Comme une chatte au soleil
Récit érotique écrit par Nathalie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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Comme une chatte au soleil
A la fin de l’été dernier, mon maître m’emmena passer l’après-midi à la piscine. Il m’avait acheté pour l’occasion un bikini assez élégant, et en même temps plutôt sexy. Lui portait son maillot sous ses vêtements pour y aller, tandis que moi, comme toujours en été, j’étais nue sous la robe légère qu’il m’avait choisie. Je portais pour l’occasion un autre collier, moins reconnaissable, mais qui tenait lieu de signe d’obéissance lorsque je sortais sans pouvoir porter un foulard sur l’autre. Je me dis parfois que l’on doit s’imaginer que j’ai une horrible cicatrice sur le cou, mais certainement pas ce que je porte en réalité !
Bref. Nous profitâmes de la saison pour y aller à pieds. Paris est une belle ville pour se promener en été, presque déserte parfois, pour peu que l’on soit loin des quartiers touristiques. C’était le cas, nous allions dans un grand centre de loisirs aquatiques, proche des portes de Paris. A un moment, puisque nous étions effectivement seuls dans la rue, mon maître m’arrêta d’un mot. Je le regardai, prête à obéir.
— Ouvre ta robe.
Je défis aussi vite que possibles les boutons, pourtant assez nombreux. Une fois les deux pans écartés, je restai là, à attendre la suite. Je ne regardai que mon maître, partagée entre la crainte de voir quelqu’un d’autre arriver, et l’envie de répondre à ses désirs.
— Retourne-toi, et attrape tes chevilles.
J’obéis. Je sentis le tissu de la robe glisser contre mes flancs, puis sur mon dos. Elle pendait tout autour de ma tête, jusque par terre. Je sentis la chaleur du soleil sur mes reins, et cela me fit frissonner d’excitation. Presque aussitôt, je sentis mon maître enfoncer quelque chose entre mes cuisses, sans préambule. Je reconnus la forme, la texture, c’était un de ces œufs vibrants avec lesquels il aimait tant m’exciter. Il adorait savoir que j’avais en moi, où que nous soyons, un jouet qu’il pouvait faire vibrer dans mon ventre sans que personne d’autre ne le sache. Cela avait parfois mené à des regards étonnés ou interrogateurs dans des restaurants ou autres magasins. Et quelques regards complices, aussi.
Je sentis l’œuf entrer en moi et se loger dans mon vagin. Sans doute par habitude, je sentis mon corps s’échauffer un peu plus.
— Relève-toi. On repart. Tu t’arrêtes tous les cinq pas, pour fermer un bouton à chaque fois, celui que tu veux. Et ne piétine pas.
Nous reprîmes donc notre promenade, moi de moins en moins nue, mais excitée par ce qui roulait entre mes cuisses. Mon maître me regardait m’arrêter, sourire aux lèvres. Il profita d’une halte pour saisir un de mes tétons et le pincer fort, très fort, jusqu’à m faire crier. Déjà avant d’être avec lui, cette douleur-là, localisée, m’excitait beaucoup. Ce que j’avais envie de lui.
Nous arrivâmes à la piscine. Le vigile jeta un coup d’œil dans le sac de mon maître, et nous laissa entrer. Nous nous dirigeâmes vers les vestiaires – un pour les hommes, un pour les femmes, bien sûr.
— Va mettre ta robe à la consigne chez les femmes, et vient me chercher pour avoir ton maillot. Et ne te déshabille pas dans une cabine.
Je sentis ma gorge se serrer. J’allais donc sortir du vestiaire femmes et entrer dans celui des hommes nue, avec juste ce collier.
— Oui, maître.
Je fis comme il avait dit, et revins vite le chercher. Personne en vue, mais beaucoup de cabines fermées. Bien sûr, impossible de savoir dans laquelle lui s’était installé. J’avais donc le choix entre l’attendre et l’appeler. Je choisis cette dernière, sans me rendre compte tout de suite de ce que cela impliquait.
— Maître ? Maître ?
Une cabine s’ouvrit, et un homme passa la tête, l’air étonné. C’est à ce moment-là que je me rendis compte à quel point je venais de me griller toute seule ! Heureusement, la voix de mon maître m’appela, et une autre porte s’ouvrit avant celle de l’homme qui me regardait.
