Estivale
Récit érotique écrit par Nathalie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Estivale
ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS
J’ai reçu beaucoup de messages me rappelant que je n’avais rien écrit de nouveau. Comme beaucoup de personnes, nous sommes partis en vacances. Avec mes RTT divers et variés, j’avais cinq semaines à poser. Et pour une fois, pas de projet en cours pour m’empêcher de disparaître tout ce temps-là. Je suis restée quasiment enfermée à la maison les quinze premiers jours d’août, aux mains de mon maître et de quelques invités occasionnels.
Mes matinées commençaient comme d’habitude, par la queue de mon maître dans ma bouche. Une fois mon maître réveillé, il m’annonça le premier jour une nouveauté.
— Je vais essayer quelque chose de nouveau. Pour te rabaisser un peu plus. Alors chaque matin, à partir de maintenant, après avoir joui dans ta bouche, je m’y viderai la vessie.
J’avais déjà envisagé que ce jour puisse venir. J’avoue que je n’avais pas hâte. Je mourais d’envie de refuser, mais… mais je me devais d’essayer, au moins. De vraiment essayer. Ce ne serait peut-être pas si éprouvant que je le pensais ? Bref, ce jour-là, après l’avoir fait jouir dans ma bouche, je le suivis à reculons jusqu’à la table du petit déjeuner. Il m’ordonna de l’attendre à genoux à côté de sa chaise. Pour m’y contraire, il fixa mon collier à une laisse passée au pied de table le plus proche. Une fois son petit déjeuner prêt, il s’assit, et m’ordonna de passer sous la table, pour le prendre dans ma bouche. Son sexe était mou et très chaud. Je le pris sur ma langue et attendis.
— Je vais uriner dans ta bouche. Je vais retenir le jet, pour qu’il soit lent. Avale au fur et à mesure. Aujourd’hui, tu pourras essuyer ce qui aura coulé par terre avec une serpillère. À l’avenir, ce sera avec tes cheveux, puis avec ta langue, quand tu seras habituée.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je sentis les premières gouttes chaudes contre mon palais, et remplir ma bouche. Tant que je ne respirais pas, cela n’avait presque aucun goût, et ça n’était ni agréable ni désagréable. Lorsque, profitant d’une pause entre deux gorgées, je repris ma respiration, je fus prise d’un haut-le-cœur brusque… heureusement sans conséquence. Pour ma première fois, je ne mis pas une goutte à côté. À vrai dire, j’étais assez fière de moi quand mon maître me dit qu’il avait fini, et que je pouvais sortir de sous la table. Lui-même se leva, et alla chercher une gamelle double, qu’il posa devant moi. L’un des deux bols contenait du café, l’autre un croissant en morceaux. À quatre pattes à côté de sa chaise, je pris mon petit déjeuner à son côté, toujours attachée à la table.
Ainsi se passent nos petits déjeuners depuis ce premier matin de vacances. Hormis une fois où j’ai avalé de travers (et où j’ai dû tout laper par terre – beaucoup moins « agréable »), j’ai chaque fois réussi à avaler l’urine de mon maître. Je n’y prends aucun plaisir, et il le sait, mais je suis fière de le servir encore un peu plus, et qu’il m’ait trouvé un autre rôle, une autre façon d’utiliser mon corps. Et parfois, la prise de conscience du fait qu’il se soulage dans ma bouche m’inspire une bouffée de chaleur aussi délicieuse que honteuse.
La première semaine, mon maître travaillait encore. Le premier jour, il m’habilla d’une jupe à un peu évasée, un peu transparente, et un petit chemisier blanc assez fin. Une fois vêtue, il me pencha rudement sur la table, et m’y plaqua d’une main sur les reins. De l’autre, il glissa en moi un œuf vibrant dans mon vagin, et un plus fin dans mon anus. Il y ajouta mon petit rosebud muni d’une queue en crin de cheval. Les deux jouets sont reliés par un fil électrique à un boîtier, gros comme une télécommande de parking, muni d’une agrafe, et de deux boutons pour régler les vibrations de chaque objet. Il la passa à la ceinture de ma jupe. Sous mon top, le relief était assez discret. Il alluma les deux jouets. J’avais l’impression que les vibrations, communiquées au rosebud, faisaient un bruit assourdissant, mais je me doutais que c’était sans doute un « écho » intérieur. La sensation, elle, n’avait rien d’imaginaire.
