Confession intime

- Par l'auteur HDS Jean-Pierre -
Auteur homme.
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Récit libertin : Confession intime Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Confession intime
Depuis 6 mois, je ne suis plus avec Marc mon mari, nous avons vécu 5 ans ensemble. La rupture n'a pas été simple mais vivre avec lui était devenu impossible, on n'arrêtait pas de se disputer à longueur de temps.

L'avantage, avec lui, c'était le moment de la réconciliation toujours à l'horizontale. Il avait beau avoir une tonne de défauts, mais pour me donner du plaisir, il savait y faire, il connaissait chaque recoin de mon corps et parvenait à le faire frémir par ses caresses.

La première fois que l'on a couché ensemble, il m'a fait connaître l'orgasmes. Après m'avoir caresser le visage, les épaules, les seins, il avait continuer sur mes formes par de baisers. Il approchait doucement de mon bas ventre. Je le sens encore écarter mes cuisses et en embrasser mon sexe qui ruisselait du plaisir. Sa langue sur mon clitoris qui gonflait sous ses attaques pendant que ses doigts m'exploraient.

J'arrête de parler de lui car ce n'est pas le sujet. Si je continue à me remémorer ses souvenirs, je vais devoir aller me... soulager ! Depuis quelques heures, je ne peux plus dire qu'un seul homme m'a fait jouir, et crier de plaisir. Je suis passée chercher une copine, elle n'était pas prête et nous sommes arrivées trop tard pour la séance au cinéma le film était déjà commencé depuis plus de 30 minutes. Plutôt que de rentrer tout de suite, nous avons attendu l'autre séance et avant on en a profité pour aller boire un verre dans le quartier.

En rentrant dans le bar, on a fait sensation le bar rempli que d'hommes installés pour regardaient un match à la télé, au moment de la mis-temps, beaucoup de regards sur nous, alors qu'on serait rentrer 10 minutes après au début de la seconde mi-temps, ils ne nous auraient même pas vu.
Il faut dire que ma copine aime bien se faire remarquer la langue bien pendue. Elle est blonde comme les blés avec de magnifiques yeux qui ont un petit brin de malice à l'intérieur. Elle est de petite taille, très bien faite et elle le sait ! Elle se vante de ses conquêtes.

On s'assoit à une table au fond du bar après avoir commandé deux limonades. Pendant que l'on discute, j'aperçois un beau brun assis au comptoir qui regarde de manière insistante mon amie. Elle l'a bien senti et en profite pour découvrir intentionnellement, ses jambes, un changement de position fait remonter sa jupe sur ses cuisses. L'inconnu a l'air d'apprécier cette faveur et ne semble plus intéressé par le match qui a repris.

On continue à papoter, elle se met à me casser les pieds sur le fait que ce n'était pas normal que je reste seule, qu'il fallait que je me bouge. La même rengaine qu'elle me tient depuis ma rupture avec Marc ! Mais cette fois, elle a une idée derrière la tête.

Je ne peux plus dire exactement comment elle s'y est pris, elle m'a juste dit que pour oublier un homme, il faut coucher avec le premier pour qui on a une attirance physique. Pour résumer plus simplement, se taper un inconnu. Je lui es dit que je ne pourrai jamais, alors elle a tenu à me montrer un exemple.

Elle s'est levée de sa chaise, elle s'est dirigée vers le bar directement vers son observateur, elle lui a glissé quelque mots à l'oreille et, dans la minute qui suivait, ils ont pris la direction des toilettes. Même si je la savais peu farouche, j'avoue être restée un peu abasourdie.

Un quart plus tard, elle revenait le sourire aux lèvres. Nous sommes sorties du bar et, dans la voiture, elle a pris soin de me détailler son expérience. Arrivés dans les toilettes, elle l'avait plaqué contre le lavabo pour l'embrasser et évaluer de sa main baladeuse si elle avait fait une affaire.

Effectivement une pièce de choix qui se présentait face à elle, en attente d'être goûtée. Elle l'avait tout de suite pris en bouche. Les veines se gonflaient sous la pression de ses lèvres. Elle l'avalait comme si elle n'avait pas mangé depuis des lustres. Le propriétaire poussait des gémissements de plaisir. Il bandait comme un fou dans sa bouche, prêt à exploser.

