COLLECTION LUCIE :Épisode 7 : partie 2/3 dans l’antre du diable

Récit érotique écrit par Alexcoquin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LUCIE :Épisode 7 : partie 2/3 dans l’antre du diable
L’air est lourd, saturé d’une odeur de tabac froid et de poussière. J’ai l’impression que la lumière hésite à entrer ici.
Il referme la porte derrière moi d’un coup sec. Je sursaute.
Deux jeunes sont dans le salon. Survêt sombre, baskets sales, regard fixe. L’un est assis, jambes écartées, l’autre debout, massif, les bras croisés.
— Vas-y, c’est elle ? demande celui assis.
— Ouais, c’est Lucie, répond Mouss.
Le grand s’avance. Je sens immédiatement son aura agressive, son regard qui me fouille comme si j’étais un morceau de viande.
— Moi c’est Hicham. Et ici, c’est moi qui parle.
Je détourne les yeux. Mauvais réflexe. Sa main attrape mon menton, force mon visage à se relever.
— Regarde-moi quand je te cause, vieille.
Son ton claque. Mon cœur bat vite, trop vite.
L’autre sur le canapé ricane.
— Elle fait la muette. T’inquiète, ça va pas durer.
Je sens Mouss derrière moi, trop près.
— Elle obéit bien ? demande Hicham sans me lâcher du regard.
— On va voir ça, répond Mouss.
L’air devient plus lourd. Les trois sont autour de moi, leurs voix se croisent, pleines d’insultes.
— T’es rien ici. (Hicham)
— On va t’apprendre à pas jouer la princesse. (Ahmed)
— Bouge pas trop, ça m’énerve. (Mouss)
Mon estomac se tord. Je veux parler, mais ma gorge est sèche.
Hicham se penche, son visage à quelques centimètres du mien.
— Ce soir, tu fais tout ce qu’on te dit. Et tu souris, compris, vieille pute ?
Je hoche la tête. Mouss me retire mon manteau d’un geste brusque.
— Allez, avance. Fais pas genre t’es choquée, on sait très bien c’que t’es.
Je sens leurs ombres se refermer sur moi. Leurs rires me traversent comme des coups.
Je suis au milieu de cette pièce, et chaque seconde me fait comprendre un peu plus que je ne contrôle plus rien.
Hicham s’avance encore, jusqu’à ce que son torse touche presque le mien.
Son odeur est forte, mélange de parfum bon marché et de sueur.
— T’as capté ? Ici, t’es juste une chienne. Et tu vas m’écouter.
Je sens ses yeux me déshabiller. Mon instinct me hurle de reculer, mais je suis coincée entre lui et Mouss.
— Regarde-moi, vieille, baisse pas les yeux.
Je relève la tête, le cœur prêt à exploser.
Ahmed ricane derrière :
— Elle a la trouille, c’est trop. On dirait qu’elle va pisser par terre.
Mouss s’approche de mon oreille :
— T’as intérêt à bien faire, sinon je me gêne pas pour aller voir ton mari.
Mon estomac se noue.
Hicham lâche un petit rire méprisant.
— J’te jure, tu fais trop la bourgeoise… On va te redescendre vite fait.
Ahmed claque de la langue.
— Ouais, on va la casser.
Ils parlent comme si je n’étais pas là. Comme si je n’étais qu’un objet entre leurs mains.
— Vas-y, commence, ordonne Hicham. Et fais pas ta fragile.
Je ne bouge pas. Mouss pousse mon épaule, fort.
— T’entends pas ou quoi, sale pute ?
Mes jambes tremblent. Je sens leurs regards peser sur moi, me réduire à rien.
Hicham me fixe toujours, impassible.
— C’est moi qui commence. Les autres, attendez votre tour.
Ahmed ricane :
— T’inquiète, on est là, on va pas la louper.
Mouss ajoute :
— Elle va regretter de pas être rentrée chez elle, j’te le dis.
Leurs mots claquent dans l’air comme des coups de ceinture. Chaque insulte me frappe plus fort que la précédente.
Je sens ma gorge se serrer. L’odeur de tabac, leurs voix, la chaleur oppressante… tout tourne autour de moi.
Hicham sourit, mais ce n’est pas un sourire amical.
— Allez, vieille salope… montre-leur.
Hicham s’avance et me dévisage comme s’il me possédait déjà. Ses yeux glissent sur moi, lentement, et s’attardent sur ma poitrine.