Les instructions de mon maître furent claires :— Tu vas partir en même temps que moi, et te promener dans Paris. Tu changeras le réglage des deux œufs tous les quarts d’heure. Tu peux jouir, à condition que tu sois dans la rue. À midi trente, tu attendras dans les toilettes du restaurant à côté du bureau. Les toilettes des hommes, au premier étage. Nue, avec le boîtier passé à ton collier. Oh, à propos du collier. Pas de foulard pendant les vacances. Tu le portes au grand jour. Et tu expliques de quoi il s’agit si on te pose la question.
Je déglutis, embarrassée d’avance. Je vais donc m’afficher – le collier se remarque aisément, avec ma tenue d’été.
Nous partons, mon maître pour sa matinée de travail, et moi pour ma « promenade ». Les jouets me donnent déjà une démarche hésitante. D’autant que début juillet, impossible de croire que c’était la chaleur qui me donnait le rouge aux joues ! J’accompagne mon maître dans le métro, il profite que nous sommes un peu serrés pour changer lui-même les réglages des deux œufs. Le changement de régime me donne un sursaut supplémentaire. Puis il m’embrasse, quelques stations plus loin, et descend.
Je continue quelques instants sur la ligne, pour descendre au parc Monceau. Je le traverse, la démarche un peu raide, je rattrape Malesherbes pour continuer vers Saint Lazare. J’ai chaud ! J’ai le ventre en feu, l’œuf entre mes fesses vibre un peu au hasard, et cela rend la stimulation encore plus difficile à ignorer. J’ai remarqué des regards sur mon collier, des gens qui essaient de lire la médaille au passage… pas facile, sans doute, mais ils voient bien, en revanche, que je porte un collier et une médaille. Cela les intrigue. Il y en a même un qui a aboyé en passant à ma hauteur.
Je fais la queue un instant dans un établissement près de la gare, pour m’acheter une boisson à emporter. Statique, les jambes un peu rapprochées, je sens soudain que j’ai le choix : soit je me dandine pour repousser la sensation, soit je vais finir par jouir en attendant mon café frappé ! Je sens que le plaisir sera bref, léger, j’essaie de penser à autre chose pour retarder le moment, mais… je n’y arrive pas, évidemment. Je passe ma commande. J’attends qu’on me l’apport au bout du comptoir, entre quelques touristes et étudiants venus là passer un moment, quand la bouffée de chaleur m’emporte d’un coup. Je me retourne sur place pour masquer la crispation de mon ventre, j’essaie de retenir un gémissement qui, je le sens, filtre tout de même, atténué. Ma boisson arrive. Je la prends, je remercie le serveur, et je pars. Une femme croise mon regard, avec… soit c’est mon imagination, soit elle m’a lancé un sourire complice. Étais-je si transparente ?
Je repars, le souffle un peu court, la boisson délicieusement glacée dans ma gorge que je trouve brûlante. Je repars. À chaque pas, je sens mes lèvres humides, et… cette excitation m’excite. Ce qui ne m’aide guère à garder les idées claires.
Je surveille l’heure, au fil de mes pérégrinations. J’évite les quartiers et les rues où il m’arrive de passer, pour éviter de rencontrer quelqu’un que je connais. J’ai encore un orgasme, en attendant que le feu passe au rouge. Le troisième m’arrête en pleine rue. Un homme que je viens de croiser m’a arrêtée en s’étonnant de mon collier, et en me demandant directement de quoi il s’agit. Je m’arrête, et je lui réponds. La situation et les jouets me mettent au bord du précipice. Je retarde l’orgasme, pour m’éviter d’avoir cela, aussi, à expliquer. Sa curiosité satisfaite, l’homme repart, en m’ayant demandé comment on doit m’appeler, vu ce que je suis.
— On m’appelle comme on veut. Mon maître m’appelle souvent « Chienne » lorsqu’il veut me parler.
— Alors bonne journée, Chienne !, me lance-t-il à voix haute.
Il repart, je fais trois pas et je jouis avec un hoquet, sous le regard de deux personnes interloquées par la façon dont le passant m’a parlé.
