Collocation
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Collocation
Je trouvais enfin une collocation après des semaines de recherche. La ville est presque celle des étudiants. Un soir, dans un café je rencontre celle qui fait mon bonheur. Une fille gentille, aimable, avec des goûts simples communs. Elle cherche une collocatrice en ayant déjà l’appartement. L’affaire est vite conclue après la visite des lieux. J’ai droit à une chambre ensoleillée, à la cuisine, la salle de bain et l’entrée. Par contre, c’est la propriétaire, une femme de 85 ans, parait-il qui l’interdit : pas de garçon dans les lieux pour éviter que les filles en profitent trop. Elle retarde un peu sur ce point, c’était possible avant, mais plus maintenant. Mais comme elle loge en face, pas moyen de déroger à sa règle.
Maria, comme moi aménageons vite. Nous trouvons nos marques. La vie commence ainsi. Nous avons quand même nos habitudes. Moi j’aime l’amour. Je sors des fois pour rencontrer l’être qui me donne du plaisir. Maria semble se contenter ce qu’elle a, sauf aussi des fois elle aussi voit je ne sais où son petit amoureux. Je crois qu’ils se font l’amour.
J’ai une manie, je ne suis pas la seule, de me caresser pendant que je prends un bain ou une douche. J’aime sentir mes doigts pianoter sur les notes sensibles de mon corps. Maria m’a bien surprise plus d’une fois pendant que je me masturbais. Elle doit bien en faire autant. Je vais la surveiller.
Un samedi soir, je sors de la douche, avec pour seule protection une serviette autour de moi. Je passe chez Maria en coup de vent, je me souviens d’un détail, je vais lui en parler. J’entre chez elle, elle se couvre rapidement. J’ai pu voir sa main qui trainait vers sa chatte. Ainsi elle aussi sacrifie au plaisir solitaire. Intéressant à savoir. J’aime bien les filles, je crois qu’elle aime comme beaucoup d’autre avoir une bite dans le ventre. Je ne veux pas l’en priver, je voudrais simplement partager avec elle des moments coquins. Je commence à bavarder de rien puis de l’amour, du plaisir, des façons de jouir. Je tâche d’être le plus impudique possible. Je lui suis en laissant presque tomber ma serviette, au début elle peut voir mes seins. Elle ne s’en cache pas. En écartant les jambes, la serviette montre presque ma chatte.
Comme si je ne m’en apercevais pas ma main est sur ma chatoune que je frôle de plus en pus près. J’arrive à la destination finale quand je commence me caresser. Ses yeux ne me quittent pas un seul instant. Si elle n’a pas compris je veux bien me faire bonne sœur. Si elle me regarde, je la surveille, je surveille les mouvements de ses membres : elle étale les jambes, les écarte. Elle passe la main sous le drap. Son regard se trouble. Elle regarde mon sexe. Maria se touche le sien.
Je pars en oubliant ma serviette, donc entièrement nue. Je montre mes fesses : en partant je ne m’intéresse plus à elle. Pourtant je regarde sa main qui bouge sur elle, sous le drap. Je la laisse seule pour revenir deux secondes après, elle a en enlevé le drap pour se mieux branler. La vache elle est sacrément excitante, ainsi, bien étalée, les jambes ouvertes sa main qui chatouille entre les cuisses avec ardeur. Elle prend son plaisir avec appétit. Même si je me suis envoyée en l’air il y a peu, elle me donne encore envie, mais envie d’elle cette fois. Ma boite à idée tourne à mille à l’heure : tant pis si je me trompe. Je colle ma bouche sur la sienne, juste au moment où elle jouit. Elle ne rejette pas la langue, au contraire. Ses yeux ne doivent pas voir qui l‘embrasse, perdue qu’elle est dans son orgasme.
En posant une main sur son genou, je ne crains pas grand-chose. Elle accepte que je monte vers son trésor, car il a un trésor. Sa chatte est belle, arrogante de finesse. J’arrive à m’assoir près d’elle, ma bouche toujours sur la sienne. Je monte vers sa chatte, je l’atteins, j’atteins mon bonheur et le sien. Elle est trempée, à couler entre ses jambes vers ses fesses. Je peux la sécher en partie en passant mes mains d’abord et ma lange ensuite. J’ai un bras autour de son cou. Elle semble s’y réfugier. Je peux ainsi commencer à caresser un sein déjà dur. Si sa poitrine durcie, la mienne est dure depuis longtemps. En plus l’excitation me fait mouiller. J’ai envie d’elle comme je n’ai jamais eu envie d’une fille.
