Comment j'ai cédé à mon beau frere
Récit érotique écrit par Aurélie11 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Comment j'ai cédé à mon beau frere
Depuis quelques mois j’ai perdu mon emploi, faillite et licenciement collectif.
A 50ans j’ai peu d’espoir de retrouver un emploi, j’entretiens ma maison et prépare les petits plats pour le retour de mon mari qui a une très belle situation.
J’occupe mes journées à surfer sur internet et depuis peu, je me suis mise à lire les histoires de sexe que les internautes écrivent.
Et je veux moi aussi raconter une histoire qui s’est passée…il y a plus de vingt ans en essayant de raconter le plus justement comme cela s’est passé.
Désolé si certaines de mes phrases ne sont pas très correctement écrite mais je pense que l’essentiel est de raconter les faits.
D’abords une petite présentation, au moment des faits, Hugo mon mari 23 ans, bel homme châtain clair, athlétique et une bite qui me remplit très bien la chatte, moi Aurélie 22 ans brune et la peau mate, un très beau 90C et 55 kg de muscle que j’entretiens en faisant du tennis.
Le frère de Hugo, Alain 28 ans copie conforme de mon mari et Jenny sa femme 30ans très belle femme élégante et un peu…beaucoup BCBG.
Nous sommes très complices et nous nous voyons souvent.
Nous partons souvent ensemble en vacances dans le sud et je me suis toujours arrangée pour qu’Alain me vois nue, mais il n’y a jamais rien eu de plus jusqu’à l’été du fait.
Hugo en revenant de son boulot s’est fait couper la route par un petit camion, résultat fracture du bassin, du col de fémur et du tibia le tout à droite et des hématomes un peu partout. Il est resté six semaines à l’hôpital, Dieu merci, il aurait pu être tué.
Jenny a subis une petite opération programmée trois jours après l’accident de Hugo, mais suite aux complications, elle est restée une semaine dans le même hôpital que mon mari.
Les deux premiers jours, je suis allée à l’hôpital avec les transports en commun et dès le deuxième jour d’hospitalisation, mon cher époux, très porté sur le sexe, avait déjà la bite en manque de ma petite chatte. Discrètement, je lui ai astiqué le manche et il a jouis dans une serviette en papier.
Comme j’étais en pantalon ce jour, il m’a demandé de venir en jupe pour qu’il puisse caresser ma chatte plus facilement et sans soutien. Je lui dis que sa demande mouille déjà ma chatte et me répond qu’il espère que ma chatte soit trempée quand je me présenterai à lui le lendemain.
Le lendemain dans le courant de la journée, Alain, mon beau-frère, me téléphone et me propose de me prendre en voiture étant donné qu’il va également rendre visite à sa femme.
Vers 18H, il vient me chercher, je m’installe dans sa voiture et en m’asseyant, ma jupe assez courte remonte très haut et je pense qu’il a vu mon string. J’essaye de réajuster ma tenue et il me dit :
-pourquoi caches-tu tes belles jambes de cette façon, la semaine dernière tu étais bien en mini maillot sur la plage avec Hugo, Jenny et moi ?
-oui c’est vrai Alain, mais c’est pour ne pas te distraire au volant.
Je vois ses yeux qui fixent ma poitrine car les tétons sont érigés et bien visible sous mon chemisier.
-Mon frère a de la chance d’avoir une belle femme comme toi
-Mais toi aussi Alain tu as une belle femme et qu’elle classe !!!
-Oui mais parfois un peu trop et elle n’est pas ce que tu peux penser au lit.
-Ah bon, pourtant elle a tout ce qu’il faut pour satisfaire un homme
Et la conversation continue jusqu’à ce que l’on soit arrivé à l’hôpital et c’est ainsi que j’ai appris qu’elle n’est pas assez active au lit.
A l’hôpital, puisque je passe devant la chambre de ma belle-sœur avant celle d’Hugo, je vais lui dire bonjour et l’on voit qu’elle est encore dans un état semi comateux.
Alain me dit qu’il passera voir Hugo vers la fin des visites.