Je finis par arriver au restaurant dont mon maître a parlé. Je le connais, nous y avons déjà déjeuné ou dîné plusieurs fois. Je prends une table pour deux vers le fond. Je suis un peu en avance, mais j’ai trop peur d’être en retard. Quelques minutes avant l’heure dite, je m’éclipse pour partir aux toilettes, à l’étage. Elles sont vides. Je prends une cabine, la première, et y pénètre. Je retire mes vêtements, en ne gardant que mes chaussures, mon rosebud et les deux jouets en moi.
Penchée en avant au-dessus de la cuvette, les mains contre le mur, j’attends de longues minutes, toujours aussi interminables malgré la familiarité de la situation. À plusieurs reprises, j’entends la porte des toilettes s’ouvrir et se refermer. Personne ne semble m’avoir remarquée. Puis j’entends la voix de mon maître.
— Nathalie ?
— Oui, maître.
La porte derrière moi s’ouvre.
— C’est bien ma chienne, exactement comme je te l’avais dit.
Je sens qu’il retire sur mon rosebud, que mon anus tente de retenir, rendant sa sortie encore plus délicieuse. Sans attendre, mon maître le remplace par sa queue, qui avance sans ménagement. Mon cul l’accueille avidement. Malgré les trois orgasmes de la matinée, mon corps est électrisé par cette pénétration.
Mon maître me prend avec énergie. Je lui demande la permission de jouir, qu’il me refuse. L’œuf dans mon cul bouge à chaque coup de rein de mon maître, et celui dans mon ventre est d’autant plus présent qu’il roule contre le gland de mon maître. Qui, lui, ne tarde pas à jouir, à grands jets, dans mon cul. Il se retire aussitôt et remet le rosebud dans le même geste.
Je me retourne et m’accroupis, et essuie son sexe avec mes cheveux, comme chaque fois. Je me redresse et le remercie pour son sperme.
— Maintenant ma chienne, tu vas repartir. Tu t’arrêteras dans le premier magasin de sport que tu croiseras, pour acheter un bikini, de couleur très vive, un bleu électrique ou une couleur fluorescente. Pour l’essayer, tu te déshabilleras entièrement dans la cabine, pour ne garder que tes chaussures. Tu mettras ton maillot, et tu te prendras en photo dans le miroir. Je veux une photo entière, en pied. Lorsque tu auras acheté le maillot, tu le garderas sur toi et tu iras bronzer dans un parc, allongée sur le dos, les cuisses écartées. Là aussi, tu pourras jouir, mais sans serrer les dents. Et après, tu pourras retirer les jouets.
Je me rhabille, et je sors derrière mon maître. J’ai l’impression que les jouets vibrent encore plus fort, maintenant que j’ai été prise.
Je repars dans les rues, et cherche dans mon souvenir où serait le magasin de sport le plus proche. Sans doute celui de Madeleine. J’en prends donc la direction, et j’y arrive un gros quart d’heure plus tard. Je parcours les rayonnages. Le choix de bikini est encore large, j’en choisis deux qui me paraissent assez révélateurs et de la bonne couleur. Direction, la cabine d’essayage.
Je commence par me déshabiller entièrement. J’essaie le premier bikini, qui ne me plaît pas. L’autre, d’un jaune fluorescent, est fabriqué autour d’anneaux en métal, un à chaque hanche, et un entre les deux bonnets du soutien-gorge, et j’imagine qu’il plaira à mon maître – moins de tissu, et donc plus de peau.
Le rosebud me gène un peu pour enfiler le string, jusqu’à ce que je décide de répartir les poils de ma « queue » de chaque côté. Cela appuie un peu sur le rosebud et souligne ses mouvements, mais au moins, je peux porter le maillot. Je sors mon téléphone de mon sac à main pour prendre la photo. Et là, je comprends. Avec l’exiguïté de la cabine d’essayage, je ne peux pas me prendre en pied. En revanche, si je sors de la cabine, j’aurai assez de recul. Bien sûr, cela veut dire sortir dans le rayon en bikini et talons haut, avec une queue de cheval dans l’anus. Je passe la tête par le rideau. Une personne dans le rayon. J’attends un peu, l’air de rien, et elle s’en va. Très vite, j’ouvre le rideau, je sors, je me retourne, et je prends la photo. Forcément, vu comme je tremble, elle est floue. Je grogne et je recommence. Je sens mon ventre se serrer autour des vibrations de l’œuf. Je prends une grande inspiration, je cadre, je prends la photo. Une vendeuse arrive avec deux clientes, je me précipite dans la cabine !
