Concours de quoi ?
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Concours de quoi ?
Il est des endroits où il vaut mieux pour sa pudeur s’en tenir éloignée. Finalement l’expérience a été agréable. Même mon mari m’en a félicité. Après un diner entre amis, les femmes ont été priées de ne revenir qu’entièrement nues, pour désigner la plus sexy. Paul, que je regardais est jaloux : je suis à lui pas aux autres. D’un clin d’œil j’ai compris qu’il permettait que je passe ce concours.
Dans une salle arrière, avec les autres nous nous déshabillons en nous détaillant. Je trouve certaines trop âgées, d’autres trop maigre, trop grosse, trop de sein, de fesses. Aucune ne me plait : je vais gagner. Nous ricanons comme des collégiennes. Une même se met à caresser la chatte de sa voisine. Nous regardons toutes intéressées jusqu’à l’orgasme.
L’animateur nous fait mettre en groupe sur l’estrade, nous y laisse, quoi deux minutes. Puis chacune à notre tour nous venons nous montrer. La première passe ! Le public demande qu’elle se tourne, un homme demande à voir son cul ? Elle repart sous les applaudissements. Je passe à mon tour : je me montre. Applaudissements. La suite est moins spectaculaire, pour moi en tout cas : passer de dos ; montrer son postérieur ! Le mien est musclé (c’est en tout cas ce que me fit Paul juste avant de venir dessus) De penser à son doigt curieux, malgré moi je sens que je suis mouillée. Et puis dans l’arrière salle des confidences salées passent : une aime baiser le matin, sous la douche, l’autre n’aime pas quand il l’a met en levrette ; une n’aime que la sodomie. Un autre aime se faire plaisir seule ; son mari lui a payé une belle collection de gode. Moi qui aime à peu près tout, je me dois inventer une position favorite. J’invente celle de la table de la cuisine où je suis appuyée à la table, les jambes ouvertes, sa langue sur le clitoris un doigt dans l’anus. En réalité, j’aime bien ça (entre autre)
Le prochain passage se fait à deux femmes. Un est derrière l’autre pour cacher les seins avec ses mains. Je suis devant, celle de derrière camouffle mes nichons : presque trop : elle serre les tétons. Je mouillais avant, je mouille totalement : mon jus coule entre mes jambes : n’importe qui peut le voir, même mon mari. Celle qui tient mes seins devine mon désir.
Quand nous sommes à l’arrière, sans rien me demander elle passe rapidement une main entre mes jambes qui j’écarte instinctivement. Elle sait ce qu’il lui reste à faire : elle ma caresse doucement, comme seuls savent faire les filles. C’est bon je me laisse aller : j’allais tomber en avant : mon front s’arrête sur son épaule. Elle continue ses caresses. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, ma main cherche son clitoris. Elle aussi se tend. Nous cherchons un endroit au calme.
Nous sommes sur un lit, pas loin Elle est sur moi, sa tête entre mes jambes. Je lui donne ma chatte en entier : elle me lèche, c’est délicieux. En plus elle passe un doigt sur mon derrière : là j’adore me faire mettre. Son doigt entre facilement dans la pastille. Entre son doigt et sa langue je ne résiste pas longtemps. Je reste assez lucide pour vouloir lui rendre la pareille. J’écarte ses cuisses, y installe la tête. Je trouve tout ce que je veux : une odeur agréable de femme soignée avec un arrière-gout d’urine, une douceur sexuelle que je ne pensais pas. Je lèche de haut en bas, j’écarte le clitoris pour y revenir. Elle gémit, comme moi sans doute, je passe une main entre ses fesses. Elle sais ce que je cherche, elle écarte bien les fesses : j’ai libre accès à son anus.
Je ne pensais jamais jouir autant avec une femme et lui donner moi du plaisir. Nous devons nous retrouver dans la semaine pour « boire » un thé.
En revenant à la maison, j’avoue mon infidélité à mon mari. Il ne dit rien : je crains le pire. Il arrive ce pire quand noud nous couchons, il faut que je lui raconte tout, comment elle m’a fait comment je lui ai fait. Il me fait remarquer qu’il me manquait quelque chose : il avait raison, il me le donne en mettant sa queue dans le cul. C’est vrai ça me manquait.
