confessions ado suite 3
Récit érotique écrit par Bogigi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2012 dans la catégorie Pour la première fois
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confessions ado suite 3
La cousine lointaineDe retour à la maison je me sentis si fatigué que je m’endormis dans ma chambre à la fin du repas. Une heure de sommeil nu sur mon lit me suffit pour me retrouver plein de force. Il n’y a plus personne que moi à la maison. Tous sont partis soit sur la plage soit en promenade en voiture dans l’arrière-pays. Ils allaient surtout à Aigues-Mortes. En sortant de ma chambre, j’étais donc revêtu de mon short léger qui était presque un maillot de bain, mais qui était aussi le seul vêtement que ma mère m’imposait à l’intérieur de la maison. J’ai déjà dit qu’admirative de mon corps, elle préférait me voir nu sur les terrasses au milieu de tous.
En fait je m’aperçu que je n’étais pas seul. Comme tous les jours à cette heure, une cousine lointaine, invitée pour peu de temps venait prendre sa douche dans une salle de bain proche de ma chambre. Je la connaissais peu. Je l’avais vu passer à cette heure. Elle avait 18 ans, n’était pas jolie mais avait un corps très bien fait.
Je venais de la croiser alors qu’elle était en maillot de plage pour se diriger ver la salle d’eau. Elle m’avait adressé un sourire dans grâce. Pieds nus et revêtu de mon seul petit short je longe maintenant le couloir. J’entends le bruit caractéristique de la douche que j’imagine ruisselant sur son joli corps. C’est là que je m’aperçois que la porte de la salle d’eau n’est pas totalement fermée. Une ouverture plus grande de deux doigts me permettrait de la voir nue. L’excitation est trop forte. J’entrouvre la porte et là je la vois parfaitement nue debout dans la baignoire, sous la douche. Je baisse déjà mon short, dégage mon organe raidi et amorce une masturbation devenue impérieuse. Mais pourquoi cette porte n’est-elle pas fermée ? Alors qu’elle n’est pas seule dans la maison puisqu’elle vient de me croiser en m’adressant un sourire ? Je ne me suis pas posé ces question. C’est un peu plus tard que je comprendrai le piège possible dans lequel j’étais tombé. La masturbation que je viens de commencer m’ôte tout bon sens. Qui plus est, elle m’ôte toute habileté. Mon short tombé sur les talons m’ôte aussi la stabilité nécessaire au petit exercice érotique que j’ai entrepris.
Pour ne pas chuter je dois m’accrocher instinctivement à la poignée. Le bruit incongru de la porte fait sortir la cousine de la baignoire. Entravé par mon short je suis immobile alors qu’elle a déjà ouvert et me vois dans cette attitude qui ne laisse aucune excuse. Elle m’attrape le bras. Elle m’impose ses conditions : ou le scandale par sa plainte auprès de ma mère ou la fessée que je mérite mais qu’elle veut me donner elle-même. On comprendra que j’opte pour la fessée. Elle me fait entrer dans la salle d’eau. Elle sait que je suis à sa merci. Toute la maisonnée est sortie non sur la plage mais dans l’arrière pays. Nous sommes seuls. Alors restant nus tous les deux elle m’ordonne d’appuyer mes deux mains sur le bord de la baignoire. Ce que je fais.
Mes fesses sont bien dégagées mais à sa réflexion cette attitude n’est pas la meilleure. Je suis déjà grand de taille et mes fesses ne sont pas à la hauteur du châtiment qu’elle veut m’infliger. Je dois placer mes mains sur l’autre bord. Celui qui est contre le mur. J’obtempère. Je suis dans la position parfaite pour la fessée.
Je m’aperçois que par un jeu de miroir je peux voir mes fesses prêtes pour la douleur bien méritée ! Elle veut perfectionner et me fait écarter les cuisses. Par le jeu de miroir je vois entre elles mes organes pendants qui, comme on le sait déjà, sont gros et pendent bien. Je crains même que le châtiment vienne les frapper aussi ! Ce serait intolérable mais possible ! Je vois toujours par les miroirs ma fesseuse nue qui semble prendre beaucoup de plaisir par ces seuls préparatifs !
