COLLECTION LUCIE : Épisode 2 :Le dimanche de Lucie (suite de Lucie et le fourgon)
Récit érotique écrit par Alexcoquin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LUCIE : Épisode 2 :Le dimanche de Lucie (suite de Lucie et le fourgon)
Cela fait maintenant deux semaines que j’ai sucé cette inconnu dans son fourgon.
J’ai vécu des journées difficiles, des remises en question. Certain soir , je me remémoré la scène. Moi, à genoux, avec cette bite dans la bouche.
Je me suis souvent posé la question de savoir si je devais prévenir Renaud, mon mari.
J’ai honte de ce que j’ai fais mais je dois avouer que par moment, j’en suis tout excitée.
Renaud, ne m’a soupçonné de rien, alors que j’étais au plus mal. Je me suis même souvent demandé s’il faisait encore attention à moi.
Mon comportement était devenue assez agressif, je ne supportais plus rien à la maison. Je ne voulais plus voir nos amis même ma sœur Fanny.
Aujourd’hui, nous sommes dimanche.
Renaud travaille de jour.
J’ai rien prévue de particulier. Une journée en survêtement devant la télé en train de regarder des rediffusions de programme TV.
Ma seule obligation de la journée, c’est de faire une machine à laver et de l’étendre avant que Renaud rentre.
Il est 11h00, je monte chercher le linge au premier. En attrapant le linge, je revois les vêtements que je portais il y a deux semaines. Les vêtements de la honte. Je vais les laver. Comme à mon habitude, je fais les poches et la...surprise.
Je retrouve un petit papier dans une poche arrière. Je l’ouvre, c’est le numéro et le nom du mec que j’ai sucé dans le fourgon. Ma première idée est de le faire disparaître, je repense à tout ça, c’était horrible. Je le remets de nouveau dans ma poche de pantalon et me dit que je le jetterai de nouveau en descendant.
Je pars en direction de la buanderie au Rez de chaussée. Je fais ma machine et je pars me changer.
Je mets un jogging gris avec un débardeur blanc. Je ne mets pas de soutien-gorge. Je suis seule à la maison. J’ai simplement mis une culotte blanche.
Je me fais une queue de cheval.
Une heure plus tard
Je me prépare une petite salade et je prends une part de quiche que nous avions fait la veille. Ça ira pour ce midi.
J’allume la télévision, je mange devant. Mon téléphone sonne. C’est Renaud.
_ Oui doudou ?
_ Lucie c’est moi , ne m’attends pas ce soir, je vais boire une bière avec des collègues.
_ Encore? C’est la deuxième fois cette semaine doudou. J’avais prévue une petite soirée romantique, rien que tous les deux.
_ J’en ai pas pour longtemps, je bois une bière et je rentre.
_ Fais comme tu veux.
Je réponds sèchement, j’espère qu’il va reagir.
_ J’en ai pas pour longtemps, je ne rentrerai pas tard.
_ Ok bisou.
Je raccroche, démoralisée. Je n’arrive pas à y croire, il préfère boire une bière avec ses potes plutôt que de passer une soirée avec moi.
Je suis triste, seule sur mon canapé avec ma quiche et une émission débile.
J’en peux plus de cette situation. Renaud comprend pas que j’ai aussi des envies et des désirs de femme.
Ça fait 3 semaines que nous n’avons pas eu de relation intime.
Je me remémore la Fellation du mec du fourgon. C’était ignoble mais ça m’excite tellement. Je suis en manque de sexe.
J’ai son numéro, je pourrai peut être l’appeler ?
Non quelle horreur, je ne peux pas faire ça à Renaud.
Non, c’est hors de question.
Il est maintenant 13h30, j’ai débarrassé et nettoyé ma vaisselle.
Je suis sur mon canapé avec mon chat Fronka.
Je m’ennuie, je n’arrête pas de repenser à cette pipe. Ça m’obsède depuis que j’ai retrouvé le numéro.
VVVVV VVVVVVVVVVV
Mon téléphone vibre. Je viens de recevoir un sms de Renaud. Il me dit :
• Lucie, finalement je mange chez Jérôme, ne m’attends pas ce soir. Je t’aime
Je suis effondré, je vais de nouveau passer la journée et la soirée seule.
Sur un coup de tête, je glisse ma main dans la poche droite et sors le petit papier. J’hésite pendant une bonne dizaine de minutes mais je finis par envoyer un message.