— Ici. Tu aurais pu penser à prendre ton maillot, au lieu de te balader à poil, enfin…
— Oui, pardon, maître, répondis-je moins fort.
Il me tendit le bikini, puis referma la porte. J’étais donc dehors, et je m’habillai sous le regard toujours étonné et méfiant de l’autre homme. Quand mon maître eut fini de se déshabiller, il sortit de la cabine, mit ses affaires à la consigne, et prit dans une main nos serviettes. De l’autre, il claqua des doigts.
— Allez, viens.
Je le suivis, les yeux baissés, jusqu’au bassin. En chemin, je sentis mon œuf se mettre à vibrer. Je regardai ses mains… et compris qu’il devait tenir la télécommande entre les serviettes.
A côté se trouve une sorte de solarium, un endroit où sont disposées des chaises longues. Mon maître en choisit deux, et y étendit nos serviettes.
— Allonge-toi sur le dos, une jambe de chaque côté. Ferme les yeux.
Je m’étendis, avec un couinement quand le mouvement me fit serrer un peu plus l’œuf entre mes cuisses. Une fois allongée, la vibration cessa. Mon maître sortit un livre, et l’ouvrit. Pour ma part, j’avoue que j’appréciais ce moment pour bronzer, et restai immobile pour savourer la caresse du soleil.
Les vibrations vinrent et repartirent, plusieurs fois, et j’avais le souffle très court. Nous n’étions pas seuls en arrivant, j’avais entendu du passage autour de nous, je ne savais pas où étaient les personnes les plus proches. Je faisais donc de mon mieux pour ne pas gémir, et même éviter de soupirer ou grogner. C’était très difficile.
Au bout d’un moment, mon maître m’ordonna de me retourner. Je m’allongeai donc sur le ventre, les pieds toujours écartés de la largeur de la chaise longue. Très bientôt, je sentis sa main se poser sur mes reins. Je sursautai. Il se pencha pour me murmurer à l’oreille.
— Ouvre ton petit cul, ma putain. J’ai quelque chose à y glisser.
Je sentis mon cœur rater un battement. Aussitôt, les vibrations reprirent. La main de mon maître descendit sous le maillot, et je sentis un objet froid se glisser entre mes fesses, jusqu’à mon anus, qu’il pénétra sans ménagement. Je retins de justesse un cri de surprise. L’objet était dur, et les vibrations de l’œuf en parurent accentuées. À moins simplement qu’elles se communiquent à l’objet dans mon cul, et redoublent d’effet. Mon cul reconnut l’objet, par habitude là-aussi. Un de ces bijoux qui restent en place, un poids de métal qui tressaute à chaque mouvement.
Là encore, mon maître joua à activer ou éteindre l’œuf plusieurs fois, plus ou moins longtemps. Je sentais mon sexe s’ouvrir et mouiller.
— Retourne-toi, m’ordonna-t-il à un moment où les vibrations me coupaient presque la respiration.
L’opération ne fut pas aisée, j’avais les cuisses dures, mais j’y parvins. Il passa une main légère contre ma poitrine, envoyant des décharges dans mes tétons durcis.
— Il est très bien, ce maillot, dit mon maître. Il ne cache rien du tout de tes tétons. On dirait même qu’ils vont le déchirer, tellement ils sont durs.
Je me sentis rougir, mais cela ne calma pas mon excitation. J’étais partie, je n’attendais que de jouir. L’œuf ne suffirait pas, il m’exciterait encore et encore mais ne suffirait pas à me faire basculer. Et mon maître le savait.
— Ecoute, Nathalie, on ne peut pas partir d’ici avant que tu te sois fait jouir. Ou à la fermeture. Je vais régler les vibrations en aléatoire, et laisser l’œuf allumé jusqu’à ce que tu te décide à te branler. Quand tu en auras envie, prends le temps que tu veux.
Oh ! S’il m’avait demandé de lui faire quelque chose, n’importe quoi, je l’aurais fait sans hésiter, sans réfléchir. Je voulais jouir, mon corps était tendu de plaisir retenu. Mais ça ? Là, dans un endroit public, sans savoir s’il y avait quelqu’un à côté de moi ?