— T’as vu les obus qu’elle a, sérieux ? dit-il en se tournant vers les deux autres.
Mouss éclate de rire :
— Frère, c’est du 95D ça, c’est pas du petit calibre.
Il passe ses mains sur mes seins , enlevant les bretelles de ma tunique mettant mes seins à l’air.
Je sens leurs regards peser sur moi, comme une main glaciale qui me parcourt.
Ahmed ajoute, moqueur :
— On va voir si c’est aussi lourd que ça en a l’air.
Il me lèche les tétons violemment.
Hicham s’approche encore, pose une main sur ma hanche, l’autre sur ma nuque. Il me force à lever la tête et plaque sa bouche contre la mienne. Son baiser est brutal, imposé, sans douceur. Je tente de reculer mais sa poigne se resserre.
— Bouge pas, vieille. Tu croyais qu’on allait être tendres ?
Je sens Mouss se glisser sur le côté, sa main effleurant ma taille, puis plus bas sur ma chatte. Il ricane.
— Elle est toute chaude.
Ils parlent de moi comme si je n’étais pas là.
Hicham me fait reculer jusqu’au mur. Ses mains me tiennent fermement.
— Regarde-moi dans les yeux.
Derrière, Ahmed se marre :
— Eh, fais tourner, frère, c’est pas une pièce de musée.
Hicham me lâche juste assez pour que Mouss prenne sa place. Son baiser est tout aussi forcé, son souffle mêlé au mien, ses mains explorant sans retenue. Ahmed, lui, reste derrière, sa présence collée à mon dos tripotant les gros seins.
— On va la tourner, c’est bon ça, commente Mouss en se retirant à contrecœur.
Ahmed m’attrape aussitôt, m’embrasse avec violence. J’ai l’impression d’être prise au piège entre leurs bouches, leurs mains, leurs corps.
Ils commencent à se passer autour de moi, à se placer deux à la fois. L’un devant, l’autre derrière. Par moments, je sens même les trois autour de moi, trop près, leurs voix qui se mêlent. Je sens leurs mains sur mon corps, seins, chatte, anus.
— Plus vite.
— Bouge pas, vieille salope.
— Regarde-moi pendant que lui il te tient.
— T’as vu comme elle chauffe ?
Les minutes s’enchaînent. Mon corps est manipulé, déplacé, comme un objet qu’ils se passent.
D’abord seule avec Hicham. Puis Ahmed prend le relais pendant que Mouss attend, impatient.
Ensuite, deux à la fois. Et enfin, les trois, leurs insultes et leurs ordres me noyant complètement.
— Tu croyais que c’était fini ?
— On n’a pas commencé.
— Allez, souris.
Je perds la notion du temps, prise dans leur cercle, leurs rires et leurs mains qui ne me laissent aucun répit.
Ils sont tous les trois autour de moi. Je sens leurs corps, leur chaleur, leurs mains qui se déplacent sans pause.
Hicham est devant, ses yeux plantés dans les miens. Sa voix est sèche :
— À genoux.
Je m’exécute, le cœur battant trop vite. Mouss éclate de rire.
— Regarde-moi ça, on dirait une chienne qui attend sa gamelle.
Hicham me maintient par la nuque, sort sa bite qui pose sur ma tête m’obligeant à le regarder. Ses ordres claquent.
— Ouvre bien. Bouge pas. Et t’arrêtes pas tant que j’te dis pas.
Son sexe dur pénètre ma bouche. Me voilà entrain de sucer un jeune de 19 ans.
Je sens leurs rires au-dessus de moi. Derrière, Ahmed s’agite, impatient.
— Dépêche, frère, j’suis chaud aussi.
Hicham ricane et me tire en arrière, me redressant d’un coup.
— Allez, Ahmed, à toi.
Ahmed prend ma place face à eux, sa main me tenant fermement par les cheveux.
— Ouvre, vieille salope.
Je m’exécute et suce de nouveau le compère d’Hicham
Je suis déplacée, retournée, placée comme ils veulent. Mouss se rapproche par derrière, sa voix dans mon oreille :
— Bouge pas, je m’occupe de toi en même temps.
Il pose sa bite large sur mon vagin et le pénètre violemment. Il y va franchement
Ils parlent entre eux comme si j’étais un objet qu’ils se passaient.
— Elle sert bien, hein ? (Ahmed)
— Grave, j’vais pas la lâcher. (Mouss)
— Vas-y, moi je reviens devant. (Hicham)
Je sens qu’ils m’encerclent. Deux en même temps. Leurs voix se mélangent, rythmées par leurs mouvements.