Elle se laisse faire quand je caresse son ventre, son pubis. Pourtant elle sait où je vais, elle pourrait refuser ces caresses féminines. Je continue ma bataille de destruction de ses objections possibles. Je glisse juste le majeur dans sa fente. Je trouve des lèvres enflées, entourant avec amour un petit rocher tout doux. Je le dégage de ses protections. Il est exposé à mes caresses. Je le cajole longuement en appuyant plus fort plus longuement.
Enfin elle se tend, elle ouvre ses jambes en grand. Je peux pratiquement faire ce que je veux. Dans l’immédiat je ne veux que son plaisir, ensuite je voudrais qu’elle le rende ce que je fais. Elle me laisse la branler, elle me laisse la doigter. Tant qu’à y être avec mes mains, je pousse les caresses vers son petit trou. Il est aimable ne me permettant de le caresser à ma façon. Je pose le doigt contre l’anus, je l’enlève pour revenir, je pousse un peu, je lâche tout, je reviens cette fois avec plus de force. Elle ouvre son cul d’elle-même. Je caresse le début du cul sans trop y entrer. Je verrais plus tard.
Quand elle jouit, je la laisse aller mais jusqu’à un certain point : je passe ma tête là où elle ne s’y attend pas : entre ses jambes. Je sens son odeur de fille bien portante, de fille neuve pour moi. Ma langue insiste pour aller sur son tinimité. Je vais sur le clitoris. Je le martyrise en le léchant sans cesse. Elle gémit de bonheur, de plaisir. J’entre dans le vagin, lieu de ses plaisirs. Je vais au fond, j’en ressors avant de plonger vers l’anus. Ha ! Le cul d’ube fille, le sublime du sublime, ce que je préfère. Ma langue se transforme en aiguille pour aller explorer cet aven. J’en adore l’odeur un peu forte, le gout incomparable et la douceur de cet endroit : il me semble que je pourrais jouir rien qu’en léchant ce jolie cul plissé.
Je me donne à elle en présentant ma chatte à sa bouche. J’ai le bonheur d’être léchée plus que normalement, elle fait ça avec plaisir. Elle fait que plusieurs mois plus tard nous ne dormons plus que dans un seul lit pour nous baiser souvent.
Maria, comme moi aménageons vite. Nous trouvons nos marques. La vie commence ainsi. Nous avons quand même nos habitudes. Moi j’aime l’amour. Je sors des fois pour rencontrer l’être qui me donne du plaisir. Maria semble se contenter ce qu’elle a, sauf aussi des fois elle aussi voit je ne sais où son petit amoureux. Je crois qu’ils se font l’amour.
J’ai une manie, je ne suis pas la seule, de me caresser pendant que je prends un bain ou une douche. J’aime sentir mes doigts pianoter sur les notes sensibles de mon corps. Maria m’a bien surprise plus d’une fois pendant que je me masturbais. Elle doit bien en faire autant. Je vais la surveiller.
Un samedi soir, je sors de la douche, avec pour seule protection une serviette autour de moi. Je passe chez Maria en coup de vent, je me souviens d’un détail, je vais lui en parler. J’entre chez elle, elle se couvre rapidement. J’ai pu voir sa main qui trainait vers sa chatte. Ainsi elle aussi sacrifie au plaisir solitaire. Intéressant à savoir. J’aime bien les filles, je crois qu’elle aime comme beaucoup d’autre avoir une bite dans le ventre. Je ne veux pas l’en priver, je voudrais simplement partager avec elle des moments coquins. Je commence à bavarder de rien puis de l’amour, du plaisir, des façons de jouir. Je tâche d’être le plus impudique possible. Je lui suis en laissant presque tomber ma serviette, au début elle peut voir mes seins. Elle ne s’en cache pas. En écartant les jambes, la serviette montre presque ma chatte.
