Comment je suis devenue une vraie SALOPE !!!! (2/2)
Récit érotique écrit par Xsanaax [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comment je suis devenue une vraie SALOPE !!!! (2/2)
Quatre jours plus tard, ce jeune homme me surprend à la pharmacie, pendant que je suis penchée dans une rangée de cosmétique. Il me fait sursauter en passant les deux bras autour de ma taille. Aussitôt, il me donne un doux baiser dans le cou. La mémoire de ses lèvres me fait revivre notre aventure. Je lui dit:
Grand fou!, va.
Il me répond:
J'ai envie de toi. Ne sois pas casseuse de party, et, suis moi?
Ce jeune homme ne me donne pas le temps de réfléchir. Il m'arrache tous les articles que j'ai choisi. Les dépose par terre au milieu de l'allée. Il prend ma main, et, il cherche à m'entraîner avec lui.
J'hésite à le suivre, je veux replacer les articles à leur place. Il proteste, me dit:
Chut!, chut! Il y en a qui sont payer pour cela!
Et, il m'entraîne à sa suite. Rendu près du comptoir où les clients donnent leur prescriptions, il me dit d'attendre avec lui. Et, pour me récompenser, il me donne un baiser à pleine bouche. Pour quelques instants, nous nous becquetons comme deux jeunes amoureux, ce qui semble agacer les quelques clients. À un moment donné, le fou rire me prend. Le jeune homme me demande:
Qu'est-ce qu'il y a de si drôle?
Je lui réponds:
Je ne sais même pas ton prénom.
Il me réplique:
Ce n'est pas grave. Aie!, moi, ça fait au moins quatre jours que je me demande: C'est à qui le beau cul que j'ai baisé. Aie!, fille!,
j'étais impatient, mais, je savais que je te reverrais.
Comment cela, que je lui réplique.
C'est bien simple. Tu es la seule femme à qui j'ai fais l'amour, et, qui ne n'a même pas montrée ses seins.
Je lui mord une lèvre pour lui faire savoir mon opinion. Pendant que nous placotons, il commence à y avoir une légère foule au comptoir de service. Bernard, car, j'ai fini par savoir son mon, en profite pour déranger la préposée devant tout le monde, pour lui demander des renseignements sur les condoms.
Je te dis que nous ne passons pas inaperçu. Bernard cherche à se renseigner sur tous les genres de condoms. La préposée, elle, semble agacée par toutes ses questions? Elle devient plus nerveuse, et, lui, il continue de lui en poser de tout genre pour essayer de savoir qu'elle est la meilleur marque à choisir. Malheur!, pendant tout ce temps-là, moi, je sens des yeux scandalisés qui m'examinent et me jugent.
Nous avons fini l'après-midi dans le lit de sa mère. Après s'être aimer comme de jeunes fous, nous ne prenons même pas le temps de refaire le lit. Je proteste encore. Bernard me dit:
De cette manière, elle va sûrement savoir que je suis passé.
Malheur!, en sortant, nous la croissons. Les quelques secondes, qu'elle m'a vu avec son fils, je sais qu'elle a eu le temps de me détailler. Et, avec ma mini jupe et un simple corsage, je devais avoir l'air d'une vraie fille de bicycle lorsqu'elle m'a regardé grimper sur la Kawa.
Une semaine plu tard, Bernard me demande de l'accompagner chez son coiffeur. Bernard se fait coupé les cheveux pendant que je l'attends assise confortablement sur un fauteuil. Bernard regarde souvent en direction de mes cuisses et moi, je me place pour qu'il puisse profiter du paysage. Faut dire que je suis en mini-jupe et que durant cette période de ma vie, je ne porte pratiquement jamais de petite culotte.