— Plus vite.
— Bouge pas, vieille.
— T’as vu comme elle chauffe maintenant ?
Puis les trois à la fois. Je ne sais même plus qui est où. Juste leurs mains, leurs ordres, leurs ricanements.
— On va te retourner, tu vas voir.
— T’es à nous ce soir, et tu dis merci.
— Vas-y, fais-la tourner encore.
Leurs gestes se font plus rapides, plus brusques. J’entends leurs respirations se faire lourdes. L’air est saturé de chaleur, de tension, de leurs voix.
Ils me déplacent comme s’ils répétaient une chorégraphie qu’ils connaissent par cœur.
Hicham me repousse vers Mouss. Mouss me pousse vers Ahmed. Je n’ai plus aucune notion de qui est devant, derrière, sur les côtés.
— Allez, vieille, t’arrêtes pas. (Hicham)
— Ouais, fais pas semblant, on sait très bien que t’aimes ça. (Ahmed)
— T’as vu, elle commence à y prendre goût. (Mouss)
Chaque phrase est un coup de marteau dans ma tête. Je suce tout le monde, je me fais prendre en même temps, je suis tout de même un peu excité. Je voudrais hurler que ce n’est pas vrai, que je ne veux pas être là. Mais ma bouche obéit à leurs ordres et cette envie, pas à mes pensées.
Je sens leur odeur, le contact de leurs mains, les mouvements qui m’imposent un rythme. Leurs souffles sont plus rapides, lourds, presque haletants.
Leurs voix se chevauchent :
— Regarde-moi quand je te parle, vieille pute.
— Tiens-la mieux, qu’elle bouge pas.
— Vas-y, j’me mets derrière, pousse-la vers moi.
Mon corps se plie, s’adapte malgré moi. Et c’est ça qui me donne envie de vomir : cette manière dont je me laisse faire, comme si j’avais déjà accepté et que j’avais envie.
Une voix — je crois que c’est Ahmed — me glisse à l’oreille pendant que je suce:
— Tu penses à ton mari, là ?
Je ferme les yeux, mais Hicham m’attrape par les cheveux.
— Non, tu les ouvres. Tu nous regardes.
Chaque seconde me fait plonger plus bas. Je me sens sale, collante de sueur, de honte. Les insultes fusent. Les rires aussi.
Mon cœur bat vite, mais pas de peur uniquement : de colère contre moi-même, de dégoût de ce que je suis en train de faire.
Ils accélèrent, changent encore de place. Deux en même temps. Puis un qui se retire, remplacé aussitôt par un autre.
Je me sens piégée dans un cercle qui se referme. Et quelque part, je sais qu’ils ne vont pas s’arrêter avant d’avoir fini exactement comme ils veulent.
Ils me font reculer jusqu’au mur. Trois silhouettes en arc de cercle autour de moi.
Hicham, Mouss et Ahmed. Tous les trois debout, trop près.
— À genoux. (Hicham)
Je reste immobile, ma respiration courte.
Mouss claque de la langue.
— Elle croit qu’elle a le choix…
Ahmed me pousse par l’épaule. Mes genoux heurtent le sol.
— Voilà. Maintenant tu vas t’occuper de nous. Tous les trois.
Je relève la tête, la langue tirée pensant qu’ils allaient jouir mes yeux passant de l’un à l’autre. Hicham s’approche, une main dans mes cheveux, l’autre sur ma joue.
— Regarde-moi. Et tu commences.
Je comprends qu’ils veulent simplement se faire sucer en même temps.
Je sens Mouss à gauche, Ahmed à droite, leurs mains se posant déjà sur ma nuque, me guidant d’un côté puis de l’autre. Ils parlent entre eux :
— Fais tourner.
— Plus vite.
— Ouvre bien, vieille.
Je change de queue comme de manteau, à droite, puis a gauche puis au milieu.
Un coup sec du plat de la main sur ma joue — la bifle claque contre ma peau. Mouss rit.
— T’as vu sa tête ?
Je détourne les yeux, serre les lèvres. Mauvais réflexe.
Hicham crache sur ma joue.
— T’essuies pas. Tu continues.
Je prends une inspiration, mais quand Mouss tente de me tirer vers lui, je résiste un instant.
— Lâche-moi.
Ahmed explose de rire.
— Elle se rebelle maintenant ?
