Confessions du curé 2/3
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Confessions du curé 2/3
Il est resté un long moment blotti contre moi, me faisant des bisous de temps en temps. Je voyais dans ses yeux qu'il avait encore des choses à me dire et que ce devait être le plus dur à venir.
Il m'a fait bouger pour reprendre notre position initiale, lui à moitié à cheval sur moi, sa jambe entre les miennes, il me tenait la joue, et m'attirait à lui pour des bisous et pour que je le regarde. Il réfléchissait, a dégluti.
-tu sais c'était la première bite autre que la mienne que je tenais entre mes doigts, j'étais tétanisé. Aucun son ne voulait sortir de ma bouche, pour me révolter, dire que je n'étais pas venu ici pour trouver ça. Mais, je ne sais pas si c'était la peur ou l'autorité de cet abbé recteur mais il me dominait. J'avais son odeur dans le nez, sa bite près de mes lèvres et, toutes ces paroles qu'il disait… que j'étais à lui, que j'étais là pour lui obéir. J'étais subjugué complètement. Il n'a rien cherché à faire d'autre à ce moment là, je n'ai eu droit qu'à des caresses sur le visage. Je me souviens que ses mains fines étaient douces, ses yeux bleus clairs plongeaient dans les miens et semblaient me sonder. Il souriait tel un fauve devant sa proie et je me sentais devenir tout petit.
Le sexe de Jérôme avait repris de belles proportions et il se frottait contre moi.
Il a laissé retomber son vêtement et son sexe m'a été caché. J'ai recommencé à respirer, ses yeux étaient toujours vicieux. Il m'a fait relevé, on était face à face, je sentais sa respiration venir sur moi, je voyais les dessins de sa peau sur son visage, ses rides.
-tu dors nu ? m'a t-il demandé dans un souffle.
-j'ai dit oui bien sûr.
-montre moi comment tu dors.
Il a ouvert le lit, j'allais m'allonger.
-enlève ton vêtement.
Il avait un ton sec, ses yeux brillaient de vice.
-Je me suis retrouvé nu devant lui, la main sur mon sexe qui ne bandait pas je t'assure, pas comme maintenant dit Jérôme en me souriant.
J'ai caressé son visage sans rien dire comme pour l'encourager à continuer.
-couche toi! a t-il dit.
Je me suis allongé sur le dos ma main sur le sexe. je voyais ses yeux me détailler le corps puis sa main est venue taper sur la mienne.
-tu dors en te tenant le sexe ? ça m'étonne pas que tu bandes, enlève ta main.
J'avais honte tu peux pas savoir de le voir me regarder le sexe, ses yeux me mataient, il s'est approché pour mieux voir.
-tu dors sur le dos… ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre.
-c'est mieux sur le côté, tourne toi… voilà, tend une jambe et l'autre doit être repliée.
Je sens sa main me toucher la cuisse, m'accompagnant dans le mouvement qui faisait que mes fesses étaient à sa vue, ouvertes. Il passe sa main doucement. C'est pas désagréable mais j'ai honte, honte de me faire caresser par un homme et sa main arrive sur mes fesses, les caresse. Je sens ses doigts passer dans ma raie, c'est vrai que c'est doux mais quand ses doigts me touchent l'anus, je ne respire plus. Je le vois se mettre à genoux et je sens son doigt forcer mon anus. Je sens son souffle sur mes fesses, je mords les draps quand son doigt me viole l'anus. J'ai mal, je crie.
-tais toi! dit il, comme tous les jeunes qui viennent ici tu aimes te faire toucher le cul, t'as un cul qui aime la bite et qui va l'aimer. Je vais m'occuper de toi. Je vais t'apprendre à obéir à l'homme et oublier la femme qui ne sert qu'à procréer et ne procure aucun plaisir à l'homme.
Pendant qu'il parlait je sentais son doigt, son index j'ai su quelque temps après, me caresser l'intérieur, toucher ma paroi. C'était la première fois que l'on me faisait ça et il a fait durer ça un moment.
La honte s'est décuplée quand il a touché ma prostate et que ma queue a réagi d'un seul coup. Elle s'est mise à bander, s'allonger, grossir. J'étais sur le côté, il ne voyait rien, mais quand il a sorti son doigt…
-remet toi sur le dos, les bras le long du corps.