Quand je reverrais ma copine je lui demanderai de me mettre un gode dans le cul en me léchant : le rêve.
Dans une salle arrière, avec les autres nous nous déshabillons en nous détaillant. Je trouve certaines trop âgées, d’autres trop maigre, trop grosse, trop de sein, de fesses. Aucune ne me plait : je vais gagner. Nous ricanons comme des collégiennes. Une même se met à caresser la chatte de sa voisine. Nous regardons toutes intéressées jusqu’à l’orgasme.
L’animateur nous fait mettre en groupe sur l’estrade, nous y laisse, quoi deux minutes. Puis chacune à notre tour nous venons nous montrer. La première passe ! Le public demande qu’elle se tourne, un homme demande à voir son cul ? Elle repart sous les applaudissements. Je passe à mon tour : je me montre. Applaudissements. La suite est moins spectaculaire, pour moi en tout cas : passer de dos ; montrer son postérieur ! Le mien est musclé (c’est en tout cas ce que me fit Paul juste avant de venir dessus) De penser à son doigt curieux, malgré moi je sens que je suis mouillée. Et puis dans l’arrière salle des confidences salées passent : une aime baiser le matin, sous la douche, l’autre n’aime pas quand il l’a met en levrette ; une n’aime que la sodomie. Un autre aime se faire plaisir seule ; son mari lui a payé une belle collection de gode. Moi qui aime à peu près tout, je me dois inventer une position favorite. J’invente celle de la table de la cuisine où je suis appuyée à la table, les jambes ouvertes, sa langue sur le clitoris un doigt dans l’anus. En réalité, j’aime bien ça (entre autre)
Le prochain passage se fait à deux femmes. Un est derrière l’autre pour cacher les seins avec ses mains. Je suis devant, celle de derrière camouffle mes nichons : presque trop : elle serre les tétons. Je mouillais avant, je mouille totalement : mon jus coule entre mes jambes : n’importe qui peut le voir, même mon mari. Celle qui tient mes seins devine mon désir.
Quand nous sommes à l’arrière, sans rien me demander elle passe rapidement une main entre mes jambes qui j’écarte instinctivement. Elle sait ce qu’il lui reste à faire : elle ma caresse doucement, comme seuls savent faire les filles. C’est bon je me laisse aller : j’allais tomber en avant : mon front s’arrête sur son épaule. Elle continue ses caresses. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, ma main cherche son clitoris. Elle aussi se tend. Nous cherchons un endroit au calme.
Nous sommes sur un lit, pas loin Elle est sur moi, sa tête entre mes jambes. Je lui donne ma chatte en entier : elle me lèche, c’est délicieux. En plus elle passe un doigt sur mon derrière : là j’adore me faire mettre. Son doigt entre facilement dans la pastille. Entre son doigt et sa langue je ne résiste pas longtemps. Je reste assez lucide pour vouloir lui rendre la pareille. J’écarte ses cuisses, y installe la tête. Je trouve tout ce que je veux : une odeur agréable de femme soignée avec un arrière-gout d’urine, une douceur sexuelle que je ne pensais pas. Je lèche de haut en bas, j’écarte le clitoris pour y revenir. Elle gémit, comme moi sans doute, je passe une main entre ses fesses. Elle sais ce que je cherche, elle écarte bien les fesses : j’ai libre accès à son anus.
Je ne pensais jamais jouir autant avec une femme et lui donner moi du plaisir. Nous devons nous retrouver dans la semaine pour « boire » un thé.
En revenant à la maison, j’avoue mon infidélité à mon mari. Il ne dit rien : je crains le pire. Il arrive ce pire quand noud nous couchons, il faut que je lui raconte tout, comment elle m’a fait comment je lui ai fait. Il me fait remarquer qu’il me manquait quelque chose : il avait raison, il me le donne en mettant sa queue dans le cul. C’est vrai ça me manquait.
Quand je reverrais ma copine je lui demanderai de me mettre un gode dans le cul en me léchant : le rêve.
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