COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Les secrets (13/14) - histoire érotique

Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.

• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.

Je suis votre Maître, même si c’est moi qui ai été à la fête du slip, même si je n’en porte pas, dans les heures et les minutes qui viennent de se passer.
Et je me souviens du soir où nous sommes entrées dans la pièce nues, attachées par la laisse et le collier que j’avais acheté pour apparaître devant lui avec Océane, à quatre pattes comme de braves chiennes.
Je veux lui faire une branlette espagnole, il m’attrape et pendant que son maître-chien me flagelle avec sa cravache, il ne voit pas qu’il m’étrangle en tirant sur la laisse.

Dans la nuit, notre Maître vient m’honorer me remplissant la chatte de bonnes giclées de sperme.
Enfin pour compléter cette fête du slip, c’est Daniel mon chef de chantier qui vient dans la cuisine et qui me baise en me suçant la chatte encore pleine de sperme de ma partie cette nuit.
Il mélange son sperme à celui de mon amant, avant que je puisse voir ce que je vais faire du reste de ma matinée.
Je prends une douche, je ne sais pas ce qui m’attend, peut être un troisième homme voulant venir compléter la quantité de sperme en moi ?

Habillé, Daniel avec ses sceaux m’interpelle, je passe la porte, d’un côté un escalier en colimaçon de l’autre un ascenseur. Je le regarde et comme je suis curieuse je le suis.
J’entre dans cette cabine d'ascenseur : 1 0 et -1.
J’appuie sur 1, il monte jusqu’à un palier, une porte est là, je l’ouvre doucement, trois hommes dont mon amant travaillent.
Je referme évitant de les déranger, ils sont trois, je vais éviter de les énerver sexuellement, j’ai mon compte pour aujourd’hui.
Bouton -1, je comprends que nous n’avons jamais entendu la cabine monter ou descendre, elle est ultra silencieuse.
Palier du bas, une tenture avec une même scène de damoiselle se promenant avec un damoiseau.
Derrière une porte avec un Digicode comme celle de la partie extérieure.
J’essaye le code que Christian nous a donné 19 502 018, chou blanc.
Sans le bon code, c’est un cul-de-sac.
Je remonte, je vais me promener vers la piscine, je trempe mes doigts de pieds.
Est-ce le fond de l’air qui est frais ou le système de chauffage de l’eau qui est arrêté ?
Il est impossible que je me jette à l’eau.
Me retournant, je vois l’escalier en métal montant vers le dessus des garages où la nourrice du papa de mon Maître a habité.
C’est vrai que j’ai une idée, je gravis les marches, la porte est ouverte.
Il a parlé de stock de divers objets, des hallebardes, des paniers de vignerons et des hottes de vendangeurs, il y a même des armures de chevalier et plusieurs fauteuils en cuir entassés les uns sur les autres.
Je remarque qu’il y a un chauffage électrique, une porte au fond, une pièce de même surface avec de vieilles choses dont des lits démontés et de vieux matelas.
Une porte comme celle de l’autre côté, un autre escalier en fer, identique à celui qui m’a permis de montrer, me permet de redescendre de l’autre côté.
Je reviens vers le manoir, je vois la descente extérieure vers la cave à vin.
D’un coup, une idée me vient.
Christian à dire que la pluie n’était pas un problème.
Une porte dans la tour, deux à l’extérieur... alors, sur la porte de la cave à vin, je tape le code refusé dans la tour, la porte se déclenche, j’entre.
Ce ne sont pas les bouteilles qui m’intéressent mais la tenture, représentant une scène de chasse.
Derrière, une porte, je l’ouvre, la cave à vin se prolonge par un petit tunnel de deux mètres environ.
Celui ou celle qui a conçu ce système n’a pas cru bon de mettre une porte avec Digicode entre les deux parties de cave.
Je trouve un bouton, la lumière surgit, incroyable. Celui qui a vu François Ier avec Fernandel, a déjà vu ce que le grand-père de mon amant avait construit dans cet ancien chai.
C'est une salle des tortures où tout y est, les chaînes avec des poulies, une cage surélevée avec des clous à têtes rondes devant être fort désagréables quand on est assis dessus pendant des heures sans pouvoir bouger.
Je découvre la croix avec ses menottes, sans aucune protection qui doit déchirer les poignets et les chevilles quand vous y êtes là encore attachés pendant des heures.
Je regarde la croix, la menotte m’attire, dire que mamy Patty a dû avoir ses poignets dans ces menottes.
Je passe ma main et comme une gourde, je la ferme.
Ma main est prisonnière de cette croix par un seul de mes membres.
Combien de temps mamy Patty a-t-elle été torturée dans ces divers engins d’un autre monde, d’un autre temps ?
Je tends le pied essayant de faire tomber la croix, je manque de distance, je me fais mal à la main en vain.
Je sais ce qu’il me reste à faire, attendre le retour des garçons ou, s’ils ne pensent pas que je suis pendue par mon membre par curiosité mal placée, mourir après de longues heures d’agonies.
J’avais pensé mourir, jeté en bas de la Roche de Solutré comme un vulgaire cheval, c’est dans ce trou à ras que je vais finir.
Je n’ai pas l’heure, encore moins la notion du temps.
Ce que je sais, c’est que je perds l’équilibre deux fois, m’arrachant presque le membre que je sens de moins en moins.