Et, là il a vu mon sexe bandé, droit, bien raide, pas encore tout décalotté. Si tu avais vu Fabrice, son sourire sarcastique qu'il avait aux lèvres quand il a vu ma queue.
-vous êtes tous des obsédés, vous bandez sans arrêt!
Il avait un ton méprisable quand il disait cela.
-montre moi comment tu te branles.
J'étais de nouveau tétanisé dans l'incapacité de bouger alors il a pris ma main pour la poser sur mon sexe, m'a écarté la main et a fait que je me branle.
Sa tête est venue se poser près de la mienne.
-c'est beau un homme qui se masturbe, alors branle toi maintenant, fais toi jouir que je vois ton sperme sortir.
Bien malgré moi j'étais excité quand même et je me suis dit qu'il allait partir dès que j'aurais joui alors je me suis activé devant son regard lubrique.
-lorsque je me branle, je ferme les yeux pour penser à quelqu'un qui m'a fait plaisir. Là je ne pouvais penser qu'à Isabelle mais je n'avais pas envie de la mêler à ça penser à elle devant l'abbé recteur, alors je l'ai regardé, j'ai regardé sa tête, ses yeux, ses lèvres et j'avoue maintenant qu'il m'a excité du regard quand il regardait ma queue et revenait à mes yeux, sa langue léchant ses lèvres, oh je ne pensais à rien de sexuel avec lui mais j'ai joui parce qu' j'étais excité et j'ai repensé à son doigt dans mon cul.
J'avais balancé plusieurs giclées sur mon torse je reprenais mon souffle. Je le voyais regarder mon sperme. Ses yeux brillaient d'excitation, ses doigts sont venus le récupérer et me le donner pour que je lèche son doigt, son index qu'il m'avait mis dans le cul. J'ai eu encore honte, je devais être rouge vif mais j'ai avalé tout mon sperme sous son sourire ignoble.
-dort bien maintenant, je reviens demain soir pour une autre leçon, je sens que tu vas être un bon élève.
Il a relevé le drap et la couverture sur mon corps nu et il est sorti. Je me suis endormi en pleurant.
-et le lendemain matin du t'es pas cassé ?
-j'y ai pensé mais en me retrouvant avec les autres, j'ai commencé à les regarder un peu mieux, voir si je pouvais deviner si d'autres avaient fait la même chose avec l'abbé recteur mais bien sûr je n'ai rien remarqué de particulier et j'ai été pris par les cours.
Je t'ai parlé d'un jeune comme moi, Marc, avec qui je parlais assez souvent. J'ai décidé de me rapprocher de lui, j'avais su qu'il était arrivé peu de temps avant moi.
Mais le soir est vite arrivé et après le dîner, j'ai vu arriver l'abbé recteur tout sourire lui!
Il s'est assis sur mon lit, m'a fait signe de venir à côté de lui, m'a enveloppé les épaules de son bras pour me coller à lui.
-tu sais que j'ai pensé à toi toute la journée, tu es beau. Mon doigt a adoré ton cul et j'ai bien vu de quelle façon tu avais joui, mon doigt y était bien pour quelque chose hein ? dit il en me relevant le menton.
Je l'ai regardé sans répondre.
-j'aime les garçons comme toi qui n'ont jamais connu l'homme et qui sont nés pour leur faire plaisir. T'as une bouche, des lèvres qui appellent le baiser. Ta bouche doit être chaude pour accueillir mon sexe et recevoir sa semence, tu vas voir la semence de l'homme est bonne, douce, chaude et pleine de vitamines.
-si tu avais entendu le rire gras qu'il avait en disant ça.
