COLLECTION ESCORTE. Première fois (1/1) - histoire érotique

- Bonjour, je suis Alexandra, c’est vous qui m’avez téléphoné ?
- Oui madame.
- Parler plus fort inutile de prendre une si petite voix pour me parler.
- Je, je.
- Hou là là, on est mal à l’aise.
Il ne faut pas, je n’ai jamais mangé personne.
Jacques, je crois d’après la fiche que l’on m’a remise.
- Oui madame Jacques, je n’aime pas mon nom.
- Appelle moi Alexandra et dit moi tu !
Décontracte-toi ça va très bien se passer, je vais tout faire pour ça.
- Oui madame.
Pardon Alexandra.
- Mais dit, tu sembles bien jeune, je ne vais pas te demander ta carte d’identité, mais tu as bien plus de dix-huit ans.
- Oui mad, Alexandra, depuis huit jours.
Vous voulez votre petit cadeau ?
- Bien sûr ça fait partie des choses qui se fond dans ces circonstances, mais je vous sens si stressé c’est la première fois ?
- Oui Alexandra.
- Ça c’est bien, tu te décontractes Jacques.
On va commencer à t’apporter le plaisir que tu vas t’offrir dès que j’aurais rangé l’enveloppe que tu as dû préparer.
- C’est maintenant que je te donne l’argent ?
- Oui.
- 2 000 €, 10 billets de 200.
- Et tu te balades avec cette enveloppe dans ta poche.
Bon, ce n’est pas grave.
Avançons.
Mettons-nous sur ce canapé.
- Attention, il ne faut pas le tacher, maman ne serait pas contente, elle l’a acheté cette année.
- Tu as un drap ?
- Oui, je sais où maman les range, je vais en chercher un.
- Mais dit moi, ta mère risque de revenir.
- Non, avec mon père ils sont partis en voyage amoureux 20 ans de mariage.
- Mon père était marin, il est allé à Tahiti quand il était jeune et a toujours promis à maman de l’emmener.
- Ils ont économisé depuis des années et il lui a offert pour leurs 20 ans.
- Alors on est tranquille.
Le drap est bien tendu.
Assieds-toi à un bout je m’assieds à l’autre.
Ne t’en fais pas nous allons faire l’amour mais je sens que si je te touche la verge, tu vas décharger dans mes doigts.
Payer 2 000 € pour décharger dans une main.
Tu te fais une veuve poignée et ça te coûtera nettement moins chère.
- Je vais me calmer Alexandra.
- Si j’ai bien compris, c’est la première fois que tu vas faire l’amour avec une femme.
- Oui.
- Mais pourquoi fais-tu appel à une escorte, tu es mignon ?
Je comprends, tu es trop timide, tu penses que si tu perds ton pucelage avec moi ça te rendra plus sûr de toi.
- J’ai peur que tu ne sois déçu, as-tu déjà vu une chatte de femme ?
- Oui sur le net dans des films pornos.
- Mais en vrai, non.
- Oui ?
- Oui ou non, tu en as vu ?
- Non.
- Je vais commencer par te faire voir ma chatte.

Elle se lève enlève sa veste de tailleur, son chemisier blanc et sa jupe, m’apparaissant en soutien-gorge, bas et hauts talons.
J’ai bien choisi, cette femme 10 ans plus vieille que moi est magnifique.
Je suis sûr que lorsque je l’aurais baisé, ma timidité envers les femmes disparaîtra.

- Toi aussi enlève ton pantalon et ton caleçon.
Bien on continue.
Regarde, j’écarte mes cuisses après avoir posé mes pieds sur le drap.
J’écarte mon string, tu vois bien ?
- Au oui, elle est belle, tu es rasée ?
- Oui, par moments je laisse un triangle de poils.
J’écarte mes grandes lèvres, qu’en penses-tu, elles sont très grandes.
- Je peux venir jusqu’à toi et mettre ma langue.
- Avec ce que tu m’as donné, tu peux, je vais t’apprendre.
Tu sais ce qu’est un clitoris, regarde il est là.
Prends tes mains doucement et sort le de son petit capuchon.
- On dirait une petite bille.
- Met ta bouche et suce avec ta langue.
C’est très bien, tu vas me faire jouir.
C’est rare, ce sont les meilleurs amants qui savent sucer les femmes.
Tes futures partenaires seront contentes de toi.
Sueee.
- Pardon, je t’ai fait mal ?
- Non, tu l’as aspiré un peu fort, mais c’est bien.
Va te rasseoir, je vais me masturber devant toi.
Quand tu banderas assez je viendrais sur toi, tu me pénètreras et tu pourras te dire un homme.
Combien de doigts veux-tu que je m’introduise.
- Trois ?
- Regarde, ton regard me fait mouiller, ils rentrent comme dans du beurre.
Tu es prêt, je vais venir sur toi.
Tu sens, tu glisses en moi.
- Ah.
- Non calme-toi, non, tu vas tous mettre en l’air.
Écoute cette histoire, tu ne penseras plus à ton sexe.
C’est un petit lapin qui va au bordel.
- Que dis-tu, ils ont fermé les bordels ?
- Attends, je continue.
Il y a madame boa qui est là pour recevoir les clients.
Tu vois mon histoire te permet de te calmer.
Je viens de monter et descendre quatre fois, tu me sens bien ?
- Oui Alexandra.
Dit, on peut dire que je suis un homme ?
- C’est ça.
- Et le petit lapin ?
- Madame boa aime les petits lapins elle le bouffe.
- Elle l’avale ?
- Oui comme ma chatte avale ta bite.
Elle se dit qu'elle va se faire enguirlander, elle a bouffé un client.
- Elle a qu’à le recracher.
- C’est ce qu’elle fait.
Continu tu vas me faire jouir.
Sais-tu ce qu’il dit quand il est dehors ?
- Oui, a quelle pipe.
- Tu la connaissais ?
- Oui, à la maternel on la racontait.
- Vas-y, libère-toi, je pars.

C’est comme ça que je fais jouir cette pute, c’est plein d’assurance que je lâche mon sperme au fond de son vagin.

- Que se passe-t-il ici et sur mon canapé ?
Regardez, il est taché.
Foutez le camp.
- Maman c’est ma copine.
- Ta copine, une pute, avec quel argent l'as-tu payé ?

Je vois Alexandra partir sans demander quelque chose de plus.

- Papa, maman que faite vous là, je vous croyais à l’aéroport pour partir à Tahiti.
- Ton père a oublié nos passeports et quand j’ai regardé dans mon sac, j’ai vu l’enveloppe de 2 000 € qui devait nous permettre de payer nos faux frais avait disparu.
Dans ces aéroports, c’est incroyable le nombre de pickpockets qu’ils peut y avoir.

Il va sans dire que j’ai perdu mon pucelage mais que mes parents ont perdu leur voyage au soleil.
Ce n’est pas grave, je suis un homme.
Ils iront pour leurs 40 ans de mariage.

- Allo, Angélique on peut se voir.

Je sens que celle-là aussi elle va jouir sur ma queue !