COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le poker (1/1) - histoire érotique

J’ai tendance à être accro au poker, ce soir, c’est chez moi qu’avec quatre potes, nous jouons une partie, j’ai perdu un max gagné par Laurent mon pote.
Les trois autres nous quittent le jour pointant.

• Tu m’offres la bière du perdant.
• Fous toi de ma gueule, comment vais-je justifier à Gladys que j’ai perdue l’argent de nos vacances.
• Sans oublier ta Rolex et ton IPhone 8 à 1 000 €.
• Ils sont partis, non, tu es encore là Laurent, j’ai entendu mon nom, quand tes potes ont claqué notre pote, que disais-tu Douglas !

Je la regarde, sans pouvoir lui dire un mot, j’ai épousé Gladys, il y a cinq ans et hormis le poker, tout va pour le mieux entre moi et elle sur tous les plans.
Gladys jolie blonde de 24 ans que j’ai connue vierge, que j’ai façonné sexuellement et qui fait baver tous mes copains, Laurent en faisant partie.

• Douglas a prononcé ton nom pour me dire qu’il ignorait comment il allait te dire qu’en plus de sa Rolex et son Iphone 8, il avait perdu la somme de vos vacances, voyons.

Laurent sort un paquet de billets de sa poche et les comptes.

• 100, 500, 800, 1 000, 1 500, 4 000, 5 200 €, il a perdu 5 200 € que vous économisiez pour vos vacances.
• Ce n’est pas vrai, tu n’as pas fait ça !
• Excuse, mon cœur, nous irons à la piscine municipale cet été.
• Il y a une autre solution.
• Laquelle ?
• Gladys est déjà en nuisette, elle vient avec moi sur le canapé, tu récupères tes biens et ton argent, elle est déjà en nuisette me montrant ses cuisses.

Elle est assise à mes côtés, elle tire sur sa nuisette ne gagnant que quelques millimètres.

• Où veux-tu en venir ?
• Nous allons sur votre canapé, Douglas tu reste assis sur cette chaise et tu regardes pendant une demi-heure, montre en main, tu sais ta Rolex dont tu es si fière, et je la baise devant-toi.
• Tu me prends pour une pute, c’est encore moi qui décide avec qui je baise et tu n’es pas dans mes plans.
• Parce que tu as des plans avec d’autres que moi !
• Que tu aies bête, je n’ai qu’un seul plan, c’est toi.
• Réfléchissez, 5 200 €, plus la montre et ton IPhone 8, même une pute de luxe ne fait pas autant d’argent, surtout pour une demi-heure.
• Chérie, j’ai fait une connerie, réfléchie, simplement une demi-heure et nous récupérons nos vacances à Venise.
• Tu n’as qu’à demander à ton pote de te sodomiser au lieu de me vendre comme un vulgaire morceau de barbaque, assume tes conneries !
• Là, il y a un problème, je suis loin d’être PD, je te le rappelle, comme au poker, une demi-heure no limite et ton mari récupère ses pertes.
• Je t’en supplie fait-le, Laurent n’est pas si mal que ça !
• Il est même beau gosse, mais si je le fais, je suis sûr que tu me reprocheras de m’être comportée comme une pute, tu l’as entendu, no limite, il peut me faire tout ce qu’il veut.
• As-tu peur de quoi ?
• La sodomie, je refuse que Douglas me sodomise.
• Si dans cette demi-heure, no limite, la levrette est autorisée, mais la sodomie est exclue, tu es partante.

Je vois que ma femme évolue dans son apprécions, de mon côté la voir se faire prendre par un autre n’est pas pour me déplaire, j’envisageais pour casser la monotonie du couple de trouver un autre couple pour passer une soirée no limite.

• J’y pense, d’accord pour la sodomie, mais je garde la Rolex.
• Cette montre que j’ai gagnée honorablement à la sueur de mon front avant notre mariage et que je lui ai offerte ce jour-là, tu peux la garder, il ne la mérite pas.

Je sens que la situation m’échappe, je comprends qu’indirectement, je viens de perdre deux fois ma montre en une seule soirée, maudit poker, surtout quand elle se lève.

• Douglas récupère la montre et démarre le chrono, une demi-heure sans sodomie.

C’est à partir du moment où elle me dit cela que mon cerveau me fait comprendre que devant moi, je vais être cocu.

• Comment veux-tu commencer ?

