Comblé de désir par mon ancien professeur ...
Récit érotique écrit par PiRBi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Comblé de désir par mon ancien professeur ...
Je me présente, je suis Pierre, tout juste 19 ans. Une belle gueule, à en croire mes quelques conquêtes féminines ... Depuis ma jeunesse, j'ai toujours été fasciné par les sexes d'homme. Plus je grandissais et voyais le mien se développer, plus mon désir devenait important. Je passais donc une grande partie de mon temps libre sur des sites pornographiques pour satisfaire mon envie de bites. Malgré cette obsession, j'ai vite eu une petite amie et plusieurs expériences avec les filles jusqu'à mes 18 ans. Cette situation me convenait parfaitement, je baisais des filles avec plaisir et je me branlais sur des vidéos gays avec encore plus de plaisir.
Naturellement, mon envie de franchir le pas s'est rapidement concrétisée et ce, depuis ma majorité. Je parcourais donc les sites de rencontre et d'annonces, en espérant trouver un homme qui saurait m"initier aux plaisirs de la bite mais malheureusement, ma peur de l'inconnu rattrapait toujours mon désir et je n'osais pas me lancer, laissant plusieurs hommes sans réponses et sans amant. Comme mon envie ne se calmait pas, j'espérais secrètement que le hasard m'attire dans une situation où je n'avais plus d'occasion de marche arrière.
Et comme on le dit, le hasard fait bien les choses. L'année suivant ma classe de terminale, je retourne à mon ancien lycée pour la cérémonie de remise du Bac et tombe nez à nez avec mon ancien professeur de philosophie. Laissez-moi vous le décrire ...
Une quarantaine d'années, un visage assez sévère et sérieux, des cheveux très sombres qui se terminent par une barbe assez volumineuse et surtout toujours très bien entretenue. Des yeux tout aussi noirs et profonds que l'on quitte uniquement pour regarder ce qu'il y a en bas : une chemise toujours très proche du corps qui laisse imaginer une musculature appuyée et un jean qui dissimule tant bien que mal une bosse alléchante et un cul énormément bombé, le genre qui rend les hommes secrètement jaloux. Il n'avait pas changé, il en imposait toujours autant.
Je ne vous cache pas que déjà pendant mon année de terminale, je ne me gênais pas pour l'observer comme il faut, le plus souvent les yeux plutôt vers le bas ... C'est aussi vrai qu'il y avait toujours eu des rumeurs selon lesquelles il avait, au cours d'un voyage scolaire, été surpris aux bras d'un autre homme par un élève qui faisait le mur ... Mais bon, dans ma tête ce n'était que des rumeurs, enfin ce que je croyais avant cette histoire.
"Bonjour Pierre, vous êtes élégant pour la remise du Bac, ça ne m'étonne pas de vous." Sa remarque me laisse instantanément perplexe, il faut croire que le cadre hors-scolaire efface son sérieux auparavant constant. J'essaye de rester concentré pour ne pas paraître stupide et les seuls mots que je parviens à répondre plus ou moins spontanément sont "merci, vous êtes pas mal non plus". Je réalise assez vite ce que je viens de dire à la façon subtile qu'il a de me regarder de haut en bas en levant un sourcil, sûrement de surprise. Ce qui en revanche,est beaucoup moins subtil, c'est ce teint rouge pivoine qui apparaît sur mon visage. Mes yeux se baissent à cause de la honte et fixent, inconsciemment, son entre-jambe. Je sens que la situation m'échappe quand, sûr de lui, il me répond :"Vous savez, nous ne sommes plus en relation professeur à élève, alors ne soyez pas gêné d'exprimer ce que vous ressentez." Tout de suite, sa remarque réveille tous les désirs et les fantasmes que je gardais au fond de moi. N'étant dicté plus que par mon désir, je fais ce que jamais je n'aurais osé, je vérifie que personne ne nous observe et me rapproche de lui en passant ma main sur son entre-jambe. Il marque un pas de recul mais ne se dégonfle pas et se saisit de ma main pour appuyer plus fortement sur ses parties intimes.
Enfin ! Quelle sensation merveilleuse de sentir un sexe d'homme autre que le sien qui se gonfle sous sa main, je rêvais de cette situation depuis si longtemps et quelque chose me disait que ça n'allait pas s'arrêter là.