Elle contemple maintenant sa victime ! Je sens sa main qui semble prendre possession de mon derrière. C’est comme une caresse. Elle soupèse mon sac de testicules qu’elle fait rouler doucement dans ses doigts. Elle me prend la verge qu’elle attire vers l’arrière. Ma verge est molle. Je la laisse faire car je crains une réaction méchante. Elle mordille ma fesse. J’ai un peu mal. Elle me pince un peu ma chair dodue. Puis d’un coup je sens la première gifle appliquée sur la fesse droite. Elle est cinglante. Sa main est dure. Puis une série de coups est appliquée sur tout mon derrière. Je gémis. Je sais bien qu’elle attend ces gémissements. Qu’elle souhaite les entendre. Je vais gémir pour lui plaire et peut être pour limiter le temps du supplice ! Mais peut-elle être attendrie par mes gémissements ? Ceux d’un garçon dont tous admirent le joli corps nu comme on admire celui de Michel alors qu’on ne s’aperçoit jamais de sa présence de parente pauvre. Elle insiste. J’ai mal. Je supplie. Je pleure ! Je crois que sa nature étrange prend du plaisir à la douleur qu’elle me procure ! A-t-elle jamais eu une telle occasion ? Elle crie maintenant : « Tiens polisson ! Tiens puisque tu es si beau ! »....Ses paroles sont absurdes elle s’en rend compte mais continue à fesser. Elle est tout prés de moi et frappe encore.
Une impression étrange m’a saisi. Ma verge se raidit. Elle le voit. Cela l’excite d’avantage. Ma verge est longue et bien horizontale. Elle le voit et s’en étonne. Sa fessée se ralentit devient presque douce et c’est alors que mon organe fait jaillir un nombre impressionnant de jets de sperme qui vont ruisseler sur les briques de faïence noire et brillante du mur. Plusieurs ruisselets blancs s’écoulent lentement. La fesseuse s’est arrêté. Elle est stupéfaite. Le joli garçon que je suis sait donc faire des prodiges ! La cousine n’a pas lu les « Confessions » de Jean-Jacques Rousseau !
Va-t-elle tomber à genoux devant un tel prodige ? Elle préfère caresser ma croupe. Ce la lui plait. Comme si ce flot de sperme lui rendait hommage. Nous nous arrêtons un long moment. Mon organe est toujours raide. J’ai toujours mes deux mains appuyées sur le bord. Je reste docile. Elle me dit de la suivre dans sa chambre. Elle ne veut plus me punir bien au contraire ! murmure-t-elle. Je la suis aussi docilement que pour la fessée après avoir repris mon short au passage. Nous restons nus l’un et l’autre. Sa voix est devenue douce. Nous sommes maintenant ensemble près de son lit. Elle m’invite à m’allonger à plat ventre. Elle a trouvé un tube de brème adoucissante.
C’est elle qui me la passe doucement sur les fesses. Elle s’excuse. Me dit que je suis si joli garçon ! Je lui souris. Après tout je la plains un peu. Mais ses mains vont bien au-delà des fesses. Elle caresse tout mon corps. Elle me caresse les fesses, puis m’ayant fait retourner elle me caresse la verge. Oui je la plains un peu de l’indifférence qu’on lui manifeste ici. Elle renifle un peu. Elle me raconte pourquoi elle est ma cousine. Oh une cousine bien lointaine ! Le lien est bien compliqué ! Je feins de tout comprendre. Je m’approche de son visage assez ingrat et lui pose un baiser sur la joue. La voilà qui font en larmes. Elle m’attire contre elle. Nous constatons à peine que nous sommes nus tous les deux. Tout l’attendrit maintenant. Je constate que sa tendresse qui fut toujours cachée est réelle. Je constate encore qu’elle a un joli corps. Elle m’attire vers elle avec une émotion qui ne m’étonne plus.
Que tu es beau ! , soupire-t-elle. Que j’aurais voulu que tu me connaisses mieux !
