Comment j'ai commncé à aimer la BITE
Récit érotique écrit par Giorgio [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Comment j'ai commncé à aimer la BITE
<p>Ceux qui me connaissent savent que j’aime la bite, je l’adore même...
Mais aujourd’hui je vais raconter comment est née cette passion pour l’homme, pour la queue de l’homme.
J’avais à peine 19 ans lorsque un jour d’été comme tant d’autres je vais à la mer, à l’établissement de mer sur le rivage de l’Italie.
Je vais dans ma cabine (en toile comme toutes les autres) je m’apprête à me changer pour me mettre en maillot de bains, mais un bruit à coté attire mon attention. Auparavant j'avais percé un trou pratiquement invisible pour espionner les filles qui se changeaient. J'approche mon œil et voilà que cette fois c'est un homme tout nu et bien musclé qui était en train de se masturber. Une bite ENORME, et là - surprise - cette vision m'excite et je bande. Je regarde cet homme super avec cette bite superbe... je reste collé à cette vision. Je dévorais de mes yeux la tige raide avec des nervures saillantes, avec un gland qui dépassait en grosseur la bite proprement dite Et voilà que quelqu'un frappe à ma porte : c'est mon cousin du même âge que moi. Il veut entrer pour se changer. J'ouvre mécaniquement la porte... Et je lui dis qu’un mec est tout nu. Il veut regarder aussi, mais je l'empêche, le spectacle est trop beau je suis égoïste je le veux tout pour moi. Et puis il n’y a pas la place pour deux. Alors Jean mon cousin se déshabille, il est tout nu aussi et s'approche de moi pour essayer de voir l’homme qui se masturbe de plus belle, l’homme à la bite en feu. Sans faire exprès ou peut-être en voulant me toucher, il se met contre moi, tout contre. Je sens sa bite contre mon cul. Je suis tellement excité par la vision du mec et de sa grosse bite que je me frotte contre la queue de mon cousin je bouge mon cul contre lui. Ca l'excite et commence à bander tout en me donnant de petits coups qui me rendent dingue de plaisir. Pendant 5 minutes il pousse sa bite contre ma raie et me frotte le cul avec sa bite je suis fou d'excitation !!!
A un moment donné je ne résiste pas je me tourne et j'attrape sa bite, je commence à la malaxer, à le caresser, je le branle, mais ça ne me suffit pas : je descends sur mes genoux avec mon visage à la hauteur de son sexe et je commence à lécher avec une gourmandise qui m'étonne. Je lèche, je suce, j'avale cette bite raide et parfumée... Mon cousin est excité au max, mais là lui aussi il a envie de me toucher, de me sucer. Alors ne pouvant pas s'adonner à un 69 étant donné l'étroitesse de la cabine, on commence à alterner nos pipes. Une fois moi, une fois lui. Ce manège nous oblige forcement à faire du bruit. On avait oublié l’étalon branleur, qui de toute évidence s’était mis à regarder par le trou que j’avais percé : Il frappe à la porte : il veut se faire ouvrir. Moi je ne résiste pas à l’homme et j’ouvre. Il était en maillot, mais une fois à l’intérieur de la cabine se déculotte pour nous mettre devant nos visages éberlués sa bite énorme et bien raide. Il m’oblige à le sucer, mais moi j’en étais heureux : je prends sa bite dans ma bouche à pleines lèvres tout en caressant ses couilles, pendant que mon cousin, ne pouvant pas toucher l’homme se contente de me branler, à ma grande joie. Malheureusement le plaisir fut de brève durée : l’Homme était tellement excité qu’il commence à éjaculer dans ma bouche avec 4 ou 5 ou peut-être 6 jets de sperme qui vont gicler dans ma gorge. J’étais stupéfait mais malgré tout heureux, puisque la main de Jean m’avait fait du bien et je jouissais avec l’Homme. Jean en revanche était resté raide sans pouvoir jouit, alors l’Homme lui mit sa bite mouillée de sperme et un peu molle dans la bouche en lui ordonnant de sucer et de le faire bander. Jean si mit à la tache, avec une telle ardeur que non seulement l’Homme commença à bander dur mais moi aussi j’avais envie de lui à nouveau. Dans l’impossibilité d’arracher sa bite de la bouche de Jean je me suis contenté de sucer mon cousin qui arriva rapidement à gicler également dans ma gorge. Ce fut l’apothéose. D’autres jours d’été me remplirent la bouche et le cul de la bite de l’Homme. Depuis je peux apprécier le sexe masculin et rendre heureux des hommes en les suçant à fond, en caressant la bite que je considère comme un bien précieux qu’il faut savoir valoriser, câliner adorer…
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Mais aujourd’hui je vais raconter comment est née cette passion pour l’homme, pour la queue de l’homme.