Il fait demi-tour rapidement et m'ordonne : "suis moi." d'un ton sec. Il ne m'en faut pas plus pour le suivre au pas, comme un petit chien, oubliant tout ce qui m'entoure alors. Nous traversons les couloirs que je ne reconnais plus dans mon état, croisons des personnes qui me semblent familière sans que je ne les remarque, et entrons dans une salle de classe totalement vide. Je le vois s'assurer que personne ne peut nous remarquer et fermer la porte à double tour. C'est à ce moment que je prend conscience de la situation et réalise que je n'ai plus aucun moyen de faire marche arrière. Lui, ne perds pas de temps, il vient me plaquer contre le mur et se coller contre moi. J'ai la sensation exquise de sentir son torse musclé contre le mien, son souffle qui devient chaud dans mon cou et surtout sa queue qui se durçit contre ma jambe. J'entends sa respiration s’accélérer et sa voix plus grave que je ne l'avais jamais entendue : "Si j'avais su plus tôt que tu étais une chaudasse à ce point ...". Je suis subjugué par son ton si contrasté de celui qu'il avait pendant les cours et me laisse aller au désir qui m'emporte.
Mes mains parcourent intuitivement ses épaules robustes et son torse, elles viennent se perdre dans l'ouverture de sa chemise pour rencontrer des pectoraux aussi musclés que je m'imaginais. Ses larges mains se font également très baladeuses, elles viennent directement à la rencontre de mon cul qu'il vient pétrir fermement. Ce contact si prometteur me fait émettre un petit gémissement aigu, mélange de plaisir et de surprise que mon ancien professeur vient étouffer avec sa main gauche. Il me chuchote de me taire et de me laisser faire sans aucun bruit pour ne pas être remarqué.
Sur ce, sa main quitte ma bouche pour venir se poser sur mon crâne et tout en me caressant les cheveux, il commence à forcer sur ma tête. Je comprends vite ce qu'il veut et ça tombe bien car le désir se faisait beaucoup trop présent. Je me mets à genoux, toujours contre le mur, afin d'avoir le visage au niveau de sa braguette. Il semble lire dans mes pensées quand il vient coller mon visage contre son jean. Je sens son sexe bien dur contre ma joue, c'est tellement bon et chaud, mais j'en veux plus. Je prends les devants en m'attaquant à sa ceinture que je défais en toute vitesse. Dans mon boxer, ma propre queue est déjà trop à l'étroit mais je n'y porte même pas attention, omnibulé par ce gourdin qui s'offre à moi. Je retire son jean et découvre un caleçon noir qui ne fait que sublimer l'énorme bosse qui me jaillit au visage. Sans hésiter, je me colle à ce paquet qui révèle une odeur plus qu’enivrante qui déchaîne en moi une très forte envie de sexe. Je malaxe à travers le tissu sa queue dure comme du bois, qui se repose sur des couilles impressionnantes. Il prend l’initiative lui même de baisser lui même ce dernier rempart qui bloque mon objet du désir. Tout en continuant à me caresser les cheveux, il frotte son sexe contre mon visage. Le pied total. J'oublie déjà sa mise en garde et gémis en reniflant ce cadeau qu'il me fait. La sensation de ce gros manche sur ma main est inoubliable, je soupèse cet engin et le contemple de tout son long, il doit bien faire une vingtaine de centimètres de long et j'arrive à peine à en faire le tour avec ma main. Je ne sais vous dire pendant combien de temps j'ai gardé sa bite en main, à la branler de haut en bas, à la serrer, à la caresser ...
Lui semble prendre son pied autant que moi, je l'entends gémir de plaisir avant de se défaire du contact de ma main contre sa queue pour diriger la suite des opérations. Je reste à genoux, encore fébrile d'avoir eu en main pour la première fois un aussi gros sexe et l'observe faire demi-tour, j'ai alors une vue magnifique sur son cul bombé qui s'avère aussi généreux que promis, puis s’asseoir sur la chaise la plus proche. Il me fait alors face et commence à se caresser en me regardant insistement. Il n'a même pas à parler que, sans réfléchir, je m'élance au contact de sa queue.