Il l'avait obligé à lâcher prise en la relevant et l'avait assise sur le lavabo. Elle m'avait avoué que le froid de la faïence avec ses fesses en feu avaient augmenté son excitation. Il avait écarté son string humide et l'avait pénétré d'un coup sec. Ma copine ajouta même que le pauvre aurait la marque de ses ongles dans sa chair de sa bite tellement elle avait joui sous ses coups de butoir.

En l'entendant me raconter son aventure, je sentais des picotements dans le bas-ventre. J'avais une envie de me masturbée. Pour être tout à fait honnête, une fois toute seule j'ai vite cédé à cette envie. Ma copine m'a rappelée que maintenant je devais faire de même avec un inconnu.

C'est ce que j'ai fait ! En sortant du travail, j'ai filé à un rendez-vous pour visiter un appartement, je n'en recherche pas spécialement mais juste parce que celui-là se situait dans un quartier qui m'a toujours plu. Quand on m'a ouvert la porte, j'ai découvert un charmant jeune homme assez grand le teint mat. J'ai ressenti une chaleur inexplicable dans mon bas ventre. En une fraction de seconde, tout ce que m'avait dit ma copine m'est revenu en tête. On a commencé la visite mais mon esprit continuait de vagabonder.

Au moment de voir la salle de bain, je ne sais pas ce qui m'a pris ma main a été attirée par la bosse qui s'était formait sous son pantalon. Je n'ai pas non plus résisté à libérer ce sexe en demande. Je me suis agenouillée devant lui, j'ai ouvert sa braguette, fait glisser son boxer pour voir apparaître sa verge, bien appétissante.

Mes lèvres l'ont embrassées, j'ai fait glisser lentement ma langue sur son membre de ses bourses jusqu'à son gland. Je me suis attardé sur celui-ci en m'appliquant à bien le lécher tout autour. Ma main caressait ses testicules. Je l'ai pris entièrement dans ma bouche. Mes lèvres glissaient sur lui pendant que ma langue s'activait. Il avait fermé les yeux pour se concentrer sur son plaisir. Prise par ce jeu érotique qui m'était jusqu'alors étranger, je relâche mon étreinte et le laisse là partant dans une autre pièce.

Il n'a pas mis longtemps à me rejoindre. Il s'est approché de moi par derrière et a saisi mes seins en insistant sur mes tétons. Il me tenait fermement même si je n'avais aucune envie de m'échapper. L'une de ses mains a ensuite glisser sur mon ventre et s'est engouffrée sous ma jupe. Il malaxait mon sexe à travers mon string qui fut bientôt de trop, il glissa sa main sur ma toison brûlante.

Ses doigts se promenaient sur ma fente et l'un finit par y entrer. Un deuxième le suivit, il les enfonça profondément. J'avais envie d'hurler mais je ne m'autorisais que quelques gémissements. Il dut le sentir parce qu'il accédera le rythme et je ne pus retenir plus longtemps un cri de jouissance, inondant du même coup sa main qui me l'avait procuré.

Il me retourna face à lui. Ses yeux étaient plein de désir, sans un mot, il m'a appuyé sur les épaules me contraignant ainsi à m'agenouiller, il voulait que je termine ce que j'avais abandonné dans la salle de bain. J'ai répondu favorablement à sa demande, je l'ai sucé comme jamais il n'a du l'être, ne délaissant aucune centimètre de ce sexe. Et il a joui, dans ma bouche, j'ai bu ce liquide, et il est venu le goûter lui-même par l'intermédiaire de mon baiser.

Il m'a regardé dans les yeux et m'a allongé sur le sol. Tout en ôtant ma chemise, il m'a embrassé la bouche, le cou, les seins. Il les a mordillé. Et quand je l'ai senti ôté mon string et, s'approchait. Je n'étais plus moi-même. Ensuite, c'est sa langue qui est venu au contact de mon sexe, j'ai tressailli de plaisir. Il m'a gouté à son tour et c'était bon. Pendant que sa langue s'affairait, il stimulait mon clitoris. Moi qui suis très sensible dès qu'on touche à mon bouton, je n'ai pas été déçue des caresses qui lui a infligé. Oh oui ! j'ai joui, un orgasme brutal, qui vous laisse quelques instants presque dans une inconscience. Juste un baiser langoureux où se mélangeaient nos semences précédemment récoltées.