Je demandai à mon maître l’autorisation d’ouvrir les yeux. Il me la donna. Je tournai la tête. Quelques personnes, pas très près, mais quand même. J’en vis une ou deux avec des écouteurs. Cela me rassura un peu.
D’après la grande horloge accrochée à un mur de la piscine, il me fallut un peu plus d’une demi-heure pour me résoudre à me faire jouir. Le bas de mon maillot était trempé, et j’avais mal aux seins à force qu’ils frottent contre mon haut. Je glissai la main dans ma culotte et commençai à me caresser le clitoris.
— Si tu enlèves le haut, je t’aiderai en te pinçant les seins.
Il ne fallait pas me le dire deux fois ! Je n’hésitai même pas avant d’ouvrir le haut de mon maillot. Et puis, à Paris, je ne serais pas la première à bronzer seins nus !
Je me rallongeai et remis mon doigt contre mon clitoris. Mon maître passa la main sur ma poitrine, et commença à me pincer un téton, à le faire rouler entre ses doigts, à le tordre et à tirer dessus. Je serrai les dents.
Je jouis en quelques minutes, très fort. Cela faisait pas loin de deux heures que mon corps réclamait cela, je ne pus m’empêcher de me cabrer sur la chaise longue lorsque l’orgasme vint. J’espère ne pas avoir crié. Je ne sais pas.
Mon maître coupa les vibrations pour me laisser reprendre mon souffle, puis m’ordonna de me lever. Il ralluma l’œuf, garda mon haut de maillot à la main, et nous repartîmes vers les vestiaires. Les regards qu’attirèrent mes seins encore tendus pendant la traversée de la piscine me remirent des nœuds dans le bas-ventre.
Mon maître nous fit rentrer à pied, sans me retirer l’œuf ou le rosebud. Après cette heure de marche, il me fit le sucer sur notre balcon, et me laissa là, la laisse attachée à la rambarde, jusqu’à ce que son sperme ait séché sur mon visage. Puis il m’emmena au restaurant.
Bref. Nous profitâmes de la saison pour y aller à pieds. Paris est une belle ville pour se promener en été, presque déserte parfois, pour peu que l’on soit loin des quartiers touristiques. C’était le cas, nous allions dans un grand centre de loisirs aquatiques, proche des portes de Paris. A un moment, puisque nous étions effectivement seuls dans la rue, mon maître m’arrêta d’un mot. Je le regardai, prête à obéir.
— Ouvre ta robe.
Je défis aussi vite que possibles les boutons, pourtant assez nombreux. Une fois les deux pans écartés, je restai là, à attendre la suite. Je ne regardai que mon maître, partagée entre la crainte de voir quelqu’un d’autre arriver, et l’envie de répondre à ses désirs.
— Retourne-toi, et attrape tes chevilles.
J’obéis. Je sentis le tissu de la robe glisser contre mes flancs, puis sur mon dos. Elle pendait tout autour de ma tête, jusque par terre. Je sentis la chaleur du soleil sur mes reins, et cela me fit frissonner d’excitation. Presque aussitôt, je sentis mon maître enfoncer quelque chose entre mes cuisses, sans préambule. Je reconnus la forme, la texture, c’était un de ces œufs vibrants avec lesquels il aimait tant m’exciter. Il adorait savoir que j’avais en moi, où que nous soyons, un jouet qu’il pouvait faire vibrer dans mon ventre sans que personne d’autre ne le sache. Cela avait parfois mené à des regards étonnés ou interrogateurs dans des restaurants ou autres magasins. Et quelques regards complices, aussi.
Je sentis l’œuf entrer en moi et se loger dans mon vagin. Sans doute par habitude, je sentis mon corps s’échauffer un peu plus.
— Relève-toi. On repart. Tu t’arrêtes tous les cinq pas, pour fermer un bouton à chaque fois, celui que tu veux. Et ne piétine pas.