Que tu sois un vrai cousin pour moi ! J’ai connu des garçons mais pour baiser. Ils me laissaient vite tomber ! Je dois partir après-demain, tu ne le sais même pas sans doute » Elle passe toujours sa main sur moi comme un objet précieux. Allongé près d’elle elle ne voit pas que ses caresses me font bander. J’ignore pourquoi mais je bande sans bouger mais je bande très fort.
- Je n’ose pas dire ce que j’aimerais faire avec toi...lui dis-je doucement.
Comme si elle avait tout compris elle me regarde. Son visage sans grâce est devenu joli !
- Tu voudrais me faire l’amour après tout ce que je t’ai fait de mal !
- Oui mais si tu le veux vraiment, si ça te fait plaisir ...bien sûr...
- Mais tu serais un des plus beaux cadeaux de ma vie !
- C’est gentil parce qu’il faut que je te dise ... j’ai jamais fait l’amour à une fille.
- C’est normal, tu es si jeune ! Je ne mérite pas d’être la première fille de ta vie.
Celle qu’un homme n’oublie jamais ! Mais moi j’en suis heureuse !
La tendresse dominait tout maintenant. Tout ce que je puis ajouter au récit c’est que ce premier amour avec une fille fut délicieux et je m’interdis d’ajouter autre chose.
- Je ne pensais pas que j’aurais l’occasion d’initier un garçon vierge. C’est ma chance aujourd’hui. J’aime les garçons vierges, moi qui n’en ai jamais connu !
- C’est plutôt bouleversant pour moi ! J’ai un ami de mon âge qui est vierge aussi.
Ce serait aussi sa chance à lui...si tu voulais bien. C’est Michel, mon copain. Tu le connais pour l’avoir vu souvent chez nous. A la demande de ma mère qui pense qu’un jeune de notre âge doit être nu comme un bébé, il est nu comme moi sur les terrasses.
Elle m’entendait mais semblait sortir d’un rêve.
- J’ai toujours rêvé de garçons vierges avoua-t-elle doucement. Les hommes me paraissent violents, orgueilleux et sûrs d’eux. Je me doutais que tu étais vierge bien sûr, mais viens demain avec ton ami que j’ai vu tout nu. Du moins si c’est possible de le faire venir. Je doublerai le meilleur souvenir de ma vie. Il n’y a personne demain après-midi. Je le sais et on ne se soucie pas de moi ! Je pars après-demain pour Lyon.
Oui, viens demain avec ton ami je sais qu’il est aussi beau que toi et je veux lui donner le plaisir que tu as eu avec moi.
Je vis alors que son regard avait une lueur d’érotisme. C’était bien le regard qu’elle nous portait sur la terrasse et que je n’avais pas compris. Pour elle nous ne pouvions être que des jouets érotiques dont elle aurait voulu s’emparer. C’est la raison pour laquelle elle avait laissé la porte de la salle d’eau entrouverte. Elle avait conçu un piège pour s’emparer de moi ... et me fesser. C’était une petite vengeance sur la vie. Elle ne se doutait pas de ce qui s’ensuivrait. En lui montrant mon désir c’est sur elle qu’une agréable surprise se refermait. Le désir de profiter au mieux de tous ces jouets dont elle avait rêvé, je les lui donnais. Certes, il ne lui restait que demain après-midi pour en jouer !
- Je lui dirai de venir. Tu es adorable, cousine ! et je l’embrassai tendrement.
J’ai téléphoné à Michel. La proposition le laissa sans voix ou plutôt il bégaya l’expression de son enthousiasme. Nous avions pris un rendez-vous pour le lendemain.
Il viendrait déjeuner avec tous et nous resterions alors que les autres devaient aller à Arles.
Michel vint pour le repas. Nous sommes restés avant d’entre au milieu des invités. Nus. Michel lorgnait un peu vers la cousine qui nous sourit en nous voyant.
Son regard était celui qu’elle nous portait avant. Je connaissais maintenant son caractère lubrique.
