COLLECTION CANDAULISME. Différences d’âge. La panne (1/14) - histoire érotique

Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.

Par un beau matin, alors qu'ils prennent leur petit déjeuner, Anne et Renaud discutent.
Ils sont mariés depuis de nombreuses années et se confient souvent l'un à l'autre.

• Mon chéri, ce n’est pas grave, tu as 60 ans et jusqu’à ce jour, les 10 ans d’écart entre nous ne se voyaient pas, hormis tes tempes grisonnantes depuis 2 ans.
• Parle pour toi, on voit que ce n’est pas toi qui te retrouves à ne plus pouvoir bander !
• J’ai une amie, le mari a 20 ans de plus qu’elle, il a été voir son médecin qui lui donne du « Levitra ».
C’est comme le viagra, mais les effets secondaires sont moindres, il prend un cachet le matin où il veut bander et dès qu’il a des rapports avec sa femme, tout se passe bien.
En plus l’effet se fait sentir pendant 24 heures, il remet même le couvert parfois.
Je te propose d’aller voir notre médecin, si tu as trop de pudeur de lui parler de tes soucis sexuels, je le ferai pour toi.

Trois jours plus tard, le verdict tombe, Viagra, Levitra et autres Cialis lui sont interdits.
Ses soucis cardiaques et la perte de fonctionnement de son système vasculaire risqueraient de s’avérer mortels.

• Ce n’est pas grave, regardons sur Internet et cherchons un site de livraison par correspondance.
Nous allons choisir ensemble un gode pouvant me satisfaire, c’est toi qui me l’enfileras.
Nous commencerons par un bon cunnilingus, tu as toujours été doué pour ça, chaque fois c’est la première jouissance que tu m’apportais.
• Et crois-tu que je serais satisfait ?
Certes tu auras du plaisir, mais je resterais sur ma faim, la queue basse, essayons tout de même, cela fera peut-être redémarrer ma libido.

Nous avons fait comme nous avions dit.
Nous avons acheté un gode stimulateur du clitoris, je l'ai choisi assez épais comme j'aime.
Les premières semaines, tout se passe bien, mais je sens que rapidement Renaud est de nouveau insatisfait.
Un soir où il vient de me doigter, je sens qu’il voudrait aller plus loin.
Il m’a bien mouillé la chatte avec sa langue, cela a bien fait couler ma cyprine.
Mes lèvres lisses et longues ont apprécié le contact labial, jusqu’à ce qu’il essaye de me glisser un troisième doigt.
J’ai accouché il y a plus de 20 ans et mon vagin s’est resserré depuis, mais mes tissus sont encore très souples me dit souvent mon gynéco !
Surtout que je me maintiens en faisant énormément de sport, principalement du vélo et de la marche, j’ai été championne de France cadette avant d’arrêter, trouvant d’autres plaisirs dans ma vie.
Trois doigts venaient d’entrer, quand j'ai senti le quatrième venir écarter mes grandes lèvres, je pense qu’il veut chercher à me fister.
J’avais déjà vu sur mon ordinateur que des femmes de mon âge le faisaient et aimaient cela, c’est comme cela que je connais ce mot.
J'ai pris peur, j'ai fait retomber ma jambe que j’avais levée vers le ciel, le privant de son envie.
Je ne me sentais pas encore prête pour cela, on verra plus tard !
Aujourd’hui je reconnais que je suis insatisfaite sexuellement, mais sans encore le lui avouer.
J’espérais qu’un gode remplacerait sa bite, mais la texture de ce bout de plastique est loin de valoir un bon bâton de chair.
J'ai 50 ans, depuis 20 ans ma libido s'est un peu calmée, sachant que dans ma jeunesse, j'étais une folle du cul.
C’est certainement moi qui ai usé mon homme !
Bien avant de le rencontrer, je suis incapable de dire combien il m’en fallait.
De biens grosses, biens noueuses, n’hésitant pas à les prendre dans toute la gamme des sexes possibles, blancs, noirs, maghrébins.
Est-ce le démon de la cinquantaine qui me rend folle ?
Je me rappelle même que j’ai eu un amant venant de Tunisie, je l’ai quitté quand il a voulu que j’arrête ma pilule, il voulait m’envoyer au bled et que nous ayons une douzaine de gosses.
Et pourtant il était viril poilu, même dominateur, je pense souvent à lui.