• Salut
J’ai peur mais je suis excitée. C’est ce qui met arrivé de plus dingue depuis deux semaines.
Ça fait un quart d’heure, je n’ai pas de réponse et tout d’un coup:
VVVVV VVVVVVVVVVV
• C’est qui ?
Si jamais je lui réponds, je ne pourrai plus faire demi-tour et revenir en arrière. Tant pis.
• C’est Lucie...
• Je ne pensais jamais avoir de tes nouvelles. Que puis-je faire pour toi? m’écrit-Il.
Je ne sais pas quoi répondre. Je suis perturbée.
• Je m’ennuie chez moi et je ne savais pas à qui parler. Je ne te dérange pas plus longtemps.
• Tu ne me déranges pas. Tu veux que l’on se voit ?
Si je dis oui, je sais bien comment ça va finir. Après tout, j’ai un mari qui ne s’occupe pas de moi.
• Pourquoi pas ?
• Si on se voit, tu es consciente de ce qui se passera ?
Oui j’en ai conscience, une petite partie le désire mais une grosse partie me dit de pas le faire, que je regretterai. Pour une fois, je ne vais pas écouter ma conscience.
• Oui j’en suis consciente. Chez toi ?
• Non, impossible ma femme est la. Chez toi alors ?
S’il vient, il connaîtra tout de moi. Tant pis, je prends le risque.
• 2 rue de malbrok . Dans une heure.
• Ok a toute à l’heure.
Je suis toute excitée, je me comporte mal, mais je laisse mon désir me contrôler.
Je monte me changer, j’enfile un string noir dentelle, je mets une nuisette noir col « V » plongeant sur mon 90 D. Je me maquille légèrement les yeux, me passe du rouge à lèvre rouge pétant. Je me parfume. Me voilà prête.
40 minutes plus tard, la sonnette retentit. Je sors la tête, je le vois, toujours aussi vilain mais bon tant pis.
_ Entre ! Lui dis-je en souriant.
Il ouvre le portillon, entre dans la cour et se dirige vers la porte d’entrée.
_ Salut Lucie, tu vas bien ?
_ Ça va et toi ?
Il entre chez moi, je m’approche pour lui faire la bise. En une fraction de seconde, il m’attrape par la taille et pose ses lèvres sur les miennes. Je sens sa langue forcée l’entrée de ma bouche. Elles se frottent et s’en mêlent.
Il me relâche et me reluque.
_ Tu es canon Lucie, je n’avais pas remarquer tes seins la dernière fois.
_ Merci. Au fait c’est quoi ton prénom?
_ Moi c’est Patrick.
Il s’approche de moi, met son corps contre le mien et m’embrasse de nouveau. Ses mains se baladent de mes fesses à mon dos.
Je sens qu’il est très chaud.
Je le repousse doucement et lui propose un verre.
_ Non merci, on verrait ça après. Je ne suis pas venue pour boire.
Il revient vers moi, m’enlace de nouveau, me roule « une grosse pelle » et commence à descendre mes bretelles de mon vêtement. La nuisette se retrouve à mes pieds et dévoile mes deux seins, nues, pendant.
_ Oh putain c’est loche, ils sont trop beau tes nichons.
Il m’embrasse dans le cou, malaxe mon sein gauche puis descend avec sa langue sur mon téton droit.
Un frisson me parcours le corps. C’est tellement bon. Je lui caresse la tête pour qu’il continue. Il bouffe mes seins l’un après l’autre.
Je peux voir qu’il bande énormément à travers son pantalon chino.
Il m’attrape par la main et m’emmène sur le canapé. _Assieds toi ma petite sal... Ça te gêne si je suis vulgaire et je t’insulte ?
Je m’assieds, l’air surprise. Personne ne m’a jamais insulté auparavant. Après tout c’est la journée des premières.
_ Non tu peux y aller Patrick.
_ Je vais bouffer ta petite chatte de salope ! Écarte tes cuisses !
J’écartes bien mes jambes. Il retire mon string rapidement. Je sens ses doigts se balader sur mes lèvres, c’est tellement bon. Il se met à genoux, renifle ma chatte et commence à passer sa langue sur mes lèvres.
_Aaaaaannnn ouiiiiii!