Hicham tire plus fort sur mes cheveux, me ramenant brutalement ce qui m’excite légèrement.
— Tais-toi. T’es là pour ça.
Leur rythme s’impose. De l’un à l’autre, sans pause. Les mains sur ma tête me déplacent comme un objet.
Les claques — bifle encore — viennent ponctuer les changements, comme un métronome humiliant.
— Tiens-la mieux.
— Ouvre plus.
— Regarde-moi.
Leurs respirations s’accélèrent, leurs voix se font plus graves.
Ahmed commente, hilare :
— Regardez-la, elle est cuite.
Je sens mes joues brûler, la honte me coller à la peau. Chaque geste est sec, chaque mot est une gifle.
Et malgré moi, je comprends qu’ils ne vont pas me lâcher tant qu’ils n’auront pas eu exactement ce qu’ils veulent.
Hicham me pousse sans prévenir vers le canapé. Je trébuche et tombe sur le ventre, le souffle coupé.
— Bouge pas. Sa voix claque.
Je sens ses mains m’attraper, me plaquer contre le dossier. Son poids derrière moi est lourd, oppressant. Son sexe est contre mon anus, j’ai peur mais comprend que je vais me faire enculer.
— Tu vas retenir celle-là.
Le premier mouvement est sec, brutal. Je m’étouffe dans un cri que je ravale aussitôt.
La douleur me traverse, vive, et mes doigts s’accrochent au tissu râpeux du canapé.
— Ouais, ferme-la et encaisse.
Chaque coup est plus violent que le précédent. Mon corps recule, mais ses mains m’agrippent aux hanches et me ramènent.
— Reste là. J’ai pas fini.
Derrière, j’entends Mouss parler à Ahmed, comme si je n’existais pas.
— Eh, t’as vu, y a plus de shit.
— Ouais, j’sais. On fait comment ?
— J’crois que j’ai une idée…
Je serre les dents, un gémissement m’échappe malgré moi.
Hicham rit froidement.
— T’aime ça, vieille pute, avoue.
Ahmed répond à Mouss, sans même regarder la scène :
— On pourrait la faire bosser un peu, elle.
— Ouais, elle sert déjà pour nous, elle peut servir pour le reste.
Leurs mots me glacent autant que la douleur qui pulse dans mon ventre et mes reins à chaque poussée de Hicham.
— Tiens-la bien, qu’elle bouge pas, dit-il à personne en particulier, avant d’écraser encore plus fort mon corps contre le canapé.
Les rires de Mouss et Ahmed se mêlent à ses grognements.
Moi, je ne pense qu’à une chose : que ça s’arrête.
Il s’arrête et Je suis à genoux, coincée entre Hicham et Mouss. Mes genoux me brûlent, ma nuque est lourde sous leurs mains.
La porte s’ouvre.
Des pas lourds résonnent dans le couloir.
Nordine entre.
Un bloc. La quarantaine bien tassée. Peau mate, cheveux noirs courts piquetés de gris, barbe taillée au millimètre. Un regard noir, perçant, qui scrute sans gêne.
Il porte un survêt noir Adidas, des baskets usées, et une grosse chaîne argent autour du cou.
Il n’a pas la carrure gonflée des trois autres, mais une masse compacte, solide, de celles qui imposent naturellement.
Son regard glisse rapidement sur Hicham, Mouss, Ahmed… et s’arrête sur moi.
Un sourire lent, lourd, qui n’annonce rien de bon.
— C’est quoi cette meuf ? Sa voix est grave, avec un accent d’Algérie bien marqué.
Mouss répond en se marrant :
— C’est le paiement, frère.
Nordine fronce les sourcils, puis ricane.
— Vous vous foutez de ma gueule ? Vous payez en vieille salope mariée maintenant ?
Hicham s’avance et le salue d’une tape dans la main.
— T’inquiète, elle vaut largement la came.
Nordine me fixe, comme si j’étais un bout de viande sur un étal. Il avance, s’accroupit devant moi. Son odeur me frappe : tabac froid, parfum bas de gamme, et quelque chose de métallique, presque agressif.
— C’est qui cette pute ?
Ahmed répond, moqueur :
— Lucie. Trente-quatre ans. Mariée. Une vraie cochonne qui fait la bourgeoise.
Nordine ricane, pose sa main calleuse sur mon menton recouvert de bave et relève ma tête. Sa poigne est ferme, ses doigts râpent ma peau.
— Regarde-moi, salope.
Je croise ses yeux. Froids, calculateurs.