J’entends la vendeuse s’excuser auprès des deux autres clientes, puis une voix devant le rideau me demande :— Je peux vous aider ?
— Non ça va, je crois que j’ai trouvé.
— Et vous… enfin…— J’arrive, je temps de me changer. Tenez, par contre celui-là ne me plaisait pas. Par contre, je voudrais garder celui que j’ai sur moi, c’est possible ?
— Vous pouvez passer en caisse et revenir le mettre ici, bien sûr madame.
— Merci.
Je passe la main à côté du rideau pour lui rendre le premier maillot. Ne sachant pas trop quoi faire, sans doute incertaine de ce qu’elle a vu et « rassurée » par le fait que je veuille effectivement acheter quelque chose, elle le prend, me remercie et retourne aux deux autres clientes. J’en tremble de plus belle !
Je retire le maillot, remets mes habits et sors de la cabine. Je suis en nage ! Je passe en caisse, en pliant le string pour qu’on ne remarque pas sa légère humidité. Puis je me change en cabine. En sortant du magasin, j’envoie la photo à mon maître.
Il me répond quelques minutes plus tard, d’un : « Très joli. Maintenant, tu vas pouvoir jouir, ma putain. »Mon ventre se serre de plus belle, et j’en jouis presque sur le trottoir.
Je remonte à Monceau. Le trajet est toujours ponctué des changements de régime des jouets, et s’ils ne me font plus jouir, l’excitation reste brûlante. Arrivée au parc, je trouve un emplacement qui ne soit pas au milieu de la foule… mais difficile de trouver un coin désert ! À défaut, je trouve un endroit au soleil où personne n’a l’air immédiatement tourné dans ma direction. Je me déshabille assise pour cacher mon rosebud et sa queue, je m’allonge sur l’herbe, cuisses un peu écartées. J’ai hâte, mais étourdie par cette journée, j’ai l’impression que tout le monde me regarde. J’attends un peu, comme pour me faire oublier. Ma main, presque sans mon aval, se porte une fois ou deux sur mon sexe. Je la retire avec un sursaut, et un vague regard alentour. Une jeune femme s’est allongée un peu sur ma droite, devant moi, et bronze sur le ventre, les yeux fermés, la tête sur les bras. Elle a l’air de dormir. Le moment est venu !
Je glisse la main sous le tissu de mon string. Aucun doute, mon corps aussi a hâte ! Mes doigts massent mon clito avec force, je me fais presque mal dans ma précipitation… je ralentis un peu… Allongée, l’œuf dans mon anus remue tout le rosebud, j’ai l’impression de sentir encore mon maître… alors je repense à son sperme, encore dans mon cul, et je jouis d’un coup. Je lutte pour empêcher mon bassin de se soulever dans l’orgasme, je replie un peu les jambes, pantelante.
Je rouvre les yeux. La jeune femme a la tête tournée vers moi, elle me regarde. Je ne sais pas quoi faire, mais elle m’adresse un sourire léger, un hochement de tête discret. Encore excitée, je décide de recommencer. Le deuxième orgasme met quelques minutes à venir, mais cette fois, je ne l’endigue plus… le regard complice de cette spectatrice me donne envie d’être spectaculaire. Je me cambre et je gémis, me rappelant cette fois de garder la bouche ouverte. Je vois que la jeune femme ne m’a pas quittée des yeux.
Je prends mon téléphone pour remercier mon maître par texto. Puis, toujours sous l’œil amusé de ma voisine de pelouse, je retire les jouets de mes orifices, ce qui ne fait qu’élargir son sourire. C’est elle qui regarde de droite et de gauche pour voir si on m’a remarquée. Je me concentre sur elle, pour éviter d’éventuels autres spectateurs moins bienveillants. Lorsque j’ai fini, elle hoche à nouveau la tête, puis se retourne sur le dos.
J’ai reçu beaucoup de messages me rappelant que je n’avais rien écrit de nouveau. Comme beaucoup de personnes, nous sommes partis en vacances. Avec mes RTT divers et variés, j’avais cinq semaines à poser. Et pour une fois, pas de projet en cours pour m’empêcher de disparaître tout ce temps-là. Je suis restée quasiment enfermée à la maison les quinze premiers jours d’août, aux mains de mon maître et de quelques invités occasionnels.