Il m'a fait allonger sur le lit, s'est retourné sur moi et ses lèvres se sont emparées des miennes. Je me suis laissé faire, sans aucune réaction, sa langue s'enfonçait dans ma bouche, jouant avec la mienne qui ne répondait pas. Sa main est passée sous mes vêtements et est venue me prendre le sexe en mains, mon sexe qui n'avait été touché que par la main d'une fille eh bien ce sexe m'a trahi. Il s'est mis à bander sous les caresses de l'abbé recteur, il me serrait contre lui, sa langue visitait ma bouche, il gémissait, me branlait et j'ai apprécié sa main sur ma queue, il la décalottait bien et son pouce passait sur mon gland me faisant frissonner si bien que ma langue s'est réveillée. J'ai oublié en fermant les yeux que j'avais l'abbé recteur dans les bras et nos langues ont joué ensemble, j'ai gémi, j'ai tendu ma queue à ses caresses, je me suis laissé embrasser et branler en gémissant et, quand j'ai joui, en fait assez rapidement, mon cul s'est soulevé du lit et j'ai joui partout.
-c'est bien a-t-il dit en me regardant, déshabille toi complètement maintenant.
Il en a fait autant et nos corps se sont collés. Sa main est venue me caresser la joue, son pouce entrait dans ma bouche, il me faisait le sucer, l'enfoncer dans ma bouche, toucher ma langue, il m'embrassait le coin des lèvres.
-touche ma queue.
J'ai pas cherché à comprendre et j'ai eu ma première queue en main, comment te dire cela ne m'a pas fait pareil que la veille. Je l'ai serré dans ma main, desserré, mais je ne la branlais pas.
-caresse là, elle aime ça, décalotte la bien, touche mon gland entre tes doigts… oui voilà comme ça c'est bien, tes doigts, ta main, c'est doux, c'est chaud.
Il avait plongé ses yeux bleus dans les miens, me fixaient lorsqu'il me disait tout cela.
-branle moi lentement.
Il m'a embrassé encore, me fouillant de sa langue et, est revenu me fixer.
-tu vas goûter à ma queue la prendre dans ta bouche. Tu vas me lécher le gland en prenant mes couilles dans une main et tu vas me téter, me sucer.
Il parlait tout bas en disant cela et j'étais subjugué par les paroles. Je me voyais faire ce qu'il me disait et je l'ai fait.
Il est resté sur le dos et j'ai mis ma tête sur son ventre. J'avais jamais vu une queue de si près et j'ai fait ce qu'il m'avait demandé. Il me caressait les cheveux, m'encourageant quand il devait sentir mes dents, je recevais une petit claque sur la joue.
-fait attention, c'est fragile.
J'avalais, je suçais sa queue qui ne rentrait qu'à moitié dans ma bouche mais je l'ai sentie se raidir, grossir, le gland coulait énormément et je n'ai pas aimé sa mouille mais j'ai senti ses deux mains me tenir la tête plus fermement.
-tu avales tout ce que je vais te donner!
C'était un ordre qui avait claqué et dans les trois secondes j'ai eu la bouche d'envahie par son jus que je n'ai pas aimé non plus mais j'ai senti son jus couler sur ma langue et tomber dans ma gorge, ça m'a fait tousser, mais il a appuyé sur ma tête et j'en ai mis partout. Il en avait sur le ventre, il m'a tenu la nuque entre ses doigts, mis le nez dans le sperme.
-lèche et nettoie bien!
Il avait de nouveau son regard méprisant quand il me regardait.
-couche toi comme je t'ai appris hier soir.
Tout ça pour me mettre son doigt dans le cul et me fouiller pour me faire sucer mon doigt ensuite.
-dort bien! à demain!
Quand il a été parti, je me suis branlé… la honte était en moi!
Le lendemain je me suis rapproché de Marc, j'allais où il allait, je faisais comme lui. J'ai engagé la conversation pour savoir comment il était arrivé là, s'il voyait souvent l'abbé recteur lui faisant croire que je ne l'avais pas revu depuis mon arrivée et il m'a dit qu'il l'avait vu les 10 premiers jours dès son arrivée et, que maintenant il n'avait plus de contact. J'ai bien vu que son regard était interrogateur.
Et, pour le troisième soir, l'abbé recteur est revenu, il avait le sourire!
-quand je viens te voir le soir je veux que maintenant tu m'accueilles nu, tu es beau, jeune novice quand tu es nu.
On s'est déshabillé tous les deux, il bandait comme un vrai mâle.
On a révisé la leçon de la veille si je puis dire pour me retrouver à quatre pattes sur le lit lui offrant mon cul et ce fût ma première bite.