Comme si je ne m’en apercevais pas ma main est sur ma chatoune que je frôle de plus en pus près. J’arrive à la destination finale quand je commence me caresser. Ses yeux ne me quittent pas un seul instant. Si elle n’a pas compris je veux bien me faire bonne sœur. Si elle me regarde, je la surveille, je surveille les mouvements de ses membres : elle étale les jambes, les écarte. Elle passe la main sous le drap. Son regard se trouble. Elle regarde mon sexe. Maria se touche le sien.
Je pars en oubliant ma serviette, donc entièrement nue. Je montre mes fesses : en partant je ne m’intéresse plus à elle. Pourtant je regarde sa main qui bouge sur elle, sous le drap. Je la laisse seule pour revenir deux secondes après, elle a en enlevé le drap pour se mieux branler. La vache elle est sacrément excitante, ainsi, bien étalée, les jambes ouvertes sa main qui chatouille entre les cuisses avec ardeur. Elle prend son plaisir avec appétit. Même si je me suis envoyée en l’air il y a peu, elle me donne encore envie, mais envie d’elle cette fois. Ma boite à idée tourne à mille à l’heure : tant pis si je me trompe. Je colle ma bouche sur la sienne, juste au moment où elle jouit. Elle ne rejette pas la langue, au contraire. Ses yeux ne doivent pas voir qui l‘embrasse, perdue qu’elle est dans son orgasme.
En posant une main sur son genou, je ne crains pas grand-chose. Elle accepte que je monte vers son trésor, car il a un trésor. Sa chatte est belle, arrogante de finesse. J’arrive à m’assoir près d’elle, ma bouche toujours sur la sienne. Je monte vers sa chatte, je l’atteins, j’atteins mon bonheur et le sien. Elle est trempée, à couler entre ses jambes vers ses fesses. Je peux la sécher en partie en passant mes mains d’abord et ma lange ensuite. J’ai un bras autour de son cou. Elle semble s’y réfugier. Je peux ainsi commencer à caresser un sein déjà dur. Si sa poitrine durcie, la mienne est dure depuis longtemps. En plus l’excitation me fait mouiller. J’ai envie d’elle comme je n’ai jamais eu envie d’une fille.
Elle se laisse faire quand je caresse son ventre, son pubis. Pourtant elle sait où je vais, elle pourrait refuser ces caresses féminines. Je continue ma bataille de destruction de ses objections possibles. Je glisse juste le majeur dans sa fente. Je trouve des lèvres enflées, entourant avec amour un petit rocher tout doux. Je le dégage de ses protections. Il est exposé à mes caresses. Je le cajole longuement en appuyant plus fort plus longuement.
Enfin elle se tend, elle ouvre ses jambes en grand. Je peux pratiquement faire ce que je veux. Dans l’immédiat je ne veux que son plaisir, ensuite je voudrais qu’elle le rende ce que je fais. Elle me laisse la branler, elle me laisse la doigter. Tant qu’à y être avec mes mains, je pousse les caresses vers son petit trou. Il est aimable ne me permettant de le caresser à ma façon. Je pose le doigt contre l’anus, je l’enlève pour revenir, je pousse un peu, je lâche tout, je reviens cette fois avec plus de force. Elle ouvre son cul d’elle-même. Je caresse le début du cul sans trop y entrer. Je verrais plus tard.
Quand elle jouit, je la laisse aller mais jusqu’à un certain point : je passe ma tête là où elle ne s’y attend pas : entre ses jambes. Je sens son odeur de fille bien portante, de fille neuve pour moi. Ma langue insiste pour aller sur son tinimité. Je vais sur le clitoris. Je le martyrise en le léchant sans cesse. Elle gémit de bonheur, de plaisir. J’entre dans le vagin, lieu de ses plaisirs. Je vais au fond, j’en ressors avant de plonger vers l’anus. Ha ! Le cul d’ube fille, le sublime du sublime, ce que je préfère. Ma langue se transforme en aiguille pour aller explorer cet aven. J’en adore l’odeur un peu forte, le gout incomparable et la douceur de cet endroit : il me semble que je pourrais jouir rien qu’en léchant ce jolie cul plissé.
Je me donne à elle en présentant ma chatte à sa bouche. J’ai le bonheur d’être léchée plus que normalement, elle fait ça avec plaisir. Elle fait que plusieurs mois plus tard nous ne dormons plus que dans un seul lit pour nous baiser souvent.
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