En discutant avec le coiffeur, Bernard amène la conversation sur les femmes et il fait exprès pour parler de sexe. Bernard étrive le jeune coiffeur en lui demandant s'il a déjà fait l'amour à une femme. Le gars devient plus nerveux et lui répond qu'il est homosexuel et qu'il en est heureux. Je vois venir Bernard avec ses idées pour lui faire dire qu'il n'a jamais vue de femme nue. Bernard regarde trop vers mes cuisses, je sais qu'il mijote quelque chose. Je le vois bander dangereusement et moi je fais exprès pour leur révéler le haut de mes cuisses.
À ma surprise, Bernard dit au coiffeur que j'ai besoin d'une coupe. Le gars lui répond que sa journée est terminée et qu'il est trop tard pour aujourd'hui. Bernard sort un bon montant d'argent et lui dit: Avec de l'argent, il n'est jamais trop tard. Fais-nous un spécial, je t'ai dis qu'elle a besoin de tes services et je vais te payer ce qu'il faut.
Après une courte discussion où le gars fait monter les prix, le coiffeur fini par dire O.K. Je m'avance sur la chaise du barbier et je laisse le coiffeur commencer à me jouer dans mes cheveux.
Bernard nous surprend tous les deux en disant au coiffeur: Tu ne comprends pas du tout, c'est les poils de son sexe qu'elle veut faire couper. Bernard me dit: Tu sais pourquoi tu m'as demandée de t'amener ici. Lèves-toi, enlèves ta jupe. Je vois une flamme pétiller dans ses yeux. Le barbier proteste et s'étouffe presque, lorsqu'il constate que je commence à détacher le bouton qui retient ma jupe à ma taille. Je me dépêche, c'est en pouffant de rire que je m'exécute. Je veux faire plaisir à Bernard, je m'étends impudique, nue jusqu'à la taille sur la chaise.
Le coiffeur veut tout abandonner. Bernard lui dit: Un deal, c'est un deal, montes-pas sur tes grands cheveux et fais comme on a décidé. Après une forte discussion, où même la gérante doit intervenir. Celle-là, Bernard la gèle avant qu'elle n'ai le temps de s'en apercevoir. Et, il fait taire ses scrupules en lui donnant un généreux pourboire. Le pauvre coiffeur n'a d'autre choix que d'exécuter sa besogne.
Il maugrée mais, finit par appliquer une crème mousseuse sur mes poils.
Je suis chatouillée par la savonnette. Avec d'infimes précautions, le jeune coiffeur commence à me raser. Je retiens mon souffle tout le temps que dure l'opération. J'ai peur d'être blessée et en même temps je me réjouie de l'évènement, je me dis: Franchement, tu as des talents d'exhibitionniste. Bernard, la gérante et une deuxième coiffeuse surveillent attentivement tous les gestes de l'artiste qui s'exécute avec d'infimes précautions.
Veut, veut pas, le jeune homme doit regarder attentivement ce qu'il fait. Minutieux, il se penche la tête pratiquement entre mes deux cuisses. Excité par toutes ces attentions, mon sexe bande et s'ouvre à la vue de ces voyeurs. Souvent, je regarde du coté de Bernard. Le salaud bande à l'extrême. Il fait les commentaires les plus saugrenues, ce qui fait rougir le coiffeur. Bernard et les deux coiffeuses sont morts de rire tout le temps que dure l'opération. Enfin, il m'a complètement rasé. J'ai la peau nue comme avant ma puberté.
Bernard avec la recommandation de la gérante, oblige presque, le coiffeur à passer ses doigts sur le contour de mon sexe pour vérifier s'il n'y a aucun poil oublié. Le jeune homme est en sueur, mais le métier prend le dessus et il fait comme il lui est demandé. Il a les mains douces comme celles d'un bébé et elles me procurent de merveilleux frissons. Intérieurement, je ris tellement que j'en ai mal au ventre.
Avant de replacer ma jupe convenablement, Bernard demande à la gérante de me faire essayer différente marque de parfum. La femme que je sais de plus en plus excitée, en essaie au moins cinq modèles différents en les appliquant sur mon corps. Je perçois, la délicatesse d'un toucher féminin sur ma peau.