Je suis à quatre pattes quand j'arrive au niveau de ses belles couilles. Pour mon plus grand plaisir, je n'ai qu'à ouvrir la bouche pour sentir ce gros paquet contre ma langue. L'odeur et le goût me montent vite à la tête et je ne m'arrête pas de lécher ses couilles, de les gober. Je suis déchaîné, à cet instant je ne vis que pour lui et sa queue. Il se saisit de mon visage et me fait mettre à genoux tout en se penchant vers moi pour m'embrasser. Je me laisse envahir par sa langue qui tournoie dans ma bouche tandis que ses mains caressent mon visage et mon dos. Avec un léger appui sur ma nuque, je comprends ce qu'il veut et redescend au niveau de sa verge fièrement dressée. Je ne peux pas m'empêcher de la gober entièrement. Du moins j'essaye car la largeur et la longueur fait que je m'étouffe instantanément en crachant un surplus de salive sur sa queue. Ma main serre la base de sa verge et j'entame alors une fellation dans les règles de l'art, comme les nombreuses que j'ai vu dans les films de cul. J'avale cette queue comme je peux tout en profitant de ce goût si enivrant quand je passe ma langue sur ses couilles et sur son gland.
À genoux devant mon ancien professeur, je lève les yeux pour l'admirer un peu. Son regard torride et sa façon de se mordre légèrement la lèvre quand je le suce me rend dingue alors je fais encore plus d'efforts pour le ravir. Sa queue est toute mouillée de mes multiples tentatives de gorge profonde, et elle coulisse à la perfection quand je le branle avec plus de vigueur. Cette accélération de rythme semble l'exciter à fond, si bien qu'il se saisit de mon visage et commence à imprimer lui-même un rythme soutenu. Il me baise littéralement la bouche, sortant de temps en temps sa lourde queue pour me gifler avec. De mon côté, je suis aux anges, j'ouvre la bouche le maximum pour le laisser se défouler sur ma petite gueule qui ne demande que ça. Il descend alors de la chaise et, la bite toujours dans ma bouche, me couche au sol, sur le dos, ses deux genoux de chaque côté, comme s'il s'asseyait sur moi. Je profite de cette situation pour me défaire à la fois de mon pantalon et de mon boxer et de libérer mon sexe qui n'en pouvait plus. La position était merveilleuse, lui assis sur moi, enfonçant et retirant sa queue de ma bouche, moi au sol, les mains alternant son cul bombé que j'adore malaxer et ma bite qui n'enpouvait plus. Après plusieurs minutes de ce traitement de rêve, je lui fais comprendre que je n'en peux plus et que je vais jouir. De sa voix grave et saccadée par l'effort, il ordonne : "Laisse moi faire.".
Agilement, il vient s'emparer pour la première fois de ma queue. Avec le contact de sa main si forte et si chaude sur mon sexe, il ne lui faut que deux aller retours pour me faire éjaculer une quantitée massive de jus. Celui-ci vient se répendre sur sa main et sur le bas de mon ventre. Je ne peux m'empêcher de laisser échapper un râle de bonheur tandis qu'il m'achève avec deux ou trois allers retours dignes d'un professionnel. Je suis encore au sol, dans un état second mais mon bel étalon n'a pas terminé. Il me porte à la bouche sa main recouverte de sperme et sans hésiter, je lui suce avec envie les doigts. Pendant ce temps, il se masturbe énergiquement au dessus de mon visage. Je le sens accélérer, j'ouvre ma bouche, prêt à recevoir tout ce qu'il voudra bien m'offrir. Soudain, je le sens grogner et avant même d'avoir pu tirer la langue, je reçois trois gros jets de foutre chauds qui viennent me repeindre le visage. Cette sensation est indescriptible, je récolte tout cenectar avec mes doigts pour le goûter. Il profite de ce moment pour me rouler une pelle magistrale, avec nos deux spermes mélangés. C'est lui le premier qui quitte ma bouche. Il m'embrasse du bout des lèvres une dernière fois et gobe par surprise ma bite qui n'avait pas encore tout à fait débandée. C'est dans cet état de béhatitude que je reste au sol, je le regarde se rhabiller, sortir un bout de papier de sa poche, écrire quelque chose qu'il laisse sur le coin d'une table. Je parviens enfin à me relever et avant de partir, il m'embrasse une dernière fois et me claque le cul sèchement.
Il part en me laissant un mystérieux "je suis persuadé que tu as encore pleins de surprises pour moi." et un sourire ravageur. Moi je suis nu, désormais seul dans cette salle. Je réalise petit à petit que je viens de concrétiser mon rêve de bite avec mon ancien professeur de philosophie et surtout que j'ai adoré. Avant de partir, je n'oublie pas son petit papier sur lequel est inscrit son numéro de téléphone.