Il lèche en insistant bien sur le clitoris. Je commence à mouiller. C’est tellement bon . Je frotte ma chatte sur son visage pour qu’il accélère.
_ Ouiiiiiii vas y Patrick, continue.
Il me glisse un doigt puis un deuxième tout en me léchant. Ma chatte est trempée. Je suis au bord de l’implosion.
Je sens sa langue frotter mon clitoris. Renaud ne m’avait jamais fait ça.
Tout d’un coup il sort sa tête, remonte jusqu’à mes seins, me bouffe les tétons et m’embrasse avec la langue.
_ Elle est bonne ta chatte Lucie. Tu aimes son goût toi aussi ?
Je ne réponds pas, mais je suis tellement excitée. Ça faisait longtemps que je n’avais pas ressentie ça.
Il se lève, déboutonne son pantalon, le baisse jusqu’à ses pieds. Il sort sa bite de son boxer . Elle est dresse là devant mon visage.
Je n’attends pas ses instructions et je la saisie dans ma main droite. Je commence à le masturber.
_ Tu aimes ça salope, hein ? Comme la dernière fois.
Il appuie sur ma tête et j’enfonce sa queue dans ma bouche, le goût est meilleur que la dernière fois. Je fais de long vas et viens.
Il a sa main sur ma tête, les yeux sur moi, il se mord la lèvre inférieur.
_ Regarde moi quand tu me suces chienne. Penses à ton mari le cocu qui travaille pendant que je te baise.
Je n’écoute pas ses dernières paroles. Je lève mon regard et le fixe dans les yeux en suçant.
_ Oui comme ça Lucie, continue salope. C’est trop bon.
Il commence a mettre de léger coup de bassin. Je sens son gland frotter contre ma langue.
Il sort de ma bouche , attrape une capote dans sa poche droite, ouvre le paquet et l’enfile sur sa bite.
_Mets toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette.
Je me lève du canapé, me retourne et présente mon cul à Patrick.
J’ai mes deux genoux sur le canapé et je m’accoude contre le rebord.
Il tient sa bite en main droite et me tient le bassin avec la gauche.
Je sens sa queue frotter mes lèvres. Il pousse tout doucement et me pénètre. Je lache un cri de plaisir. Il tient mon bassin.
Patrick me baise doucement au départ, ma chatte est trempe, je sens de la cyprine couler sur mes cuisses. Il accélère la cadence. Je cris plus fort.
Son bassin tamponne mon cul. Mes gros seins ballotent dans tous les sens. Ma bouche est ouverte. C’est tellement bon.
_ T’aimes ça petit pute hein ? T’aimes ça ? Dis le que tu aimes ça.
_ Oui oui oui oui vas y plus fort. Oui j’aime ça lui dis-je comme je peux entre deux cris de plaisir.
Il attrape mes cheveux et me tire la tête en arrière. Nos deux corps finisse par se coller, Lui me tenant par les seins, m’embrassant le cou tout en me matraquant de coup de rein.
Ma tête est posé sur son épaule gauche. Je sens ses deux mains agripper mes gros seins assez violemment.
_ Oh putain, mets toi à genoux je vais jouir.
_ Quoi déjà ?
_ Dépêche toi salope !
Je m’exécute, me mets à genoux devant lui. Il enlève sa capote et se branle.
_ Aaaaaarg ouiiiiiiiii !
Il me balance deux gros jets de couleur nacrée sur mes seins.
_Oh oui oh putain ça fait du bien. Nettoie moi ça Lucie.
Je gobe sa queue, frotte bien avec ma langue et j’aspire le jus qui reste.
Je reste sur ma faim, je n’avais pas joui mais c’était quand même bon.
Patrick me regarde et me dit:_ Tu t’es déjà faites nettoyer à la pisse ?
Je le regarde l’air surprise et un peu dégoûté _ Non et ça ne m’intéresse pas.
Il sourit et me dit en se rhabillant.
_ C’est dommage, c’est tellement excitant, mais bon peut être la prochaine fois.
Il finit de boucler sa ceinture, me caresse les cheveux comme un bon toutou et me dit:_ J’ai enregistré ton numéro et ton adresse pour la prochaine fois.
Je ne dis rien, le regarde partir.
Je m’allonge sur mon canapé, nue, le sperme sur mes seins qui commence a couler sur mon ventre et je pleure.
Ça y est je culpabilise. Renaud ne me pardonnera jamais. Patrick me dégoûte mais j’étais dans un moment de faiblesse.