On fini la soirée à l'appartement de Bernard, je vous dit qu'on a rit comme des enfants en se remémorant chaque geste du coiffeur. Bernard a inventé un nouveau jeu. Pour plus d'une heure, il m'a appliqué des pommades sur le contour de mon sexe. Très surexcitée, on a fini la nuit dans une véritable orgie de caresses.
Grand fou!, va.
Il me répond:
J'ai envie de toi. Ne sois pas casseuse de party, et, suis moi?
Ce jeune homme ne me donne pas le temps de réfléchir. Il m'arrache tous les articles que j'ai choisi. Les dépose par terre au milieu de l'allée. Il prend ma main, et, il cherche à m'entraîner avec lui.
J'hésite à le suivre, je veux replacer les articles à leur place. Il proteste, me dit:
Chut!, chut! Il y en a qui sont payer pour cela!
Et, il m'entraîne à sa suite. Rendu près du comptoir où les clients donnent leur prescriptions, il me dit d'attendre avec lui. Et, pour me récompenser, il me donne un baiser à pleine bouche. Pour quelques instants, nous nous becquetons comme deux jeunes amoureux, ce qui semble agacer les quelques clients. À un moment donné, le fou rire me prend. Le jeune homme me demande:
Qu'est-ce qu'il y a de si drôle?
Je lui réponds:
Je ne sais même pas ton prénom.
Il me réplique:
Ce n'est pas grave. Aie!, moi, ça fait au moins quatre jours que je me demande: C'est à qui le beau cul que j'ai baisé. Aie!, fille!,
j'étais impatient, mais, je savais que je te reverrais.
Comment cela, que je lui réplique.
C'est bien simple. Tu es la seule femme à qui j'ai fais l'amour, et, qui ne n'a même pas montrée ses seins.
Je lui mord une lèvre pour lui faire savoir mon opinion. Pendant que nous placotons, il commence à y avoir une légère foule au comptoir de service. Bernard, car, j'ai fini par savoir son mon, en profite pour déranger la préposée devant tout le monde, pour lui demander des renseignements sur les condoms.
Je te dis que nous ne passons pas inaperçu. Bernard cherche à se renseigner sur tous les genres de condoms. La préposée, elle, semble agacée par toutes ses questions? Elle devient plus nerveuse, et, lui, il continue de lui en poser de tout genre pour essayer de savoir qu'elle est la meilleur marque à choisir. Malheur!, pendant tout ce temps-là, moi, je sens des yeux scandalisés qui m'examinent et me jugent.
Nous avons fini l'après-midi dans le lit de sa mère. Après s'être aimer comme de jeunes fous, nous ne prenons même pas le temps de refaire le lit. Je proteste encore. Bernard me dit:
De cette manière, elle va sûrement savoir que je suis passé.
Malheur!, en sortant, nous la croissons. Les quelques secondes, qu'elle m'a vu avec son fils, je sais qu'elle a eu le temps de me détailler. Et, avec ma mini jupe et un simple corsage, je devais avoir l'air d'une vraie fille de bicycle lorsqu'elle m'a regardé grimper sur la Kawa.
Une semaine plu tard, Bernard me demande de l'accompagner chez son coiffeur. Bernard se fait coupé les cheveux pendant que je l'attends assise confortablement sur un fauteuil. Bernard regarde souvent en direction de mes cuisses et moi, je me place pour qu'il puisse profiter du paysage. Faut dire que je suis en mini-jupe et que durant cette période de ma vie, je ne porte pratiquement jamais de petite culotte.
En discutant avec le coiffeur, Bernard amène la conversation sur les femmes et il fait exprès pour parler de sexe. Bernard étrive le jeune coiffeur en lui demandant s'il a déjà fait l'amour à une femme. Le gars devient plus nerveux et lui répond qu'il est homosexuel et qu'il en est heureux. Je vois venir Bernard avec ses idées pour lui faire dire qu'il n'a jamais vue de femme nue. Bernard regarde trop vers mes cuisses, je sais qu'il mijote quelque chose. Je le vois bander dangereusement et moi je fais exprès pour leur révéler le haut de mes cuisses.