Je suis convaincu que mon désir pour les sexes d'homme ne va pas se calmer de si tôt ...
À suivre ...
Cette histoire a autant de vérité que de fantasmes, je me mets en scène pour la première fois alors j'espère que cette histoire vous aura plu autant que j'aurais pris plaisir à la vivre ... En partie ...
N'hésitez pas non plus à m'envoyer un mail pour avoir des retours, j'en serais ravi !
Naturellement, mon envie de franchir le pas s'est rapidement concrétisée et ce, depuis ma majorité. Je parcourais donc les sites de rencontre et d'annonces, en espérant trouver un homme qui saurait m"initier aux plaisirs de la bite mais malheureusement, ma peur de l'inconnu rattrapait toujours mon désir et je n'osais pas me lancer, laissant plusieurs hommes sans réponses et sans amant. Comme mon envie ne se calmait pas, j'espérais secrètement que le hasard m'attire dans une situation où je n'avais plus d'occasion de marche arrière.
Et comme on le dit, le hasard fait bien les choses. L'année suivant ma classe de terminale, je retourne à mon ancien lycée pour la cérémonie de remise du Bac et tombe nez à nez avec mon ancien professeur de philosophie. Laissez-moi vous le décrire ...
Une quarantaine d'années, un visage assez sévère et sérieux, des cheveux très sombres qui se terminent par une barbe assez volumineuse et surtout toujours très bien entretenue. Des yeux tout aussi noirs et profonds que l'on quitte uniquement pour regarder ce qu'il y a en bas : une chemise toujours très proche du corps qui laisse imaginer une musculature appuyée et un jean qui dissimule tant bien que mal une bosse alléchante et un cul énormément bombé, le genre qui rend les hommes secrètement jaloux. Il n'avait pas changé, il en imposait toujours autant.
Je ne vous cache pas que déjà pendant mon année de terminale, je ne me gênais pas pour l'observer comme il faut, le plus souvent les yeux plutôt vers le bas ... C'est aussi vrai qu'il y avait toujours eu des rumeurs selon lesquelles il avait, au cours d'un voyage scolaire, été surpris aux bras d'un autre homme par un élève qui faisait le mur ... Mais bon, dans ma tête ce n'était que des rumeurs, enfin ce que je croyais avant cette histoire.
"Bonjour Pierre, vous êtes élégant pour la remise du Bac, ça ne m'étonne pas de vous." Sa remarque me laisse instantanément perplexe, il faut croire que le cadre hors-scolaire efface son sérieux auparavant constant. J'essaye de rester concentré pour ne pas paraître stupide et les seuls mots que je parviens à répondre plus ou moins spontanément sont "merci, vous êtes pas mal non plus". Je réalise assez vite ce que je viens de dire à la façon subtile qu'il a de me regarder de haut en bas en levant un sourcil, sûrement de surprise. Ce qui en revanche,est beaucoup moins subtil, c'est ce teint rouge pivoine qui apparaît sur mon visage. Mes yeux se baissent à cause de la honte et fixent, inconsciemment, son entre-jambe. Je sens que la situation m'échappe quand, sûr de lui, il me répond :"Vous savez, nous ne sommes plus en relation professeur à élève, alors ne soyez pas gêné d'exprimer ce que vous ressentez." Tout de suite, sa remarque réveille tous les désirs et les fantasmes que je gardais au fond de moi. N'étant dicté plus que par mon désir, je fais ce que jamais je n'aurais osé, je vérifie que personne ne nous observe et me rapproche de lui en passant ma main sur son entre-jambe. Il marque un pas de recul mais ne se dégonfle pas et se saisit de ma main pour appuyer plus fortement sur ses parties intimes.
Enfin ! Quelle sensation merveilleuse de sentir un sexe d'homme autre que le sien qui se gonfle sous sa main, je rêvais de cette situation depuis si longtemps et quelque chose me disait que ça n'allait pas s'arrêter là.