Mes matinées commençaient comme d’habitude, par la queue de mon maître dans ma bouche. Une fois mon maître réveillé, il m’annonça le premier jour une nouveauté.
— Je vais essayer quelque chose de nouveau. Pour te rabaisser un peu plus. Alors chaque matin, à partir de maintenant, après avoir joui dans ta bouche, je m’y viderai la vessie.
J’avais déjà envisagé que ce jour puisse venir. J’avoue que je n’avais pas hâte. Je mourais d’envie de refuser, mais… mais je me devais d’essayer, au moins. De vraiment essayer. Ce ne serait peut-être pas si éprouvant que je le pensais ? Bref, ce jour-là, après l’avoir fait jouir dans ma bouche, je le suivis à reculons jusqu’à la table du petit déjeuner. Il m’ordonna de l’attendre à genoux à côté de sa chaise. Pour m’y contraire, il fixa mon collier à une laisse passée au pied de table le plus proche. Une fois son petit déjeuner prêt, il s’assit, et m’ordonna de passer sous la table, pour le prendre dans ma bouche. Son sexe était mou et très chaud. Je le pris sur ma langue et attendis.
— Je vais uriner dans ta bouche. Je vais retenir le jet, pour qu’il soit lent. Avale au fur et à mesure. Aujourd’hui, tu pourras essuyer ce qui aura coulé par terre avec une serpillère. À l’avenir, ce sera avec tes cheveux, puis avec ta langue, quand tu seras habituée.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je sentis les premières gouttes chaudes contre mon palais, et remplir ma bouche. Tant que je ne respirais pas, cela n’avait presque aucun goût, et ça n’était ni agréable ni désagréable. Lorsque, profitant d’une pause entre deux gorgées, je repris ma respiration, je fus prise d’un haut-le-cœur brusque… heureusement sans conséquence. Pour ma première fois, je ne mis pas une goutte à côté. À vrai dire, j’étais assez fière de moi quand mon maître me dit qu’il avait fini, et que je pouvais sortir de sous la table. Lui-même se leva, et alla chercher une gamelle double, qu’il posa devant moi. L’un des deux bols contenait du café, l’autre un croissant en morceaux. À quatre pattes à côté de sa chaise, je pris mon petit déjeuner à son côté, toujours attachée à la table.
Ainsi se passent nos petits déjeuners depuis ce premier matin de vacances. Hormis une fois où j’ai avalé de travers (et où j’ai dû tout laper par terre – beaucoup moins « agréable »), j’ai chaque fois réussi à avaler l’urine de mon maître. Je n’y prends aucun plaisir, et il le sait, mais je suis fière de le servir encore un peu plus, et qu’il m’ait trouvé un autre rôle, une autre façon d’utiliser mon corps. Et parfois, la prise de conscience du fait qu’il se soulage dans ma bouche m’inspire une bouffée de chaleur aussi délicieuse que honteuse.
La première semaine, mon maître travaillait encore. Le premier jour, il m’habilla d’une jupe à un peu évasée, un peu transparente, et un petit chemisier blanc assez fin. Une fois vêtue, il me pencha rudement sur la table, et m’y plaqua d’une main sur les reins. De l’autre, il glissa en moi un œuf vibrant dans mon vagin, et un plus fin dans mon anus. Il y ajouta mon petit rosebud muni d’une queue en crin de cheval. Les deux jouets sont reliés par un fil électrique à un boîtier, gros comme une télécommande de parking, muni d’une agrafe, et de deux boutons pour régler les vibrations de chaque objet. Il la passa à la ceinture de ma jupe. Sous mon top, le relief était assez discret. Il alluma les deux jouets. J’avais l’impression que les vibrations, communiquées au rosebud, faisaient un bruit assourdissant, mais je me doutais que c’était sans doute un « écho » intérieur. La sensation, elle, n’avait rien d’imaginaire.
Les instructions de mon maître furent claires :— Tu vas partir en même temps que moi, et te promener dans Paris. Tu changeras le réglage des deux œufs tous les quarts d’heure. Tu peux jouir, à condition que tu sois dans la rue. À midi trente, tu attendras dans les toilettes du restaurant à côté du bureau. Les toilettes des hommes, au premier étage. Nue, avec le boîtier passé à ton collier. Oh, à propos du collier. Pas de foulard pendant les vacances. Tu le portes au grand jour. Et tu expliques de quoi il s’agit si on te pose la question.