• Regardez la jolie petite souris que j’ai prise au piège, j’ai l’impression qu’elle se l’est refermée toute seule.
Qu’en penses-tu du joli poisson que nous avons attrapé, que faisons-nous, nous la dénudons et tu lui fais voir ce que ma grand-mère subissait ?
Je te rassure, comme toi certainement, quand tu as vu ces objets de tortures tu as dû prendre peur, elle m’a soutenu que dès qu’il l’a cloué sur cette croix avec les menottes, seul son plaisir comptait.
• Détache-moi Christian, j’ai fait la bêtise de m’attacher et je suis fatiguée, je me suis écroulée deux fois, cette menotte me coupe les poignets.
Comment m’avez-vous retrouvé.
• Par ça.

Renaud me détache, m’ayant auparavant enlacé pour que je ne tombe pas, me rappelant le temps de sa splendeur sexuelle où nous aimions nous embrasser de longues minutes.
En ce temps-là, je sentais déjà sur mon ventre la verge que j’adorais recevoir en moi.
Hélas, on sait ce qui est survenu et l’impuissance qu’il me montre quand je suis collée à lui.
Ce « par ça » c’est son I. phone, le même qui lui a servi pour m’ouvrir son portail à distance.
Nous étions presque au pied de la Roche, que nous venions de gravir en courant.
Il a vibré, l’application reliée au Digicode m’avertissait que quelqu’un avait essayé de pénétrer dans la cave par la porte de la tour.
Tu as essayé le code que je t’avais donné.
Un grand moment est passé, le temps de récupérer notre voiture et c’est la porte de la cave à vin qui s’est déclenchée.
Je savais que quelqu’un était à l’intérieur, je n’ai pas cru bon de multiplier les systèmes de sécurité, j’ai simplement placé une tenture pour dissimuler le passage.
Et nous voilà, tu mériterais que je te place dans cette cage, celle au sol où tu n’aurais que la place de te lover sur toi-même.
Renaud, que penses-tu si nous la placions à quatre pattes sur mon pilori, que je l’encule pendant que tu la fouettes.
Regarde ce beau martinet à sept queues suspendu sur ce présentoir, il te cinglerait jusqu’à ce que je jouisse et toi aussi par cette double action.

• Nous verrons ça plus tard Christian, regarde l’heure, Océane va nous attendre à l’auberge du village, elle va se demander ce que nous faisons.

C’est ainsi que j’échappe à la punition pour être entrée dans la cave sans l’autorisation de celui qui est mon maître.
En marchant, soutenue par mon époux, mes jambes ankylosées commençant à se remettre en marche, je suis contente de sentir sa main posée sur l’un de mes seins. Cela me réchauffe et le téton allonge.
Dans les heures ou jours prochains, j’espère que je reviendrai dans ce lieu que l’on peut dire maudit.
Comme Mamy Patty qui a supporté de longs moments la colère d’Hugo son mari qui s’est vengé de son impuissance à la suite de son accident en fabriquant de ses mains ces engins de torture, je serais moi aussi à la hauteur.

• Attendez, avant de partir rejoindre Océane, je dois voir Daniel mon chef de chantier.
• Tu l’appelles Daniel, depuis quand, me ferais tu porter des cornes ?
• Christian, dis-lui que je te suis fidèle, j’irais plus loin, si je me suis donnée à toi, c’est parce que tu as un souci et que je suis encore une femme avec des envies.
• Renaud, laisse tomber, je la crois, elle nous est fidèle sinon pourquoi aurait-elle voulu savoir ce que j’avais à lui cacher.

Je m’en sors les cuisses propres même si j’ai été obligée de me laver la chatte à l’eau froide après avoir baisé avec Daniel.
Je le rejoins à l’étage montant allègrement les marches.
Il est dans une salle de bains.

• Anne, suis-moi, j’ai à te parler.

Il me prend la main et me fait franchir la porte de la tour.
Nous montons rapidement les marches de l’escalier en colimaçon pour déboucher sur son sommet après avoir franchi une porte qu’il pousse de l’épaule car elle est vétuste.

• M’as-tu amené là pour admirer la vue ?
• Non, pour ça.

Il repousse la porte du mieux qu’il peut, il me plaque contre lui et nos bouches une nouvelle fois se trouvent.
Il est presque brutal, mais j’aime bien, il me plaque contre les pierres qui forment cette tour.
Des créneaux permettent de voir vers le bas, il me retourne, il défait mon jean, je sens qu’il en fait de même pour moi.
Là où nous sommes placés, je vois la vallée avec toutes ces vignes qui nous entourent, le village où nous allons certainement aller manger.
Sa queue se frotte de mon anus, à ma chatte cherchant l’entrée, c’est mon vagin qui gagne lorsqu’il entre en moi.
Je sens mes lèvres trempées qui s'écartent et son pieu qui s'enfonce.
Il m’appuie sur le dos me pliant vers l’avant.
En bas, Renaud et Christian sont près de la voiture, ils discutent, Renaud regarde sa montre.
Je me fiche de l’heure, s’ils levaient la tête, il me verrait lorsque je jouis et qu’il me rempli…