Conduite tendencieuse....(part 1/2)
Récit érotique écrit par Enjoyphil [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Conduite tendencieuse....(part 1/2)
Il y a peu, je suis tombé sur la photo d'un garçonnet me ressemblant, un peu, nu à genoux devant un adulte en train de le suçer et je me suis revu jeunot avec ce chauffeur de car scolaire qui m'avait tripoté en profitant de la curiosité naive de mon jeune âge à l'époque ....
J'étais encore lycéen à l'époque et je devais prendre le train puis un car pour arrivé et revenir chaque jour du collège. Gérard, ce chauffeur d'âge mûr, était très gentil avec moi, en me raccompagnant même au plus près de chez moi, hors de l'arrêt officiel. Je prenais ce car à la gare et faisant collection de timbres, je chippais ceux fraichement collés sur les colis ferroviaires en attente de partance...et un jour ce conducteur de car m'a gaulé en me faisant bien comprendre qu'il m'avait vu. Rouge de confusion de m'être fais prendre, je me réfugiais aux wc. Mais Gérard (j'appris son prénom plus tard) me suivit et se colla à moi côte à côte aux urinoirs... A voix basse en se penchant vers moi, il me rassura d'abord en me sussurant qu'il ne dirait rien. Puis il enchaîna, en plongeant son regard sur mon sexe, en me demandant si je me masturbais souvent. Pris à froid par cette question et stressé de la situation je me suis entendu lui répondre : 《 Oui, très souvent...》. Il faut dire qu'a l'époque la découverte de ma libido me poussait à me caresser 2 à 3 fois par jour. Il enchaîna sa question : t'es tu déjà caressé dans les cabines derriere nous ? Tétanisé, je n'ai pu que hocher de la tête en signe d'acquiescement. Il continua de me parler en se penchant à mon oreille : "Sais tu que l'on perd mille neurones chaque fois que l'on se masturbe soi même ?" Resté ébahi et songeur de cette assertion, Gérard, lui, avait remballé ce sexe bien plus épai que le mien et était reparti se mettre au volant. Je n'avais pas pu m'empêcher de jeter un coup d'oeil sur son membre pendu au dessus de l'urinoir et cette image me restait en tête durant tout le voyage où je voyais bien son regard dans le rétro qui me zieutait de temps à autres, cherchant mon regard. Sans comprendre j'étais troublé autant de cette vision furtive que de ses paroles m'alertant sur la perte probable des capacités de mon cerveau à chacune de mes éjaculations. Arrivé au terminus, où je n'étais plus que son seul passager, il arrêta le moteur et, avant que je me lève, vint me rejoindre au fond du car. Et là, sans dire un mot, il mis son index sur sa bouche et à genoux en me regardant dans les yeux il me déboutona mon short, le baissa sur mes chevilles et sorti mon sexe tout mou de mon slip sans que j'ai le temps de réagir ni d'exprimer aucun geste de refus. En fait je ne savais pas comment réagir et surtout je sentais bien que, malgré tout, je me laissais faire, subjuguer par ses gestes. Tout avait été si vite ! Etait ce par peur qu'il me dénonce pour les timbres volés ? Le respect que son age m'imposait ? L'envie inconsciente de l'inédit, de la curiosité ? Du gout de l'adrénaline qui m'emplissait les papilles ? Trop jeune et cueilli par surprise pour analyser ce qui arrivait je me laissais porter par les événements et les sensations qui m'embrumaient la tête en me coupant toute retenue. Cet homme, qui pouvait avoir l'âge de mon père, me fixait toujours avec son regard plongé dans le mien alors qu'il me caressait du bout des doigts mon gland décalotté....dire que je trouvais ça divin était au dessous de la vérité. Je bandais maintenant fermement au creux de sa main alors que les phalanges de son autre main continuaient à agacer mon sexe en frottant mon frein....J'étais aux anges, tout abandonné aux plaisirs qui montaient de mon bas ventre. Sentant ma respiration plus rapide et profonde, il baissat la tension en ralentissant le coulissement de sa main pour passer l'autre sous ma chemise pour me caresser le torse et la poitrine. Et c'est là, lorsqu'il s'arrêta sur mes tétons que je me mis à éjaculer sans prémice... avant qu'un deuxième jet vienne rejoindre le premier en zebrant le visage de mon tourmenteur qui, à ma grande surprise, m'enfourna dans sa bouche où je me mis à me déverser par saccades mes dernières secousses de jouissances, aspirées, comme trait jusqu'a ce que je ne puisse plus supporter la pression douloureuse de sa langue sur mon frein...ce fut notre premier échange intime, notre premier secret.
D'autres ont suivit ensuite, avec mon apprentissage de jeune ado soumis aux caprices de mes envies d'aller chercher plus toujours plus d'émotion encore..
et d'être surtout capable d'ensuite de lui rendre la pareille... mais ça, ce fut une autre découverte...