En quinze minutes, je viens de détruire mon mariage un dimanche après-midi.
J’ai vécu des journées difficiles, des remises en question. Certain soir , je me remémoré la scène. Moi, à genoux, avec cette bite dans la bouche.
Je me suis souvent posé la question de savoir si je devais prévenir Renaud, mon mari.
J’ai honte de ce que j’ai fais mais je dois avouer que par moment, j’en suis tout excitée.
Renaud, ne m’a soupçonné de rien, alors que j’étais au plus mal. Je me suis même souvent demandé s’il faisait encore attention à moi.
Mon comportement était devenue assez agressif, je ne supportais plus rien à la maison. Je ne voulais plus voir nos amis même ma sœur Fanny.
Aujourd’hui, nous sommes dimanche.
Renaud travaille de jour.
J’ai rien prévue de particulier. Une journée en survêtement devant la télé en train de regarder des rediffusions de programme TV.
Ma seule obligation de la journée, c’est de faire une machine à laver et de l’étendre avant que Renaud rentre.
Il est 11h00, je monte chercher le linge au premier. En attrapant le linge, je revois les vêtements que je portais il y a deux semaines. Les vêtements de la honte. Je vais les laver. Comme à mon habitude, je fais les poches et la...surprise.
Je retrouve un petit papier dans une poche arrière. Je l’ouvre, c’est le numéro et le nom du mec que j’ai sucé dans le fourgon. Ma première idée est de le faire disparaître, je repense à tout ça, c’était horrible. Je le remets de nouveau dans ma poche de pantalon et me dit que je le jetterai de nouveau en descendant.
Je pars en direction de la buanderie au Rez de chaussée. Je fais ma machine et je pars me changer.
Je mets un jogging gris avec un débardeur blanc. Je ne mets pas de soutien-gorge. Je suis seule à la maison. J’ai simplement mis une culotte blanche.
Je me fais une queue de cheval.
Une heure plus tard
Je me prépare une petite salade et je prends une part de quiche que nous avions fait la veille. Ça ira pour ce midi.
J’allume la télévision, je mange devant. Mon téléphone sonne. C’est Renaud.
_ Oui doudou ?
_ Lucie c’est moi , ne m’attends pas ce soir, je vais boire une bière avec des collègues.
_ Encore? C’est la deuxième fois cette semaine doudou. J’avais prévue une petite soirée romantique, rien que tous les deux.
_ J’en ai pas pour longtemps, je bois une bière et je rentre.
_ Fais comme tu veux.
Je réponds sèchement, j’espère qu’il va reagir.
_ J’en ai pas pour longtemps, je ne rentrerai pas tard.
_ Ok bisou.
Je raccroche, démoralisée. Je n’arrive pas à y croire, il préfère boire une bière avec ses potes plutôt que de passer une soirée avec moi.
Je suis triste, seule sur mon canapé avec ma quiche et une émission débile.
J’en peux plus de cette situation. Renaud comprend pas que j’ai aussi des envies et des désirs de femme.
Ça fait 3 semaines que nous n’avons pas eu de relation intime.
Je me remémore la Fellation du mec du fourgon. C’était ignoble mais ça m’excite tellement. Je suis en manque de sexe.
J’ai son numéro, je pourrai peut être l’appeler ?
Non quelle horreur, je ne peux pas faire ça à Renaud.
Non, c’est hors de question.
Il est maintenant 13h30, j’ai débarrassé et nettoyé ma vaisselle.
Je suis sur mon canapé avec mon chat Fronka.
Je m’ennuie, je n’arrête pas de repenser à cette pipe. Ça m’obsède depuis que j’ai retrouvé le numéro.
VVVVV VVVVVVVVVVV
Mon téléphone vibre. Je viens de recevoir un sms de Renaud. Il me dit :
• Lucie, finalement je mange chez Jérôme, ne m’attends pas ce soir. Je t’aime
Je suis effondré, je vais de nouveau passer la journée et la soirée seule.
Sur un coup de tête, je glisse ma main dans la poche droite et sors le petit papier. J’hésite pendant une bonne dizaine de minutes mais je finis par envoyer un message.
• Salut
J’ai peur mais je suis excitée. C’est ce qui met arrivé de plus dingue depuis deux semaines.