Mon Hugo m’attendait avec impatience et était très heureux de voir mes tétons pointer au travers de mon chemisier. Je l’embrasse et sa main plonge sous ma jupe et son doigt n’a aucune peine a pénétré ma chatte trempée par les déclarations d’Alain dans la voiture.
-Chérie, enlevé ton string ce sera plus facile pour moi.
-Tu es exigeant, mais que ne ferais-je pas pour toi !
Et j’ai enlevé mon string qu’il a mis sous son nez pour sentir mon parfum vaginal.
J’avais à peine enlevé mon string qu’il reçoit la visite d’un collègue et sa femme.
Pendant ce temps j’avais la chatte brulante de désir et je m’efforçais à faire attention à mes mouvements de jambes, car assisse sur le bord du lit, son collègue et sa femme auraient pu voir ma chatte nue et lisse.
Ils sont partis un quart d’heure avant la fin de la visite et mon Hugo a voulu que je m’asseye sur sa main et deux doigts me fouillaient la chatte détrempée. Je me suis laissé tomber en arrière pour l’embrasser et ma main gauche astiquait sa grosse bite bien dure. J’étais au paradis et prêt à jouir, plus rien ne comptais pour moi, jusqu’à ce qu’Alain qui était entré dans la chambre et qu’il dise qu’il pouvait revenir plus tard. Il était là en face de moi et devait avoir une belle vue sur les deux doigts de son frère dans ma chatte. Alain avait un beau sourire et moi j’étais rouge écarlate de honte.
Après quelques échanges avec son frère sur son état et celui de sa femme, une voix annonçais la fin des visites.
De mon côté et sans rien dire je cherchais mon string et j’ai quitté la chambre sans l’avoir trouvé.
Me voilà totalement nue sous mes vêtements, j’avais peur que quelqu’un ne voit une coulée de cyprine le long de mes cuisses.
En rejoignant la voiture, je sentais le souffle du vent caresser ma chatte et cette sensation nouvelle pour moi, m’excitais d’avantage, résultat mes tétons étaient bien visible au travers de mon chemisier.
En rentrant dans la voiture, j’ai mis ma main devant mon entre-jambe et Alain me dit :
-Aurélie, je viens de voir les doigts de mon frère dans ta chatte et maintenant tu mets ta main devant pour que je la vois pas, je voudrais que Jenny se rase la chatte comme toi mais elle ne veut pas, j’ai tellement envie de lécher une chatte sans poils comme la tienne et puis….
Alain met un tissus devant son nez, il hume bien et me dis
-l’odeur de ta chatte est enivrante.
C’est alors que j’ai constaté que c’était lui qui avait mis mon string dans sa poche. Je n’avais plus le contrôle de la situation tellement mon excitation était grandissante. Il a approché sa main de ma chatte et presque machinalement j’ai écarté mes jambes au maximum quand son doigt est entré dans ma chatte.
Alain a pris ma main et l’a déposé sur son sexe en érection. Après avoir compressé quelques fois sa bite toute dure, je lui ai demandé de me reconduire à la maison.
Sur le chemin du retour, tout en parlant de son manque de sexe avec Jenny, il m’a demandé d’ouvrir des boutons de mon chemisier et comme si cela était normal, j’ai ouvert mon chemisier et il a mis sa main droite sur mon téton qu’il faisait rouler entre ses doigts. Je fermais les yeux pour mieux apprécier ses caresses, j’étais au bord de l’explosion mais quand il a remis sa main sur mon clitoris j’ai jouis entre ses doigts tout en poussant mon bassin vers sa main.
Il s’est arrêté dans l’entrée de mon garage, on s’est regardé quelques secondes dans les yeux et je lui ai dit :
-nous sommes tous les deux seul cette nuit, si tu veux je peux t’offrir mieux.
Sans dire un mot il est sorti de la voiture et nous sommes entrés dans la maison.
La porte à peine fermée, il m’a plaquée contre le mur, on s’est roulé une pelle d’enfer, nos langues se battaient, j’ai ouvert sa ceinture et enlevé son pantalon et boxer. Sa bite était très dure et bien plus fine que celle d’Hugo mais nettement plus longue. J’ai levé une jambe et son dard s’est enfoncé au fond de ma chatte. Bien au fond j’ai agrippé mes jambes autour de ses hanches et son dard me poussait les organes internes. Ses mouvements étaient puissants et il me tapait les fesses contre le mur. Nos gémissements devenaient des râles pour finir ensemble en un cri de jouissance quand il a déchargé son jus dans ma chatte.