C' est vrais, il est passé par là où aucun autre n'était avant lui. Marc aurait bien voulu mais je lui en ai toujours interdis l'accès. Mais là dans le feu de l'action. Pendant que l'on faisait l'amour, il laissait trainer un doigt sur mon anneau qui en pleine excitation s'insinuer à l'intérieur. Après, quand il m'a fait me mettre à 4 pattes, je savais pertinemment où il voulait en venir. Il a d'abord récolter un peu de mon liquide entre mes lèvres encore rougies par la précédente pénétration et l'a utilisé pour humidifier mon entrée encore vierge. Il y a ajouté sa salive. Je pouvais sentir par moment sa langue s'insinuer en moi. Je commençais à m'abandonner. Il continua avec sa langue un instant et finit par la remplacer par son gland.

Il a du sentir ma crainte et, avec son doigt, il est venu trouver mon clitoris encore gonflé et lui a procuré de divines caresses. Il a poussé son gland de quelques millimètres à l'intérieur de moi. J'ai eu un peu mal. Il s'est arrêté un moment avant de reprendre son exploration toujours en douceur dans mon trou étroit. Mon clitoris était en feu. Il a commencé de tendres va-et-vient. La douleur avait disparu, seul le plaisir resté.

Une intense chaleur m'envahissait et j'accompagnais maintenant ses mouvements. Je me suis même surprise à lui en réclamer encore et encore. Il s'enfonçait complètement en moi et je le recevait avec ferveur. Nos corps se tendaient sous la jouissance proche. Elle était de plus en plus intense. Nous avons joui ensemble laissant retomber nos corps à l'abandon, fatigués d'avoir tant donné, tant reçu.

Pour ce qui est de mon agent immobilier, je me suis esquiver rapidement ne sachant pas trop comment gérer l'après. C'est seulement une fois dans les escaliers que je me suis rendue compte que je ne connaissais même pas son prénom. Ce sera bien la première fois que je ne pourrai pas nommer un amant.

Ce qui est sûr, c'est que désormais, je ne m'empêcherai plus de prendre mon plaisir là où je le trouve, de suivre mon instinct. On verra ce que ma nouvelle vision des choses m'apportera.

Un samedi soir, j'étais invitée à une petite soirée chez une copine que je n'avais pas vu depuis longtemps. Pour l'occasion, je m'étais habillée sur mon 31 : un pantalon taille basse noire qui laissait paraître mon nombril, un petit haut tout aussi noir près du corps et bien décolleté.

Quand je suis arrivée, il y avait déjà presque tout le monde, une trentaine de personnes dont je connaissais la majeure partie, il y avait aussi ma copine du bar. Je discutais avec certains d'entre eux quand elle m'amena un peu à l'écart. Elle voulait me signaler en toute discrétion que le frère de notre hôtesse venait d'arriver.

C'était un charmeur de première catégorie. Il savait parler aux femmes, dire les mots qui touchent, et en plus il avait un physique des plus avantageux, grand, musclé, des traits fins et un regard... Il m'avait toujours beaucoup plu mais la question ne se posait pas puisqu'à l'époque j'étais avec Marc.

La soirée était très réussie, une bonne ambiance, un peu de musique, un soupçon d'alcool... Je venais d'ailleurs de me servir un nouveau verre quand je sentis un souffle sur ma nuque. Je me retournais. C'était le frère de notre hôtesse, le sourire aux lèvres. Il m'embrassa amicalement, et me complimenta sur ma tenue. Je ne savais trop quoi lui raconter mais lui alimenta la conversation et je finis par me sentir à mon aise.

Il me demanda des nouvelles de Marc, et je crus deviner une petite étincelle dans ses yeux quand je lui dis que nous étions divorcé. Tout le monde avaient maintenant poussé les meubles du salon pour créer une mini piste de danse et, après quelques verres, je me suis laissée entraînait aux rythmes de la musique.

