me regardant avec ce sourire sadique. Elle lui a dit : "Tu vois, j’ai même pas besoin d’un robot. J’ai Fred."
A plusieurs reprises j’ai tenté ma chance aupres d’elle. Mais elle m’a dit : "C’est comme ça maintenant, t’as plus rien à dire." Si tu ne veux pas partir, tu dois t’habituer à vivre comme un cocu. Et moi ? J’ai obéi. Parce que j’étais déjà à genoux intérieurement. Parce que je l’aimais encore comme un idiot. Pourtant, je n’existais déjà plus pour elle.
Ils faisaient l’amour bruyamment, à toute heure. Le pire, c’est qu’elle ne retenait même pas ses cris. J’entendais tout depuis la chambre juste à côté. Elle s’assurait que je sois là, dans la pièce d’à côté, pendant qu’elle hurlait son plaisir, comme une chienne en chaleur. Et je les entendais en ricanant de la situation. Certaine fois, nous regardions une serie à la télévision, et elle était juste en petite nuisette sans rien. Ils se chauffaient alors même que j’étais à coté sur la canapé. Je les vu à plusieurs reprises lui mettre des doigts dans sa petite fente en douce juste là avec loi à 2 mètres. Je vous assure que cela fait une drôle de sensation. Puis ils me demandaient si je n’en avais pas mare de tenir la chandelle et m’envoyer dans ma chambre pour baiser tranquillement sur le canapé. Certaine fois, je les ai vu en sortant des toilettes avec elle a califourchon sur lui. J’ai même croisé Adeline à quelques reprises juste apres qu’elle est finie de faire l’amour avec lui nue allant à la douche et je pouvais voir sa chatte toute brillante et gluante avec sa vulve toute gonflée. A plusieurs reprises elle s’est amusée quand je la croisée à m’humilier. "Tu as bien entendu cette fois. Lui au moins, il me fait jouir. Il me prend comme j’aime, pas comme toi avec ton petit ZIZI. »
Elle était toujours très dure avec moi et humiliante.
Je suis resté. J’ai tout accepté. Plus le temps passé et plus J’étais devenu leur serviteur. Elle m’envoyait acheter du lubrifiant, même des sex-toys qu’ils utilisaient ensemble pendant que je rangeais la cuisine. Une fois, elle m’a demandé d’aller lui acheter une nuisette "sexy, mais facile à enlever". Elle l’a portée le soir même pour lui. Et elle m’a remercié devant lui, en se moquant. Je me souviens encore de cette scène : elle était sur ses genoux, nue sous la dentelle que j’avais moi-même choisie et acheté, et elle m’a lancé : "T’as fait un bon choix, Fred. Josselin adore."
Le matin, je leur ai servi le le petit-déjeuner au lit à quelques reprises. (Adeline, poussait toujours plus loin les limites pensant que je finirais par prendre un appartement et partir de moi-même, mais je suis amoureux d’elle). Je toquais à la porte. Elle criait "entre !" et je découvrais la scène : elle nue sur le lit, les draps complétement en l’air, encore en sueur, lui allongé nue à côté, torse nu, satisfait. Elle prenait le plateau, me regardait droit dans les yeux et me disait : "Tu vois, même cocu, tu restes utile." Elle s’est même amusée à me faire repasser ses dessous sales, imbibés de leur plaisir. Et j’ai obéi. Honteux. Silencieux. Cassé.
Josselin me traitait de plus en plus comme un larbin. Il me filait des ordres. Il me disait quand sortir de la pièce. Une fois, alors qu’ils commençaient à se chauffer dans le salon, il m’a lancé : "Tu peux débarrasser la table avant qu’on s’y mette ?". J’ai tout ramassé sans dire un mot. Et Adeline me regardait faire avec ce sourire cruel, ce regard supérieur de femme dominatrice qui sait qu’elle tient un homme en laisse.
Elle s’asseyait parfois sur lui, à califourchon, en sous-vêtements, pendant qu’il regardait la télé. Moi, certaine fois, je passais l’aspirateur derrière eux. Un jour, alors ils étaient assis a côté, elle a même posé ses pieds nus sur ma nuque pendant que je nettoyais, comme si j’étais son repose-pied vivant. Et elle a murmuré à Josselin : "Il est mignon mon petit toutou, non ?"
J’avoue que je n’étais plus un homme. Adeline fait de moi ce qu’elle veut. J’étais un meuble, une serpillière émotionnelle. Et malgré tout ça, je l’aimais. J’espérais. Je pensais qu’elle finirait par se lasser. Mais elle adorait ça. Elle adorait me dominer, m’humilier, me rabaisser. Et plus je me soumettais, plus elle en voulait. Elle avait le beurre et l’argent du beurre. Je n’aurais jamais cru qu’elle me fasse vivre ça.