Nous sommes restés un moment sur la terrasse quand nous nous sommes retrouvés seuls. Tous les trois. La cousine avait retiré son maillot. Le désir devait monter en nous. Pour Michel et moi, tous nus, il devenait bien visible. Nous laissions à la cousine le plaisir que nos érections devaient lui donner. Elle savait que c’était par le spectacle de son corps, en la regardant aller et venir devant nous, que nous organes devenaient si durs. C’est vrai que son corps était délicieux. Ses fesses étaient bien faites. Elle les montrait en marchant et cela complétait son plaisir se nous voir aussi excités. Elle ne se pressait pas. C’était une petite part de sadisme qui ne la quittait pas. Puis d’un regard elle nous fit enfin comprendre de la suivre.
Michel très excité avait sa part de timidité et c’est elle qui lui prit la main et le renversa sur le lit. Elle avait saisi doucement son organe bien raide mais maladroit et le fit s’introduire. Il gémissait déjà et fit jouir la cousine le premier.
Déjà habitué l’un de l’autre sa relation avec moi fut plus forte et plus tendre à la fois. Elle dura longtemps. Suffisamment pour revoir que Michel était à nouveau très excité. Il était presque épuisé de désir pour nous avoir contemplés. Il prit un second plaisir avec la cousine.
Nous l’avons quittée après de longs baisers. Elle en fut émue. Elle savait qu’elle perdait ses plus jolis jouets sexuels. Nous avons courus vers la plage.
Le lendemain matin alors que je dormais encore, ma mère la conduisait à la gare de Montpellier à dix kilomètres de là pour prendre le TGV de Lyon. Ma mère m’avoua qu’elle avait été étonnée de son silence entrecoupé de remerciements vifs et du baiser plus qu’affectueux qu’elle reçut d’elle.
C’est ainsi, et le lecteur y mettra son jugement, que je connu ma première relation sexuelle avec une fille. Et pourquoi ne pas ajouter sentimentale. Oui, avec celle que l’on n’oublie jamais. Je ne l’ai jamais rappelé à Michel alors que j’avais vu le bonheur qu’il avait pris.
Ces premières fois pour nous avec la même fille ne laissait pas de place pas à des commentaires qui auraient été insuffisants tant ils changeaient nos jeunesses.
Par la suite nous avons eu une amie commune. Une amie, que nous pratiquions tous les deux, sans aucune jalousie ; il faut dire qu’elle avait du tempérament, et il lui plaisait de nous avoir tous les deux pour amants, sans aucune complication, le tout pour le bonheur de tous. Notre complicité et notre envie d’aller plus loin, nous amenait à organiser des soirées à trois, en la possédant ensemble. C’était dans l’appartement des parents de Michel qui partaient souvent. Ma mère me laissait toute liberté sachant que j’étais chez Michel en l’absence de ses parents qui avaient donné leur accord.
En fait je m’aperçu que je n’étais pas seul. Comme tous les jours à cette heure, une cousine lointaine, invitée pour peu de temps venait prendre sa douche dans une salle de bain proche de ma chambre. Je la connaissais peu. Je l’avais vu passer à cette heure. Elle avait 18 ans, n’était pas jolie mais avait un corps très bien fait.
Je venais de la croiser alors qu’elle était en maillot de plage pour se diriger ver la salle d’eau. Elle m’avait adressé un sourire dans grâce. Pieds nus et revêtu de mon seul petit short je longe maintenant le couloir. J’entends le bruit caractéristique de la douche que j’imagine ruisselant sur son joli corps. C’est là que je m’aperçois que la porte de la salle d’eau n’est pas totalement fermée. Une ouverture plus grande de deux doigts me permettrait de la voir nue. L’excitation est trop forte. J’entrouvre la porte et là je la vois parfaitement nue debout dans la baignoire, sous la douche. Je baisse déjà mon short, dégage mon organe raidi et amorce une masturbation devenue impérieuse. Mais pourquoi cette porte n’est-elle pas fermée ? Alors qu’elle n’est pas seule dans la maison puisqu’elle vient de me croiser en m’adressant un sourire ? Je ne me suis pas posé ces question. C’est un peu plus tard que je comprendrai le piège possible dans lequel j’étais tombé. La masturbation que je viens de commencer m’ôte tout bon sens. Qui plus est, elle m’ôte toute habileté. Mon short tombé sur les talons m’ôte aussi la stabilité nécessaire au petit exercice érotique que j’ai entrepris.