Il fait demi-tour rapidement et m'ordonne : "suis moi." d'un ton sec. Il ne m'en faut pas plus pour le suivre au pas, comme un petit chien, oubliant tout ce qui m'entoure alors. Nous traversons les couloirs que je ne reconnais plus dans mon état, croisons des personnes qui me semblent familière sans que je ne les remarque, et entrons dans une salle de classe totalement vide. Je le vois s'assurer que personne ne peut nous remarquer et fermer la porte à double tour. C'est à ce moment que je prend conscience de la situation et réalise que je n'ai plus aucun moyen de faire marche arrière. Lui, ne perds pas de temps, il vient me plaquer contre le mur et se coller contre moi. J'ai la sensation exquise de sentir son torse musclé contre le mien, son souffle qui devient chaud dans mon cou et surtout sa queue qui se durçit contre ma jambe. J'entends sa respiration s’accélérer et sa voix plus grave que je ne l'avais jamais entendue : "Si j'avais su plus tôt que tu étais une chaudasse à ce point ...". Je suis subjugué par son ton si contrasté de celui qu'il avait pendant les cours et me laisse aller au désir qui m'emporte.
Mes mains parcourent intuitivement ses épaules robustes et son torse, elles viennent se perdre dans l'ouverture de sa chemise pour rencontrer des pectoraux aussi musclés que je m'imaginais. Ses larges mains se font également très baladeuses, elles viennent directement à la rencontre de mon cul qu'il vient pétrir fermement. Ce contact si prometteur me fait émettre un petit gémissement aigu, mélange de plaisir et de surprise que mon ancien professeur vient étouffer avec sa main gauche. Il me chuchote de me taire et de me laisser faire sans aucun bruit pour ne pas être remarqué.
Sur ce, sa main quitte ma bouche pour venir se poser sur mon crâne et tout en me caressant les cheveux, il commence à forcer sur ma tête. Je comprends vite ce qu'il veut et ça tombe bien car le désir se faisait beaucoup trop présent. Je me mets à genoux, toujours contre le mur, afin d'avoir le visage au niveau de sa braguette. Il semble lire dans mes pensées quand il vient coller mon visage contre son jean. Je sens son sexe bien dur contre ma joue, c'est tellement bon et chaud, mais j'en veux plus. Je prends les devants en m'attaquant à sa ceinture que je défais en toute vitesse. Dans mon boxer, ma propre queue est déjà trop à l'étroit mais je n'y porte même pas attention, omnibulé par ce gourdin qui s'offre à moi. Je retire son jean et découvre un caleçon noir qui ne fait que sublimer l'énorme bosse qui me jaillit au visage. Sans hésiter, je me colle à ce paquet qui révèle une odeur plus qu’enivrante qui déchaîne en moi une très forte envie de sexe. Je malaxe à travers le tissu sa queue dure comme du bois, qui se repose sur des couilles impressionnantes. Il prend l’initiative lui même de baisser lui même ce dernier rempart qui bloque mon objet du désir. Tout en continuant à me caresser les cheveux, il frotte son sexe contre mon visage. Le pied total. J'oublie déjà sa mise en garde et gémis en reniflant ce cadeau qu'il me fait. La sensation de ce gros manche sur ma main est inoubliable, je soupèse cet engin et le contemple de tout son long, il doit bien faire une vingtaine de centimètres de long et j'arrive à peine à en faire le tour avec ma main. Je ne sais vous dire pendant combien de temps j'ai gardé sa bite en main, à la branler de haut en bas, à la serrer, à la caresser ...
Lui semble prendre son pied autant que moi, je l'entends gémir de plaisir avant de se défaire du contact de ma main contre sa queue pour diriger la suite des opérations. Je reste à genoux, encore fébrile d'avoir eu en main pour la première fois un aussi gros sexe et l'observe faire demi-tour, j'ai alors une vue magnifique sur son cul bombé qui s'avère aussi généreux que promis, puis s’asseoir sur la chaise la plus proche. Il me fait alors face et commence à se caresser en me regardant insistement. Il n'a même pas à parler que, sans réfléchir, je m'élance au contact de sa queue.
Je suis à quatre pattes quand j'arrive au niveau de ses belles couilles. Pour mon plus grand plaisir, je n'ai qu'à ouvrir la bouche pour sentir ce gros paquet contre ma langue. L'odeur et le goût me montent vite à la tête et je ne m'arrête pas de lécher ses couilles, de les gober. Je suis déchaîné, à cet instant je ne vis que pour lui et sa queue. Il se saisit de mon visage et me fait mettre à genoux tout en se penchant vers moi pour m'embrasser. Je me laisse envahir par sa langue qui tournoie dans ma bouche tandis que ses mains caressent mon visage et mon dos. Avec un léger appui sur ma nuque, je comprends ce qu'il veut et redescend au niveau de sa verge fièrement dressée. Je ne peux pas m'empêcher de la gober entièrement. Du moins j'essaye car la largeur et la longueur fait que je m'étouffe instantanément en crachant un surplus de salive sur sa queue. Ma main serre la base de sa verge et j'entame alors une fellation dans les règles de l'art, comme les nombreuses que j'ai vu dans les films de cul. J'avale cette queue comme je peux tout en profitant de ce goût si enivrant quand je passe ma langue sur ses couilles et sur son gland.