— Elle sait pourquoi elle est là ?
Mouss s’avance un peu, ricane :
— Elle sait, frère. Et elle va fermer sa gueule.
À suivre…
Il referme la porte derrière moi d’un coup sec. Je sursaute.
Deux jeunes sont dans le salon. Survêt sombre, baskets sales, regard fixe. L’un est assis, jambes écartées, l’autre debout, massif, les bras croisés.
— Vas-y, c’est elle ? demande celui assis.
— Ouais, c’est Lucie, répond Mouss.
Le grand s’avance. Je sens immédiatement son aura agressive, son regard qui me fouille comme si j’étais un morceau de viande.
— Moi c’est Hicham. Et ici, c’est moi qui parle.
Je détourne les yeux. Mauvais réflexe. Sa main attrape mon menton, force mon visage à se relever.
— Regarde-moi quand je te cause, vieille.
Son ton claque. Mon cœur bat vite, trop vite.
L’autre sur le canapé ricane.
— Elle fait la muette. T’inquiète, ça va pas durer.
Je sens Mouss derrière moi, trop près.
— Elle obéit bien ? demande Hicham sans me lâcher du regard.
— On va voir ça, répond Mouss.
L’air devient plus lourd. Les trois sont autour de moi, leurs voix se croisent, pleines d’insultes.
— T’es rien ici. (Hicham)
— On va t’apprendre à pas jouer la princesse. (Ahmed)
— Bouge pas trop, ça m’énerve. (Mouss)
Mon estomac se tord. Je veux parler, mais ma gorge est sèche.
Hicham se penche, son visage à quelques centimètres du mien.
— Ce soir, tu fais tout ce qu’on te dit. Et tu souris, compris, vieille pute ?
Je hoche la tête. Mouss me retire mon manteau d’un geste brusque.
— Allez, avance. Fais pas genre t’es choquée, on sait très bien c’que t’es.
Je sens leurs ombres se refermer sur moi. Leurs rires me traversent comme des coups.
Je suis au milieu de cette pièce, et chaque seconde me fait comprendre un peu plus que je ne contrôle plus rien.
Hicham s’avance encore, jusqu’à ce que son torse touche presque le mien.
Son odeur est forte, mélange de parfum bon marché et de sueur.
— T’as capté ? Ici, t’es juste une chienne. Et tu vas m’écouter.
Je sens ses yeux me déshabiller. Mon instinct me hurle de reculer, mais je suis coincée entre lui et Mouss.
— Regarde-moi, vieille, baisse pas les yeux.
Je relève la tête, le cœur prêt à exploser.
Ahmed ricane derrière :
— Elle a la trouille, c’est trop. On dirait qu’elle va pisser par terre.
Mouss s’approche de mon oreille :
— T’as intérêt à bien faire, sinon je me gêne pas pour aller voir ton mari.
Mon estomac se noue.
Hicham lâche un petit rire méprisant.
— J’te jure, tu fais trop la bourgeoise… On va te redescendre vite fait.
Ahmed claque de la langue.
— Ouais, on va la casser.
Ils parlent comme si je n’étais pas là. Comme si je n’étais qu’un objet entre leurs mains.
— Vas-y, commence, ordonne Hicham. Et fais pas ta fragile.
Je ne bouge pas. Mouss pousse mon épaule, fort.
— T’entends pas ou quoi, sale pute ?
Mes jambes tremblent. Je sens leurs regards peser sur moi, me réduire à rien.
Hicham me fixe toujours, impassible.
— C’est moi qui commence. Les autres, attendez votre tour.
Ahmed ricane :
— T’inquiète, on est là, on va pas la louper.
Mouss ajoute :
— Elle va regretter de pas être rentrée chez elle, j’te le dis.
Leurs mots claquent dans l’air comme des coups de ceinture. Chaque insulte me frappe plus fort que la précédente.
Je sens ma gorge se serrer. L’odeur de tabac, leurs voix, la chaleur oppressante… tout tourne autour de moi.
Hicham sourit, mais ce n’est pas un sourire amical.
— Allez, vieille salope… montre-leur.
Hicham s’avance et me dévisage comme s’il me possédait déjà. Ses yeux glissent sur moi, lentement, et s’attardent sur ma poitrine.
— T’as vu les obus qu’elle a, sérieux ? dit-il en se tournant vers les deux autres.
Mouss éclate de rire :
— Frère, c’est du 95D ça, c’est pas du petit calibre.