Moi qui suis toujours accrochée à ses hanches, je vois qu’il veut me déposer et je lui dis de me mettre le cul sur la table de la cuisine. Il recule sa bite de ma chatte, je sens son sperme sortir de ma chatte et l’entend tomber au sol.
-Dis donc Alain, tu n’as vraiment pas lésiné sur la dose, je sens ton jus couler de ma chatte.
Il s’est agenouillé, m’a lécher la chatte plusieurs fois et puis m’a embrasser et nos salives se sont mélangées avec son sperme.
Puis il s’est reculé un peu et en me fixant dans les yeux comme jamais personne ne m’avait fait il me dit :
-tu vois Aurélie, ce sont des baises comme ça qui me manque avec Jenny et c’est la première fois de ma vie que je jouis aussi fort.
-pour moi tu es le deuxième homme qui me fait jouir, avant aujourd’hui je n’avais jamais trompé ton frère, je n’en avais pas besoin d’aller ailleurs car il me fait grimper au rideau.
-tu regrettes ce que l’on vient de faire ?
-et si tu restais toute la nuit avec moi, ça répond à ta question.
Nous sommes allés prendre une douche ensemble, et c’est tout nu que nous avons diné ensemble l’un à côté de l’autre. Nous avons discuté des sensations que nous avons ressenties pendant la baise.
-Aurélie, je sais qu’Alain a une grosse bite de 16 cm de circonférence mais elle ne fait que 13 cm de long, comment as-tu ressentis la mienne qui fait 22 cm de long mais 10 cm de circonférence ?
-Alain j’ai jouis très fort avec ta bite, il est vrais que j’ai ressenti quelque chose de nouveau quand tu étais bien au fond mais j’aimerai profiter de ta bite pour une sodomie. Avec Hugo, je ne jouis pas , j’ai mal c’est trop gros nous avons déjà essayé.
Aurélie, ce sera un honneur pour moi, Jenny ne veux pas et j’aimerai tant connaitre cette sensation.
J’ai pris Alain par la main et nous sommes partis dans ma chambre, il avait déjà sa bite au garde à vous.
-Lèche-moi la chatte Alain, et prend ce tube de lubrifiant, masse ma rondelle avec ce gel.
Il m’a fait un cunni d’enfer, il a torturé mon clitoris, il l’a tellement sucé que je crois qu’il a doublé en volume. Pendant que sa langue m’explorait, il a dilaté ma rondelle, je lui ai demandé d’arrêter car j’étais au bord de l’orgasme.
Comme je voulais être maitre de la situation, je l’ai poussé sur le dos et j’ai embroché sa bite dans ma chatte. J’étais assisse sur sa bite qui me pénétrait très loin et je me suis déchainée pendant deux trois minutes, Il prenait mes seins en mains, les pétrissaient, il jouait et pinçait mes tétons.
Puis je me suis relevée pour ajuster sa bite à ma rondelle, je me suis laissé aller et sa bite est entrée d’un seul trait jusqu’au bout. Je ne vous dis pas la sensation, je me contrôlais pour ne pas jouir de suite. Je me suis couché sur lui, on s’est embrassé pendant qu’il donnait des coups de reins et je sentais sa bite circuler dans mon cul. Il répétait sans cesse que c’était bon. Puis son rythme s’est accéléré, je sentais mon orgasme proche, je me suis redressée et mon bassin s’est balancé sur son pieu bien ancré en moi jusqu’à ce que je m’effondre de plaisir quand j’ai senti ses décharges de sperme dans mon intestin.
