COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Soumission (8/14) - histoire érotique

Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.

• Je suis ton Maître, Anne.
• Oui, Maître Christian.

Erreur, maintenant je devrais dire.

• Je suis votre Maître, Anne et Océane.

Et nous répondrions en cœur.

• Oui, Maître Christian.

Les hommes ont quitté le salon et nous installons la table.
Il faut leur faire éponger tout le marc ingurgité.
Je pensais que ce qu’Océane avait apporté c’était les repas du midi et du soir, il n’en est rien.

• Quand notre Maître est passé et que j’ai su que vous passiez la nuit ici, je vous ai préparé un copieux petit-déjeuner, sans penser que j’aurais autant faim que vous.
• L’amour sa creuse, tu as même amené des viennoiseries.
• Je les ai préparés moi-même, j’adore travailler la pâte feuilletée, c’est la base de la pâtisserie que j’aime faire.
Croissant, mille feuilles et autres tartes sont pour moi une source de plaisir.
• À t’écouter, on pourrait croire que faire de la pâte pour tes viennoiseries te fait mouiller, pardon, j’ai des propos grivois.
• Ne t’excuse pas, c’est tout comme, jusqu’à ce jour ou le sexe commence à prendre une grande place dans ma vie.
Je dois rentrer à mon laboratoire, j’ai une grosse commande à préparer pour lundi, demain c’est le jour du seigneur, c’est repos et ce soir, je vous promets un repas dont tu me diras des nouvelles.
• Le jour du seigneur, vas-tu à la messe ?
• Non, j’y vais quand je rentre au pays, les voisins de mes parents ne comprendraient pas que je n’y aille plus.
Avec ma jeune sœur, nous y allions tous les dimanches ensemble, nous adorions mettre nos belles robes blanches pour plaire au très haut.
• Depuis ma communion, j’ai arrêté, je suis une pécheresse.
• Et toi que fais-tu aujourd’hui ?
• Après avoir bien mangé ce que tu nous as préparé, j’irais voir les ouvriers et direction Mâcon ou je passerais la matinée avant de revenir ici, j’ai deux ou trois idées à trouver pour une de mes clientes.

Je pique un croissant en mangeant un bout avant de le reposer avec les autres pendant qu’elle a le dos tourné.

• Un deux trois soleil, je t’ai vu !
• C’était trop tentant, ils sont délicieux.
• Maintenant que tu l’as commencé, fini le.
Dis, tu passes devant chez moi, arrête-toi, j’aurais un travail à te confier quand tu reviendras.

Nos hommes reviennent, propre et complètement clean côté alcool, Océane est partie et ils mangent avec entrain.
Je suis gourmande, mon léger ventre qui se fait jour depuis quelque temps en est la preuve la plus voyante, c’est décidé, j’arrête de manger ces très bonnes viennoiseries
• Dis-moi Christian que penses-tu du cadeau que je t’ai fait.
• Je n’en reviens pas, il y a longtemps que j’avais un début de béguin pour ce grand oiseau des îles.
Mais commencer notre relation par une fellation ce n’est pas banal.
Anne, ou est-elle partie, j’espère que mon sperme dans ses yeux ne l’a pas fait fuir.
• Non Christian, mais je vais te faire une confidence, Océane est vierge.
Nous avons discuté ensemble avant d’aller vous réveiller, elle est très amoureuse de toi.
• Merde une vierge à son âge et moi qui est failli l’empoigner pour la planter sur ma tige.
• Je te suis soumise, mais si j’apprends que tu lui as manqué de respect sans mon assentiment, je te coupe les couilles.
• Je vais devoir l’épouser pour la baiser pendant notre nuit de noces !
• Je ne pense pas t’obliger à aller jusque-là, tu nous fais marner pour nous dire ce que contient ta cave, pour pouvoir baiser Océane se sera au moment que je déciderais de te la donner.
Bien Maîtresse Anne.
• N’en rajoute pas, j’entends le camion des ouvriers qui arrive, je te rappelle qu’il n’y a plus de soumise jusqu’à ce soir.
Bonne journée, je vais me préparer pour retourner à Mâcon.
• Si cela ne te dérange pas, je vais rester avec Christian, il annonce grand beau cette après-midi, je vais profiter de la piscine.
• Faite attention au marc, à ce que j’ai compris, Christian en a quelques hectolitres.
De plus interdiction de lui faire voir la cave avant que je sois avec vous.

Je pars vers la porte de la cuisine, j’ai le temps de voir Renaud saisir un croissant et de me balancer vers la figure, je l’attrape au vol.

• Merci, j’avais encore une petite faim.

Tout ceci en oubliant mes résolutions de régime.
Je salue mon chef de chantier, ils savent ce qu’ils doivent faire aujourd’hui, je monte dans ma voiture.

