COLLECTION COCU. Sophie. Fin de la saison II et de l’histoire (10/10) - histoire érotique

C’est fait, au départ en sortant de l’eau pour rejoindre ma serviette, c’est la partie noire de moi qui me fait prendre le risque de tout perdre.
Mais quand je laisse Antoine me prendre, la jouissance qu’il m’apporte me prouve que j’ai fait le bon choix.
Surtout que pendant tout ce temps Damien est resté assis obligé de voir la bite d’Antoine me défoncer.
Le reste de la journée se passe dans la bonne humeur.
De retour à la maison, je m’attends à une remontrance, mais mon mari va se doucher ivre de soleil et de vin rosé.

« Sophie ouvre les yeux sur la perfidie de Nicolas. »
C’est deux jours plus tard que je retrouve Aurélie dans la cafétéria de l’hôpital.
C’est la première fois que je vois au bout de table celui qui est devenu mon amant et qui fait comme si j’étais transparente.
Aucun coup de fil depuis notre sortie alors que je l’avais collé à mes baskets.
Il faut dire qu’aujourd’hui nous recevons dans chacun de nos services les jeunes infirmiers et infirmières fraîchement sorties de l’école.
Nicolas parle avec l’une d’elles, cette jeune infirmière va pratiquer au troisième étage.
Nous entendons les sirènes d’ambulances.

- Tout le personnel du troisième étage, montez dans votre service, il y a des urgences à recevoir.

Comme chaque fois que ça se produit, une volée de moineau s’égaille dans la cafétéria.
Nicolas se lève entraînant la nouvelle en profitant pour lui mettre une main aux fesses.
T’as vu, j’avais raison, il t’a eu, il t’a ignoré comme ton mari qui est un voyeur et rien de plus.
Sophie, tu as eu raison, il avait d’autre chose à faire, quand vous aurez fini votre travail tu le retrouveras.

- L’un de vous sait-il à qui est cette sacoche qui est sous cette chaise ?
- Je sais, donne-la-moi, c’est à Nicolas, je vais lui ramener, Sala.

Le garçon de salle me donne la sacoche, je la pose à côté de moi.
Je vais lui monter et il me donnera une explication sur son comportement.
La sacoche est ouverte certainement en tombant.
Je vois le carnet déjà vu où mon amant semble tenir une sorte de suivi de sa vie.
Un regard à droite, un à gauche, Aurélie m’a quitté, j’ai encore quelques minutes de pause, au deuxième l'alerte nous a épargné.
Je l’ouvre.

Page 1.

« Je tiens ce journal après la première femme qui s’est donnée à moi.
C’était notre jeune voisine.
C’est dans sa chambre que nous nous sommes dépucelés.
10 sur 10 car c’était la première. »
La première car je feuillette.
Tient, Séréna, la grande rousse, elle se dit fidèle à son homme.
Les dates, c’est trois jours après son mariage qui l’a baisé dans la pièce où les femmes de service rangent les draps.
8 sur 10, c’était la 52ème.
Je tourne, un grand nombre y sont passés mêmes Aurélie celle qui aime seulement les femmes.
310ème, elle lui a fait une fellation, 3 sur 10.
499ème, mes yeux sont prêts à me sortir de la tête.
Damien.
Quoi mon mari est dans ce carnet avec une note de 10 sur 10.

« Damien, un homme et oui, ça peut paraître un accident, mais que ça été bon.
Il est venu chez moi m’emprunter ma perforeuse.
C’est moi qui l’ai perforé.
J’ai eu beaucoup de femmes, mourir idiot, je laisse cela aux autres.
Je voulais avoir des rapports homos.
Lui aussi. »
Incroyable qui est la 500ème ?

« Quand nous reprenions notre souffle, Damien m’a demandé de le débarrasser de Sophie en la baisant.
Je me suis mis en chasse surtout que ce sera la 500ème.
Comme toutes les autres elle va y passer. »« C’est fait, hier on a passé l’après-midi sur une plage avec sa copine Aurélie que j’ai déjà baisé.
Damien me regardait, il m’a téléphoné pour me dire que lorsque je plongeais ma bite dans la chatte de la salope, c’était en lui que je plongeais.
Le plus dur ce sera de l’éviter avec un 2 sur 10 j’aurais du mal à baiser une nouvelle fois. »
« Sophie se venge. »
Voilà ça s’arrête là.
Je dois remonter.
J’emmène la sacoche laissant le carnet avec la page sur mon mari corné afin que si on l’ouvre on tombe sur ce passage.
Trois infirmiers et hommes de salle du 1er entre.
Je les salue et je vais au tableau d’affichage des syndicats faisant celle qui est très intéressée car ce sont les élections professionnelles dans trois jours et Nicolas est deuxième sur une liste.