C’est à ce moment que j’ai rencontré Renaud et que je me suis calmée.
Il faut dire qu’il savait me satisfaire avec sa bite.
Avant, je me faisais baiser, avec lui, grâce à notre différence d’âge et sa grande expérience, je suis devenue femme.
Deux à trois fois par jour, il avait le bras tendu et me prenait là où nous étions et toujours comme je le souhaitais.
Un exemple, il m’a baisé sur le capot de notre voiture, à l’intérieur aussi bien sûr, malgré l’exiguïté de l’habitat, chaque fois, c’est moi qui étais demandeuse.
Nous l’avons même fait dans la cuisine de chez mes parents, ainsi que dans leur lit.
L’interdit de la chose stimulant notre envie.
Je me rappelle, j’étais placée là où ma mère posait sa tête.
Sa chemise de nuit étant sous l’oreiller, je me suis obligée, quand il a déchargé, à sortir sa verge pour que son sperme se répande sur les draps.
Quand le soir, nous dormions dans ma chambre de jeune fille où mes parents avaient remplacé mon petit lit par un canapé, j’avais dans ma tête le cul de ma mère se frottant au sperme de mon mari.
Je dois être un peu tordue, mais c’est ce qu’il aime chez moi.

Mon insatisfaction sexuelle va en s’aggravant, moi qui m’étais calmée, je recommence à regarder les autres garçons, les autres hommes, jusqu’à ce jour où je reçois un appel pour mon travail.
Il faut dire qu'il y a quelques années, j’ai monté mon affaire de décoration d’intérieur et de magasin, je suis satisfaite, j’ai de nombreux contacts.

• Je m’excuse de vous déranger madame Anne, je m’appelle Christian, pourrions-nous nous rencontrer ?
Une amie m’a dit le plus grand bien de vous, j’aurais besoin de vos conseils.
Je viens d’hériter de la maison de ma grand-mère près de Mâcon en Bourgogne, je la transforme en gite, j’aurais quatre chambres à mettre à la disposition des clients.
Demain, 14 heures, voici l’adresse précise.

Je la note, avec mon GPS aucun problème pour trouver la maison.
Quand il me dit Mâcon, où j’habite, c’est près de la roche de Solutré rendue célèbre par un Président de la République la gravissant, entouré de sa cour chaque année.

Voulant faire le meilleur effet, je soigne ma tenue, l’apparence, c'est 80 % de chance supplémentaire de signer des contrats.
Faire propre sur soi aide à démontrer votre professionnalisme.
Tailleur beige, acheté à Lyon dans une très bonne boutique près de la place Bellecour, jupe courte et veste fermée en V, le tout avec un chemisier fin et fleuri.
Bas noirs avec des chaussures à talons mi-hauts, soulignant la cambrure de mes reins, l’un des points forts de mon corps.
Talons moyens pour éviter la fatigue, doublement quand je suis amenée à monter des étages ou autres mezzanines.
Ma chute de reins est doublée d’une poitrine qui faisait systématiquement bander Renaud, avant le début de son impuissance.
Ils sont en forme de poires, tenus dans un soutien gorge 95 C ou D selon la marque. Là j'ai un balconnet qui me monte bien la poitrine.
De vrais obus même encore à mon âge, surtout que mes pointes sont assez proéminentes.
J'ai aussi les aréoles très brunes et larges.
Je vais faire une confidence, le soutien gorge pigeonnant et la petite culotte assortie avec la ficelle dans mes fesses sont rouges.
Vous me verriez si vous étiez avec moi devant cette grille en fer forgé !
Car pour appâter le client, j’aime laisser mon chemisier avec deux boutons dégrafés, montrant le début de ma vallée.

La maison toute en pierres du pays m’apparaît au milieu des vignes, derrière ce portail en fer forgé, la grand-mère devait avoir du bien.
Un rez de chaussée légèrement surélevé atteignable par un escalier en pierre à double montée, de grandes fenêtres doivent desservir les pièces principales.
Un étage, terminée par un magnifique toit en ardoise certainement rénové il y a peu. Trois balcons devant des portes-fenêtres permettant de voir la vue magnifique déjà belle du perron.
Du côté droit, le bâtiment se termine par une tour carrée qui monte jusqu’à la hauteur des cheminées donnant une touche médiévale au manoir.
Quelle chance a celui que j’espère deviendra mon client d’avoir hérité d’une telle demeure !
Il y a un Digicode, je sonne, je m’attends à voir arriver quelqu’un dans l’allée impeccablement entretenue, mais c’est une voix qui me parle.

• Madame Anne, la décoratrice, je vous ouvre, je vous demande dès à présent d’excuser ma tenue, je savais que vous deviez arriver, j’ai complètement zappé l’heure, je sors de ma piscine.

