Comment je suis devenu une lope BI pour homme mûr. Mon apprentissage continu ! - histoire érotique

Bonjour à tous,
Je fais suite à ma première histoire, dans laquelle je vous racontais comment j’ai fait pour la première fois l’amour avec un homme mûr en tant que passif.

Pour rappel, je suis un homme bi, 42 ans, marié et plutôt attiré par les femmes. Toutefois, j’ai depuis longtemps le fantasme d’être dominé de façon soft par un homme plus âgé que moi, yeux bandés à sa disposition….

Je vais donc vous raconter aujourd’hui comment mon second partenaire masculin a continué mon initiation non seulement à la sodomie, mais aussi à la soumission (soft).

J’ai alors 38 ans, je recherche toujours de façon plus ou moins informelle un homme (de préférence gay) pouvant me recevoir en « plan direct » dans le jargon. Je traine sur les réseaux téléphoniques lorsque un homme me laisse un message. Sa demande est explicite : « bonjour, j’ai 60 ans, je cherche un homme plus jeune poilu pour m’occuper de lui, un passif comme toi ». Je réponds illico en lui disant que je cherche un homme plus âgé. Il me « prend en duo », j’ai le cœur qui bat à 100 à l’heure, j’attends le son de sa voix. Une fois connectés, je tombe sous le charme de sa voix, et surtout de sa directivité mêlée tout de même d’une certaine classe (je n’aime pas la vulgarité). Je luis décris la façon avec laquelle j’aimerais que notre rencontre se passe : avoir les yeux bandés dès mon arrivée, lui faire une bonne fellation, et être bien sodomisé. Il est d’accord. Il me demande « si je suis sain », je lui réponds par l’affirmative. Il me dit que lui aussi et qu’il me propose de me prendre « nature ». Je suis encore plus excité car j’ai dans le souvenir mes premières fois, où mon partenaire m’inondait de sa précieuse semence, et j’adorais servir ainsi.
Il me communique son numéro de téléphone pour que je lui envoie quelques photos de moi. Je suis hyper excité, et je les fais dans l’instant, seul sous ma couette. J’essaie de prendre les meilleures poses, les plus sexy possibles, de mes fesses, mon anus, mon sexe, mon torse… J’attends avec nervosité sa réponse, en espérant lui convenir.

Il me répond qu’il aime mon corps poilu et qu’il a très envie de moi. Banco ! Rendez-vous est pris pour l’après-midi même (c’était un jour où j’étais de repos). Il m’envoie son adresse par SMS. Je cours me préparer, avec une bonne douche intime. Entre temps, je reçois les photos de sa magnifique queue, d’une vingtaine de centimètre, avec un gland qui donne envie de le lécher.

Je prends la route, j’en ai pour environ 30 minutes. Une demi-heure pendant laquelle les images se succèdent dans ma tête, celles que j’ai pu voir de films pornos gays. J’ai hâte d’arriver, je bande comme un beau diable.

Je me gare, sort de la voiture et me dirige vers l’immeuble de mon maître. Evidemment, la peur m’envahit, comme à chaque fois, mais l’excitation est plus forte. Je l’appelle, il me guide vers l’entrée et me donne le numéro de l’interphone. Je prends l’ascenseur, arrive dans le couloir où je vois sur le pas de la porte entrouverte le bandeau noir que je dois nouer autour de ma tête. Je m’exécute, sonne à la porte. Il m’ouvre, j’entre le cœur battant. Il me fait me déshabiller, en caressant mon corps et en s’attardant sur mes têtons qui durcissent immédiatement.

Me voila nu devant mon partenaire, sans pouvoir le voir. Il me caresse les fesses, en s’attardant sur mon anus, toujours de façon très douce, ce qui fait monter mon excitation. Bien entendu, je bande, mais mon partenaire ne me touche pas le sexe, préférant plutôt s’attarder sur l’orifice dans lequel il prendra place tout à l’heure.

Il me guide vers la salle de bain, en m’indiquant qu’il va me faire un bon lavement anal. Je le suis, intéressé par l’idée d’être complétement sa chose. Il me fait entrer dans la baignoire, en me demandant de me mettre à 4 pattes. Il fait couler l’eau, une fois à température, il me fait entrer le tuyau de la douche dans mon anus, puis y entre son doigt avec du savon. J’ouvre bien grand mon sphincter pour évacuer l’eau. Il me fait tourner la tête vers lui, je devine qu’il va falloir que je commence à le sucer. Il me fait ouvrir la bouche et je sens alors son sexe, déjà dur, sur ma langue. Sensation exquise que de faire plaisir à un homme avec ma bouche humide. Je resserre les lèvres autour de sa queue , tout en faisant tourner ma langue autour de son gland. Il me dit « c’est bon salope, tu es une bonne suçeuse ».