À ma surprise, Bernard dit au coiffeur que j'ai besoin d'une coupe. Le gars lui répond que sa journée est terminée et qu'il est trop tard pour aujourd'hui. Bernard sort un bon montant d'argent et lui dit: Avec de l'argent, il n'est jamais trop tard. Fais-nous un spécial, je t'ai dis qu'elle a besoin de tes services et je vais te payer ce qu'il faut.
Après une courte discussion où le gars fait monter les prix, le coiffeur fini par dire O.K. Je m'avance sur la chaise du barbier et je laisse le coiffeur commencer à me jouer dans mes cheveux.
Bernard nous surprend tous les deux en disant au coiffeur: Tu ne comprends pas du tout, c'est les poils de son sexe qu'elle veut faire couper. Bernard me dit: Tu sais pourquoi tu m'as demandée de t'amener ici. Lèves-toi, enlèves ta jupe. Je vois une flamme pétiller dans ses yeux. Le barbier proteste et s'étouffe presque, lorsqu'il constate que je commence à détacher le bouton qui retient ma jupe à ma taille. Je me dépêche, c'est en pouffant de rire que je m'exécute. Je veux faire plaisir à Bernard, je m'étends impudique, nue jusqu'à la taille sur la chaise.
Le coiffeur veut tout abandonner. Bernard lui dit: Un deal, c'est un deal, montes-pas sur tes grands cheveux et fais comme on a décidé. Après une forte discussion, où même la gérante doit intervenir. Celle-là, Bernard la gèle avant qu'elle n'ai le temps de s'en apercevoir. Et, il fait taire ses scrupules en lui donnant un généreux pourboire. Le pauvre coiffeur n'a d'autre choix que d'exécuter sa besogne.
Il maugrée mais, finit par appliquer une crème mousseuse sur mes poils.
Je suis chatouillée par la savonnette. Avec d'infimes précautions, le jeune coiffeur commence à me raser. Je retiens mon souffle tout le temps que dure l'opération. J'ai peur d'être blessée et en même temps je me réjouie de l'évènement, je me dis: Franchement, tu as des talents d'exhibitionniste. Bernard, la gérante et une deuxième coiffeuse surveillent attentivement tous les gestes de l'artiste qui s'exécute avec d'infimes précautions.
Veut, veut pas, le jeune homme doit regarder attentivement ce qu'il fait. Minutieux, il se penche la tête pratiquement entre mes deux cuisses. Excité par toutes ces attentions, mon sexe bande et s'ouvre à la vue de ces voyeurs. Souvent, je regarde du coté de Bernard. Le salaud bande à l'extrême. Il fait les commentaires les plus saugrenues, ce qui fait rougir le coiffeur. Bernard et les deux coiffeuses sont morts de rire tout le temps que dure l'opération. Enfin, il m'a complètement rasé. J'ai la peau nue comme avant ma puberté.
Bernard avec la recommandation de la gérante, oblige presque, le coiffeur à passer ses doigts sur le contour de mon sexe pour vérifier s'il n'y a aucun poil oublié. Le jeune homme est en sueur, mais le métier prend le dessus et il fait comme il lui est demandé. Il a les mains douces comme celles d'un bébé et elles me procurent de merveilleux frissons. Intérieurement, je ris tellement que j'en ai mal au ventre.
Avant de replacer ma jupe convenablement, Bernard demande à la gérante de me faire essayer différente marque de parfum. La femme que je sais de plus en plus excitée, en essaie au moins cinq modèles différents en les appliquant sur mon corps. Je perçois, la délicatesse d'un toucher féminin sur ma peau.
On fini la soirée à l'appartement de Bernard, je vous dit qu'on a rit comme des enfants en se remémorant chaque geste du coiffeur. Bernard a inventé un nouveau jeu. Pour plus d'une heure, il m'a appliqué des pommades sur le contour de mon sexe. Très surexcitée, on a fini la nuit dans une véritable orgie de caresses.
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