COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (5/5) - histoire érotique

Après que mon amant Yemba ait viré mon mari homo avec son copain Adrien de chez nous, cet homme qui m’a dépanné après ma crevaison devant la maison qu’il squattait, m'a fait voir qu’il est monté comme un taureau.
Son jumeau de frère, avocat, et son épouse sont venus nous annoncer qu’il avait eu un permis de séjour de six mois comme réfugié politique venu du Cameroun.
Pour fêter cette bonne nouvelle, j’ai ouvert une bouteille de champagne, ils m’ont couchée ivre, car les émotions accumulées m’ont achevée et je suis tombée dans un profond sommeil.
Les deux jumeaux ont prévu d’aller récupérer le papier officiel et je devais les accompagner.
Comme je dormais pour récupérer, ils sont partis sans moi.

Je reviens sur terre en touchant l’un des seins de Canelle, la belle-sœur de Yemba et femme de Toula, voyant mon étonnement de sa présence, elle m’explique qu’elle s’est sentie seule dans son lit et est venue me rejoindre.

Joignant les gestes à la parole, elle m’explique qu’elle a été formée aux plaisirs féminins dans son internat au moment où elle passait son bac en Guadeloupe.
En m’expliquant comment Ange, sa première amante, avait investi son corps, elle pratique de la même manière avec moi et présentement arrive à la hauteur de mon sexe.
Je ressens de la honte à me laisser embrasser si près de mon intimité.
Mais c’est contrecarré par l’envie que j'ai qu’elle m’embrasse le clitoris.
Quelques secondes d'attente et elle le fait, sa bouche se posant dessus et l’aspirant carrément, me faisant émettre des gloussements de plaisir.
Incroyable, comment une simple crevaison a pu en si peu de temps modifier ma vie !
Incroyable que je prenne les cheveux de ma petite amie dans mes mains pour lui appuyer la tête pour que sa langue vienne pénétrer l’intérieur de ma vulve.
Je sens un phénomène nouveau pour moi : mon corps se vide dans la bouche de Canelle qui semble apprécier que je la décoiffe avec mes sécrétions.
Je suis obligée de constater que j’aime être gouinée par ma nouvelle amie.
Ma jouissance est tellement intense qu’il m’est impossible de prendre une décision pour rendre le plaisir que je reçois à celle qui vient de devenir mon amante.
Ses mains sont partout et virevoltent sur mon corps. Chaque sein est caressé puis malaxé pour finir par un pincement de la pointe, vite remplacé par un baiser qu’elle pratique avec sa langue rose.
Hors de notre rapport saphique, elle m’aurait pincé aussi fort, j’aurais hurlé, mais là ma bouche dit oui, oui, oui.

- Allez ma belle, à la douche, je vois que tu es une bonne élève et dans les jours prochains, je t’apprendrai à me donner du plaisir.

Nous prenons la douche ensemble, je la savonne, caressant pour la première fois un corps féminin.
J’évite de toucher à son abricot tout lisse car rasé, contrairement à moi qui aime avoir une belle touffe, je devais aller me faire égaliser dans mon salon de beauté.
Salon de beauté, mince, j’avais rendez-vous à dix heures, j’ai loupé l’heure.
Je vais être obligée d’aller m’excuser.

Coup de chance, il faut que nous allions au supermarché bio où j’achète toute notre nourriture, l’institut de beauté se trouvant à côté.
Après nous être lavés, savonnés et rincés, nous nous essuyons mutuellement ce qui permet à nos mains, à travers le tissu-éponge, de nous caresser simplement par plaisir.
C’est lorsque nous sommes séchées que pour la première fois la bouche de Canelle, ayant pourtant déjà broutée ma chatte, vient sur la mienne et que là encore pour la première fois, j’embrasse une personne de mon sexe.
Je vais dans mon armoire sortir des affaires propres.

- Tu es sûr de vouloir mettre ces affaires dignes de nos grands-mères ?
Viens dans ma chambre, on est de même taille.
Je vais te faire voir ce qu’une belle femme comme toi doit porter.

De sa valise, elle me sort un short qui couvre tout juste ma chatte mais surtout faite apparaître sur les côtés deux belles touffes de mes poils.

- Bien sûr, j’aurais dû y penser, il va falloir te faire raser comme moi, en attendant met cela.

C'est une mini couvrant tout juste les fesses, avec un chemisier qu’elle noue sous mes seins laissés nus.

- Super, tes seins sont mis en valeur, surtout que mon chemisier est transparent et j’adore que l’on voit tes aréoles, tu vas en faire bander plus d’un.