Elle partait avec lui en week-end, ou en vacances et elle revenait avec des bleus dans le cou, le sourire aux lèvres. J’allais même les cherchés à la sortie du métro pour les ramener à la maison. Elle me montrait les photos de leurs voyages, leurs baisers torrides, leurs corps enlacés dans des chambres d’hôtel. Une fois, elle m’a dit en me montrant une vidéo : "Tu veux voir comment un vrai homme me prend ?" Et elle a lancé la vidéo sur le grand écran du salon. J’ai regardé. Jusqu’au bout. Elle jouissait comme jamais je ne l’avais jamais vue jouir avec moi. Et elle savait que je regardais. Elle l’a fait exprès. J’allais vite dans ma chambre pour me branler n’y tenant plus et tellement j’avais envie d’elle et qu’elle me rendait fou. Plusieurs fois j’ai jouie de sa façon d’être cruelle avec moi, à ne rien y comprendre.
Et puis il y avait ces moments où Josselin partait en déplacement. Et là… moi, je perdais pied. Je rampais régulièrement à ses pieds pour qu’elle me regarde. Je lui murmurais que je pouvais changer. Que je voulais qu’elle revienne. Que je l’aimais, que je ne pouvais pas vivre sans elle. Je me suis mis vraiment souvent à genoux devant elle, ne sachant plus quoi faire pour la récupérer. Littéralement. Une autre fois, je me suis allongé à ses pieds, en larmes, et je lui ai embrassé les chaussures en la suppliant. Je lui offert à plusieurs reprises des fleurs. Je l’implorais : "Reviens vers moi. Laisse-moi une chance. Tu peux refaire ta vie avec moi." Elle m’a regardé comme on regarde un moins que rien au bord du trottoir. Elle m’a soufflé : "Relève-toi Fred. Tu fais pitié. Tu crois vraiment pouvoir me satisfaire après ce que j’ai vécu avec lui ?" « JE l’aime et c’est intense. Il fait l’amour comme un dieu, c’est un vraie male ALPHA lui ! »
Et quand il n’était pas là, elle continuait à lui parler. Devant moi. Sans honte. Elle l’appelait au téléphone, s’allongeait sur le canapé, la voix douce, le regard amoureux. Elle lui disait des "Je t’aime mon chéri, tu me manques tellement", pendant que j’étais à deux mètres, en train de regarder la télévision. Ou lorsque j’étais de corvée linge car oui elle a réussi à ce que je repasse même les chemises de son mec où certaines fois des habitas à elle. Et elle me lançait parfois des regards narquois, pour bien me faire comprendre que je n’étais plus rien.
Elle me testait. Me poussait à bout. Il est même arrivé, qu’elle me fasse masser ses pieds après leurs ébats. M’envoyait chercher ses culottes qu’elle avait laissées traîner dans le salon. Une fois, elle m’a demandé de laver leur drap plein de sperme. Et, je l’ai fait. Sans discuter. Et elle m’a remercié avec un simple "T’es un bon petit chien, Fred."
Presque chaque soir, je les entendais faire l’amour. Je ne sais pas pourquoi mais j’avais tellement envie d’elle, que je me mettais à bander et à me branler pendant qu’il l’a prenait pendant des heures durant. Ma sexualité s’était complétement transformée.
Je me suis surpris à plusieurs reprises à chercher ces strings usagés avec du sperme dedans et à les sentir à les léchés tout en me branlant dessus. Comme si c’était la derrière chose dont j’avais droit d’elle.
J’ai vraiment vécu ça, je sais que c’est dur à imaginer. D’être réduit à l’état de chose. De pantin. Mais ce que je sais, c’est que malgré tout, j’y suis resté. Parce que j’étais accro à elle. Parce qu’une partie de moi avait besoin d’elle. De son regard dominateur. De sa violence froide. Je crois que je ne sais plus vivre autrement. Elle est la garce parfaite, la maîtresse cruelle que je ne mérite même pas.
Puis après environ 12 mois, elle est partie vivre avec lui. Six mois de passion. Elle ne m’envoyait que quelques textos secs. Je continuais à prendre soin de la maison. À faire son repassage quand elle revenait échanger des affaires. Comme si elle allait revenir. J’étais comme un esclave qui attend son maître. Et elle revenait parfois, une nuit, pour changer de fringues. Pas un regard. Pas un mot. Je l’accueillais, je l’aidais à porter ses sacs, je préparais le dîner, et elle repartait comme une reine capricieuse.