Il passe ses mains sur mes seins , enlevant les bretelles de ma tunique mettant mes seins à l’air.
Je sens leurs regards peser sur moi, comme une main glaciale qui me parcourt.
Ahmed ajoute, moqueur :
— On va voir si c’est aussi lourd que ça en a l’air.
Il me lèche les tétons violemment.
Hicham s’approche encore, pose une main sur ma hanche, l’autre sur ma nuque. Il me force à lever la tête et plaque sa bouche contre la mienne. Son baiser est brutal, imposé, sans douceur. Je tente de reculer mais sa poigne se resserre.
— Bouge pas, vieille. Tu croyais qu’on allait être tendres ?
Je sens Mouss se glisser sur le côté, sa main effleurant ma taille, puis plus bas sur ma chatte. Il ricane.
— Elle est toute chaude.
Ils parlent de moi comme si je n’étais pas là.
Hicham me fait reculer jusqu’au mur. Ses mains me tiennent fermement.
— Regarde-moi dans les yeux.
Derrière, Ahmed se marre :
— Eh, fais tourner, frère, c’est pas une pièce de musée.
Hicham me lâche juste assez pour que Mouss prenne sa place. Son baiser est tout aussi forcé, son souffle mêlé au mien, ses mains explorant sans retenue. Ahmed, lui, reste derrière, sa présence collée à mon dos tripotant les gros seins.
— On va la tourner, c’est bon ça, commente Mouss en se retirant à contrecœur.
Ahmed m’attrape aussitôt, m’embrasse avec violence. J’ai l’impression d’être prise au piège entre leurs bouches, leurs mains, leurs corps.
Ils commencent à se passer autour de moi, à se placer deux à la fois. L’un devant, l’autre derrière. Par moments, je sens même les trois autour de moi, trop près, leurs voix qui se mêlent. Je sens leurs mains sur mon corps, seins, chatte, anus.
— Plus vite.
— Bouge pas, vieille salope.
— Regarde-moi pendant que lui il te tient.
— T’as vu comme elle chauffe ?
Les minutes s’enchaînent. Mon corps est manipulé, déplacé, comme un objet qu’ils se passent.
D’abord seule avec Hicham. Puis Ahmed prend le relais pendant que Mouss attend, impatient.
Ensuite, deux à la fois. Et enfin, les trois, leurs insultes et leurs ordres me noyant complètement.
— Tu croyais que c’était fini ?
— On n’a pas commencé.
— Allez, souris.
Je perds la notion du temps, prise dans leur cercle, leurs rires et leurs mains qui ne me laissent aucun répit.
Ils sont tous les trois autour de moi. Je sens leurs corps, leur chaleur, leurs mains qui se déplacent sans pause.
Hicham est devant, ses yeux plantés dans les miens. Sa voix est sèche :
— À genoux.
Je m’exécute, le cœur battant trop vite. Mouss éclate de rire.
— Regarde-moi ça, on dirait une chienne qui attend sa gamelle.
Hicham me maintient par la nuque, sort sa bite qui pose sur ma tête m’obligeant à le regarder. Ses ordres claquent.
— Ouvre bien. Bouge pas. Et t’arrêtes pas tant que j’te dis pas.
Son sexe dur pénètre ma bouche. Me voilà entrain de sucer un jeune de 19 ans.
Je sens leurs rires au-dessus de moi. Derrière, Ahmed s’agite, impatient.
— Dépêche, frère, j’suis chaud aussi.
Hicham ricane et me tire en arrière, me redressant d’un coup.
— Allez, Ahmed, à toi.
Ahmed prend ma place face à eux, sa main me tenant fermement par les cheveux.
— Ouvre, vieille salope.
Je m’exécute et suce de nouveau le compère d’Hicham
Je suis déplacée, retournée, placée comme ils veulent. Mouss se rapproche par derrière, sa voix dans mon oreille :
— Bouge pas, je m’occupe de toi en même temps.
Il pose sa bite large sur mon vagin et le pénètre violemment. Il y va franchement
Ils parlent entre eux comme si j’étais un objet qu’ils se passaient.
— Elle sert bien, hein ? (Ahmed)
— Grave, j’vais pas la lâcher. (Mouss)
— Vas-y, moi je reviens devant. (Hicham)
Je sens qu’ils m’encerclent. Deux en même temps. Leurs voix se mélangent, rythmées par leurs mouvements.
— Plus vite.
— Bouge pas, vieille.
