Confession de Céline (1)
Récit érotique écrit par Layati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2009 dans la catégorie Pour la première fois
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Confession de Céline (1)
A 18 ans, je n’ai pas encore connu les plaisirs de la chair. Assez casanière et timide, je ne sors pas assez pour faire des rencontres susceptibles de m’entraîner dans les délices du sexe. Plus le temps passe et moins j’ose aller vers les hommes, j’ai honte d’être toujours vierge à mon âge. Alors faute d’occasions, je laisse mon esprit vagabonder et imaginer ma première fois…
J’imagine un homme, pas trop jeune, environ 35 ans, expérimenté, qui serait prêt à m’apprendre le plaisir, la jouissance et me mènerait à l’orgasme tout en douceur, en me faisant prendre conscience de mon corps et de tous les trésors qu’il recèle. Un homme attentif à mon plaisir, qui ne m’imposerait pas sa volonté, mais qui saurait faire réagir mon corps jusqu’au point culminant.
Je ferme les yeux et vois cet homme, avec qui je corresponds depuis quelques mois par email. Après avoir discuté, nous avons convenu de prendre une chambre dans une petite ville pas très loin de chez moi. C’est une belle journée ensoleillée, je gare ma voiture devant l’hôtel et descends. Je suis nerveuse, mais je décide d’aller jusqu’au bout et je franchis les portes de l’hôtel. J’arrive dans le hall et me dirige vers la réception. Mes jambes sont de plus en plus lourdes, mon estomac est contracté mais en même temps, je ressens une certaine excitation, j’ai des picotements dans le bas du dos en imaginant ce qu’il va se passer quelques étages au-dessus. J’indique un nom au réceptionniste et celui-ci me tend une clé, quatrième étage, chambre 69, est-ce un signe ?
Je mets la clé dans la serrure, mais avant que je ne la tourne, la porte s’ouvre et là je le vois. Assez grand et musclé, ni beau, ni laid, brun, des yeux marron très brillants, et un sourire charmeur, il me prend la main et me fait entrer. Il referme la porte derrière nous et en m’effleurant la joue avec un doigt il me murmure à l’oreille:
« Bienvenue pour ta première leçon ma belle. »
Et là, une brusque bouffée de chaleur m’envahit, le rouge me monte aux joues et j’ai une furieuse envie de m’enfuir, mais impossible : mon professeur se trouve entre la porte et moi, aucune possibilité de fuite, je ne pourrai pas faire marche arrière, mais est-ce vraiment ce que je veux ?
Très lentement, il fait descendre son doigt de ma joue à mes lèvres dont il dessine le contour, puis glisse dans mon cou et jusqu’à mon épaule gauche. Il continue sa descente en faisant de petits cercles sur mon bras, puis tout à coup, remonte et bifurque vers ma poitrine. Le doigt s’insinue dans mon chemisier, jusqu’à la naissance de mes seins. J’ai l’impression que je vais exploser tellement mon cœur bat vite dans ma poitrine. J’essaie de prendre une plus grande respiration pour me calmer mais au lieu de ça, je laisse échapper un petit gémissement.
Satisfait, mon instructeur retire son doigt et me dit de me mettre à l’aise.
Etonnée par la réaction de mon corps, je me dirige vers la salle de bain et vais me rafraîchir. Mon esprit est en ébullition, je me demande ce qui m’attend, vu le résultat que ce simple doigt a réussi à provoquer. Excitée, je repars à la rencontre du propriétaire du doigt inquisiteur en me disant que lorsque je ressortirai de cette chambre, je serai une vraie femme, un homme m’aura possédée et j’aurai enfin connu la jouissance.
C’est d’un pas tremblant que je me dirige à nouveau vers la chambre et là, à peine ai-je franchi la porte que deux bras puissants m’enlacent et qu’un corps se colle au mien, me fait reculer vers le mur. Coincée entre les parois de béton et de chair, je ne peux plus bouger, mes mains sont maintenues par les siennes au-dessus de ma tête et son corps se presse de plus en plus contre le mien. Son visage se rapproche dangereusement de moi. Il commence par me mordiller l’oreille droite, puis laisse une traînée brûlante dans mon cou avec sa langue et brusquement, sans prévenir, sa bouche s’empare de la mienne. Attentif à mes réactions, il lui suffit d’un gémissement de ma part pour infiltrer sa langue et venir caresser et suçoter la mienne. Un véritable feu me dévore et mon bas-ventre m’élance de plus en plus. Dans un éclair de lucidité, je sens qu’il place mes deux poignets dans une de ses mains et qu’avec l’autre, il commence à s’attaquer aux boutons de mon chemisier.