La grille commence à pivoter, il doit la commander à distance.
Autant je suis douée pour le mélange des couleurs de tissus, autant tout ce modernisme me passe au-dessus de ma tête.
Je remonte dans mon auto.
Pour dire la nullité que je suis sur les choses techniques, je suis incapable de dire la marque de mon automobile.
Je sais que c’est une Japonaise avec un moteur essence et électrique, ça je le sais parce que Renaud me l’a dit.

J’arrête ma voiture au pied du perron, j’y accède en montant par la gauche, du côté droit, un petit ascenseur pour fauteuil roulant a été installé.
Pour avoir son accréditation comme gîte, l’administration a dû imposer ce genre de système.
Je monte allègrement jusqu’au palier où se trouve la porte principale, sur chaque côté sous les portes fenêtres des meurtrières, je n’y prête pas attention.
En montant, je remarque du côté opposé à la tour caché par la verdure, un bâtiment plus moderne qui semble être des garages, avec des fenêtres à l’étage et un escalier de fer pour y accéder.
Il doit il y avoir des pièces ou une grande pièce, l’ensemble se termine par ce qui doit être un atelier.
J’arrive devant une belle porte en bois massif, c'est une belle pièce qui a dû coûter bonbon, au cours du jour !
Et elle semble d’origine ! Il est vrai qu’il y a des années ce type d’objet dans la région était classique.
Je vais pour sonner, on me parle de derrière un arbre de décoration impeccablement taillé.
Les jardins, là encore, comme pour les choses modernes, sont loin de mes attributions, mais je sais reconnaître quand l’un d’eux est impeccablement entretenu.
La voix prend corps, et je crois voir Alain Delon se promenant en maillot de bain près de sa piscine.
Attention, le Delon des années du début de sa carrière, pas le vieux beau qu’il est devenu.
Le garçon, la trentaine, est impeccablement découpé, il ressemble à une gravure de mode, il a dû être mannequin ou sinon cela aurait été une perte pour ce métier.
Grand, grand, grand.
Un détail qui peut avoir son importance, contrairement à Delon, il est blond.
Avec mon mètre soixante-cinq, je suis une petite souris auprès de lui.

• Excusez ma tenue, je viens de fini un mur en pierre du pays dans le fond du jardin.
Ma nouvelle piscine me tendait les bras, je suis allé faire quelques longueurs avant de vous recevoir.
J’ai été champion de France de natation junior, la mise en place de cette piscine est un bienfait pour moi.

Un bienfait pour lui, un bienfait pour mes yeux, le jeune homme en maillot de bain, me présente un paquet à la hauteur de son sexe, du meilleur effet.
Il n'a pas un caleçon de bain comme beaucoup d'hommes de nos jours, mais un slip de bain, comme dans les années 60, assez minuscule, rouge, étroit sur les côtés.
Cela met bien en évidence sa bosse qui semble bien grosse, je suis folle, je manque d’y porter la main, mais je suis raisonnable, je me retiens.

• Entrons, je vais vous faire voir les quatre chambres à l’étage que je souhaiterais faire redécorer, grand-mère avait des goûts bizarres en matière de décoration.

La porte ouverte un autre escalier en pierre permet d’accéder à cette étage, bizarre pas de système comme il y en a un pour accéder pour les fauteuils.
Je n’ai pas encore vu la piscine, mais là encore bon point car ajouté au jardin impeccablement entretenu, son gîte quand il va être opérationnel, ne va pas désemplir.

• Nous sommes ici au rez de chaussée, il y a la grande salle de réception que nous verrons plus tard, un salon bibliothèque, des sanitaires et ma chambre qui me sert de bureau avec ma salle de bain et aussi les cuisines.
Tout a déjà été rénové.
Montons voir les chambres, voyez le massacre.

Orange, brun, il y a un mur fait d’un crépi que je connais bien, plus il vieillit, plus il devient dur, finissant par être de vraies lames de rassoir si on s'y frotte.
Je remarque que les lits sont très grands, dans chacun on pourrait y mettre un régiment !
Soyons sérieuse, quatre personnes peuvent y dormir sans se gêner.
Je vais pour passer, dans la dernière chambre, le passage est exigu.
Le garçon est placé de côté, ma hanche frôle sa verge, je sens qu’il commence à bander.
En bonne professionnelle, je fais celle qui n’a rien senti.
S’il passait sa main sous ma jupe, il s’apercevrait que ma cyprine coule le long de mes jambes, ma culotte doit être détrempée.
L’abstinence contraignante due à un mari défaillant, doublée de cette gravure de mode que j’ai frôlée, réveille la chienne que j’étais avant de croire que, jusqu’à la fin de ma vie, je me contenterais de la verge molle de Renaud…