— T’as vu comme elle chauffe maintenant ?
Puis les trois à la fois. Je ne sais même plus qui est où. Juste leurs mains, leurs ordres, leurs ricanements.
— On va te retourner, tu vas voir.
— T’es à nous ce soir, et tu dis merci.
— Vas-y, fais-la tourner encore.
Leurs gestes se font plus rapides, plus brusques. J’entends leurs respirations se faire lourdes. L’air est saturé de chaleur, de tension, de leurs voix.
Ils me déplacent comme s’ils répétaient une chorégraphie qu’ils connaissent par cœur.
Hicham me repousse vers Mouss. Mouss me pousse vers Ahmed. Je n’ai plus aucune notion de qui est devant, derrière, sur les côtés.
— Allez, vieille, t’arrêtes pas. (Hicham)
— Ouais, fais pas semblant, on sait très bien que t’aimes ça. (Ahmed)
— T’as vu, elle commence à y prendre goût. (Mouss)
Chaque phrase est un coup de marteau dans ma tête. Je suce tout le monde, je me fais prendre en même temps, je suis tout de même un peu excité. Je voudrais hurler que ce n’est pas vrai, que je ne veux pas être là. Mais ma bouche obéit à leurs ordres et cette envie, pas à mes pensées.
Je sens leur odeur, le contact de leurs mains, les mouvements qui m’imposent un rythme. Leurs souffles sont plus rapides, lourds, presque haletants.
Leurs voix se chevauchent :
— Regarde-moi quand je te parle, vieille pute.
— Tiens-la mieux, qu’elle bouge pas.
— Vas-y, j’me mets derrière, pousse-la vers moi.
Mon corps se plie, s’adapte malgré moi. Et c’est ça qui me donne envie de vomir : cette manière dont je me laisse faire, comme si j’avais déjà accepté et que j’avais envie.
Une voix — je crois que c’est Ahmed — me glisse à l’oreille pendant que je suce:
— Tu penses à ton mari, là ?
Je ferme les yeux, mais Hicham m’attrape par les cheveux.
— Non, tu les ouvres. Tu nous regardes.
Chaque seconde me fait plonger plus bas. Je me sens sale, collante de sueur, de honte. Les insultes fusent. Les rires aussi.
Mon cœur bat vite, mais pas de peur uniquement : de colère contre moi-même, de dégoût de ce que je suis en train de faire.
Ils accélèrent, changent encore de place. Deux en même temps. Puis un qui se retire, remplacé aussitôt par un autre.
Je me sens piégée dans un cercle qui se referme. Et quelque part, je sais qu’ils ne vont pas s’arrêter avant d’avoir fini exactement comme ils veulent.
Ils me font reculer jusqu’au mur. Trois silhouettes en arc de cercle autour de moi.
Hicham, Mouss et Ahmed. Tous les trois debout, trop près.
— À genoux. (Hicham)
Je reste immobile, ma respiration courte.
Mouss claque de la langue.
— Elle croit qu’elle a le choix…
Ahmed me pousse par l’épaule. Mes genoux heurtent le sol.
— Voilà. Maintenant tu vas t’occuper de nous. Tous les trois.
Je relève la tête, la langue tirée pensant qu’ils allaient jouir mes yeux passant de l’un à l’autre. Hicham s’approche, une main dans mes cheveux, l’autre sur ma joue.
— Regarde-moi. Et tu commences.
Je comprends qu’ils veulent simplement se faire sucer en même temps.
Je sens Mouss à gauche, Ahmed à droite, leurs mains se posant déjà sur ma nuque, me guidant d’un côté puis de l’autre. Ils parlent entre eux :
— Fais tourner.
— Plus vite.
— Ouvre bien, vieille.
Je change de queue comme de manteau, à droite, puis a gauche puis au milieu.
Un coup sec du plat de la main sur ma joue — la bifle claque contre ma peau. Mouss rit.
— T’as vu sa tête ?
Je détourne les yeux, serre les lèvres. Mauvais réflexe.
Hicham crache sur ma joue.
— T’essuies pas. Tu continues.
Je prends une inspiration, mais quand Mouss tente de me tirer vers lui, je résiste un instant.
— Lâche-moi.
Ahmed explose de rire.
— Elle se rebelle maintenant ?
Hicham tire plus fort sur mes cheveux, me ramenant brutalement ce qui m’excite légèrement.
— Tais-toi. T’es là pour ça.
Leur rythme s’impose. De l’un à l’autre, sans pause. Les mains sur ma tête me déplacent comme un objet.