Il me fait sortir de la baignoire, me sèche avec une serviette. J’ai envie de le sucer de nouveau, j’ai hâte d’arriver à la suite, mais en même temps j’ai quelques appréhensions, que j’arrive à surmonter. Il me dit qu’il va sortir de la salle de bain et que je dois enlever le bandeau. Il ferme la porte et je me demande bien ce qu’il va m’arriver ! Je vois alors une paire de bas, une nuisette noire et un string de la même couleur, posés sur une commode. Mon partenaire me demande, au travers de la porte, d’enfiler ces vêtements. Je ne me fais pas prier, et je trouve la surprise divine ! Etre féminisé me va bien… Je commence par mettre les bas, je trouve le contact avec le nylon très agréable. J’enfile le string, le contact de la ficelle sur mon anus m’excite. Je termine par le nuisette, et remets le bandeau que je noue bien autour des yeux. Une fois terminé, j’appelle mon partenaire, qui ouvre la porte et dit me trouver très bien ainsi… Mon maître me guide vers sa chambre, j’ai du mal à le suivre, j’ai peur de me cogner, mais nous y arrivons tout de même. Il me fait assoir sur son lit, me donne une fiole de poppers que je sniffe pendant de longues secondes, une narine puis l’autre. Il me prend la tête des mains pour que je le suce, ce que je fais avec plaisir. Sa tige est énorme, j’ai peur de souffrir lorsqu’il me sodomisera, mais je sais que le poppers fera son effet. Il pousse un peu plus à chaque fois son sexe dans ma gorge, j’a du mal mais je m’accroche. Une fois au fond, ses couilles contre mon menton, il pousse un râle de plaisir. Il ressort un peu pour que je m’attarde sur son gland, que je mouille de ma salive du mieux que je peux pour qu’il prenne le plus de plaisir, et garder ce beau sexe bien dur. Je reprends une bonne rasade de poppers. Je ressens une douce chaleur m’envahir, les barrières tombent peu à peu…
Je lèche aussi ses couilles, qu’il a pris soin de raser auparavant, tout en continuant à caresser sa verge. J’ai vraiment l’impression d’être une bonne femelle soumise !

Mon partenaire me met à 4 pattes sur son lit, je sens les bas glisser sur mes cuisses. Mon maitre me dit qu’il me prend en photo, et je cambre alors bien les reins pour être le plus salope possible. Il me demande de bien écarter les fesses, je m’exécute avec plaisir. J’ai hâte qu’il me prenne ! Il goutte mon anus, je sens la douceur de sa langue me fouiller. J’adore cette sensation… Il me dit que le goût de mon petit trou est exquis.

Enfin, il met de côté la ficelle du string, m’enduit de gel frais l’anus. J’adore cette sensation ! Il glisse un doigt, puis deux, remet du gel et me masse de nouveau mon petit trou. Je suis aux anges ! Je reprends un peu de poppoers pour m’abandonner complétement. Je le suce de nouveau pour bien imprégner de salive sa tige.

Mon maître vient se placer derrière moi, il met son gland contre mon anus, qu’il caresse avec. Je pousse mes reins vers son sexe pour lui montrer que je veux qu’il m’empale. Il entre sa verge doucement en moi, d’abord le gland, puis centimètre par centimètre. Je n’éprouve pas de douleur, au contraire… Mon intimité commence à s’habituer aux bittes, pour ne ressentir que du plaisir. Ca y est, je suis vraiment devenu, dans ces habits de femme, une vraie lope… Il me dit que mon trou est très agréable, chaud, serré, humide à souhait. Il s’accroche à mes fesses. Je sens ses couilles les taper au gré de ses vas-et viens, devenus plus intenses. Il s’interrompt cependant quelques instants pour prendre en photo son sexe sans préservatif en moi, semblant apprécié la pose.

Puis il reprend ses mouvements entre mes reins, pendant des minutes qui me emblent une éternité. J’aime être ainsi possédé par un homme mûr, être totalement dévolu à son plaisir.

Il jouit enfin en moi, dans un grand cri de soulagement. Je sens la chaleur de sa semence m’envahir, c’est délicieux. Il me dit « salope, tu m’as bien fait jouir ! ».

J’enlève le bandeau, voit un monsieur au crâne dégarni, un peu rond, d’environ 1M60, pas très beau, mais je m’en fiche car je lui ai bien servi de lope et c’est cela qui compte. Un peu honteux, je vais prendre une bonne douche pour me sauver le plus vite possible. Les gens me regardent dans la rue un peu bizarrement (en tous les cas j’en ai l’impression !), je sais que dans quelques semaines mon envie de rencontrer un inconnu actif me reprendra.

Je vous raconterai plus tard d’autres aventures…