Est-ce le fait que j’ai dormi seule ou le lit trop grand, j’ai du vague à l’âme, je suis en avance pour rejoindre Océane, en temps normal il est temps de manger.
Je travaille sur un autre projet qu’un couple m’a confié, bien moins lucratif que celui que je réalise en ce moment.

Je me lève, je vais jusqu’à mon frigo, je l’ouvre, Renaud est un gros mangeur, j’ai fait les courses avant le week-end, j’ai un poulet froid et diverses denrées toute plus calorique les unes que les autres.
Je ne cède pas, je le referme.
Je vais dans le salon, je vois que le magnéto est en service, Renaud avant de nous rejoindre regardait un CD.
Les films c’est sa passion, il a raison étant à la retraite, que regardait-il ?

Je me cale, les images démarrent, j’ignorais que notre vidéothèque possédait « Chatte en chaleur ».
En temps normal, je préfère le concret aux images, je crois l’avoir démontré.
Une femme fait entrer le facteur et deux minutes après elle a sa bite dans la bouche.
Qu’il serait bon, comme le fond les animaux, de rencontrer une femelle en chaleur comme moi en quelques sorts et quelques secondes après avoir une bite dans la chatte.
Christian veut me faire découvrir son monde, le libertinage même si c’est en passant par la soumission, j’en suis d’accord.
Surtout que l’état de Renaud m’incite à glisser vers ce que certains ou certaines coincés du cul appellent de la dépravation.
Je suis privée depuis trop longtemps de son morceau pendant lamentablement entre ses jambes.

Les images défilantes trois de mes doigts viennent de trouver ma chatte en écartant ma culotte.
À un certain moment, je m’identifie à cette grande fille blonde avec de vrais seins, contrairement à ceux d'Océane, même si la cicatrice pour passer les implants est légèrement visible.
Aurais-je des tendances homosexuelles, je jouis quand avec mes simples doigts, la belle-mère, véritable cougar entre dans le jeu.
Comme moi, elle a des seins, qui tendent son chemisier impeccablement rentré dans sa jupe, sa belle-fille lui enlève prestement, ses obus bien filmés nous sautent au visage.

• Maman !

C’est le seul mot qu’elle échange avec la mère de son mari, car sa bouche empêche que le moindre son n’en sorte.
Les seins, les chattes, tout y passe, les gros plans succèdent aux gros plans, il est l’heure de bouger, dommage j’aurais aimé voir une bite les défoncer.
Hourra, le valet arrive, je suis aux anges, elles se font démonter toutes les deux en levrette se faisant prendre à tour de rôle.
Un nouvel homme entre en scène.
La belle-fille a retrouvé sa voix.

• Beau-papa, que faite vous là.
• Salope, Jannine te faire baiser par mon majordome et avec notre belle-fille de surcroit.
Et toi, quand je vais dire à mon fils que sa femme se fait défoncer par le facteur, tu vas ramasser.
• Venez beau-papa, ma bouche est libre, sortez votre bite, je vais vous faire une fellation, inutile de vous mettre en colère.

Ce qui est navrant avec ces pornos, c’est que d’un coup, le plan change, le facteur est parti.
Trois personnes sont nues marchant côte à côte dans le couloir, la belle-fille, le beau-père et la belle-mère, ils ont tous les trois un collier et sont tenus en laisse par le valet qui a une cravache en main et qui leur flatte le cul avec.
Est-ce de vrai coup ou du maquillage, les trois soumis ont de jolies marques rouges sur leur fessier que le réalisateur montre en gros plans avant l’arrêt du film.

Est-ce qu’à la vue de ces acteurs et actrices copulant finissant par être une famille de soumis et soumise, Renaud réussissait à bander, si c’est le cas pourquoi l’en priverais-je, surtout que mes doigts sont couverts de cyprine.

Je me vois dans l’obligation de prendre une douche après avoir rangé le CD et nettoyé le canapé, j’ai tellement joui que de la cyprine coulant le long de mon anus l’a taché.
Heureusement que nous achetons des produits de qualité, deux minutes et il n’en paraitra plus rien quand il sera sec.

Habillé de façon décontractée, jean, soquette blanche et basket de même couleur, débardeur montrant le galbe de mes seins le tendant au maximum.
Il est tellement tendu que mes fraises sont entièrement apparentées derrière le tissu.
Bien que mes ouvriers soient au travail, c’est le week-end.
Je sors, je récupère ma voiture, le CD m’a donné une idée, je connais une boutique ou je vais pouvoir trouver tout ce dont j’ai besoin, pour la réaliser.

Je m’engage dans une petite rue de Mâcon et par chance, je trouve une place en face d’une porte que j’ai quelques difficultés à franchir.
Cette boutique c’est le « Sex-Shop » de notre ville…