Je sentais que sa bite ne flétrissait pas, je me suis reculée et en voyant sa bite gluante de sperme de gel, j’ai pris sa bite en bouche aussi loin que possible. C’est alors que je l’ai entendu pour la première fois me traiter de salope, ce qui a eu pour effet de m’exciter encore plus. Je me suis déchainée sur sa bite, il me tirait pas les cheveux pour m’empêcher de bouger. Mon excitation augmentait aussi car je sentais son sperme sortir de mon cul et glissé vers ma chatte. Avec un doigt plein de lubrifiant de sa bite, j’ai titillé sa rondelle. Cela avait l’air de lui plaire car son bassin donnait des à-coups au fur et à mesure que j’augmentais la pression sur sa rondelle. Lorsque mon doigt a pénétré sa rondelle, il a crié, s’est tordu et à éjaculer dans ma bouche et m’arrachant les cheveux. Cette douleur et le sperme qui dégoulinais m’a donné mon quatrième ou cinquième orgasme de la soirée.
Je me suis de nouveau couché sur son corps tout en sueur et on s’est longuement embrassé. Des dizaines de fois je l’ai entendus dire : « mais qu’elle chance a mon frère d’avoir une femme comme toi ».
Après la douche, il est retourné chez lui, il était près de minuit et l’on s’est donné rendez-vous le lendemain pour rendre visite à nos malades. Pendant cinq soirées, jusqu’à ce que Jenny revienne de l’hôpital, nous avons recommencé et il m’a sodomisé à chaque fois.
C’est notre secret à nous deux et depuis nos deux couples filent le parfait amour
De temps en temps, j’ai encore un rapport avec Alain et le dernier, date d’une quinzaine de jours et nous avons toujours autant de plaisir.
Mon Hugo n’en sait rien…enfin je pense et si nos rapports sont un peu plus espacés aujourd’hui, il me baise toujours aussi bien.
Vous me demanderai peut être pourquoi je baise alors encore avec Alain, je dirai égoïstement, que j‘ai un certain plaisir a baiser avec lui en sachant que je baise beaucoup mieux que sa femme ce qui augmente encore mes orgasmes avec lui et lui me dit qu’il adore me voir jouir de cette façon.
Aurélie
A 50ans j’ai peu d’espoir de retrouver un emploi, j’entretiens ma maison et prépare les petits plats pour le retour de mon mari qui a une très belle situation.
J’occupe mes journées à surfer sur internet et depuis peu, je me suis mise à lire les histoires de sexe que les internautes écrivent.
Et je veux moi aussi raconter une histoire qui s’est passée…il y a plus de vingt ans en essayant de raconter le plus justement comme cela s’est passé.
Désolé si certaines de mes phrases ne sont pas très correctement écrite mais je pense que l’essentiel est de raconter les faits.
D’abords une petite présentation, au moment des faits, Hugo mon mari 23 ans, bel homme châtain clair, athlétique et une bite qui me remplit très bien la chatte, moi Aurélie 22 ans brune et la peau mate, un très beau 90C et 55 kg de muscle que j’entretiens en faisant du tennis.
Le frère de Hugo, Alain 28 ans copie conforme de mon mari et Jenny sa femme 30ans très belle femme élégante et un peu…beaucoup BCBG.
Nous sommes très complices et nous nous voyons souvent.
Nous partons souvent ensemble en vacances dans le sud et je me suis toujours arrangée pour qu’Alain me vois nue, mais il n’y a jamais rien eu de plus jusqu’à l’été du fait.
Hugo en revenant de son boulot s’est fait couper la route par un petit camion, résultat fracture du bassin, du col de fémur et du tibia le tout à droite et des hématomes un peu partout. Il est resté six semaines à l’hôpital, Dieu merci, il aurait pu être tué.
Jenny a subis une petite opération programmée trois jours après l’accident de Hugo, mais suite aux complications, elle est restée une semaine dans le même hôpital que mon mari.
Les deux premiers jours, je suis allée à l’hôpital avec les transports en commun et dès le deuxième jour d’hospitalisation, mon cher époux, très porté sur le sexe, avait déjà la bite en manque de ma petite chatte. Discrètement, je lui ai astiqué le manche et il a jouis dans une serviette en papier.
Comme j’étais en pantalon ce jour, il m’a demandé de venir en jupe pour qu’il puisse caresser ma chatte plus facilement et sans soutien. Je lui dis que sa demande mouille déjà ma chatte et me répond qu’il espère que ma chatte soit trempée quand je me présenterai à lui le lendemain.