-tu vois Fabrice, j'aime quand tu me fais l'amour, j'aime quand je sens ta belle queue entrer en moi, s'enfonçant au plus profond et quand tu me secoues comme un prunier! dit il en riant. j'adore ça! mais lui il ne voyait que son plaisir, je n'étais qu'un trou vivant.
-tu te fais du mal à revivre ça Jérôme fais moi des bisous.
-oui et non, ça me fait du mal de repenser à ça et en même temps c'est la première fois que j'en parle à quelqu'un, toi!
-ben je croyais que tu te confessais souvent.
-ben oui, mais c'était lui mon confesseur!
-mais quand t'es sorti t'as bien un autre confesseur quand même!
-oui mais t'imagines si je vais lui raconter ça.
-ben y peut rien répéter mais il saura!
-parce que tu crois qu'il ne le répétera pas! t'es bien novice mon ami! dit il en riant.
-mais c'est quand même pas la mafia le clergé!!
-je me le demande à des fois.
Il avait vraiment l'air triste en disant cela.
-alors t'as eu mal à ton beau petit cul la première fois ? pas de préparation ?
-Oh si! j'ai eu droit à trois doigts dans le cul, foré, vissé bien profond et de la salive quand il m'a sauté!
Je le serrais dans mes bras.
-toi qui aime tant ça maintenant.
-oui mais je peux te dire que les premières fois j'ai gueulé, sa main sur la bouche, il m'a baisé comme la dernière des salopes. J'essayais de le retenir, de refuser mais j'avais encore plus mal alors je me suis laissé violer! et ça durant une semaine tous les soirs il venait, je devais l'attendre à quatre pattes sur le lit, je devais m'avoir doigté avant, avoir le cul ouvert comme il disait. Il arrivait, je devais le sucer rapidement et aussi rapidement il m'engrossait, jutant au fond de mon cul et ensuite je devais l'embrasser en lui disant merci avant de me branler devant lui sans qu'il me touche et avaler toute ma semence. Il arrivait aussi que je doive le sucer et le faire jouir avec ma bouche.
-et t'étais le seul à qui c'est arrivé ?
-tu vas encore trop vite Fabrice dit il en me souriant.
Il avait les traits tirés, il semblait fatigué. J'ai trouvé qu'il avait vieilli en racontant cela mais d'un seul coup je l'ai trouvé ragaillardi.
-tu sais que je suis content de t'avoir déjà raconté ça, je savais au fond de moi que je pouvais te faire confiance et que tu jugerais pas car la suite… disons qu'elle est plus plaisante.
-alors comme ça après t'es devenu vicieux ?
Il rigole.
-je crois que je l'ai toujours été, si tu savais comme j'aimais faire l'amour avec Isabelle et elle aimait ça, on s'entendait bien tous les deux. Tiens, ça n'a rien à voir, mais comme j'aime être avec toi, j'aime te tenir dans mes bras, s'embrasser, se caresser sans se faire de vaines promesses et te sentir en moi!
-moi je voudrais te faire jouir avec ma bouche dis je en le regardant de mon air coquin mais maintenant!
Il se met sur le dos me montrant sa belle queue bien raide, gland tout décalotté, gland plus qu'humide.
-je t'appartiens Fabrice.
Petit bisou sur ses belles lèvres. J'ai pris sa queue en main, la serrant et mes lèvres sont venues envelopper son gros gland en l'aspirant, aspirant cette mouille claire qui coulait et l'entendre pousser son premier gémissement.
Sa belle queue était dure, bien raide et mes lèvres coulissaient avec merveille. J'aime sa texture, son odeur, son goût. La sentir se raidir dans ma bouche, ralentir, presser les belles couilles, lécher la hampe, reprendre la pipe, l'entendre gémir en soulevant son petit cul, sentir le gland durcir rapidement, la queue se redresser, l'envelopper de mes lèvres et l'avalant au plus profond pour recueillir sa bonne semence qu'il me donne en criant et en me serrant la tête.
Bien nettoyer l'appareil qui vient de délivrer tout son bonheur et revenir dans ses bras pour se faire lécher la langue et recevoir plein de bisous.