Avant que je n’aie eu le temps de réaliser ce qui se passe, le vêtement est au sol et sa bouche est partie à la rencontre de ma poitrine. Il passe sa langue entre le fin tissu de mon soutien-gorge et la peau. Heureusement qu’il me retient, sinon je crois que je m’écroulerais là, le long du mur. Sa main s’aventure plus bas, et mon pantalon est rapidement ouvert. Il remonte vers moi, lâche mes poignets et m’embrasse avec passion. J’ai l’impression qu’il va m’aspirer la langue.
J’en suis là de mes pensées lorsque, pour la première fois de ma vie, je sens quelque chose de dur contre ma cuisse et, en réalisant ce que c’est, je sens un flot de liquide s’échapper de mon intimité. Pendant ce temps-là, les mains se font à nouveau baladeuses et vont tout naturellement dégrafer mon sous-vêtement. Les pointes de mes seins, déjà excitées, durcissent encore davantage au contact de l’air.
Je n’ai qu’une envie, c’est que sa bouche se colle à elles, mais non, mon professeur n’est pas de cet avis, il quitte ma bouche et parcourt mon buste de baisers, en évitant soigneusement les deux pointes turgescentes et douloureuses. Il fonce tout droit vers le bas et me fait prestement quitter mon pantalon.
Et là, le temps s’arrête, il fixe mon bas-ventre. Je n’en peux plus, je veux qu’il me touche, me caresse, me lèche, n’importe quoi, mais je veux un contact. Il a l’air fasciné par ce qu’il voit, il est vrai que mon shorty légèrement transparent ne cache pas grand-chose. C’est avec un sourire que ses mains s’approchent du dernier bout de tissu qu’il me reste, elles se posent de chaque côté de mes hanches, agrippent la fine dentelle et la font descendre vers mes chevilles. Je ferme les yeux et imagine le cheminement, inconsciemment je soulève un pied, puis l’autre et je me retrouve totalement nue devant un inconnu.
J’ouvre les yeux et rencontre un regard très noir, animal, empli de désir, le nez enfoncé dans ma petite culotte. Il respire, se relève, me met le vêtement sous le nez et me dit d’humer le parfum, ce que je fais. Il le jette, se rapproche encore et me murmure à l’oreille :
« Tu vas voir, je suis un excellent professeur, je vais t’apprendre le plaisir et, fais-moi confiance, avec moi, tu vas connaître la jouissance, la vraie. »
Il m’entraîne sur le lit.
Je suis étendue, tremblante et excitée, ne sachant pas vraiment quoi faire. Il me regarde et commence à se dévêtir. Il se retrouve rapidement en boxer et je laisse mon regard dériver sur ce corps plus qu’attirant. Mes yeux descendent rapidement vers l’objet de ma convoitise et je constate que je ne suis pas la seule à être excitée. Il suit mon regard, baisse son dernier vêtement et pour la première fois, je vois un sexe d’homme en chair et en os et, en parlant de chair, c’est assez impressionnant. Sa verge est toute tendue et frappe le long de son ventre. Cette vision m’excite beaucoup, mais en même temps m’effraie, c’est vrai, c’est ma première fois, je veux connaître la jouissance, pas la souffrance.
J’en suis là de mes considérations quand il s’allonge près de moi. Comme s’il avait lu dans mes pensées, il me dit de ne pas m’inquiéter, qu’avec ce qu’il avait senti dans mon shorty je n’avais aucun souci à me faire, qu’il me ferait tellement mouiller que ça rentrerait tout seul.
En disant cela, ses mains s’emparent de mes seins, il les caresse, les soupèse et s’attarde sur les pointes qu’il fait rouler entre ses doigts. Je ferme les yeux et gémis de plus en plus, sans m’en rendre compte, mes cuisses s’écartent et il passe une jambe entre elles. Je ne sais pas comment il fait, mais il se frotte contre mon entrejambe et mon corps tout entier s’enflamme. Je sens bientôt sa bouche s’emparer d’un mamelon pendant qu’il continue à malmener l’autre avec ses doigts, il passe de l’un à l’autre, puis tout à coup sa main abandonne ma poitrine et se dirige plus bas, beaucoup plus bas.