Ça fait un quart d’heure, je n’ai pas de réponse et tout d’un coup:
VVVVV VVVVVVVVVVV
• C’est qui ?
Si jamais je lui réponds, je ne pourrai plus faire demi-tour et revenir en arrière. Tant pis.
• C’est Lucie...
• Je ne pensais jamais avoir de tes nouvelles. Que puis-je faire pour toi? m’écrit-Il.
Je ne sais pas quoi répondre. Je suis perturbée.
• Je m’ennuie chez moi et je ne savais pas à qui parler. Je ne te dérange pas plus longtemps.
• Tu ne me déranges pas. Tu veux que l’on se voit ?
Si je dis oui, je sais bien comment ça va finir. Après tout, j’ai un mari qui ne s’occupe pas de moi.
• Pourquoi pas ?
• Si on se voit, tu es consciente de ce qui se passera ?
Oui j’en ai conscience, une petite partie le désire mais une grosse partie me dit de pas le faire, que je regretterai. Pour une fois, je ne vais pas écouter ma conscience.
• Oui j’en suis consciente. Chez toi ?
• Non, impossible ma femme est la. Chez toi alors ?
S’il vient, il connaîtra tout de moi. Tant pis, je prends le risque.
• 2 rue de malbrok . Dans une heure.
• Ok a toute à l’heure.
Je suis toute excitée, je me comporte mal, mais je laisse mon désir me contrôler.
Je monte me changer, j’enfile un string noir dentelle, je mets une nuisette noir col « V » plongeant sur mon 90 D. Je me maquille légèrement les yeux, me passe du rouge à lèvre rouge pétant. Je me parfume. Me voilà prête.
40 minutes plus tard, la sonnette retentit. Je sors la tête, je le vois, toujours aussi vilain mais bon tant pis.
_ Entre ! Lui dis-je en souriant.
Il ouvre le portillon, entre dans la cour et se dirige vers la porte d’entrée.
_ Salut Lucie, tu vas bien ?
_ Ça va et toi ?
Il entre chez moi, je m’approche pour lui faire la bise. En une fraction de seconde, il m’attrape par la taille et pose ses lèvres sur les miennes. Je sens sa langue forcée l’entrée de ma bouche. Elles se frottent et s’en mêlent.
Il me relâche et me reluque.
_ Tu es canon Lucie, je n’avais pas remarquer tes seins la dernière fois.
_ Merci. Au fait c’est quoi ton prénom?
_ Moi c’est Patrick.
Il s’approche de moi, met son corps contre le mien et m’embrasse de nouveau. Ses mains se baladent de mes fesses à mon dos.
Je sens qu’il est très chaud.
Je le repousse doucement et lui propose un verre.
_ Non merci, on verrait ça après. Je ne suis pas venue pour boire.
Il revient vers moi, m’enlace de nouveau, me roule « une grosse pelle » et commence à descendre mes bretelles de mon vêtement. La nuisette se retrouve à mes pieds et dévoile mes deux seins, nues, pendant.
_ Oh putain c’est loche, ils sont trop beau tes nichons.
Il m’embrasse dans le cou, malaxe mon sein gauche puis descend avec sa langue sur mon téton droit.
Un frisson me parcours le corps. C’est tellement bon. Je lui caresse la tête pour qu’il continue. Il bouffe mes seins l’un après l’autre.
Je peux voir qu’il bande énormément à travers son pantalon chino.
Il m’attrape par la main et m’emmène sur le canapé. _Assieds toi ma petite sal... Ça te gêne si je suis vulgaire et je t’insulte ?
Je m’assieds, l’air surprise. Personne ne m’a jamais insulté auparavant. Après tout c’est la journée des premières.
_ Non tu peux y aller Patrick.
_ Je vais bouffer ta petite chatte de salope ! Écarte tes cuisses !
J’écartes bien mes jambes. Il retire mon string rapidement. Je sens ses doigts se balader sur mes lèvres, c’est tellement bon. Il se met à genoux, renifle ma chatte et commence à passer sa langue sur mes lèvres.
_Aaaaaannnn ouiiiiii!
Il lèche en insistant bien sur le clitoris. Je commence à mouiller. C’est tellement bon . Je frotte ma chatte sur son visage pour qu’il accélère.
_ Ouiiiiiii vas y Patrick, continue.
Il me glisse un doigt puis un deuxième tout en me léchant. Ma chatte est trempée. Je suis au bord de l’implosion.