Il m'a fait bouger pour reprendre notre position initiale, lui à moitié à cheval sur moi, sa jambe entre les miennes, il me tenait la joue, et m'attirait à lui pour des bisous et pour que je le regarde. Il réfléchissait, a dégluti.
-tu sais c'était la première bite autre que la mienne que je tenais entre mes doigts, j'étais tétanisé. Aucun son ne voulait sortir de ma bouche, pour me révolter, dire que je n'étais pas venu ici pour trouver ça. Mais, je ne sais pas si c'était la peur ou l'autorité de cet abbé recteur mais il me dominait. J'avais son odeur dans le nez, sa bite près de mes lèvres et, toutes ces paroles qu'il disait… que j'étais à lui, que j'étais là pour lui obéir. J'étais subjugué complètement. Il n'a rien cherché à faire d'autre à ce moment là, je n'ai eu droit qu'à des caresses sur le visage. Je me souviens que ses mains fines étaient douces, ses yeux bleus clairs plongeaient dans les miens et semblaient me sonder. Il souriait tel un fauve devant sa proie et je me sentais devenir tout petit.
Le sexe de Jérôme avait repris de belles proportions et il se frottait contre moi.
Il a laissé retomber son vêtement et son sexe m'a été caché. J'ai recommencé à respirer, ses yeux étaient toujours vicieux. Il m'a fait relevé, on était face à face, je sentais sa respiration venir sur moi, je voyais les dessins de sa peau sur son visage, ses rides.
-tu dors nu ? m'a t-il demandé dans un souffle.
-j'ai dit oui bien sûr.
-montre moi comment tu dors.
Il a ouvert le lit, j'allais m'allonger.
-enlève ton vêtement.
Il avait un ton sec, ses yeux brillaient de vice.
-Je me suis retrouvé nu devant lui, la main sur mon sexe qui ne bandait pas je t'assure, pas comme maintenant dit Jérôme en me souriant.
J'ai caressé son visage sans rien dire comme pour l'encourager à continuer.
-couche toi! a t-il dit.
Je me suis allongé sur le dos ma main sur le sexe. je voyais ses yeux me détailler le corps puis sa main est venue taper sur la mienne.
-tu dors en te tenant le sexe ? ça m'étonne pas que tu bandes, enlève ta main.
J'avais honte tu peux pas savoir de le voir me regarder le sexe, ses yeux me mataient, il s'est approché pour mieux voir.
-tu dors sur le dos… ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre.
-c'est mieux sur le côté, tourne toi… voilà, tend une jambe et l'autre doit être repliée.
Je sens sa main me toucher la cuisse, m'accompagnant dans le mouvement qui faisait que mes fesses étaient à sa vue, ouvertes. Il passe sa main doucement. C'est pas désagréable mais j'ai honte, honte de me faire caresser par un homme et sa main arrive sur mes fesses, les caresse. Je sens ses doigts passer dans ma raie, c'est vrai que c'est doux mais quand ses doigts me touchent l'anus, je ne respire plus. Je le vois se mettre à genoux et je sens son doigt forcer mon anus. Je sens son souffle sur mes fesses, je mords les draps quand son doigt me viole l'anus. J'ai mal, je crie.
-tais toi! dit il, comme tous les jeunes qui viennent ici tu aimes te faire toucher le cul, t'as un cul qui aime la bite et qui va l'aimer. Je vais m'occuper de toi. Je vais t'apprendre à obéir à l'homme et oublier la femme qui ne sert qu'à procréer et ne procure aucun plaisir à l'homme.
Pendant qu'il parlait je sentais son doigt, son index j'ai su quelque temps après, me caresser l'intérieur, toucher ma paroi. C'était la première fois que l'on me faisait ça et il a fait durer ça un moment.
La honte s'est décuplée quand il a touché ma prostate et que ma queue a réagi d'un seul coup. Elle s'est mise à bander, s'allonger, grossir. J'étais sur le côté, il ne voyait rien, mais quand il a sorti son doigt…
-remet toi sur le dos, les bras le long du corps.
Et, là il a vu mon sexe bandé, droit, bien raide, pas encore tout décalotté. Si tu avais vu Fabrice, son sourire sarcastique qu'il avait aux lèvres quand il a vu ma queue.