Instinctivement, j’écarte encore plus les cuisses et soupire en attendant qu’il passe à l’attaque. Ça y est, je sens qu’un doigt s’est insinué entre mes lèvres et les caresse doucement de bas en haut, avec un peu plus d’insistance à chaque passage, je gémis de plus en plus. Son autre main rejoint mon triangle et part à la rencontre de mon clitoris. Il passe son index dessus et appuie tout simplement. Je sens que mon corps m’échappe, je ne contrôle plus rien et là, sans que je m’y attende, il pince mon clitoris entre le pouce et l’index et le fait rouler dans tous les sens. Il continue ce manège pendant ce qui me semble être une éternité, puis je sens quelque chose de nouveau, de mouillé, sa bouche a remplacé les doigts sur le clitoris et il l’aspire comme il le faisait un peu plus tôt avec ma langue.
Je sens que des flots de cyprine vont bientôt jaillir de mon sexe en feu et c’est là que je l’ai senti, ce doigt, ce doigt qui m’a déjà fait ressentir tant d’émotions, ce doigt qui vient de me pénétrer, de me prendre, et qui fait des allers-retours en moi de plus en plus vite et de plus en plus fort. Sa main continue de s’agiter en moi, sa langue s’active sur mon clitoris et son autre main remonte vers ma poitrine, qu’il caresse et pince au gré de son imagination.
Je sens que ça vient, une sourde chaleur explose en moi et tous mes muscles se contractent. Je viens de faire la première expérience de la jouissance, je suis toute en sueur, totalement pantelante et mon amant continue ses va-et-vient en moi en attendant la fin des dernières contractions.
Il se retire, donne un léger coup de langue, remonte vers moi et m’embrasse pour me faire goûter ma liqueur. Sa main prend quelque chose sur la table de nuit. Il abandonne ma bouche, déchire l’emballage et enfile le préservatif. Il me regarde dans les yeux, me dit d’écarter les cuisses au maximum et place son sexe à l’entrée de mon intimité, là où je suis toute mouillée, il avait raison, c’est un excellent professeur.
Et enfin, je le sens, ce membre dur et viril qui commence sa lente progression en moi, je suis tellement excitée que je souhaiterais qu’il s’enfonce d’un coup, qu’il me possède, mais non, mon amant sait y faire et progresse lentement pour que mon corps s’habitue à cette imposante intrusion. Une de ses mains repart à la rencontre de mon clitoris, il le titille et, dans une poussée un peu plus forte que les autres, je sens l’hymen qui se déchire, je fais une légère grimace bien vite estompée lorsque je sens la verge de mon possesseur buter au fond de mon vagin.
Il s’immobilise quelques secondes et commence un lent va-et-vient, il se retire presque entièrement et se faufile à nouveau immédiatement dans mon antre humide. Sa bouche se remet à sucer mes tétons, ses doigts malmènent mon clitoris et son pénis est en train de me faire vivre la plus merveilleuse expérience qui soit. Je n’aurais jamais imaginé une chose pareille.
Et puis tout s’accélère, les coups de reins deviennent plus puissants et plus profonds, je m’écarte au maximum pour qu’il puisse aller au plus profond de mes entrailles, il accélère encore le rythme, j’ai l’impression que je vais exploser, je suis défoncée au sens littéral du terme, je souhaite que ça s’arrête et paradoxalement j’aimerais que ça dure une éternité.
Tout à coup, sans prévenir, une immense vague déferle sur moi, j’ai l’impression de ne pas avoir été en vie jusqu’à maintenant, l’orgasme me terrasse, je suis dans un tourbillon de plaisir qui ne s’apaise pas, alors que mon amant continue sa tâche avec application.
Et enfin, alors que je croyais avoir atteint le point culminant, ses bras passent sous mes cuisses qu’ils soulèvent et là, il se met à me pistonner avec tellement de vigueur que j’ai l’impression qu’il va me passer au travers.
C’est ensemble que nous atteignons le point de non-retour, mes muscles vaginaux se contractent autour de ce membre imposant, je le sens éjaculer dans le préservatif et l’entends pousser des gémissements en cadence avec les miens.
Puis la tempête se calme, il se retire de moi, m’embrasse sur les seins, et se dirige vers la salle de bain. Je reste là, étendue sur le lit, les jambes et les bras écartés, encore sous le choc des évènements. Il ressort habillé, vient vers moi, laisse courir ses doigts une dernière fois sur ma poitrine, me murmure que je suis une brillante élève et quitte la chambre.