Le lendemain dans le courant de la journée, Alain, mon beau-frère, me téléphone et me propose de me prendre en voiture étant donné qu’il va également rendre visite à sa femme.
Vers 18H, il vient me chercher, je m’installe dans sa voiture et en m’asseyant, ma jupe assez courte remonte très haut et je pense qu’il a vu mon string. J’essaye de réajuster ma tenue et il me dit :
-pourquoi caches-tu tes belles jambes de cette façon, la semaine dernière tu étais bien en mini maillot sur la plage avec Hugo, Jenny et moi ?
-oui c’est vrai Alain, mais c’est pour ne pas te distraire au volant.
Je vois ses yeux qui fixent ma poitrine car les tétons sont érigés et bien visible sous mon chemisier.
-Mon frère a de la chance d’avoir une belle femme comme toi
-Mais toi aussi Alain tu as une belle femme et qu’elle classe !!!
-Oui mais parfois un peu trop et elle n’est pas ce que tu peux penser au lit.
-Ah bon, pourtant elle a tout ce qu’il faut pour satisfaire un homme
Et la conversation continue jusqu’à ce que l’on soit arrivé à l’hôpital et c’est ainsi que j’ai appris qu’elle n’est pas assez active au lit.
A l’hôpital, puisque je passe devant la chambre de ma belle-sœur avant celle d’Hugo, je vais lui dire bonjour et l’on voit qu’elle est encore dans un état semi comateux.
Alain me dit qu’il passera voir Hugo vers la fin des visites.
Mon Hugo m’attendait avec impatience et était très heureux de voir mes tétons pointer au travers de mon chemisier. Je l’embrasse et sa main plonge sous ma jupe et son doigt n’a aucune peine a pénétré ma chatte trempée par les déclarations d’Alain dans la voiture.
-Chérie, enlevé ton string ce sera plus facile pour moi.
-Tu es exigeant, mais que ne ferais-je pas pour toi !
Et j’ai enlevé mon string qu’il a mis sous son nez pour sentir mon parfum vaginal.
J’avais à peine enlevé mon string qu’il reçoit la visite d’un collègue et sa femme.
Pendant ce temps j’avais la chatte brulante de désir et je m’efforçais à faire attention à mes mouvements de jambes, car assisse sur le bord du lit, son collègue et sa femme auraient pu voir ma chatte nue et lisse.
Ils sont partis un quart d’heure avant la fin de la visite et mon Hugo a voulu que je m’asseye sur sa main et deux doigts me fouillaient la chatte détrempée. Je me suis laissé tomber en arrière pour l’embrasser et ma main gauche astiquait sa grosse bite bien dure. J’étais au paradis et prêt à jouir, plus rien ne comptais pour moi, jusqu’à ce qu’Alain qui était entré dans la chambre et qu’il dise qu’il pouvait revenir plus tard. Il était là en face de moi et devait avoir une belle vue sur les deux doigts de son frère dans ma chatte. Alain avait un beau sourire et moi j’étais rouge écarlate de honte.
Après quelques échanges avec son frère sur son état et celui de sa femme, une voix annonçais la fin des visites.
De mon côté et sans rien dire je cherchais mon string et j’ai quitté la chambre sans l’avoir trouvé.
Me voilà totalement nue sous mes vêtements, j’avais peur que quelqu’un ne voit une coulée de cyprine le long de mes cuisses.
En rejoignant la voiture, je sentais le souffle du vent caresser ma chatte et cette sensation nouvelle pour moi, m’excitais d’avantage, résultat mes tétons étaient bien visible au travers de mon chemisier.
En rentrant dans la voiture, j’ai mis ma main devant mon entre-jambe et Alain me dit :
-Aurélie, je viens de voir les doigts de mon frère dans ta chatte et maintenant tu mets ta main devant pour que je la vois pas, je voudrais que Jenny se rase la chatte comme toi mais elle ne veut pas, j’ai tellement envie de lécher une chatte sans poils comme la tienne et puis….
Alain met un tissus devant son nez, il hume bien et me dis
-l’odeur de ta chatte est enivrante.