J'étais encore lycéen à l'époque et je devais prendre le train puis un car pour arrivé et revenir chaque jour du collège. Gérard, ce chauffeur d'âge mûr, était très gentil avec moi, en me raccompagnant même au plus près de chez moi, hors de l'arrêt officiel. Je prenais ce car à la gare et faisant collection de timbres, je chippais ceux fraichement collés sur les colis ferroviaires en attente de partance...et un jour ce conducteur de car m'a gaulé en me faisant bien comprendre qu'il m'avait vu. Rouge de confusion de m'être fais prendre, je me réfugiais aux wc. Mais Gérard (j'appris son prénom plus tard) me suivit et se colla à moi côte à côte aux urinoirs... A voix basse en se penchant vers moi, il me rassura d'abord en me sussurant qu'il ne dirait rien. Puis il enchaîna, en plongeant son regard sur mon sexe, en me demandant si je me masturbais souvent. Pris à froid par cette question et stressé de la situation je me suis entendu lui répondre : 《 Oui, très souvent...》. Il faut dire qu'a l'époque la découverte de ma libido me poussait à me caresser 2 à 3 fois par jour. Il enchaîna sa question : t'es tu déjà caressé dans les cabines derriere nous ? Tétanisé, je n'ai pu que hocher de la tête en signe d'acquiescement. Il continua de me parler en se penchant à mon oreille : "Sais tu que l'on perd mille neurones chaque fois que l'on se masturbe soi même ?" Resté ébahi et songeur de cette assertion, Gérard, lui, avait remballé ce sexe bien plus épai que le mien et était reparti se mettre au volant. Je n'avais pas pu m'empêcher de jeter un coup d'oeil sur son membre pendu au dessus de l'urinoir et cette image me restait en tête durant tout le voyage où je voyais bien son regard dans le rétro qui me zieutait de temps à autres, cherchant mon regard. Sans comprendre j'étais troublé autant de cette vision furtive que de ses paroles m'alertant sur la perte probable des capacités de mon cerveau à chacune de mes éjaculations. Arrivé au terminus, où je n'étais plus que son seul passager, il arrêta le moteur et, avant que je me lève, vint me rejoindre au fond du car. Et là, sans dire un mot, il mis son index sur sa bouche et à genoux en me regardant dans les yeux il me déboutona mon short, le baissa sur mes chevilles et sorti mon sexe tout mou de mon slip sans que j'ai le temps de réagir ni d'exprimer aucun geste de refus. En fait je ne savais pas comment réagir et surtout je sentais bien que, malgré tout, je me laissais faire, subjuguer par ses gestes. Tout avait été si vite ! Etait ce par peur qu'il me dénonce pour les timbres volés ? Le respect que son age m'imposait ? L'envie inconsciente de l'inédit, de la curiosité ? Du gout de l'adrénaline qui m'emplissait les papilles ? Trop jeune et cueilli par surprise pour analyser ce qui arrivait je me laissais porter par les événements et les sensations qui m'embrumaient la tête en me coupant toute retenue. Cet homme, qui pouvait avoir l'âge de mon père, me fixait toujours avec son regard plongé dans le mien alors qu'il me caressait du bout des doigts mon gland décalotté....dire que je trouvais ça divin était au dessous de la vérité. Je bandais maintenant fermement au creux de sa main alors que les phalanges de son autre main continuaient à agacer mon sexe en frottant mon frein....J'étais aux anges, tout abandonné aux plaisirs qui montaient de mon bas ventre. Sentant ma respiration plus rapide et profonde, il baissat la tension en ralentissant le coulissement de sa main pour passer l'autre sous ma chemise pour me caresser le torse et la poitrine. Et c'est là, lorsqu'il s'arrêta sur mes tétons que je me mis à éjaculer sans prémice... avant qu'un deuxième jet vienne rejoindre le premier en zebrant le visage de mon tourmenteur qui, à ma grande surprise, m'enfourna dans sa bouche où je me mis à me déverser par saccades mes dernières secousses de jouissances, aspirées, comme trait jusqu'a ce que je ne puisse plus supporter la pression douloureuse de sa langue sur mon frein...ce fut notre premier échange intime, notre premier secret.
D'autres ont suivit ensuite, avec mon apprentissage de jeune ado soumis aux caprices de mes envies d'aller chercher plus toujours plus d'émotion encore..
et d'être surtout capable d'ensuite de lui rendre la pareille... mais ça, ce fut une autre découverte...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce récit merveilleusement détaillé de la découverte des premiers plaisirs échangés... Dommage que le site "Histoires Taboues" n'existe plus... Vous êtes vraiment doué ! Merci !
Pédophilie ? Lisez la part 2 du récit et les commentaires qui ont suivis et vous comprendrez mieux ce que j'ai vecu. A vous lire. Amicalement.
Heu… de la pédophilie?!?!?
Toujours aussi excitante à lire cette première fois
Cyrille
Cyrille