J'ondulais de plus en plus mon corps quand je sentis une main me saisir par la taille, C'était le frère de notre hôtesse qui s'était glissée derrière moi. Il me fit faire volte face. Son regard plongeait dans le mien, il m'entraîna dans ses pas. J'en oubliais ce qui nous entourait. Il n'y avait plus que nos corps enlacés. Son parfum m'enivrait. Sa main droite tenait fermement la mienne pendant que sa main gauche glissait sur mes reins, s'aventurant par moment légèrement en dessous.

Il me serra davantage contre lui, mon bas-ventre était collé contre sa cuisse tout comme le sien était collé contre la mienne. Je sentais qu'il me désirait tout comme moi je le désirais. Nos regards étaient enchaînés l'un à l'autre comme pour entrer en possession de l'autre. Ses lèvres appelaient les miennes. Je n'avais qu'une envie succomber. Et c'est à ce moment précis que quelqu'un coupa la musique et, par la même, la rencontre de nos lèvres.

On devait tous porter un toast au bonheur. Quelle idée ce toast au bonheur ! Je rageais intérieurement. Après ce stupide toast, il était parti discuter avec un copain, j'en profitais pour grignoter une petite bricole. Deux, trois personnes vinrent me parler mais je n'avais pas trop l'esprit à suivre une conversation et encore moins à l'alimenter. En plus, l'alcool commençait à me monter à la tête.

Je suis allée me rafraîchir dans la salle de bain. J'étais en train de me passer de l'eau sur le visage quand la porte s'ouvrit. C'était lui ! Mon cavalier. A peine eus je le temps de me retourner qu'il m'attira vers lui et m'embrassa avec fougue. J'eus un instant de surprise mais ses lèvres sur les miennes et sa langue à chercher la mienne eurent raison de mes résistances. Je fondais sous ce baiser. C'était à la fois doux et passionnée.

Il m'avait plaqué contre lui, une de ses mains me caressait le visage pendant que l'autre plus friponne glissait sur le derrière de ma cuisse. Mes mains étaient, à l'assaut de son torse, de son dos. Il stoppa son baiser pour me dire qu'il mourrais d'envie de moi. Eh moi dont ! Pour toute réponse, je lui rendais son baiser tout en lui ôtant son T-shift ; j'en profitais pour le regarder attentivement. Je ne m'étais pas trompée sur la marchandise, il est très bien fait ! Il m'imita et enleva également mon haut, son regard se portait sur mes seins qui gonflaient par l'excitation qui montait en moi, puis ses yeux furent remplacer par ses mains. Il me pétrissait la poitrine écartant la dentelle de mon soutien gorge afin d'atteindre mes tétons. Il les pinça, les fit rouler sous ses doigts. Il approcha son visage et me les prit entre ses lèvres pour les lécher, les sucer. Je lui caressais les cheveux lui indiquant par la même occasion où aller.

Soudainement, il me fit décoller du sol en me prenant par la taille et il m'assit sur la machine à laver. Il m'embrassa de nouveau, descendit dans mon cou, sur mes épaules, mes seins, mon ventre. Arrivé à la ceinture de mon pantalon, il le déboutonna, fit glisser la fermeture et, tout en m'enlevant cet habit devenu indésirable, il reprit ses baisers sur mes cuisses, mes genoux, mes cheville. Il remonta jusqu'à moi de la même manière, en parcourant mon corps avec sa langue. A aucun moment, il n'avait touché mon sexe mais celui-ci était déjà brûlant de désir.

Je détachais sa ceinture, ouvrais sa fermeture et allais droit à ce que je désirais voir entrer en moi. Je saisis sa queue qui était déjà tendue et bien dure sous mes doigts. Cette seule vision me procurait une intense satisfaction. Elle glissait de mieux en mieux dans ma main.

Ensuite il introduisit la sienne dans ma culotte et alla récolter un peu de ma liqueur pour humidifier mon bouton de jouissance sur qui il porta toute son attention à mon plus grand plaisir. J'écartais davantage mes jambes pour qu'il en ait un meilleur accès. Cette masturbation mutuelle nous procurait un immense plaisir qui ne demandait qu'à s'intensifier.