-vous êtes tous des obsédés, vous bandez sans arrêt!
Il avait un ton méprisable quand il disait cela.
-montre moi comment tu te branles.
J'étais de nouveau tétanisé dans l'incapacité de bouger alors il a pris ma main pour la poser sur mon sexe, m'a écarté la main et a fait que je me branle.
Sa tête est venue se poser près de la mienne.
-c'est beau un homme qui se masturbe, alors branle toi maintenant, fais toi jouir que je vois ton sperme sortir.
Bien malgré moi j'étais excité quand même et je me suis dit qu'il allait partir dès que j'aurais joui alors je me suis activé devant son regard lubrique.
-lorsque je me branle, je ferme les yeux pour penser à quelqu'un qui m'a fait plaisir. Là je ne pouvais penser qu'à Isabelle mais je n'avais pas envie de la mêler à ça penser à elle devant l'abbé recteur, alors je l'ai regardé, j'ai regardé sa tête, ses yeux, ses lèvres et j'avoue maintenant qu'il m'a excité du regard quand il regardait ma queue et revenait à mes yeux, sa langue léchant ses lèvres, oh je ne pensais à rien de sexuel avec lui mais j'ai joui parce qu' j'étais excité et j'ai repensé à son doigt dans mon cul.
J'avais balancé plusieurs giclées sur mon torse je reprenais mon souffle. Je le voyais regarder mon sperme. Ses yeux brillaient d'excitation, ses doigts sont venus le récupérer et me le donner pour que je lèche son doigt, son index qu'il m'avait mis dans le cul. J'ai eu encore honte, je devais être rouge vif mais j'ai avalé tout mon sperme sous son sourire ignoble.
-dort bien maintenant, je reviens demain soir pour une autre leçon, je sens que tu vas être un bon élève.
Il a relevé le drap et la couverture sur mon corps nu et il est sorti. Je me suis endormi en pleurant.
-et le lendemain matin du t'es pas cassé ?
-j'y ai pensé mais en me retrouvant avec les autres, j'ai commencé à les regarder un peu mieux, voir si je pouvais deviner si d'autres avaient fait la même chose avec l'abbé recteur mais bien sûr je n'ai rien remarqué de particulier et j'ai été pris par les cours.
Je t'ai parlé d'un jeune comme moi, Marc, avec qui je parlais assez souvent. J'ai décidé de me rapprocher de lui, j'avais su qu'il était arrivé peu de temps avant moi.
Mais le soir est vite arrivé et après le dîner, j'ai vu arriver l'abbé recteur tout sourire lui!
Il s'est assis sur mon lit, m'a fait signe de venir à côté de lui, m'a enveloppé les épaules de son bras pour me coller à lui.
-tu sais que j'ai pensé à toi toute la journée, tu es beau. Mon doigt a adoré ton cul et j'ai bien vu de quelle façon tu avais joui, mon doigt y était bien pour quelque chose hein ? dit il en me relevant le menton.
Je l'ai regardé sans répondre.
-j'aime les garçons comme toi qui n'ont jamais connu l'homme et qui sont nés pour leur faire plaisir. T'as une bouche, des lèvres qui appellent le baiser. Ta bouche doit être chaude pour accueillir mon sexe et recevoir sa semence, tu vas voir la semence de l'homme est bonne, douce, chaude et pleine de vitamines.
-si tu avais entendu le rire gras qu'il avait en disant ça.
Il m'a fait allonger sur le lit, s'est retourné sur moi et ses lèvres se sont emparées des miennes. Je me suis laissé faire, sans aucune réaction, sa langue s'enfonçait dans ma bouche, jouant avec la mienne qui ne répondait pas. Sa main est passée sous mes vêtements et est venue me prendre le sexe en mains, mon sexe qui n'avait été touché que par la main d'une fille eh bien ce sexe m'a trahi. Il s'est mis à bander sous les caresses de l'abbé recteur, il me serrait contre lui, sa langue visitait ma bouche, il gémissait, me branlait et j'ai apprécié sa main sur ma queue, il la décalottait bien et son pouce passait sur mon gland me faisant frissonner si bien que ma langue s'est réveillée. J'ai oublié en fermant les yeux que j'avais l'abbé recteur dans les bras et nos langues ont joué ensemble, j'ai gémi, j'ai tendu ma queue à ses caresses, je me suis laissé embrasser et branler en gémissant et, quand j'ai joui, en fait assez rapidement, mon cul s'est soulevé du lit et j'ai joui partout.