Pour ne pas chuter je dois m’accrocher instinctivement à la poignée. Le bruit incongru de la porte fait sortir la cousine de la baignoire. Entravé par mon short je suis immobile alors qu’elle a déjà ouvert et me vois dans cette attitude qui ne laisse aucune excuse. Elle m’attrape le bras. Elle m’impose ses conditions : ou le scandale par sa plainte auprès de ma mère ou la fessée que je mérite mais qu’elle veut me donner elle-même. On comprendra que j’opte pour la fessée. Elle me fait entrer dans la salle d’eau. Elle sait que je suis à sa merci. Toute la maisonnée est sortie non sur la plage mais dans l’arrière pays. Nous sommes seuls. Alors restant nus tous les deux elle m’ordonne d’appuyer mes deux mains sur le bord de la baignoire. Ce que je fais.
Mes fesses sont bien dégagées mais à sa réflexion cette attitude n’est pas la meilleure. Je suis déjà grand de taille et mes fesses ne sont pas à la hauteur du châtiment qu’elle veut m’infliger. Je dois placer mes mains sur l’autre bord. Celui qui est contre le mur. J’obtempère. Je suis dans la position parfaite pour la fessée.
Je m’aperçois que par un jeu de miroir je peux voir mes fesses prêtes pour la douleur bien méritée ! Elle veut perfectionner et me fait écarter les cuisses. Par le jeu de miroir je vois entre elles mes organes pendants qui, comme on le sait déjà, sont gros et pendent bien. Je crains même que le châtiment vienne les frapper aussi ! Ce serait intolérable mais possible ! Je vois toujours par les miroirs ma fesseuse nue qui semble prendre beaucoup de plaisir par ces seuls préparatifs !
Elle contemple maintenant sa victime ! Je sens sa main qui semble prendre possession de mon derrière. C’est comme une caresse. Elle soupèse mon sac de testicules qu’elle fait rouler doucement dans ses doigts. Elle me prend la verge qu’elle attire vers l’arrière. Ma verge est molle. Je la laisse faire car je crains une réaction méchante. Elle mordille ma fesse. J’ai un peu mal. Elle me pince un peu ma chair dodue. Puis d’un coup je sens la première gifle appliquée sur la fesse droite. Elle est cinglante. Sa main est dure. Puis une série de coups est appliquée sur tout mon derrière. Je gémis. Je sais bien qu’elle attend ces gémissements. Qu’elle souhaite les entendre. Je vais gémir pour lui plaire et peut être pour limiter le temps du supplice ! Mais peut-elle être attendrie par mes gémissements ? Ceux d’un garçon dont tous admirent le joli corps nu comme on admire celui de Michel alors qu’on ne s’aperçoit jamais de sa présence de parente pauvre. Elle insiste. J’ai mal. Je supplie. Je pleure ! Je crois que sa nature étrange prend du plaisir à la douleur qu’elle me procure ! A-t-elle jamais eu une telle occasion ? Elle crie maintenant : « Tiens polisson ! Tiens puisque tu es si beau ! »....Ses paroles sont absurdes elle s’en rend compte mais continue à fesser. Elle est tout prés de moi et frappe encore.
Une impression étrange m’a saisi. Ma verge se raidit. Elle le voit. Cela l’excite d’avantage. Ma verge est longue et bien horizontale. Elle le voit et s’en étonne. Sa fessée se ralentit devient presque douce et c’est alors que mon organe fait jaillir un nombre impressionnant de jets de sperme qui vont ruisseler sur les briques de faïence noire et brillante du mur. Plusieurs ruisselets blancs s’écoulent lentement. La fesseuse s’est arrêté. Elle est stupéfaite. Le joli garçon que je suis sait donc faire des prodiges ! La cousine n’a pas lu les « Confessions » de Jean-Jacques Rousseau !
Va-t-elle tomber à genoux devant un tel prodige ? Elle préfère caresser ma croupe. Ce la lui plait. Comme si ce flot de sperme lui rendait hommage. Nous nous arrêtons un long moment. Mon organe est toujours raide. J’ai toujours mes deux mains appuyées sur le bord. Je reste docile. Elle me dit de la suivre dans sa chambre. Elle ne veut plus me punir bien au contraire ! murmure-t-elle. Je la suis aussi docilement que pour la fessée après avoir repris mon short au passage. Nous restons nus l’un et l’autre. Sa voix est devenue douce. Nous sommes maintenant ensemble près de son lit. Elle m’invite à m’allonger à plat ventre. Elle a trouvé un tube de brème adoucissante.