Je le voulais maintenant en moi...et je lui ai dis. Alors, il a tiré un petit carré vert de sa poche de derrière, l'a ouvert. J'ai pris le préservatif et je l'ai fait glissé sur sa verge : arrivée à la base, j'en ai profité pour lui caresser les couilles remplies de son envie. Il a enfin écarté ma culotte pour me pénétrer d'un coup sec sans aucune difficulté. Il m'envahissait entièrement.

Le deuxième coup fut de la même ampleur, je le recevais à chaque fois avec un petit gémissement de plaisir, le sourire sur mes lèvres. Pour le recevoir encore plus profondément en moi, j'enserrai sa taille de mes cuisses, seules mes fesses étaient encore en contact avec la machine à laver. Il continua sur un rythme tout aussi soutenu. Nos corps se tendaient. De mes mains libres, j'appuyais contre le mur. Cette chaleur au plus profond de mes entrailles devenait fournaise. Je contractais tous mes muscles à l'approche de l'issue finale. Et ce fut une apothéose : un orgasme pharaonique me traversa le corps bientôt suivi par celui de mon partenaire qui laissa choir sa tête sur moi, épuisé par toute cette jouissance.

Quelqu'un vint frapper à la porte pour une envie présente. On se rhabilla donc en 4ème vitesse en rigolant comme des gamins qui viennent d'être pris en faute. La musique avait couvert nos cris, heureusement pour nous. Il m'a donné son numéro de téléphone et on se voit d'ici deux jours : j'ai hâte d'y être...

J'ai le corps encore bien endolori par toutes nos frasques de la nuit passée. Comme prévu, il est venu me chercher vers 20h pour aller au restaurant. Mais, il m'a bien fallu la journée pour me préparer. Tout d'abord, épilation complète, ensuite shopping dans les magasins de lingerie afin de trouver des dessous affriolants, et coiffure, maquillage. Mon choix a porté pour une longue jupe noire très largement ouverte derrière et un chemisier rose.

A 20h précise, il était là. Nous sommes partis au restaurant : il avait réservé dans un établissement de bonne renommée. Nous discutions à bâtons rompus alternant fous rires et confidences de plus en plus intimes. Nos regards ne parvenaient pas à se décrocher. Il y avait une atmosphère des plus sensuelles. Je crois que, si je m'étais écoutée, je l'aurai violé sur place ! Je me suis presque contrôlée, je dis bien presque car avec mon pied, je n'ai pas résisté à l'envie de lui caresser l'entrejambe je rêvais depuis longtemps d'oser faire ça à un homme dans un lieu public. Il a eu un sourire complice et a demandé l'addition.

On a repris sa voiture après s'être échangé de nombreux baisers en chemin. Pendant qu'il conduisait, il laissait traîner une main sur ma cuisse. Je lui administrais quelques bisous dans le cou. Je sentais le désir monter encore plus en moi. Et je devins plus entreprenante.

Ma main glissa sur son torse, revint sur son épaule, longea son bras droit et se posa sur son ventre puis plus bas,directement sur sa braguette. Je commençais à caresser le tissu qui se tendait sous le frottement de ma paume. Il regardait toujours la route mais avait visiblement beaucoup de mal à se concentrer sur celle-ci. Cette situation m'amusait beaucoup, je continuais donc mon investigation. Je lui suçais le lob de l'oreille tant en malaxant maintenant franchement sa verge prisonnière.

Elle me suppliait de la libérer et, comme je n'avais aucune envie de la faire souffrir, je l'aidais à s'évader de sa prison en ouvrant sa braguette, elle pointait fièrement à l'air libre. Il fit bien mine de protester mais quand je commença à la faire glisser entre mes doigts, il n'eut pas le courage de me demander d'arrêter et laissa échapper un petit gémissement. Je prenais un plaisir fou à ce petit jeu. J'alla même jusqu'à lui glisser dans le creux de l'oreille qu'il n'y avait pas que mes doigts qui pouvaient le caresser.