Je me lève à mon tour, prends une douche, me rhabille et me retourne une dernière fois sur cette chambre, qui aura été le témoin de mes premiers ébats. Je viens de vivre un moment inoubliable, mais j’ai encore tant de choses à apprendre…
Là, je reprends mes esprits et une fois de plus, je me retrouve seule dans mon grand lit, les cuisses écartées et ma main fouillant mon intimité.
J’imagine un homme, pas trop jeune, environ 35 ans, expérimenté, qui serait prêt à m’apprendre le plaisir, la jouissance et me mènerait à l’orgasme tout en douceur, en me faisant prendre conscience de mon corps et de tous les trésors qu’il recèle. Un homme attentif à mon plaisir, qui ne m’imposerait pas sa volonté, mais qui saurait faire réagir mon corps jusqu’au point culminant.
Je ferme les yeux et vois cet homme, avec qui je corresponds depuis quelques mois par email. Après avoir discuté, nous avons convenu de prendre une chambre dans une petite ville pas très loin de chez moi. C’est une belle journée ensoleillée, je gare ma voiture devant l’hôtel et descends. Je suis nerveuse, mais je décide d’aller jusqu’au bout et je franchis les portes de l’hôtel. J’arrive dans le hall et me dirige vers la réception. Mes jambes sont de plus en plus lourdes, mon estomac est contracté mais en même temps, je ressens une certaine excitation, j’ai des picotements dans le bas du dos en imaginant ce qu’il va se passer quelques étages au-dessus. J’indique un nom au réceptionniste et celui-ci me tend une clé, quatrième étage, chambre 69, est-ce un signe ?
Je mets la clé dans la serrure, mais avant que je ne la tourne, la porte s’ouvre et là je le vois. Assez grand et musclé, ni beau, ni laid, brun, des yeux marron très brillants, et un sourire charmeur, il me prend la main et me fait entrer. Il referme la porte derrière nous et en m’effleurant la joue avec un doigt il me murmure à l’oreille:
« Bienvenue pour ta première leçon ma belle. »
Et là, une brusque bouffée de chaleur m’envahit, le rouge me monte aux joues et j’ai une furieuse envie de m’enfuir, mais impossible : mon professeur se trouve entre la porte et moi, aucune possibilité de fuite, je ne pourrai pas faire marche arrière, mais est-ce vraiment ce que je veux ?
Très lentement, il fait descendre son doigt de ma joue à mes lèvres dont il dessine le contour, puis glisse dans mon cou et jusqu’à mon épaule gauche. Il continue sa descente en faisant de petits cercles sur mon bras, puis tout à coup, remonte et bifurque vers ma poitrine. Le doigt s’insinue dans mon chemisier, jusqu’à la naissance de mes seins. J’ai l’impression que je vais exploser tellement mon cœur bat vite dans ma poitrine. J’essaie de prendre une plus grande respiration pour me calmer mais au lieu de ça, je laisse échapper un petit gémissement.
Satisfait, mon instructeur retire son doigt et me dit de me mettre à l’aise.
Etonnée par la réaction de mon corps, je me dirige vers la salle de bain et vais me rafraîchir. Mon esprit est en ébullition, je me demande ce qui m’attend, vu le résultat que ce simple doigt a réussi à provoquer. Excitée, je repars à la rencontre du propriétaire du doigt inquisiteur en me disant que lorsque je ressortirai de cette chambre, je serai une vraie femme, un homme m’aura possédée et j’aurai enfin connu la jouissance.
C’est d’un pas tremblant que je me dirige à nouveau vers la chambre et là, à peine ai-je franchi la porte que deux bras puissants m’enlacent et qu’un corps se colle au mien, me fait reculer vers le mur. Coincée entre les parois de béton et de chair, je ne peux plus bouger, mes mains sont maintenues par les siennes au-dessus de ma tête et son corps se presse de plus en plus contre le mien. Son visage se rapproche dangereusement de moi. Il commence par me mordiller l’oreille droite, puis laisse une traînée brûlante dans mon cou avec sa langue et brusquement, sans prévenir, sa bouche s’empare de la mienne. Attentif à mes réactions, il lui suffit d’un gémissement de ma part pour infiltrer sa langue et venir caresser et suçoter la mienne. Un véritable feu me dévore et mon bas-ventre m’élance de plus en plus. Dans un éclair de lucidité, je sens qu’il place mes deux poignets dans une de ses mains et qu’avec l’autre, il commence à s’attaquer aux boutons de mon chemisier.