C’est elle qui me la passe doucement sur les fesses. Elle s’excuse. Me dit que je suis si joli garçon ! Je lui souris. Après tout je la plains un peu. Mais ses mains vont bien au-delà des fesses. Elle caresse tout mon corps. Elle me caresse les fesses, puis m’ayant fait retourner elle me caresse la verge. Oui je la plains un peu de l’indifférence qu’on lui manifeste ici. Elle renifle un peu. Elle me raconte pourquoi elle est ma cousine. Oh une cousine bien lointaine ! Le lien est bien compliqué ! Je feins de tout comprendre. Je m’approche de son visage assez ingrat et lui pose un baiser sur la joue. La voilà qui font en larmes. Elle m’attire contre elle. Nous constatons à peine que nous sommes nus tous les deux. Tout l’attendrit maintenant. Je constate que sa tendresse qui fut toujours cachée est réelle. Je constate encore qu’elle a un joli corps. Elle m’attire vers elle avec une émotion qui ne m’étonne plus.
Que tu es beau ! , soupire-t-elle. Que j’aurais voulu que tu me connaisses mieux !
Que tu sois un vrai cousin pour moi ! J’ai connu des garçons mais pour baiser. Ils me laissaient vite tomber ! Je dois partir après-demain, tu ne le sais même pas sans doute » Elle passe toujours sa main sur moi comme un objet précieux. Allongé près d’elle elle ne voit pas que ses caresses me font bander. J’ignore pourquoi mais je bande sans bouger mais je bande très fort.
- Je n’ose pas dire ce que j’aimerais faire avec toi...lui dis-je doucement.
Comme si elle avait tout compris elle me regarde. Son visage sans grâce est devenu joli !
- Tu voudrais me faire l’amour après tout ce que je t’ai fait de mal !
- Oui mais si tu le veux vraiment, si ça te fait plaisir ...bien sûr...
- Mais tu serais un des plus beaux cadeaux de ma vie !
- C’est gentil parce qu’il faut que je te dise ... j’ai jamais fait l’amour à une fille.
- C’est normal, tu es si jeune ! Je ne mérite pas d’être la première fille de ta vie.
Celle qu’un homme n’oublie jamais ! Mais moi j’en suis heureuse !
La tendresse dominait tout maintenant. Tout ce que je puis ajouter au récit c’est que ce premier amour avec une fille fut délicieux et je m’interdis d’ajouter autre chose.
- Je ne pensais pas que j’aurais l’occasion d’initier un garçon vierge. C’est ma chance aujourd’hui. J’aime les garçons vierges, moi qui n’en ai jamais connu !
- C’est plutôt bouleversant pour moi ! J’ai un ami de mon âge qui est vierge aussi.
Ce serait aussi sa chance à lui...si tu voulais bien. C’est Michel, mon copain. Tu le connais pour l’avoir vu souvent chez nous. A la demande de ma mère qui pense qu’un jeune de notre âge doit être nu comme un bébé, il est nu comme moi sur les terrasses.
Elle m’entendait mais semblait sortir d’un rêve.
- J’ai toujours rêvé de garçons vierges avoua-t-elle doucement. Les hommes me paraissent violents, orgueilleux et sûrs d’eux. Je me doutais que tu étais vierge bien sûr, mais viens demain avec ton ami que j’ai vu tout nu. Du moins si c’est possible de le faire venir. Je doublerai le meilleur souvenir de ma vie. Il n’y a personne demain après-midi. Je le sais et on ne se soucie pas de moi ! Je pars après-demain pour Lyon.
Oui, viens demain avec ton ami je sais qu’il est aussi beau que toi et je veux lui donner le plaisir que tu as eu avec moi.