Je déglutis, embarrassée d’avance. Je vais donc m’afficher – le collier se remarque aisément, avec ma tenue d’été.
Nous partons, mon maître pour sa matinée de travail, et moi pour ma « promenade ». Les jouets me donnent déjà une démarche hésitante. D’autant que début juillet, impossible de croire que c’était la chaleur qui me donnait le rouge aux joues ! J’accompagne mon maître dans le métro, il profite que nous sommes un peu serrés pour changer lui-même les réglages des deux œufs. Le changement de régime me donne un sursaut supplémentaire. Puis il m’embrasse, quelques stations plus loin, et descend.
Je continue quelques instants sur la ligne, pour descendre au parc Monceau. Je le traverse, la démarche un peu raide, je rattrape Malesherbes pour continuer vers Saint Lazare. J’ai chaud ! J’ai le ventre en feu, l’œuf entre mes fesses vibre un peu au hasard, et cela rend la stimulation encore plus difficile à ignorer. J’ai remarqué des regards sur mon collier, des gens qui essaient de lire la médaille au passage… pas facile, sans doute, mais ils voient bien, en revanche, que je porte un collier et une médaille. Cela les intrigue. Il y en a même un qui a aboyé en passant à ma hauteur.
Je fais la queue un instant dans un établissement près de la gare, pour m’acheter une boisson à emporter. Statique, les jambes un peu rapprochées, je sens soudain que j’ai le choix : soit je me dandine pour repousser la sensation, soit je vais finir par jouir en attendant mon café frappé ! Je sens que le plaisir sera bref, léger, j’essaie de penser à autre chose pour retarder le moment, mais… je n’y arrive pas, évidemment. Je passe ma commande. J’attends qu’on me l’apport au bout du comptoir, entre quelques touristes et étudiants venus là passer un moment, quand la bouffée de chaleur m’emporte d’un coup. Je me retourne sur place pour masquer la crispation de mon ventre, j’essaie de retenir un gémissement qui, je le sens, filtre tout de même, atténué. Ma boisson arrive. Je la prends, je remercie le serveur, et je pars. Une femme croise mon regard, avec… soit c’est mon imagination, soit elle m’a lancé un sourire complice. Étais-je si transparente ?
Je repars, le souffle un peu court, la boisson délicieusement glacée dans ma gorge que je trouve brûlante. Je repars. À chaque pas, je sens mes lèvres humides, et… cette excitation m’excite. Ce qui ne m’aide guère à garder les idées claires.
Je surveille l’heure, au fil de mes pérégrinations. J’évite les quartiers et les rues où il m’arrive de passer, pour éviter de rencontrer quelqu’un que je connais. J’ai encore un orgasme, en attendant que le feu passe au rouge. Le troisième m’arrête en pleine rue. Un homme que je viens de croiser m’a arrêtée en s’étonnant de mon collier, et en me demandant directement de quoi il s’agit. Je m’arrête, et je lui réponds. La situation et les jouets me mettent au bord du précipice. Je retarde l’orgasme, pour m’éviter d’avoir cela, aussi, à expliquer. Sa curiosité satisfaite, l’homme repart, en m’ayant demandé comment on doit m’appeler, vu ce que je suis.
— On m’appelle comme on veut. Mon maître m’appelle souvent « Chienne » lorsqu’il veut me parler.
— Alors bonne journée, Chienne !, me lance-t-il à voix haute.
Il repart, je fais trois pas et je jouis avec un hoquet, sous le regard de deux personnes interloquées par la façon dont le passant m’a parlé.
Je finis par arriver au restaurant dont mon maître a parlé. Je le connais, nous y avons déjà déjeuné ou dîné plusieurs fois. Je prends une table pour deux vers le fond. Je suis un peu en avance, mais j’ai trop peur d’être en retard. Quelques minutes avant l’heure dite, je m’éclipse pour partir aux toilettes, à l’étage. Elles sont vides. Je prends une cabine, la première, et y pénètre. Je retire mes vêtements, en ne gardant que mes chaussures, mon rosebud et les deux jouets en moi.