Ni une, ni deux, il s'engagea dans une petite ruelle en cul-de-sac plutôt sombre à cette heure de la nuit et stoppa la voiture. Il ne dit rien mais me regardait avec des yeux suppliants, que je mette en pratique ce que je venais de lui dire. Tout en continuant à le masturber, je l'embrassai. Mes lèvres quittèrent les siennes et échappèrent sur son menton, continuèrent sur son cou. Dans le même temps, je m'appliquais par ailleurs à décalotter au maximum son gland. Avec mon pouce, je m'amusais à récolter la liqueur qui sortait de son orifice et à la répandre sur l'ensemble de son extrémité.

Je me penchais vers le fruit juteux pour enfin le déguster. D'abord du bout de la langue, je fis le tour de son gland et y déposais un filet de salive que j'appliquais avec ma main sur toute sa hampe. Vinrent ensuite de multiples baisers et succion sur toute sa longueur. Et enfin je le pris dans ma bouche. Il bascula la tête en arrière.

Je commençais avec de lents va-et-vient. A chaque passage, il grossissait davantage. J'accéderais le rythme : je le gobais maintenant entièrement à vive allure marquant la cadence de coups de tête de plus en plus avides de sa queue si appétissante. Il ne pouvait réprimer des petits gémissements de remerciements et avait déposé sa main sur mes cheveux pour me montrer sa gratitude. Mais j'avais une autre idée en tête.

Tout en continuant mon œuvre mais plus lentement afin de contrôler sa montée vers l'orgasme, je pris sa main et lui montrais où étais sa place, je la menais sous ma robe et la déposais sur mon string. Il comprit ce que j'attendais de lui. Il écarta mon string et enfouit directement deux doigts dans mon vagin ruisselant et commença à me caresser de l'intérieur. Je desserrais un instant mon étreinte de sa verge pour laisser échapper un soupir de consentement.

Chacun d'entre nous s'appliqua à donner le plus de plaisir possible à l'autre. Je le suçais avec dévotion, il me pénétrait avec conviction. Il ajouta son pouce pour pétrir mon clitoris en demande. Je partis en premier sous son habile doigté criant mon plaisir. Et c'est entre ma main qui avait pris le relais de ma bouche que son sexe explosa libérant toute sa semence.

Les carreaux étaient pleins de buée, nos souffles étaient courts. Il reprit le volant sans pour autant descendre du petit nuage où je l'avais propulsé. La route défilait en direction de mon appartement. Je n'eus même pas à lui proposer le très subjectif dernier verre, on savait tout deux que la nuit ne faisait que commencer et qu'elle serait des plus sensuelles. Il avait tout autant que moi envie de tester notre ardeur et n'attendit même pas d'arriver à mon domicile.

Alors que l'on s'embrassait fougueusement dans l'ascenseur, il appuya sur le bouton stop. Il me murmura qu'il avait envie de moi là, maintenant, tout de suite. Et il joignit le geste à la parole : il me plaqua contre la paroi et fit voler les boutons de mon chemisier. Cette brutalité soudaine était loin de me déplaire, j'avais l'impression d'être projeté dans un film. J'étais au comble de l'excitation.

Je me laissai aller sous la rudesse de ses caresses. Mes seins étaient au centre de son intérêt. Il les avait pris entre ses mains et les presser vigoureusement passant de leurs galbes à mes tétons. Ni tenant plus, il écarta mon soutien-gorge afin de les laisser pointer et engouffra sa tête dans ma poitrine, il me les mordillait, me les léchait, me les suçait.

Mon corps se tendait entièrement sous son étreinte. Ses mains investirent le dessous de ma jupe. Il ôta sa tête de mes seins et la fit disparaître sous ma jupe. Je ne pouvais le voir mais je sentis ses baisers sur mon intimité. Il devait sentir à quel point j'étais prête à l'accueillir. Il fit glisser mon string le long de mes jambes en utilisant uniquement ses dents. Il venait d'enlever la dernière barrière encore existante.