-c'est bien a-t-il dit en me regardant, déshabille toi complètement maintenant.
Il en a fait autant et nos corps se sont collés. Sa main est venue me caresser la joue, son pouce entrait dans ma bouche, il me faisait le sucer, l'enfoncer dans ma bouche, toucher ma langue, il m'embrassait le coin des lèvres.
-touche ma queue.
J'ai pas cherché à comprendre et j'ai eu ma première queue en main, comment te dire cela ne m'a pas fait pareil que la veille. Je l'ai serré dans ma main, desserré, mais je ne la branlais pas.
-caresse là, elle aime ça, décalotte la bien, touche mon gland entre tes doigts… oui voilà comme ça c'est bien, tes doigts, ta main, c'est doux, c'est chaud.
Il avait plongé ses yeux bleus dans les miens, me fixaient lorsqu'il me disait tout cela.
-branle moi lentement.
Il m'a embrassé encore, me fouillant de sa langue et, est revenu me fixer.
-tu vas goûter à ma queue la prendre dans ta bouche. Tu vas me lécher le gland en prenant mes couilles dans une main et tu vas me téter, me sucer.
Il parlait tout bas en disant cela et j'étais subjugué par les paroles. Je me voyais faire ce qu'il me disait et je l'ai fait.
Il est resté sur le dos et j'ai mis ma tête sur son ventre. J'avais jamais vu une queue de si près et j'ai fait ce qu'il m'avait demandé. Il me caressait les cheveux, m'encourageant quand il devait sentir mes dents, je recevais une petit claque sur la joue.
-fait attention, c'est fragile.
J'avalais, je suçais sa queue qui ne rentrait qu'à moitié dans ma bouche mais je l'ai sentie se raidir, grossir, le gland coulait énormément et je n'ai pas aimé sa mouille mais j'ai senti ses deux mains me tenir la tête plus fermement.
-tu avales tout ce que je vais te donner!
C'était un ordre qui avait claqué et dans les trois secondes j'ai eu la bouche d'envahie par son jus que je n'ai pas aimé non plus mais j'ai senti son jus couler sur ma langue et tomber dans ma gorge, ça m'a fait tousser, mais il a appuyé sur ma tête et j'en ai mis partout. Il en avait sur le ventre, il m'a tenu la nuque entre ses doigts, mis le nez dans le sperme.
-lèche et nettoie bien!
Il avait de nouveau son regard méprisant quand il me regardait.
-couche toi comme je t'ai appris hier soir.
Tout ça pour me mettre son doigt dans le cul et me fouiller pour me faire sucer mon doigt ensuite.
-dort bien! à demain!
Quand il a été parti, je me suis branlé… la honte était en moi!
Le lendemain je me suis rapproché de Marc, j'allais où il allait, je faisais comme lui. J'ai engagé la conversation pour savoir comment il était arrivé là, s'il voyait souvent l'abbé recteur lui faisant croire que je ne l'avais pas revu depuis mon arrivée et il m'a dit qu'il l'avait vu les 10 premiers jours dès son arrivée et, que maintenant il n'avait plus de contact. J'ai bien vu que son regard était interrogateur.
Et, pour le troisième soir, l'abbé recteur est revenu, il avait le sourire!
-quand je viens te voir le soir je veux que maintenant tu m'accueilles nu, tu es beau, jeune novice quand tu es nu.
On s'est déshabillé tous les deux, il bandait comme un vrai mâle.
On a révisé la leçon de la veille si je puis dire pour me retrouver à quatre pattes sur le lit lui offrant mon cul et ce fût ma première bite.
-tu vois Fabrice, j'aime quand tu me fais l'amour, j'aime quand je sens ta belle queue entrer en moi, s'enfonçant au plus profond et quand tu me secoues comme un prunier! dit il en riant. j'adore ça! mais lui il ne voyait que son plaisir, je n'étais qu'un trou vivant.