Avant que je n’aie eu le temps de réaliser ce qui se passe, le vêtement est au sol et sa bouche est partie à la rencontre de ma poitrine. Il passe sa langue entre le fin tissu de mon soutien-gorge et la peau. Heureusement qu’il me retient, sinon je crois que je m’écroulerais là, le long du mur. Sa main s’aventure plus bas, et mon pantalon est rapidement ouvert. Il remonte vers moi, lâche mes poignets et m’embrasse avec passion. J’ai l’impression qu’il va m’aspirer la langue.
J’en suis là de mes pensées lorsque, pour la première fois de ma vie, je sens quelque chose de dur contre ma cuisse et, en réalisant ce que c’est, je sens un flot de liquide s’échapper de mon intimité. Pendant ce temps-là, les mains se font à nouveau baladeuses et vont tout naturellement dégrafer mon sous-vêtement. Les pointes de mes seins, déjà excitées, durcissent encore davantage au contact de l’air.
Je n’ai qu’une envie, c’est que sa bouche se colle à elles, mais non, mon professeur n’est pas de cet avis, il quitte ma bouche et parcourt mon buste de baisers, en évitant soigneusement les deux pointes turgescentes et douloureuses. Il fonce tout droit vers le bas et me fait prestement quitter mon pantalon.
Et là, le temps s’arrête, il fixe mon bas-ventre. Je n’en peux plus, je veux qu’il me touche, me caresse, me lèche, n’importe quoi, mais je veux un contact. Il a l’air fasciné par ce qu’il voit, il est vrai que mon shorty légèrement transparent ne cache pas grand-chose. C’est avec un sourire que ses mains s’approchent du dernier bout de tissu qu’il me reste, elles se posent de chaque côté de mes hanches, agrippent la fine dentelle et la font descendre vers mes chevilles. Je ferme les yeux et imagine le cheminement, inconsciemment je soulève un pied, puis l’autre et je me retrouve totalement nue devant un inconnu.
J’ouvre les yeux et rencontre un regard très noir, animal, empli de désir, le nez enfoncé dans ma petite culotte. Il respire, se relève, me met le vêtement sous le nez et me dit d’humer le parfum, ce que je fais. Il le jette, se rapproche encore et me murmure à l’oreille :
« Tu vas voir, je suis un excellent professeur, je vais t’apprendre le plaisir et, fais-moi confiance, avec moi, tu vas connaître la jouissance, la vraie. »
Il m’entraîne sur le lit.
Je suis étendue, tremblante et excitée, ne sachant pas vraiment quoi faire. Il me regarde et commence à se dévêtir. Il se retrouve rapidement en boxer et je laisse mon regard dériver sur ce corps plus qu’attirant. Mes yeux descendent rapidement vers l’objet de ma convoitise et je constate que je ne suis pas la seule à être excitée. Il suit mon regard, baisse son dernier vêtement et pour la première fois, je vois un sexe d’homme en chair et en os et, en parlant de chair, c’est assez impressionnant. Sa verge est toute tendue et frappe le long de son ventre. Cette vision m’excite beaucoup, mais en même temps m’effraie, c’est vrai, c’est ma première fois, je veux connaître la jouissance, pas la souffrance.
J’en suis là de mes considérations quand il s’allonge près de moi. Comme s’il avait lu dans mes pensées, il me dit de ne pas m’inquiéter, qu’avec ce qu’il avait senti dans mon shorty je n’avais aucun souci à me faire, qu’il me ferait tellement mouiller que ça rentrerait tout seul.
En disant cela, ses mains s’emparent de mes seins, il les caresse, les soupèse et s’attarde sur les pointes qu’il fait rouler entre ses doigts. Je ferme les yeux et gémis de plus en plus, sans m’en rendre compte, mes cuisses s’écartent et il passe une jambe entre elles. Je ne sais pas comment il fait, mais il se frotte contre mon entrejambe et mon corps tout entier s’enflamme. Je sens bientôt sa bouche s’emparer d’un mamelon pendant qu’il continue à malmener l’autre avec ses doigts, il passe de l’un à l’autre, puis tout à coup sa main abandonne ma poitrine et se dirige plus bas, beaucoup plus bas.