Je le suppliais de me prendre, que je n'en pouvais plus. Il porta un coup de langue sur mes lèvres intimes : ce bref contact me fit sursauter. Il me caressa le bas-ventre sans rentrer véritablement en contact avec mon sexe en demande. Il posa de tendres baisers à la lisière de ma toison. Il laissa traîner sa langue sur ma fente en prenant tout son temps. J'avais envie de le contraindre à aller plus avant mais je me retins. Il me voyait au supplice et cela l'amusait, ou plutôt, l'excitait. Il continua son petit jeu encore un moment, me titillant pour mieux me laisser sur ma faim.

Il insinua sa langue et remonta sur mon clitoris à plusieurs reprises. Il finit par fixer l'attention de sa langue sur celui-ci et, pour ne pas frustrer le reste de mon être, il se servit de ses doigts pour combler mon vagin qui ne cherchait qu'à se remplir. Plus sa langue tournoyait sur mon bouton, plus je laissais échapper de petits cris de contentement. Mon esprit était tout entier centré sur mon bien-être sexuel. Mon orgasme arriva sans plus tarder parcourant tout mon corps d'un intense frémissement. J'étais chancelante, au comble du bonheur le plus basique qu'il soit, celui de sa jouissance personnelle.

Ensuite il se releva excité à la vue de mon propre plaisir. Il m'embrassa fiévreusement, goulument. Soudain, d'un geste sûr, il me retourna sans plus de ménagement et m'obligea à me cambrer en avant . Je me retrouvais face à la paroi, les mains appuyées contre celle-ci. J'entendis le bruit de sa braguette. Il remonta ma jupe de façon à laisser paraître ma croupe offerte. Il se rapprocha et malaxa mes fesses avec envie. Il écarta légèrement mes jambes. Je sentis alors sa verge enserrée dans un préservatif glisser entre mes fesses sans pour autant y rentrer afin d'administrer des caresses à son bâton de jouissance fièrement dressé.

Puis, il procéda de la même manière mais cette fois entre mes lèvres intimes. Je penchais davantage la tête pour pouvoir admirer ce sexe qui allait d'ici peu me pénétrer. Dans son écrin de latex, je voyais son gland écarlate de mon nectar. Il avait du sentir mon regard sur son travail car c'est à ce moment qu'il me pénétra d'un coup sec. Il effectua des mouvements amples afin de rendre le spectacle encore plus jouissif. je voyais son sexe m'investir entièrement puis se retirer laissant uniquement son gland dans mon antre. Le plaisir des yeux augmentait celui de mon vagin.

Il prit alors mes hanches avec fermeté et poussa aussi loin qu'il le put. Je poussais au maximum mes mains de façon à encaisser ses coups aussi profondément que je le pouvais. Nous haletions tous les deux tels des bêtes en rut. Un râle sortit de sa bouche, il venait de jouir. Je le rejoignis aussitôt. Je le débarrassais de son préservatif et lui prodiguait quelques ultimes caresses avec ma main, des caresses très douces pour prolonger un peu son extase. Il posa sa tête sur le creux de mon épaule.

Je remis mon string et ajusta mon chemisier comme je pus, chose difficile quand on a plus de boutons. L'ascenseur arriva enfin à destination et, nous, dans mon appartement. Nous avons fait l'amour tout la nuit. D'ailleurs, je me suis surprise à penser au moment où nous nous sommes enlacés sur le lit que c'était la première fois que nous allions faire l'amour à l'horizontal. Et bien là aussi, il est très doué. Il dort encore et je tiens à être à ses côtés à son réveil.

Cela fait maintenant 3 semaines que l'on sort ensemble et chacune de nos retrouvailles n'est que prétexte à de nouvelles expériences sexuelles. On ne peut rester longtemps sans se toucher, nous échangeons davantage avec nos corps qu'avec nos esprits. La luxure est devenu un délicieux péché auquel nous succombons avec volupté. Nous nous sommes engagés à réaliser chacun les fantasmes de l'autre.

Les avis des lecteurs

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Mmmmmmmmmmmmh j'ai mouillé j'aimerais qu'ils viennent me pénétrer comme il te l'on fait j'aime les grosses bites bien noire

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excellente histoire ..J'aimerai vivre la meme beauté des evenements

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merci: je me suis soulagée deux fois



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