Je sens sa langue frotter mon clitoris. Renaud ne m’avait jamais fait ça.
Tout d’un coup il sort sa tête, remonte jusqu’à mes seins, me bouffe les tétons et m’embrasse avec la langue.
_ Elle est bonne ta chatte Lucie. Tu aimes son goût toi aussi ?
Je ne réponds pas, mais je suis tellement excitée. Ça faisait longtemps que je n’avais pas ressentie ça.
Il se lève, déboutonne son pantalon, le baisse jusqu’à ses pieds. Il sort sa bite de son boxer . Elle est dresse là devant mon visage.
Je n’attends pas ses instructions et je la saisie dans ma main droite. Je commence à le masturber.
_ Tu aimes ça salope, hein ? Comme la dernière fois.
Il appuie sur ma tête et j’enfonce sa queue dans ma bouche, le goût est meilleur que la dernière fois. Je fais de long vas et viens.
Il a sa main sur ma tête, les yeux sur moi, il se mord la lèvre inférieur.
_ Regarde moi quand tu me suces chienne. Penses à ton mari le cocu qui travaille pendant que je te baise.
Je n’écoute pas ses dernières paroles. Je lève mon regard et le fixe dans les yeux en suçant.
_ Oui comme ça Lucie, continue salope. C’est trop bon.
Il commence a mettre de léger coup de bassin. Je sens son gland frotter contre ma langue.
Il sort de ma bouche , attrape une capote dans sa poche droite, ouvre le paquet et l’enfile sur sa bite.
_Mets toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette.
Je me lève du canapé, me retourne et présente mon cul à Patrick.
J’ai mes deux genoux sur le canapé et je m’accoude contre le rebord.
Il tient sa bite en main droite et me tient le bassin avec la gauche.
Je sens sa queue frotter mes lèvres. Il pousse tout doucement et me pénètre. Je lache un cri de plaisir. Il tient mon bassin.
Patrick me baise doucement au départ, ma chatte est trempe, je sens de la cyprine couler sur mes cuisses. Il accélère la cadence. Je cris plus fort.
Son bassin tamponne mon cul. Mes gros seins ballotent dans tous les sens. Ma bouche est ouverte. C’est tellement bon.
_ T’aimes ça petit pute hein ? T’aimes ça ? Dis le que tu aimes ça.
_ Oui oui oui oui vas y plus fort. Oui j’aime ça lui dis-je comme je peux entre deux cris de plaisir.
Il attrape mes cheveux et me tire la tête en arrière. Nos deux corps finisse par se coller, Lui me tenant par les seins, m’embrassant le cou tout en me matraquant de coup de rein.
Ma tête est posé sur son épaule gauche. Je sens ses deux mains agripper mes gros seins assez violemment.
_ Oh putain, mets toi à genoux je vais jouir.
_ Quoi déjà ?
_ Dépêche toi salope !
Je m’exécute, me mets à genoux devant lui. Il enlève sa capote et se branle.
_ Aaaaaarg ouiiiiiiiii !
Il me balance deux gros jets de couleur nacrée sur mes seins.
_Oh oui oh putain ça fait du bien. Nettoie moi ça Lucie.
Je gobe sa queue, frotte bien avec ma langue et j’aspire le jus qui reste.
Je reste sur ma faim, je n’avais pas joui mais c’était quand même bon.
Patrick me regarde et me dit:_ Tu t’es déjà faites nettoyer à la pisse ?
Je le regarde l’air surprise et un peu dégoûté _ Non et ça ne m’intéresse pas.
Il sourit et me dit en se rhabillant.
_ C’est dommage, c’est tellement excitant, mais bon peut être la prochaine fois.
Il finit de boucler sa ceinture, me caresse les cheveux comme un bon toutou et me dit:_ J’ai enregistré ton numéro et ton adresse pour la prochaine fois.
Je ne dis rien, le regarde partir.
Je m’allonge sur mon canapé, nue, le sperme sur mes seins qui commence a couler sur mon ventre et je pleure.
Ça y est je culpabilise. Renaud ne me pardonnera jamais. Patrick me dégoûte mais j’étais dans un moment de faiblesse.
En quinze minutes, je viens de détruire mon mariage un dimanche après-midi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment excellent, c'est dommage que ces histoires soient restées sans suite.