Penchée en avant au-dessus de la cuvette, les mains contre le mur, j’attends de longues minutes, toujours aussi interminables malgré la familiarité de la situation. À plusieurs reprises, j’entends la porte des toilettes s’ouvrir et se refermer. Personne ne semble m’avoir remarquée. Puis j’entends la voix de mon maître.
— Nathalie ?
— Oui, maître.
La porte derrière moi s’ouvre.
— C’est bien ma chienne, exactement comme je te l’avais dit.
Je sens qu’il retire sur mon rosebud, que mon anus tente de retenir, rendant sa sortie encore plus délicieuse. Sans attendre, mon maître le remplace par sa queue, qui avance sans ménagement. Mon cul l’accueille avidement. Malgré les trois orgasmes de la matinée, mon corps est électrisé par cette pénétration.
Mon maître me prend avec énergie. Je lui demande la permission de jouir, qu’il me refuse. L’œuf dans mon cul bouge à chaque coup de rein de mon maître, et celui dans mon ventre est d’autant plus présent qu’il roule contre le gland de mon maître. Qui, lui, ne tarde pas à jouir, à grands jets, dans mon cul. Il se retire aussitôt et remet le rosebud dans le même geste.
Je me retourne et m’accroupis, et essuie son sexe avec mes cheveux, comme chaque fois. Je me redresse et le remercie pour son sperme.
— Maintenant ma chienne, tu vas repartir. Tu t’arrêteras dans le premier magasin de sport que tu croiseras, pour acheter un bikini, de couleur très vive, un bleu électrique ou une couleur fluorescente. Pour l’essayer, tu te déshabilleras entièrement dans la cabine, pour ne garder que tes chaussures. Tu mettras ton maillot, et tu te prendras en photo dans le miroir. Je veux une photo entière, en pied. Lorsque tu auras acheté le maillot, tu le garderas sur toi et tu iras bronzer dans un parc, allongée sur le dos, les cuisses écartées. Là aussi, tu pourras jouir, mais sans serrer les dents. Et après, tu pourras retirer les jouets.
Je me rhabille, et je sors derrière mon maître. J’ai l’impression que les jouets vibrent encore plus fort, maintenant que j’ai été prise.
Je repars dans les rues, et cherche dans mon souvenir où serait le magasin de sport le plus proche. Sans doute celui de Madeleine. J’en prends donc la direction, et j’y arrive un gros quart d’heure plus tard. Je parcours les rayonnages. Le choix de bikini est encore large, j’en choisis deux qui me paraissent assez révélateurs et de la bonne couleur. Direction, la cabine d’essayage.
Je commence par me déshabiller entièrement. J’essaie le premier bikini, qui ne me plaît pas. L’autre, d’un jaune fluorescent, est fabriqué autour d’anneaux en métal, un à chaque hanche, et un entre les deux bonnets du soutien-gorge, et j’imagine qu’il plaira à mon maître – moins de tissu, et donc plus de peau.
Le rosebud me gène un peu pour enfiler le string, jusqu’à ce que je décide de répartir les poils de ma « queue » de chaque côté. Cela appuie un peu sur le rosebud et souligne ses mouvements, mais au moins, je peux porter le maillot. Je sors mon téléphone de mon sac à main pour prendre la photo. Et là, je comprends. Avec l’exiguïté de la cabine d’essayage, je ne peux pas me prendre en pied. En revanche, si je sors de la cabine, j’aurai assez de recul. Bien sûr, cela veut dire sortir dans le rayon en bikini et talons haut, avec une queue de cheval dans l’anus. Je passe la tête par le rideau. Une personne dans le rayon. J’attends un peu, l’air de rien, et elle s’en va. Très vite, j’ouvre le rideau, je sors, je me retourne, et je prends la photo. Forcément, vu comme je tremble, elle est floue. Je grogne et je recommence. Je sens mon ventre se serrer autour des vibrations de l’œuf. Je prends une grande inspiration, je cadre, je prends la photo. Une vendeuse arrive avec deux clientes, je me précipite dans la cabine !
J’entends la vendeuse s’excuser auprès des deux autres clientes, puis une voix devant le rideau me demande :— Je peux vous aider ?
— Non ça va, je crois que j’ai trouvé.
— Et vous… enfin…— J’arrive, je temps de me changer. Tenez, par contre celui-là ne me plaisait pas. Par contre, je voudrais garder celui que j’ai sur moi, c’est possible ?