Instinctivement, j’écarte encore plus les cuisses et soupire en attendant qu’il passe à l’attaque. Ça y est, je sens qu’un doigt s’est insinué entre mes lèvres et les caresse doucement de bas en haut, avec un peu plus d’insistance à chaque passage, je gémis de plus en plus. Son autre main rejoint mon triangle et part à la rencontre de mon clitoris. Il passe son index dessus et appuie tout simplement. Je sens que mon corps m’échappe, je ne contrôle plus rien et là, sans que je m’y attende, il pince mon clitoris entre le pouce et l’index et le fait rouler dans tous les sens. Il continue ce manège pendant ce qui me semble être une éternité, puis je sens quelque chose de nouveau, de mouillé, sa bouche a remplacé les doigts sur le clitoris et il l’aspire comme il le faisait un peu plus tôt avec ma langue.
Je sens que des flots de cyprine vont bientôt jaillir de mon sexe en feu et c’est là que je l’ai senti, ce doigt, ce doigt qui m’a déjà fait ressentir tant d’émotions, ce doigt qui vient de me pénétrer, de me prendre, et qui fait des allers-retours en moi de plus en plus vite et de plus en plus fort. Sa main continue de s’agiter en moi, sa langue s’active sur mon clitoris et son autre main remonte vers ma poitrine, qu’il caresse et pince au gré de son imagination.
Je sens que ça vient, une sourde chaleur explose en moi et tous mes muscles se contractent. Je viens de faire la première expérience de la jouissance, je suis toute en sueur, totalement pantelante et mon amant continue ses va-et-vient en moi en attendant la fin des dernières contractions.
Il se retire, donne un léger coup de langue, remonte vers moi et m’embrasse pour me faire goûter ma liqueur. Sa main prend quelque chose sur la table de nuit. Il abandonne ma bouche, déchire l’emballage et enfile le préservatif. Il me regarde dans les yeux, me dit d’écarter les cuisses au maximum et place son sexe à l’entrée de mon intimité, là où je suis toute mouillée, il avait raison, c’est un excellent professeur.
Et enfin, je le sens, ce membre dur et viril qui commence sa lente progression en moi, je suis tellement excitée que je souhaiterais qu’il s’enfonce d’un coup, qu’il me possède, mais non, mon amant sait y faire et progresse lentement pour que mon corps s’habitue à cette imposante intrusion. Une de ses mains repart à la rencontre de mon clitoris, il le titille et, dans une poussée un peu plus forte que les autres, je sens l’hymen qui se déchire, je fais une légère grimace bien vite estompée lorsque je sens la verge de mon possesseur buter au fond de mon vagin.
Il s’immobilise quelques secondes et commence un lent va-et-vient, il se retire presque entièrement et se faufile à nouveau immédiatement dans mon antre humide. Sa bouche se remet à sucer mes tétons, ses doigts malmènent mon clitoris et son pénis est en train de me faire vivre la plus merveilleuse expérience qui soit. Je n’aurais jamais imaginé une chose pareille.
Et puis tout s’accélère, les coups de reins deviennent plus puissants et plus profonds, je m’écarte au maximum pour qu’il puisse aller au plus profond de mes entrailles, il accélère encore le rythme, j’ai l’impression que je vais exploser, je suis défoncée au sens littéral du terme, je souhaite que ça s’arrête et paradoxalement j’aimerais que ça dure une éternité.
Tout à coup, sans prévenir, une immense vague déferle sur moi, j’ai l’impression de ne pas avoir été en vie jusqu’à maintenant, l’orgasme me terrasse, je suis dans un tourbillon de plaisir qui ne s’apaise pas, alors que mon amant continue sa tâche avec application.
Et enfin, alors que je croyais avoir atteint le point culminant, ses bras passent sous mes cuisses qu’ils soulèvent et là, il se met à me pistonner avec tellement de vigueur que j’ai l’impression qu’il va me passer au travers.
C’est ensemble que nous atteignons le point de non-retour, mes muscles vaginaux se contractent autour de ce membre imposant, je le sens éjaculer dans le préservatif et l’entends pousser des gémissements en cadence avec les miens.
Puis la tempête se calme, il se retire de moi, m’embrasse sur les seins, et se dirige vers la salle de bain. Je reste là, étendue sur le lit, les jambes et les bras écartés, encore sous le choc des évènements. Il ressort habillé, vient vers moi, laisse courir ses doigts une dernière fois sur ma poitrine, me murmure que je suis une brillante élève et quitte la chambre.
Je me lève à mon tour, prends une douche, me rhabille et me retourne une dernière fois sur cette chambre, qui aura été le témoin de mes premiers ébats. Je viens de vivre un moment inoubliable, mais j’ai encore tant de choses à apprendre…
Là, je reprends mes esprits et une fois de plus, je me retrouve seule dans mon grand lit, les cuisses écartées et ma main fouillant mon intimité.
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