C’est alors que j’ai constaté que c’était lui qui avait mis mon string dans sa poche. Je n’avais plus le contrôle de la situation tellement mon excitation était grandissante. Il a approché sa main de ma chatte et presque machinalement j’ai écarté mes jambes au maximum quand son doigt est entré dans ma chatte.
Alain a pris ma main et l’a déposé sur son sexe en érection. Après avoir compressé quelques fois sa bite toute dure, je lui ai demandé de me reconduire à la maison.
Sur le chemin du retour, tout en parlant de son manque de sexe avec Jenny, il m’a demandé d’ouvrir des boutons de mon chemisier et comme si cela était normal, j’ai ouvert mon chemisier et il a mis sa main droite sur mon téton qu’il faisait rouler entre ses doigts. Je fermais les yeux pour mieux apprécier ses caresses, j’étais au bord de l’explosion mais quand il a remis sa main sur mon clitoris j’ai jouis entre ses doigts tout en poussant mon bassin vers sa main.
Il s’est arrêté dans l’entrée de mon garage, on s’est regardé quelques secondes dans les yeux et je lui ai dit :
-nous sommes tous les deux seul cette nuit, si tu veux je peux t’offrir mieux.
Sans dire un mot il est sorti de la voiture et nous sommes entrés dans la maison.
La porte à peine fermée, il m’a plaquée contre le mur, on s’est roulé une pelle d’enfer, nos langues se battaient, j’ai ouvert sa ceinture et enlevé son pantalon et boxer. Sa bite était très dure et bien plus fine que celle d’Hugo mais nettement plus longue. J’ai levé une jambe et son dard s’est enfoncé au fond de ma chatte. Bien au fond j’ai agrippé mes jambes autour de ses hanches et son dard me poussait les organes internes. Ses mouvements étaient puissants et il me tapait les fesses contre le mur. Nos gémissements devenaient des râles pour finir ensemble en un cri de jouissance quand il a déchargé son jus dans ma chatte.
Moi qui suis toujours accrochée à ses hanches, je vois qu’il veut me déposer et je lui dis de me mettre le cul sur la table de la cuisine. Il recule sa bite de ma chatte, je sens son sperme sortir de ma chatte et l’entend tomber au sol.
-Dis donc Alain, tu n’as vraiment pas lésiné sur la dose, je sens ton jus couler de ma chatte.
Il s’est agenouillé, m’a lécher la chatte plusieurs fois et puis m’a embrasser et nos salives se sont mélangées avec son sperme.
Puis il s’est reculé un peu et en me fixant dans les yeux comme jamais personne ne m’avait fait il me dit :
-tu vois Aurélie, ce sont des baises comme ça qui me manque avec Jenny et c’est la première fois de ma vie que je jouis aussi fort.
-pour moi tu es le deuxième homme qui me fait jouir, avant aujourd’hui je n’avais jamais trompé ton frère, je n’en avais pas besoin d’aller ailleurs car il me fait grimper au rideau.
-tu regrettes ce que l’on vient de faire ?
-et si tu restais toute la nuit avec moi, ça répond à ta question.
Nous sommes allés prendre une douche ensemble, et c’est tout nu que nous avons diné ensemble l’un à côté de l’autre. Nous avons discuté des sensations que nous avons ressenties pendant la baise.
-Aurélie, je sais qu’Alain a une grosse bite de 16 cm de circonférence mais elle ne fait que 13 cm de long, comment as-tu ressentis la mienne qui fait 22 cm de long mais 10 cm de circonférence ?
-Alain j’ai jouis très fort avec ta bite, il est vrais que j’ai ressenti quelque chose de nouveau quand tu étais bien au fond mais j’aimerai profiter de ta bite pour une sodomie. Avec Hugo, je ne jouis pas , j’ai mal c’est trop gros nous avons déjà essayé.
Aurélie, ce sera un honneur pour moi, Jenny ne veux pas et j’aimerai tant connaitre cette sensation.
J’ai pris Alain par la main et nous sommes partis dans ma chambre, il avait déjà sa bite au garde à vous.