— Vous pouvez passer en caisse et revenir le mettre ici, bien sûr madame.
— Merci.
Je passe la main à côté du rideau pour lui rendre le premier maillot. Ne sachant pas trop quoi faire, sans doute incertaine de ce qu’elle a vu et « rassurée » par le fait que je veuille effectivement acheter quelque chose, elle le prend, me remercie et retourne aux deux autres clientes. J’en tremble de plus belle !
Je retire le maillot, remets mes habits et sors de la cabine. Je suis en nage ! Je passe en caisse, en pliant le string pour qu’on ne remarque pas sa légère humidité. Puis je me change en cabine. En sortant du magasin, j’envoie la photo à mon maître.
Il me répond quelques minutes plus tard, d’un : « Très joli. Maintenant, tu vas pouvoir jouir, ma putain. »Mon ventre se serre de plus belle, et j’en jouis presque sur le trottoir.
Je remonte à Monceau. Le trajet est toujours ponctué des changements de régime des jouets, et s’ils ne me font plus jouir, l’excitation reste brûlante. Arrivée au parc, je trouve un emplacement qui ne soit pas au milieu de la foule… mais difficile de trouver un coin désert ! À défaut, je trouve un endroit au soleil où personne n’a l’air immédiatement tourné dans ma direction. Je me déshabille assise pour cacher mon rosebud et sa queue, je m’allonge sur l’herbe, cuisses un peu écartées. J’ai hâte, mais étourdie par cette journée, j’ai l’impression que tout le monde me regarde. J’attends un peu, comme pour me faire oublier. Ma main, presque sans mon aval, se porte une fois ou deux sur mon sexe. Je la retire avec un sursaut, et un vague regard alentour. Une jeune femme s’est allongée un peu sur ma droite, devant moi, et bronze sur le ventre, les yeux fermés, la tête sur les bras. Elle a l’air de dormir. Le moment est venu !
Je glisse la main sous le tissu de mon string. Aucun doute, mon corps aussi a hâte ! Mes doigts massent mon clito avec force, je me fais presque mal dans ma précipitation… je ralentis un peu… Allongée, l’œuf dans mon anus remue tout le rosebud, j’ai l’impression de sentir encore mon maître… alors je repense à son sperme, encore dans mon cul, et je jouis d’un coup. Je lutte pour empêcher mon bassin de se soulever dans l’orgasme, je replie un peu les jambes, pantelante.
Je rouvre les yeux. La jeune femme a la tête tournée vers moi, elle me regarde. Je ne sais pas quoi faire, mais elle m’adresse un sourire léger, un hochement de tête discret. Encore excitée, je décide de recommencer. Le deuxième orgasme met quelques minutes à venir, mais cette fois, je ne l’endigue plus… le regard complice de cette spectatrice me donne envie d’être spectaculaire. Je me cambre et je gémis, me rappelant cette fois de garder la bouche ouverte. Je vois que la jeune femme ne m’a pas quittée des yeux.
Je prends mon téléphone pour remercier mon maître par texto. Puis, toujours sous l’œil amusé de ma voisine de pelouse, je retire les jouets de mes orifices, ce qui ne fait qu’élargir son sourire. C’est elle qui regarde de droite et de gauche pour voir si on m’a remarquée. Je me concentre sur elle, pour éviter d’éventuels autres spectateurs moins bienveillants. Lorsque j’ai fini, elle hoche à nouveau la tête, puis se retourne sur le dos.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je viens de terminer votre dernière histoire, après avoir lu toutes les précédentes, 3 ans après sa rédaction... 3 ans de silence. Je crains que vous ne reveniez plus pimenter les pages d'HDS. C'est bien dommage car vraiment, outre qu'ils sont très bien écrits, vos récits sont redoutablement excitants. Votre Maître vous a t-il abandonné ? Avez-vous perdu le goût de l'écriture ? J'espère en tout cas que vous avez pu continuer à vous épanouir, ailleurs... dans d'autres dimensions.
Une fois de plus une belle histoire, mais celà fait presque six mois que vous n'avez
rien publié, seriez vous devenue sage ?
rien publié, seriez vous devenue sage ?
Chaude journée.
Magnifique! Histoire très sexy. Une chienne de première.
Très amusant ? Non ?
Rudy
Rudy