Ce sont les derniers mots qui parviennent à mes oreilles, la suite, je la vois sans pour autant réagir, sauf ma queue qui se met à bander quand il s’assoit sur le canapé qui l’attire à lui et soulève sa nuisette, il lui lèche sa chatte blonde.
J’ai toujours refusé qu’elle enlève sa toison, pour une blonde, c’est plus joli.
Rapidement, la langue que je ne vois pas, mais que j’imagine qui la pénètre ou tout du moins qu’il lui suce le clitoris, car elle commence à se tortiller sur la jouissance qui doit commencer à monter en elle.
Au moment où il ouvre sa braguette, elle s’agenouille, je vois clairement sa bouche descendre sur la verge de Laurent, elle suce le gland et avec sa main commence à lui triturer les couilles, je reconnais l’un de ses plaisirs, chaque fois qu’elle me le fait.
C’est fait, gorge profonde, elle a une propension à faire entrer ma verge jusqu’au fond, mais c’est aussi là que je me rends compte que Laurent est mieux pourvu que moi.
Va-t-elle accepter ma verge après celle de mon copain, surtout quand il la place en levrette et qu’il la pénètre.
Les bruits qu’elle émet avec sa bouche sa caractéristique pour moi de la jouissance qui monte en elle, qu’il continue une minute à la pilonner lui tenant les hanches, il va entendre l’orgasme qui va la dévaster.
C’est fait, j’ignore combien de temps, elle baise pour nos vacances à Venise, mais ce qu’il est sûr, c’est que contrairement à moi, il lui apporte deux orgasmes dévastateurs.
Il se recule, je ne vois pas ce qu’il fait, mais je comprends rapidement à la phrase qu’il me lance.

• Douglas, tu pourras garder ta montre, je viens de prendre le petit de ta chaudasse, regarde comme elle tortille du cul, c’est dommage que tu ne l’aies pas fait avant.
• Chérie, ton pote me casse le cul, quand il aura fini, tu pourras me prendre par là, j’ai été conne de te refuser ton plaisir, regarde, il a passé sa main et me caresse le clitoris, je vais.

La phrase s’interrompt sous un nouvel orgasme, elle vient de battre tous ses records, moi qui croyais ma femme vaginale, elle est aussi clitoridienne.
Je vois Laurent se retirer du cul de Gladys pour lui reprendre la chatte, il accélère la percussion, moi qui reste à un rythme longitudinal et finit par décharger.

• C’est bon, vous allez pouvoir partir à Venise, j’ai une proposition à vous faire, surtout à toi Gladys, Laurent est accro au poker, si vous n’y prenez pas garde, votre couple sera déchiré à cause des pertes.
C’était mon cas, avec des amis de bonne composition, nous avons créé un club, nous sommes une vingtaine de couples, quand nous décidons d’aller jouer, nos femmes nous accompagnent en tenue affriolante, genre guêpière, bas avec jarretière.
Si l’un de nous perd une grosse somme, il est re-cavé par les vainqueurs qui peuvent se servir de sa femme comme je viens de le faire avec toi Gladys.
Je pratique avec Lola ma femme, elle m’a déjà re-cavé plusieurs fois, je dois dire que j’aime la regarder se faire prendre.
• Douglas as-tu aimé me voir faire l’amour avec Laurent, je peux dire que j’ai apprécié, même la sodomie, j’avais une appréhension, là il m’a pris par surprise et dès que j’aurais pris ma douche, tu pourras me sodomiser.
• Laurent quand jouez-vous à ces parties de poker ?
• Tous les samedis soir, je vous laisse mon numéro, si vous décidez de franchir le pas, il faut être parrainé pour entrer dans notre groupe, les autres joueurs ou femmes de joueurs apprécieront que vous entriez dans notre association.

Ça fait plus de deux ans que je vais jouer presque tous les samedis soir dans l’association, Gladys, est souvent prise par un, deux, voire trois de mes acolytes, j’ai moi-même baisé Lola la femme de Laurent, jolie brune aux gros seins.
Plusieurs fois, Gladys à goûter à la double pénétration, la semaine dernière, c’est moi qui l’ai prise avec Laurent, à sa demande même si je n’avais pas perdu et même eu un petit gain.
J’avais espéré l’entraîner dans des clubs échangistes pour la regarder se faire prendre par d’autres hommes, j’ai ce plaisir, mais avec le poker en plus.
Samedi prochain, tous les couples seront là, c’est la soirée annuelle de l’association, je crois que je vais perdre volontairement pour qu’elle se fasse prendre par le maximum d’entre eux.
Merci à Laurent, même si c’est devant moi qu’il m’a fait cocu et candaulisme, mais pour mon plus grand plaisir et celui de Gladys.