-Lèche-moi la chatte Alain, et prend ce tube de lubrifiant, masse ma rondelle avec ce gel.
Il m’a fait un cunni d’enfer, il a torturé mon clitoris, il l’a tellement sucé que je crois qu’il a doublé en volume. Pendant que sa langue m’explorait, il a dilaté ma rondelle, je lui ai demandé d’arrêter car j’étais au bord de l’orgasme.
Comme je voulais être maitre de la situation, je l’ai poussé sur le dos et j’ai embroché sa bite dans ma chatte. J’étais assisse sur sa bite qui me pénétrait très loin et je me suis déchainée pendant deux trois minutes, Il prenait mes seins en mains, les pétrissaient, il jouait et pinçait mes tétons.
Puis je me suis relevée pour ajuster sa bite à ma rondelle, je me suis laissé aller et sa bite est entrée d’un seul trait jusqu’au bout. Je ne vous dis pas la sensation, je me contrôlais pour ne pas jouir de suite. Je me suis couché sur lui, on s’est embrassé pendant qu’il donnait des coups de reins et je sentais sa bite circuler dans mon cul. Il répétait sans cesse que c’était bon. Puis son rythme s’est accéléré, je sentais mon orgasme proche, je me suis redressée et mon bassin s’est balancé sur son pieu bien ancré en moi jusqu’à ce que je m’effondre de plaisir quand j’ai senti ses décharges de sperme dans mon intestin.
Je sentais que sa bite ne flétrissait pas, je me suis reculée et en voyant sa bite gluante de sperme de gel, j’ai pris sa bite en bouche aussi loin que possible. C’est alors que je l’ai entendu pour la première fois me traiter de salope, ce qui a eu pour effet de m’exciter encore plus. Je me suis déchainée sur sa bite, il me tirait pas les cheveux pour m’empêcher de bouger. Mon excitation augmentait aussi car je sentais son sperme sortir de mon cul et glissé vers ma chatte. Avec un doigt plein de lubrifiant de sa bite, j’ai titillé sa rondelle. Cela avait l’air de lui plaire car son bassin donnait des à-coups au fur et à mesure que j’augmentais la pression sur sa rondelle. Lorsque mon doigt a pénétré sa rondelle, il a crié, s’est tordu et à éjaculer dans ma bouche et m’arrachant les cheveux. Cette douleur et le sperme qui dégoulinais m’a donné mon quatrième ou cinquième orgasme de la soirée.
Je me suis de nouveau couché sur son corps tout en sueur et on s’est longuement embrassé. Des dizaines de fois je l’ai entendus dire : « mais qu’elle chance a mon frère d’avoir une femme comme toi ».
Après la douche, il est retourné chez lui, il était près de minuit et l’on s’est donné rendez-vous le lendemain pour rendre visite à nos malades. Pendant cinq soirées, jusqu’à ce que Jenny revienne de l’hôpital, nous avons recommencé et il m’a sodomisé à chaque fois.
C’est notre secret à nous deux et depuis nos deux couples filent le parfait amour
De temps en temps, j’ai encore un rapport avec Alain et le dernier, date d’une quinzaine de jours et nous avons toujours autant de plaisir.
Mon Hugo n’en sait rien…enfin je pense et si nos rapports sont un peu plus espacés aujourd’hui, il me baise toujours aussi bien.
Vous me demanderai peut être pourquoi je baise alors encore avec Alain, je dirai égoïstement, que j‘ai un certain plaisir a baiser avec lui en sachant que je baise beaucoup mieux que sa femme ce qui augmente encore mes orgasmes avec lui et lui me dit qu’il adore me voir jouir de cette façon.
Aurélie
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire ...!
Superbement raconté
Superbe récit j'adore,on est vite à la place d'Alain dans l'imagination.Au plaisir de vous lire encore Merci à vous
Très joli récit, bien agréable
Les faits sont très bien racontés et l’histoire est racontée avec beaucoup de franchise. Vous vous êtes mutuellement fait plaisir sans nuire à vos conjoints (ce qu’on ignore ne fait pas mal)
Merci pour ce récit très excitant
Merci pour ce récit très excitant
Jolie récit très exitant
Jolie récit très exitant