Quand Josselin est parti à l’étranger, elle est revenue. Effondrée. Vidée. Elle a pleuré dans mes bras. Et moi, j’étais là. Encore. Je la serrais. Je lui murmurais que je l’aimais. Elle ne répondait pas. Elle pensait à lui. Et moi, je la laissais pleurer sur mon épaule, comme une bête blessée. C’est tout ce qu’il me restait d’elle : ses larmes pour un autre.
Aujourd’hui, elle vit de nouveau ici. Elle me laisse croire que je l’ai récupérée. Mais c’est faux. Elle parle encore à Josselin. Elle l’attend. Elle me regarde parfois et me dit sans détour : "T’es qu’un plan B Fred. Je suis toujours amoureuse de lui"
Et moi, je suis toujours là. À ses pieds. À tout faire pour rester utile. À me contenter d’un regard, d’un mot. À accepter qu’elle me traite comme son larbin, son souffre-douleur. Parce que je suis comme ça. Parce que je n’ai jamais su lui dire non. Parce que j’ai cette faiblesse en moi, cette faille, et elle s’en est emparée sans pitié. Aujourd’hui, nous refaisons l’amour ensemble mais elle ne veut pas que je la pénètre.
Elle me dit qu elle pense encore à lui à certain moment et que ‘il revenait elle ne sait pas si elle ne craquerai pas à nouveau. Sinon j’ai trouvé pleins de photos et même des vidéos d elle sur son ordinateur. J ai pu voir qu elle m avait trompé depuis quasiment le début de notre relation avec différents mecs. Mais elle s’est brûlé avec son dernier. Elle pensait maîtriser le jeu mais elle est tombée amoureuse. Qd j ai vu qu elle m avait autant trompé et qu il y avait autant de photos et de vidéo parfois avec 2 mecs en même temps. Je n ai pas osé lui dire. Ça a été un choc car je la voyais comme un ange surtout dans les premières années de notre relation. Et il met arrivé a quelques reprises de me branler sur des photos ou vidéos d elle. Je pense que le fait d’être avec une femme comme elle, déstabilise sa propre sexualité. Le fait de me retrouver soumis, d’être autant cocu et de ne pas avoir le choix que de la partagé avec d’autres hommes à éveiller en moi quelques choses d’endormi. Cette femme qui m’échappe et qui est complètement incontrôlable insaisissable me rend complètement fou d’elle. Elle est comme une femme fatale pour moi. Mais je pense qu en réalité je vie avec une vrai femme infidèle qui je pense ne sait pas dire non à un mec qui sait la séduire..De nos jours, elle sort toujours en tenue sexy et se laisse draguer régulièrement même si je suis à côté. Et si j ai le malheur de contester, elle me reproche d etre jaloux et me dit que je m’inquiète pour rien. En ce moment, elle semble toutefois être revenue dans le droit chemin. Mais elle me fait régulièrement des reproches sur ma sexualité et pour mon petit sexe, sur mon caractère...elle dit que je suis son toutou, que je dois être à ses pieds...etc. Du coup elle nous à fait évoluer vers une sexualité ou elle me domine tout le temps au lit...elle se met par exemple toujours sur mon visage son entre cuisse me serrant fort la tête et me force à la léché jusqu'à ce qu elle jouisse. Elle m’oblige ensuite à avaler toute sa mouille jusqu'à la dernière goutte je ne dois rien laisser de côté. Elle s’amuse à me mettre à ses pieds pour que je lui lèche et certaine fois me force mon visage avec ses pieds pour que je lui lèche son petit anus et sa petite fente. Elle me raconte régulièrement comment Josselin la baiser bien et me demande si je me suis déjà branlé en les entendant…j’ai avoué que oui à plusieurs reprises. Elle veut aussi que je me laisse faire et je dois accepter toutes ces envies du moment ….comme par exemple quand elle me mets des doigts dans mon petit anus ( ca depuis peu de temps). Une fois qu elle a eu ce qu elle voulait, elle me laisse en plan sans même me toucher. Elle me dit que je peux me branler si je veux car elle ne sent rien quand je la prends…Ou elle me dit que je pars trop vite..que ça l’énerve après... Certaine fois, elle ne veut même pas que je me branle ou jouisse durant plusieurs semaines. Elle a accepté de se remettre avec moi mais me demande de lui obéir sur plusieurs aspects comme quand elle sort avec ces copines. je dois rester à la maison. Je ne dois rien dire et ne pas poser de question. Elle sort plusieurs fois par semaine. Dans tout les cas, à ce jours, tout semble être rentrée en bon ordre maintenant et elle est revenue à la raison.
Voilà. C’est ça ma vie. Un homme cocu, humilié, piétiné… mais encore amoureux.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Pierre6911
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