Nous reprîmes donc notre promenade, moi de moins en moins nue, mais excitée par ce qui roulait entre mes cuisses. Mon maître me regardait m’arrêter, sourire aux lèvres. Il profita d’une halte pour saisir un de mes tétons et le pincer fort, très fort, jusqu’à m faire crier. Déjà avant d’être avec lui, cette douleur-là, localisée, m’excitait beaucoup. Ce que j’avais envie de lui.
Nous arrivâmes à la piscine. Le vigile jeta un coup d’œil dans le sac de mon maître, et nous laissa entrer. Nous nous dirigeâmes vers les vestiaires – un pour les hommes, un pour les femmes, bien sûr.
— Va mettre ta robe à la consigne chez les femmes, et vient me chercher pour avoir ton maillot. Et ne te déshabille pas dans une cabine.
Je sentis ma gorge se serrer. J’allais donc sortir du vestiaire femmes et entrer dans celui des hommes nue, avec juste ce collier.
— Oui, maître.
Je fis comme il avait dit, et revins vite le chercher. Personne en vue, mais beaucoup de cabines fermées. Bien sûr, impossible de savoir dans laquelle lui s’était installé. J’avais donc le choix entre l’attendre et l’appeler. Je choisis cette dernière, sans me rendre compte tout de suite de ce que cela impliquait.
— Maître ? Maître ?
Une cabine s’ouvrit, et un homme passa la tête, l’air étonné. C’est à ce moment-là que je me rendis compte à quel point je venais de me griller toute seule ! Heureusement, la voix de mon maître m’appela, et une autre porte s’ouvrit avant celle de l’homme qui me regardait.
— Ici. Tu aurais pu penser à prendre ton maillot, au lieu de te balader à poil, enfin…
— Oui, pardon, maître, répondis-je moins fort.
Il me tendit le bikini, puis referma la porte. J’étais donc dehors, et je m’habillai sous le regard toujours étonné et méfiant de l’autre homme. Quand mon maître eut fini de se déshabiller, il sortit de la cabine, mit ses affaires à la consigne, et prit dans une main nos serviettes. De l’autre, il claqua des doigts.
— Allez, viens.
Je le suivis, les yeux baissés, jusqu’au bassin. En chemin, je sentis mon œuf se mettre à vibrer. Je regardai ses mains… et compris qu’il devait tenir la télécommande entre les serviettes.
A côté se trouve une sorte de solarium, un endroit où sont disposées des chaises longues. Mon maître en choisit deux, et y étendit nos serviettes.
— Allonge-toi sur le dos, une jambe de chaque côté. Ferme les yeux.
Je m’étendis, avec un couinement quand le mouvement me fit serrer un peu plus l’œuf entre mes cuisses. Une fois allongée, la vibration cessa. Mon maître sortit un livre, et l’ouvrit. Pour ma part, j’avoue que j’appréciais ce moment pour bronzer, et restai immobile pour savourer la caresse du soleil.
Les vibrations vinrent et repartirent, plusieurs fois, et j’avais le souffle très court. Nous n’étions pas seuls en arrivant, j’avais entendu du passage autour de nous, je ne savais pas où étaient les personnes les plus proches. Je faisais donc de mon mieux pour ne pas gémir, et même éviter de soupirer ou grogner. C’était très difficile.
Au bout d’un moment, mon maître m’ordonna de me retourner. Je m’allongeai donc sur le ventre, les pieds toujours écartés de la largeur de la chaise longue. Très bientôt, je sentis sa main se poser sur mes reins. Je sursautai. Il se pencha pour me murmurer à l’oreille.
— Ouvre ton petit cul, ma putain. J’ai quelque chose à y glisser.
Je sentis mon cœur rater un battement. Aussitôt, les vibrations reprirent. La main de mon maître descendit sous le maillot, et je sentis un objet froid se glisser entre mes fesses, jusqu’à mon anus, qu’il pénétra sans ménagement. Je retins de justesse un cri de surprise. L’objet était dur, et les vibrations de l’œuf en parurent accentuées. À moins simplement qu’elles se communiquent à l’objet dans mon cul, et redoublent d’effet. Mon cul reconnut l’objet, par habitude là-aussi. Un de ces bijoux qui restent en place, un poids de métal qui tressaute à chaque mouvement.