Je vis alors que son regard avait une lueur d’érotisme. C’était bien le regard qu’elle nous portait sur la terrasse et que je n’avais pas compris. Pour elle nous ne pouvions être que des jouets érotiques dont elle aurait voulu s’emparer. C’est la raison pour laquelle elle avait laissé la porte de la salle d’eau entrouverte. Elle avait conçu un piège pour s’emparer de moi ... et me fesser. C’était une petite vengeance sur la vie. Elle ne se doutait pas de ce qui s’ensuivrait. En lui montrant mon désir c’est sur elle qu’une agréable surprise se refermait. Le désir de profiter au mieux de tous ces jouets dont elle avait rêvé, je les lui donnais. Certes, il ne lui restait que demain après-midi pour en jouer !
- Je lui dirai de venir. Tu es adorable, cousine ! et je l’embrassai tendrement.
J’ai téléphoné à Michel. La proposition le laissa sans voix ou plutôt il bégaya l’expression de son enthousiasme. Nous avions pris un rendez-vous pour le lendemain.
Il viendrait déjeuner avec tous et nous resterions alors que les autres devaient aller à Arles.
Michel vint pour le repas. Nous sommes restés avant d’entre au milieu des invités. Nus. Michel lorgnait un peu vers la cousine qui nous sourit en nous voyant.
Son regard était celui qu’elle nous portait avant. Je connaissais maintenant son caractère lubrique.
Nous sommes restés un moment sur la terrasse quand nous nous sommes retrouvés seuls. Tous les trois. La cousine avait retiré son maillot. Le désir devait monter en nous. Pour Michel et moi, tous nus, il devenait bien visible. Nous laissions à la cousine le plaisir que nos érections devaient lui donner. Elle savait que c’était par le spectacle de son corps, en la regardant aller et venir devant nous, que nous organes devenaient si durs. C’est vrai que son corps était délicieux. Ses fesses étaient bien faites. Elle les montrait en marchant et cela complétait son plaisir se nous voir aussi excités. Elle ne se pressait pas. C’était une petite part de sadisme qui ne la quittait pas. Puis d’un regard elle nous fit enfin comprendre de la suivre.
Michel très excité avait sa part de timidité et c’est elle qui lui prit la main et le renversa sur le lit. Elle avait saisi doucement son organe bien raide mais maladroit et le fit s’introduire. Il gémissait déjà et fit jouir la cousine le premier.
Déjà habitué l’un de l’autre sa relation avec moi fut plus forte et plus tendre à la fois. Elle dura longtemps. Suffisamment pour revoir que Michel était à nouveau très excité. Il était presque épuisé de désir pour nous avoir contemplés. Il prit un second plaisir avec la cousine.
Nous l’avons quittée après de longs baisers. Elle en fut émue. Elle savait qu’elle perdait ses plus jolis jouets sexuels. Nous avons courus vers la plage.
Le lendemain matin alors que je dormais encore, ma mère la conduisait à la gare de Montpellier à dix kilomètres de là pour prendre le TGV de Lyon. Ma mère m’avoua qu’elle avait été étonnée de son silence entrecoupé de remerciements vifs et du baiser plus qu’affectueux qu’elle reçut d’elle.
C’est ainsi, et le lecteur y mettra son jugement, que je connu ma première relation sexuelle avec une fille. Et pourquoi ne pas ajouter sentimentale. Oui, avec celle que l’on n’oublie jamais. Je ne l’ai jamais rappelé à Michel alors que j’avais vu le bonheur qu’il avait pris.
Ces premières fois pour nous avec la même fille ne laissait pas de place pas à des commentaires qui auraient été insuffisants tant ils changeaient nos jeunesses.
Par la suite nous avons eu une amie commune. Une amie, que nous pratiquions tous les deux, sans aucune jalousie ; il faut dire qu’elle avait du tempérament, et il lui plaisait de nous avoir tous les deux pour amants, sans aucune complication, le tout pour le bonheur de tous. Notre complicité et notre envie d’aller plus loin, nous amenait à organiser des soirées à trois, en la possédant ensemble. C’était dans l’appartement des parents de Michel qui partaient souvent. Ma mère me laissait toute liberté sachant que j’étais chez Michel en l’absence de ses parents qui avaient donné leur accord.
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