Les claques — bifle encore — viennent ponctuer les changements, comme un métronome humiliant.
— Tiens-la mieux.
— Ouvre plus.
— Regarde-moi.
Leurs respirations s’accélèrent, leurs voix se font plus graves.
Ahmed commente, hilare :
— Regardez-la, elle est cuite.
Je sens mes joues brûler, la honte me coller à la peau. Chaque geste est sec, chaque mot est une gifle.
Et malgré moi, je comprends qu’ils ne vont pas me lâcher tant qu’ils n’auront pas eu exactement ce qu’ils veulent.
Hicham me pousse sans prévenir vers le canapé. Je trébuche et tombe sur le ventre, le souffle coupé.
— Bouge pas. Sa voix claque.
Je sens ses mains m’attraper, me plaquer contre le dossier. Son poids derrière moi est lourd, oppressant. Son sexe est contre mon anus, j’ai peur mais comprend que je vais me faire enculer.
— Tu vas retenir celle-là.
Le premier mouvement est sec, brutal. Je m’étouffe dans un cri que je ravale aussitôt.
La douleur me traverse, vive, et mes doigts s’accrochent au tissu râpeux du canapé.
— Ouais, ferme-la et encaisse.
Chaque coup est plus violent que le précédent. Mon corps recule, mais ses mains m’agrippent aux hanches et me ramènent.
— Reste là. J’ai pas fini.
Derrière, j’entends Mouss parler à Ahmed, comme si je n’existais pas.
— Eh, t’as vu, y a plus de shit.
— Ouais, j’sais. On fait comment ?
— J’crois que j’ai une idée…
Je serre les dents, un gémissement m’échappe malgré moi.
Hicham rit froidement.
— T’aime ça, vieille pute, avoue.
Ahmed répond à Mouss, sans même regarder la scène :
— On pourrait la faire bosser un peu, elle.
— Ouais, elle sert déjà pour nous, elle peut servir pour le reste.
Leurs mots me glacent autant que la douleur qui pulse dans mon ventre et mes reins à chaque poussée de Hicham.
— Tiens-la bien, qu’elle bouge pas, dit-il à personne en particulier, avant d’écraser encore plus fort mon corps contre le canapé.
Les rires de Mouss et Ahmed se mêlent à ses grognements.
Moi, je ne pense qu’à une chose : que ça s’arrête.
Il s’arrête et Je suis à genoux, coincée entre Hicham et Mouss. Mes genoux me brûlent, ma nuque est lourde sous leurs mains.
La porte s’ouvre.
Des pas lourds résonnent dans le couloir.
Nordine entre.
Un bloc. La quarantaine bien tassée. Peau mate, cheveux noirs courts piquetés de gris, barbe taillée au millimètre. Un regard noir, perçant, qui scrute sans gêne.
Il porte un survêt noir Adidas, des baskets usées, et une grosse chaîne argent autour du cou.
Il n’a pas la carrure gonflée des trois autres, mais une masse compacte, solide, de celles qui imposent naturellement.
Son regard glisse rapidement sur Hicham, Mouss, Ahmed… et s’arrête sur moi.
Un sourire lent, lourd, qui n’annonce rien de bon.
— C’est quoi cette meuf ? Sa voix est grave, avec un accent d’Algérie bien marqué.
Mouss répond en se marrant :
— C’est le paiement, frère.
Nordine fronce les sourcils, puis ricane.
— Vous vous foutez de ma gueule ? Vous payez en vieille salope mariée maintenant ?
Hicham s’avance et le salue d’une tape dans la main.
— T’inquiète, elle vaut largement la came.
Nordine me fixe, comme si j’étais un bout de viande sur un étal. Il avance, s’accroupit devant moi. Son odeur me frappe : tabac froid, parfum bas de gamme, et quelque chose de métallique, presque agressif.
— C’est qui cette pute ?
Ahmed répond, moqueur :
— Lucie. Trente-quatre ans. Mariée. Une vraie cochonne qui fait la bourgeoise.
Nordine ricane, pose sa main calleuse sur mon menton recouvert de bave et relève ma tête. Sa poigne est ferme, ses doigts râpent ma peau.
— Regarde-moi, salope.
Je croise ses yeux. Froids, calculateurs.
— Elle sait pourquoi elle est là ?
Mouss s’avance un peu, ricane :
— Elle sait, frère. Et elle va fermer sa gueule.
À suivre…
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