À genoux devant mon ancien professeur, je lève les yeux pour l'admirer un peu. Son regard torride et sa façon de se mordre légèrement la lèvre quand je le suce me rend dingue alors je fais encore plus d'efforts pour le ravir. Sa queue est toute mouillée de mes multiples tentatives de gorge profonde, et elle coulisse à la perfection quand je le branle avec plus de vigueur. Cette accélération de rythme semble l'exciter à fond, si bien qu'il se saisit de mon visage et commence à imprimer lui-même un rythme soutenu. Il me baise littéralement la bouche, sortant de temps en temps sa lourde queue pour me gifler avec. De mon côté, je suis aux anges, j'ouvre la bouche le maximum pour le laisser se défouler sur ma petite gueule qui ne demande que ça. Il descend alors de la chaise et, la bite toujours dans ma bouche, me couche au sol, sur le dos, ses deux genoux de chaque côté, comme s'il s'asseyait sur moi. Je profite de cette situation pour me défaire à la fois de mon pantalon et de mon boxer et de libérer mon sexe qui n'en pouvait plus. La position était merveilleuse, lui assis sur moi, enfonçant et retirant sa queue de ma bouche, moi au sol, les mains alternant son cul bombé que j'adore malaxer et ma bite qui n'enpouvait plus. Après plusieurs minutes de ce traitement de rêve, je lui fais comprendre que je n'en peux plus et que je vais jouir. De sa voix grave et saccadée par l'effort, il ordonne : "Laisse moi faire.".
Agilement, il vient s'emparer pour la première fois de ma queue. Avec le contact de sa main si forte et si chaude sur mon sexe, il ne lui faut que deux aller retours pour me faire éjaculer une quantitée massive de jus. Celui-ci vient se répendre sur sa main et sur le bas de mon ventre. Je ne peux m'empêcher de laisser échapper un râle de bonheur tandis qu'il m'achève avec deux ou trois allers retours dignes d'un professionnel. Je suis encore au sol, dans un état second mais mon bel étalon n'a pas terminé. Il me porte à la bouche sa main recouverte de sperme et sans hésiter, je lui suce avec envie les doigts. Pendant ce temps, il se masturbe énergiquement au dessus de mon visage. Je le sens accélérer, j'ouvre ma bouche, prêt à recevoir tout ce qu'il voudra bien m'offrir. Soudain, je le sens grogner et avant même d'avoir pu tirer la langue, je reçois trois gros jets de foutre chauds qui viennent me repeindre le visage. Cette sensation est indescriptible, je récolte tout cenectar avec mes doigts pour le goûter. Il profite de ce moment pour me rouler une pelle magistrale, avec nos deux spermes mélangés. C'est lui le premier qui quitte ma bouche. Il m'embrasse du bout des lèvres une dernière fois et gobe par surprise ma bite qui n'avait pas encore tout à fait débandée. C'est dans cet état de béhatitude que je reste au sol, je le regarde se rhabiller, sortir un bout de papier de sa poche, écrire quelque chose qu'il laisse sur le coin d'une table. Je parviens enfin à me relever et avant de partir, il m'embrasse une dernière fois et me claque le cul sèchement.
Il part en me laissant un mystérieux "je suis persuadé que tu as encore pleins de surprises pour moi." et un sourire ravageur. Moi je suis nu, désormais seul dans cette salle. Je réalise petit à petit que je viens de concrétiser mon rêve de bite avec mon ancien professeur de philosophie et surtout que j'ai adoré. Avant de partir, je n'oublie pas son petit papier sur lequel est inscrit son numéro de téléphone.
Je suis convaincu que mon désir pour les sexes d'homme ne va pas se calmer de si tôt ...
À suivre ...
Cette histoire a autant de vérité que de fantasmes, je me mets en scène pour la première fois alors j'espère que cette histoire vous aura plu autant que j'aurais pris plaisir à la vivre ... En partie ...
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