Là encore, mon maître joua à activer ou éteindre l’œuf plusieurs fois, plus ou moins longtemps. Je sentais mon sexe s’ouvrir et mouiller.
— Retourne-toi, m’ordonna-t-il à un moment où les vibrations me coupaient presque la respiration.
L’opération ne fut pas aisée, j’avais les cuisses dures, mais j’y parvins. Il passa une main légère contre ma poitrine, envoyant des décharges dans mes tétons durcis.
— Il est très bien, ce maillot, dit mon maître. Il ne cache rien du tout de tes tétons. On dirait même qu’ils vont le déchirer, tellement ils sont durs.
Je me sentis rougir, mais cela ne calma pas mon excitation. J’étais partie, je n’attendais que de jouir. L’œuf ne suffirait pas, il m’exciterait encore et encore mais ne suffirait pas à me faire basculer. Et mon maître le savait.
— Ecoute, Nathalie, on ne peut pas partir d’ici avant que tu te sois fait jouir. Ou à la fermeture. Je vais régler les vibrations en aléatoire, et laisser l’œuf allumé jusqu’à ce que tu te décide à te branler. Quand tu en auras envie, prends le temps que tu veux.
Oh ! S’il m’avait demandé de lui faire quelque chose, n’importe quoi, je l’aurais fait sans hésiter, sans réfléchir. Je voulais jouir, mon corps était tendu de plaisir retenu. Mais ça ? Là, dans un endroit public, sans savoir s’il y avait quelqu’un à côté de moi ?
Je demandai à mon maître l’autorisation d’ouvrir les yeux. Il me la donna. Je tournai la tête. Quelques personnes, pas très près, mais quand même. J’en vis une ou deux avec des écouteurs. Cela me rassura un peu.
D’après la grande horloge accrochée à un mur de la piscine, il me fallut un peu plus d’une demi-heure pour me résoudre à me faire jouir. Le bas de mon maillot était trempé, et j’avais mal aux seins à force qu’ils frottent contre mon haut. Je glissai la main dans ma culotte et commençai à me caresser le clitoris.
— Si tu enlèves le haut, je t’aiderai en te pinçant les seins.
Il ne fallait pas me le dire deux fois ! Je n’hésitai même pas avant d’ouvrir le haut de mon maillot. Et puis, à Paris, je ne serais pas la première à bronzer seins nus !
Je me rallongeai et remis mon doigt contre mon clitoris. Mon maître passa la main sur ma poitrine, et commença à me pincer un téton, à le faire rouler entre ses doigts, à le tordre et à tirer dessus. Je serrai les dents.
Je jouis en quelques minutes, très fort. Cela faisait pas loin de deux heures que mon corps réclamait cela, je ne pus m’empêcher de me cabrer sur la chaise longue lorsque l’orgasme vint. J’espère ne pas avoir crié. Je ne sais pas.
Mon maître coupa les vibrations pour me laisser reprendre mon souffle, puis m’ordonna de me lever. Il ralluma l’œuf, garda mon haut de maillot à la main, et nous repartîmes vers les vestiaires. Les regards qu’attirèrent mes seins encore tendus pendant la traversée de la piscine me remirent des nœuds dans le bas-ventre.
Mon maître nous fit rentrer à pied, sans me retirer l’œuf ou le rosebud. Après cette heure de marche, il me fit le sucer sur notre balcon, et me laissa là, la laisse attachée à la rambarde, jusqu’à ce que son sperme ait séché sur mon visage. Puis il m’emmena au restaurant.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super histoire je suis soumis et bi je ch un maitre ou maitresse pour m exhiber et m humilie en lieux public
J'ai beaucoup aimé la dernière phrase de cette histoire, montrant l'amour qui vous
unit. Très mignon !
unit. Très mignon !
BRAVO ! Tu es la bonne soumise que je rêve de devenir avec ma Maîtresse, je t'envie
d'accepter de pareils avilissements.
d'accepter de pareils avilissements.
j'adore les épreuves que tu as endurée Nathalie !
génial le jeu d'excitation et de domination ! un véritable rêve qui m'a énormément
excitée
excitée
roman ou réalité ?
En tout cas joli !!!
En tout cas joli !!!