Elle, elle met le petit short avec un chemisier de même couleur qu’elle noue comme le mien.
Talons hauts découverts, petit baise-en-ville, lorsque je ferme ma porte et que je me dirige vers la boulangerie avant d’aller récupérer ma voiture, j’ai l’impression de deux putes partant au bordel faire des passes.
Incroyable, ma chatte nue sous ma jupe, mouille.

- Bonjour, madame Alice, vous êtes drôlement belle, je peux vous poser une question ?
- Si je peux vous répondre.
- Votre mari a eu un problème ?
- Pourquoi ?
- Après que vous étiez passée avec le grand monsieur noir avec votre robe déchirée, quelque temps plus tard, je rentrais mon store lorsqu’il est passé dans sa voiture avec son ami.
Il allait tellement vite qu’il a failli écraser la petite dame que vous connaissez, car vous lui parlez chaque fois que vous la croiser.
Au carrefour, il a grillé le stop et à un cheveu a échappé à un accident.

Que dois-je dire, bientôt la pipelette va raconter à tout le quartier ce qu’elle ignore.

- Madame Henriette, quand vous l’avez vu, il venait de me dire qu’il partait vivre avec son ami.
Ça m’a permis de faire venir mon amant, vous savez l’homme noir et baraqué que vous avez vu.
Cette dame est sa belle-sœur et femme du frère jumeau de cet homme, cela vous va !
- Ce que j’en disais c'est question de causer, vous savez, je suis une tombe, vos révélations sont entrées par une oreille et sorties par l’autre.
- Un pain comme d’habitude ?
- Des hommes de cette carrure ça baise bien et après ça mange beaucoup.
- Oh ! Madame Alice, encore une chance que nous soyons seules et entre femmes.

J’ai failli l’achever en ajoutant que ma belle-sœur est aussi ma maîtresse, mais il faut distiller les informations au compte-gouttes, car sinon dans huit jours, je serais la salope qui baise avec deux hommes et une femme.

- Au revoir madame Henriette, je vous souhaite une sieste crapuleuse avec votre mari.
- Oh ! Madame Alice, vous êtes taquine.

Après avoir quitté la boutique sous le regard médusé de la boulangère, bras dessus, bras dessous, nous rejoignons ma voiture en nous gondolant à faire pipi dans nos culottes que nous avons oubliées de mettre.

- Voilà la voiture qui a tout déclenché, j’ai beaucoup de plaisir de la retrouver.

Je m’assieds au volant, Canelle monte à mon côté et nous nous embrassons avec le plaisir que nous a procuré l’échange avec la boulangère.
Dommage qu’elle soit à l’intérieur, j’aurais voulu qu’elle nous voit.

- Je peux te poser une question ?
- Oui bien sûr.
- Tu travailles ?
- Oui, j’ai un cabinet d’orthophonie et je fais des interventions à l’hôpital.
En juillet, je suis en vacances jusqu’à la fin du mois.
- Je le dirai à Toula, il se posait la question hier au soir.

Je me gare devant l’institut de beauté.
J’ai de la chance, une cliente vient de se décommander et je peux passer dans les mains de la patronne.

- Enlevez-lui sa toison s’il vous plait. Je la mets à la mode.
- Il y a longtemps qu’on lui propose, elle a toujours refusé.

J’évite de dire que c’est Antoine qui refusait, impossible d’apparaître comme dépendant de mon mari.
Pendant mes soins, je vois Canelle se mettre nue.

- Vous voulez que je vous fasse des soins ?
- Non, elle va mettre le short après avoir sa chatte glabre, je veux voir son joli cul à l’intérieur.
- Vous avez raison, elle va être magnifique avec.
- Dite carrément qu’elle va être bandante.

Une nouvelle fois, nous nous mettons à rire de nos bêtises, mais qu’il est bon d’en faire, j’étais devenue tellement guindée.
Rhabillée, bichonnée, rasée, épilée, elle veut que j’aille chez ma coiffeuse.

- Pouvez-vous rajeunir la coupe de cheveux de mon amie ?
- Je la prends dans cinq minutes.

Lorsque nous ressortons, la chatte épilée et les cheveux légèrement plus courts, nous allons faire les courses avec les regards d’hommes qui se retournent sur notre passage.

- Tu vois, tu les fais bander.
- Nous les faisons bander.

De retour à la maison, nos hommes brillent par leur absence.

- Viens, on va bronzer, met toi à poil, il faut que ta chatte bronze, elle est toute blanche.

C’est ainsi que les deux hommes nous retrouvent.
Ils arrivent avec du champagne, très peu pour moi, la cuite d’hier m’a vacciné.
Surtout quand Yemba me montre son permis de séjour me promettant une nouvelle vie.
Nul doute qu’il obtiendra sa carte définitive quand nous aurons réglé nos situations grâce à son frère !

Je parle de nouvelle vie, je devrais dire « seconde vie. »Ne suis-je pas encore assez jeune pour ça !