- Regardez les gars, un carnet.
Merde je le connais, c’est celui de Nicolas du troisième voyons ce qu’il écrit, il paraît que c’est un queutard.
- Regarder, il parle d’un mec, vous connaissez un Damien.
- Non, certainement quelqu’un hors de l’hôpital.
- Merde, c’est un PD, il se sodomise le dénommé Damien.
Quand les copains et les copines sauront ça, on va faire sa réputation.

Je quitte la cafétéria satisfaite.
Dans peu de temps, Nicolas le PD ça fera le tour des services.
Je rejoins le 2ème.
Chez nous en médecine tout est calme.

- Sophie, je t’attendais, va dans votre salle, Yvon un jeune infirmier fraîchement émoulu de l’école nous est affecté.
Va à la lingerie avec lui.
Tu lui feras essayer des blouses pour connaître sa taille.
- Bien Serena, je m’en occupe.
- Tout est calme ici, je rejoins le 3ème en renfort.
Un accident sur l’autoroute entraîne un surplus de travail.
Tu gères.

Je descends dans notre salle des infirmières.
Un grand mec assez beau est là.

« Sophie devient une salope, »
- Yvon, tu viens, nous allons à la lingerie, je dois te donner une blouse de travail.
Celle à ton nom te parviendra dès que je t’aurais donné ta taille.
- Bien madame.
- L’école, c’est fini, ici, c’est Sophie comme toi Yvon.


Nous entrons dans la pièce où de vieilles blouses sont entreposées.

- Mets-toi nu, rien sous ta blouse.
C’est pour les microbes et les maladies nosocomiales.
- Bien Sophie.

Il enlève un par un ses vêtements mettant sa main devant sa verge.

- Que me caches-tu là Yvon ?
Mais c’est une bite, dit ta maman t’a gâté.

Sans le moindre scrupule, je m’agenouille.
Je prends la verge dans ma main et je le masturbe.
Mon regard est dans celui du garçon qui semble étonné de voir que je le branle.
Ma langue vient titiller son gland avant de remonter jusqu’à la jointure de sa verge.
Je retourne à sa pointe tout en prenant ses boules en main.
Elles ont du mal à tenir dans ma main, mais ma bouche elle en avale une.
Une, ainsi que l’autre pour revenir à son gland.
Il finit par exploser.
Je déglutis.

- Ton sperme a bon gout.

Tu vois t’es une salope, je te l’avais bien dit que sucer tu aimerais.
Mieux même ange noir, je vais l’influencer pour qu’elle se fasse baiser par ce jeune.
Je me relève.
J’aurais aimé qu’Yvon me baise, mais se serait balancé mes principes aux oubliettes.
Il y a des malades à notre étage qui attendent nos soins.
De retour à notre poste, je commence à montrer à mon jeune le travail à faire.
C’est l’heure de la distribution des thermomètres, ça c’est facile.
Ulla vient de prendre son poste.

- Tu connais la nouvelle, Nicolas est un homo.
Il se fait un certain Damien.

Ça marche, le téléphone arabe très prisé dans nos services marche à plein.
Connaissant notre milieu, il est foutu.
Être homo, plusieurs ici le sont, exemples Aurélie qui étale son amour des femmes.
Mais faire celui qui se fait des femmes pour mieux tromper son monde, ça ne passera pas.
Nous le verrons aux élections.

Dès que je le peux, je vais à la librairie de l’hôpital.

- Julie, as-tu des carnets ?
- Oui, des bleus ou des roses ?
- Bleu.

« Sophie va vivre sa vie. »
« N° 1 Yvon.
Je viens de le sucer et avaler son sperme.
Bon gout.
Mérite mieux sa verge est intéressante, je mouillais. »
Nicolas en a eu 500, je vais partir sur une base de 100.
Êtes-vous d’accord ?
Bien sûr Sophie, tu connais ma façon de concevoir la vie.
Je saurais fermer les yeux.
Et toi ange noir qu’en penses-tu ?
On va bien s’amuser ange blanc.