J’avais à peine 19 ans lorsque un jour d’été comme tant d’autres je vais à la mer, à l’établissement de mer sur le rivage de l’Italie.
Je vais dans ma cabine (en toile comme toutes les autres) je m’apprête à me changer pour me mettre en maillot de bains, mais un bruit à coté attire mon attention. Auparavant j'avais percé un trou pratiquement invisible pour espionner les filles qui se changeaient. J'approche mon œil et voilà que cette fois c'est un homme tout nu et bien musclé qui était en train de se masturber. Une bite ENORME, et là - surprise - cette vision m'excite et je bande. Je regarde cet homme super avec cette bite superbe... je reste collé à cette vision. Je dévorais de mes yeux la tige raide avec des nervures saillantes, avec un gland qui dépassait en grosseur la bite proprement dite Et voilà que quelqu'un frappe à ma porte : c'est mon cousin du même âge que moi. Il veut entrer pour se changer. J'ouvre mécaniquement la porte... Et je lui dis qu’un mec est tout nu. Il veut regarder aussi, mais je l'empêche, le spectacle est trop beau je suis égoïste je le veux tout pour moi. Et puis il n’y a pas la place pour deux. Alors Jean mon cousin se déshabille, il est tout nu aussi et s'approche de moi pour essayer de voir l’homme qui se masturbe de plus belle, l’homme à la bite en feu. Sans faire exprès ou peut-être en voulant me toucher, il se met contre moi, tout contre. Je sens sa bite contre mon cul. Je suis tellement excité par la vision du mec et de sa grosse bite que je me frotte contre la queue de mon cousin je bouge mon cul contre lui. Ca l'excite et commence à bander tout en me donnant de petits coups qui me rendent dingue de plaisir. Pendant 5 minutes il pousse sa bite contre ma raie et me frotte le cul avec sa bite je suis fou d'excitation !!!
A un moment donné je ne résiste pas je me tourne et j'attrape sa bite, je commence à la malaxer, à le caresser, je le branle, mais ça ne me suffit pas : je descends sur mes genoux avec mon visage à la hauteur de son sexe et je commence à lécher avec une gourmandise qui m'étonne. Je lèche, je suce, j'avale cette bite raide et parfumée... Mon cousin est excité au max, mais là lui aussi il a envie de me toucher, de me sucer. Alors ne pouvant pas s'adonner à un 69 étant donné l'étroitesse de la cabine, on commence à alterner nos pipes. Une fois moi, une fois lui. Ce manège nous oblige forcement à faire du bruit. On avait oublié l’étalon branleur, qui de toute évidence s’était mis à regarder par le trou que j’avais percé : Il frappe à la porte : il veut se faire ouvrir. Moi je ne résiste pas à l’homme et j’ouvre. Il était en maillot, mais une fois à l’intérieur de la cabine se déculotte pour nous mettre devant nos visages éberlués sa bite énorme et bien raide. Il m’oblige à le sucer, mais moi j’en étais heureux : je prends sa bite dans ma bouche à pleines lèvres tout en caressant ses couilles, pendant que mon cousin, ne pouvant pas toucher l’homme se contente de me branler, à ma grande joie. Malheureusement le plaisir fut de brève durée : l’Homme était tellement excité qu’il commence à éjaculer dans ma bouche avec 4 ou 5 ou peut-être 6 jets de sperme qui vont gicler dans ma gorge. J’étais stupéfait mais malgré tout heureux, puisque la main de Jean m’avait fait du bien et je jouissais avec l’Homme. Jean en revanche était resté raide sans pouvoir jouit, alors l’Homme lui mit sa bite mouillée de sperme et un peu molle dans la bouche en lui ordonnant de sucer et de le faire bander. Jean si mit à la tache, avec une telle ardeur que non seulement l’Homme commença à bander dur mais moi aussi j’avais envie de lui à nouveau. Dans l’impossibilité d’arracher sa bite de la bouche de Jean je me suis contenté de sucer mon cousin qui arriva rapidement à gicler également dans ma gorge. Ce fut l’apothéose. D’autres jours d’été me remplirent la bouche et le cul de la bite de l’Homme. Depuis je peux apprécier le sexe masculin et rendre heureux des hommes en les suçant à fond, en caressant la bite que je considère comme un bien précieux qu’il faut savoir valoriser, câliner adorer…
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