-tu te fais du mal à revivre ça Jérôme fais moi des bisous.
-oui et non, ça me fait du mal de repenser à ça et en même temps c'est la première fois que j'en parle à quelqu'un, toi!
-ben je croyais que tu te confessais souvent.
-ben oui, mais c'était lui mon confesseur!
-mais quand t'es sorti t'as bien un autre confesseur quand même!
-oui mais t'imagines si je vais lui raconter ça.
-ben y peut rien répéter mais il saura!
-parce que tu crois qu'il ne le répétera pas! t'es bien novice mon ami! dit il en riant.
-mais c'est quand même pas la mafia le clergé!!
-je me le demande à des fois.
Il avait vraiment l'air triste en disant cela.
-alors t'as eu mal à ton beau petit cul la première fois ? pas de préparation ?
-Oh si! j'ai eu droit à trois doigts dans le cul, foré, vissé bien profond et de la salive quand il m'a sauté!
Je le serrais dans mes bras.
-toi qui aime tant ça maintenant.
-oui mais je peux te dire que les premières fois j'ai gueulé, sa main sur la bouche, il m'a baisé comme la dernière des salopes. J'essayais de le retenir, de refuser mais j'avais encore plus mal alors je me suis laissé violer! et ça durant une semaine tous les soirs il venait, je devais l'attendre à quatre pattes sur le lit, je devais m'avoir doigté avant, avoir le cul ouvert comme il disait. Il arrivait, je devais le sucer rapidement et aussi rapidement il m'engrossait, jutant au fond de mon cul et ensuite je devais l'embrasser en lui disant merci avant de me branler devant lui sans qu'il me touche et avaler toute ma semence. Il arrivait aussi que je doive le sucer et le faire jouir avec ma bouche.
-et t'étais le seul à qui c'est arrivé ?
-tu vas encore trop vite Fabrice dit il en me souriant.
Il avait les traits tirés, il semblait fatigué. J'ai trouvé qu'il avait vieilli en racontant cela mais d'un seul coup je l'ai trouvé ragaillardi.
-tu sais que je suis content de t'avoir déjà raconté ça, je savais au fond de moi que je pouvais te faire confiance et que tu jugerais pas car la suite… disons qu'elle est plus plaisante.
-alors comme ça après t'es devenu vicieux ?
Il rigole.
-je crois que je l'ai toujours été, si tu savais comme j'aimais faire l'amour avec Isabelle et elle aimait ça, on s'entendait bien tous les deux. Tiens, ça n'a rien à voir, mais comme j'aime être avec toi, j'aime te tenir dans mes bras, s'embrasser, se caresser sans se faire de vaines promesses et te sentir en moi!
-moi je voudrais te faire jouir avec ma bouche dis je en le regardant de mon air coquin mais maintenant!
Il se met sur le dos me montrant sa belle queue bien raide, gland tout décalotté, gland plus qu'humide.
-je t'appartiens Fabrice.
Petit bisou sur ses belles lèvres. J'ai pris sa queue en main, la serrant et mes lèvres sont venues envelopper son gros gland en l'aspirant, aspirant cette mouille claire qui coulait et l'entendre pousser son premier gémissement.
Sa belle queue était dure, bien raide et mes lèvres coulissaient avec merveille. J'aime sa texture, son odeur, son goût. La sentir se raidir dans ma bouche, ralentir, presser les belles couilles, lécher la hampe, reprendre la pipe, l'entendre gémir en soulevant son petit cul, sentir le gland durcir rapidement, la queue se redresser, l'envelopper de mes lèvres et l'avalant au plus profond pour recueillir sa bonne semence qu'il me donne en criant et en me serrant la tête.
Bien nettoyer l'appareil qui vient de délivrer tout son bonheur et revenir dans ses bras pour se faire lécher la langue et recevoir plein de bisous.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci Jean
Bonjour Nico- Tres belle histoire,rappel pour moi de bons et mauvais souvenirs. Le melange de la religion et du sexe pour moi n'a pas été une reussite; je n'arrive pas à l'oublier. Merci beaucoup, j'attend avec impatience la suite. Je t'embrasse amicalement. Jean